Pour ne pas léguer une planète poubelle à nos enfants. (26/03/2017)
Un peu d'Humour sur un sujet préoccupant...
La couche d'ozone devenait aussi mince qu'une feuille à cigarette et le soleil plus brûlant que mes plaques chauffantes. Sans partir dans la paranoïa, je me dis Bruno, il est temps de soigner une nature en voix d'extinction. Sans devenir un farouche militant, j'estimais ma part de responsabilité. Je ne jette plus mes mégots dans les caniveaux.
J'utilise des bombes lorsqu'il y a d'énormes araignées ou des moustiques susceptibles envers ma personne. Et je constatais quand même que l'environnement était important pour l'équilibre mental. De l'écologie simple, je passais à l'écologie sociale, celle du bon commerce avec autrui.
Trêve de plaisanterie, il serait quand même temps de ne pas léguer une planète poubelle à nos enfants. Je crois que chacun fait en proportion du lieu de vie dans lequel il se trouve. Paraît-il que nous vivons plus longtemps dans l'air pur de la campagne.
Dommage, j'habite un appartement en plein boulevard. Mes jours sont comptés, messieurs les scientifiques et je n'y peux rien changer. Si! faire l'écologie dans ma tête pour mieux me sentir dans ma peau. Et pourtant si vous saviez comme j'aime entendre le chant cristallin des oiseaux par un matin brumeux. Pas la brume des pots d'échappements auxquels je ne puis échapper... J'ai un réel amour de la nature et de sa sauvegarde, pas vous ?
Bruno LEROY.
12:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |