Le Mystère de l’Homme est en fait simple à saisir. (19/01/2012)
Dans la vie, le secret d’un certain bonheur, est d’élever son âme au dessus du mercantilisme ambiant et de la pensée préfabriquée.
Le Mystère de l’Homme est en fait simple à saisir. Il lui faut marcher sur les nuages intérieurs de son cœur. Puis s’harmoniser avec les éléments qui ne sont que prolongement de sa conscience, sa façon de penser et d’exister.
Toujours aller de l’avant pour danser vers une contemplation infinie dans le doux murmure du vent de la vie. Chercher, creuser ce qui ne réduit jamais l’individu à son individualité.
Se laisser tomber tels des flocons de neige immaculés sur les trottoirs du désespoir.
Dans cette fragilité humaine sentir que nous respirons quand même.
Qu’importe la fragilité si celle-ci se métamorphose en une humilité saine et juste.
Nous sommes des humains qui aimons la vie avec passion. Pas forcément son visage défiguré, mais ses flux et reflux paisibles dans nos hivers.
Pourquoi aimons-nous tant les paysages lorsqu’ils nous parlent d’Absolu ?
Simplement parce que nous sommes arrivés au point central du silence où règne la Beauté.
Voilà, le mot est lancé comme une flèche dans la ferveur de l’aimée.
La beauté, nous la voyons chaque jour à notre porte, et nous demeurons dans une cécité presque inconsciente.
Pourtant, elle s’impose à nous comme une évidence qui danse à nos genoux.
Je sais que souvent, tu la captures dans tes photographies qui deviennent prolongement de toi-même. Tu as le sens de la présence du sacré en Toi. Ne le perds pas ! Tu deviendrais alors une rose sans parfum. Un cerveau sans raison. Une pluie sans chanson. Un oiseau sans plumage. Une être humain sans idéal, sans cette capacité intrinsèque de s ‘émerveiller , s’enthousiasmer pour, ce que d’aucuns considèrent comme des frivolités.
Et puis, la musique des jours entame ses cantates sacrées de Bach, son Via Crucis de Liszt, son requiem de Mozart et la résurrection de Mahler.
Et bien d’autres intériorités ou symphonies. Oui, tant d’autres pour nous aider à cheminer dans la joie d’une sérénité retrouvée, comme les Béatitudes de César Franck.
Pour te dire que beaucoup de personnes ont cherchées, cherchent encore de quoi faire rayonner les extases de kyrielles de splendeurs un peu comme François d’Assise chantait des psaumes avec les oiseaux à la manière de Messiaen ou de Liszt.
La beauté des mélodies est écrite dans notre tête pour en faire des harmonies et vivre harmonieusement avec autrui et même l’écume du cosmos.
Tu fais partie de mon Univers et sans toi, je perdrai ma lumière, le feu qui m’éclaire.
Je t’Aime plus que de passion, de fusion et d’effusion. Je t’Aime comme une transcendance qui m’éblouit souvent. Je ne t’Aime pas vraiment comme une immanence omniprésente et castratrice.
Tu es ma Liberté d’aimer, de vivre, de respirer, de chanter, de danser, de rire et de pleurer aussi.
Jamais ô non jamais ; je ne changerai l’horizon bleu-océan qui scintille en moi telle une larme d’or de liberté absolue.
Je t’Aime et même plus…Il fallait que je te le dise encore une fois et je le redirai chaque matin que tu m’inventes dans Ta liberté de me faire avancer vers l’Infini qui ne finira jamais.
Je t’Aime et c’est peu dire. Tu es dans ma chair comme une écharde bienfaisante et dont je sens l’intime présence aimante.
Bruno LEROY.
21:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |