Prière pour la Paix Sociale. (12/11/2005)
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ceux-là et celles-là qui subissent la violence et qui sont dépouillés de leurs biens, saisis par l’angoisse de l’insécurité et des exactions,
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ceux-là et celles-là qui, au péril de leur vie, rétablissent l’ordre, calment les émeutes et cherchent le dialogue entre les générations,
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ceux-là et celles-là, qui, dans les associations, dans les écoles, ou dans les municipalités, colmatent les fractures sociales et donnent des raisons d’espérer,
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ces jeunes et ces enfants, en mal d’avenir et de projets, qui se laissent séduire par la violence, les transgressions et les incendies,
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ces adultes qui se tiennent à la marge et entretiennent les trafics et tous les marchandages au noir,
Ils sont nos frères et nos soeurs, ils ont besoin de sortir de leur enfermement, celui de la peur, celui de la violence, celui du profit facile,
Ils sont nos frères et nos soeurs, ils doivent pouvoir compter sur notre prière et notre soutien pour se sortir du mal qui est en train de les détruire,
Ensemble, tissons à nouveaux frais les fils de la convivialité et de l’apaisement,
Ne désespérons pas des efforts d’éducation, d’insertion et d’inculturation, où beaucoup se sont engagés depuis des années,
Ne doutons pas qu’il faille reprendre la route avec ceux qui se sont égarés pour reconstruire ce qui a été détruit dans nos rues et dans leurs cours,
Entendons le cri de ceux qui réclament l’accès à l’école, à la formation, au travail, au logement et aux biens sociaux,
Reprenons ensemble le chemin de la confiance les uns envers les autres, le chemin que le Christ reprend avec chacun de nous, chaque fois que nous nous en sommes écartés.
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ceux-là et celles-là qui, au péril de leur vie, rétablissent l’ordre, calment les émeutes et cherchent le dialogue entre les générations,
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ceux-là et celles-là, qui, dans les associations, dans les écoles, ou dans les municipalités, colmatent les fractures sociales et donnent des raisons d’espérer,
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ces jeunes et ces enfants, en mal d’avenir et de projets, qui se laissent séduire par la violence, les transgressions et les incendies,
Ils sont nos frères, elles sont nos soeurs, ces adultes qui se tiennent à la marge et entretiennent les trafics et tous les marchandages au noir,
Ils sont nos frères et nos soeurs, ils ont besoin de sortir de leur enfermement, celui de la peur, celui de la violence, celui du profit facile,
Ils sont nos frères et nos soeurs, ils doivent pouvoir compter sur notre prière et notre soutien pour se sortir du mal qui est en train de les détruire,
Ensemble, tissons à nouveaux frais les fils de la convivialité et de l’apaisement,
Ne désespérons pas des efforts d’éducation, d’insertion et d’inculturation, où beaucoup se sont engagés depuis des années,
Ne doutons pas qu’il faille reprendre la route avec ceux qui se sont égarés pour reconstruire ce qui a été détruit dans nos rues et dans leurs cours,
Entendons le cri de ceux qui réclament l’accès à l’école, à la formation, au travail, au logement et aux biens sociaux,
Reprenons ensemble le chemin de la confiance les uns envers les autres, le chemin que le Christ reprend avec chacun de nous, chaque fois que nous nous en sommes écartés.
Mgr Labille est évêque de Créteil.
16:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |