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La Spiritualité du Kung-Fu. (16/09/2005)

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 David Caradine.

Voici une étude synthétique à la fois philosophique et spirituelle du livre de David Caradine intitulé : L'ESPRIT SHAOLIN. En effet, depuis de nombreuses années, le comédien de la série Kung-Fu est un authentique spirituel et adepte du Bouddisme Zen. Toutes les situations et réflexions de cette série télévisée sont inspirées de la spiritualité shaolin et transmises sans artifices. David Caradine que l'on prend souvent pour un simple acteur veut, en fait, donner un message Bouddiste de sagesse et de spiritualité au Monde enfermé dans ses propres incertitudes matérialistes. Il nous insuffle la Sagesse immuable de sa Philosophie dans une société qui a besoin de retrouver ses racines essentielles.
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L’apprentissage des arts martiaux met en valeur le mouvement, améliore les performances, la coordination et la relaxation, fait une meilleure utilisation du corps en prévenant les blessures, confère au mouvement corporel sa liberté une vie durant, en restaurant les rythmes naturels que la vie moderne réfrène. Le Kung-Fu offre des techniques précises permettant à chacun de réaliser son potentiel sur la voie de l’accomplissement.

La confiance apportée par la connaissance de son corps et de l’harmonie spatiale débarrasse à jamais l’élève de sa peur. Ceci est la nature véritable de l’autodéfense. Mais cela reste une résultante mineure de l’étude du Kung-Fu. Car le Kung-Fu est une voie de réalisation totale, dans laquelle le combat apparaît bien comme la facette la moins signifiante.

La partie spirituelle de l’enseignement va bien plus loin que l’aspect mécanique du Kung-Fu, tout en dévoilant les bénéfices qu’on peut en retirer. Mais elle apporte beaucoup plus : la compréhension de la nature harmonieuse du cosmos au sein duquel nous vivons, le triomphe de la plupart des problèmes auxquels les humains sont confrontés : la maladie, la malchance et même la mort. Il n’y a pas de limite au développement potentiel de l’élève. Ce que vous semez, vous récoltez !

Le bonheur dépend plus de la santé mentale et de la paix intérieure que des facteurs externes.

L’étude du Kung-Fu apporte la paix intérieure, la santé mentale, la force, la grandeur d’âme et la patience.

Mais le Kung-Fu n’est pas une panacée. Il se peut que l’enseignement ne réussisse pas à inculquer ces qualités. Mais comme le fardeau repose sur l’élève, le Kung-Fu peut apporter le bonheur, la longue vie, le succès, l’éveil et la confiance, sans qu’on éprouve le besoin de recourir aux drogues et autres béquilles. En libérant l’esprit, il permet d’affronter les forces extérieures avec plus d’efficacité, en encourageant la compréhension et en éliminant la confusion et la frustration. Le succès viendra récompenser les efforts.

La véritable maîtrise du Kung-Fu Shaolin ne peut être obtenue que par la pratique et l’étude des exercices et des danses. Mais le Sifu (le maître) ne peut, lui non plus, être la seule source d’information. En tout cas, pas pour l’élève avancé. Le disciple doit compter sur lui-même et sur d’autres sources pour compléter son information. La philosophie, la religion, la médecine, l’art, la musique, la littérature et la science (tout particulièrement la physique) seront étudiés jusqu'à ce que le chercheur atteigne un degré raisonnable dans la compréhension de ces disciplines. Le disciple doit faire son chemin. Si cet objectif semble trop ambitieux, celui-ci devra examiner en toute conscience s’il n’a pas sous-estimé sa volonté de poursuivre la quête jusqu’au bout.

 

L’ESSENCE:

 

Le Kung Fu est une méthode de santé ancienne au moyen de laquelle l’humanité peut réaliser tout son potentiel, en apprenant à se fixer des objectifs plus ambitieux, en s’élevant au-delà des fausses valeurs et de leur carcan rigide pour accomplir l’unité avec les lois harmonieuses de la nature et de l’univers. L’entraînement de Kung Fu propose un but utile et conduit à l’obtention de talents qui accompagneront l’élève tout au long de sa vie, voire plus longtemps...

Les exercices du Kung-Fu de Shaolin nous aident à renouer avec notre être intérieur, afin que nous ne demeurions pas étrangers à notre propre corps. La seule paix ou force intérieure qui vaille, c’est celle qui unit le corps et l’esprit. Les conflits surgissent quand l’esprit tente de dominer le corps pour le conduire hors de ses limites. Comment peut-on prétendre s’entendre avec les autres et être en harmonie avec la nature si l’on ne l’est pas soi-même ? Un esprit travaillant contre le corps ne fait qu’accentuer l’état de conflit et de lutte.

L’objectif d’un programme d’études, quel qu’il soit, destiné à la réalisation personnelle, est l’amélioration de la qualité de la vie. Toutes les autres valeurs apparaissent secondaires : paix et tranquillité d’abord, sans tension ni contrainte ! A l’origine, l’étudiant placide n’est pas assuré de réussir aussi bien que celui qui y consacre toute la volonté de son ego. Mais, à la longue, celui qui développe le calme intérieur et insiste sur le synchronisme du corps et de l’esprit dans son entraînement parviendra à un niveau bien supérieur à celui qui, suant sang et eau, place la réussite au-dessus de tout et fait de chaque entraînement une épreuve en soi.

“Sans douleur, pas de progrès", répètent sempiternellement ces gourous omnipotents que sont devenus certains entraîneurs aujourd’hui. Il va sans dire que non seulement cette attitude est anti-productive, mais que si nous nous en tenons à l’esprit de notre livre, rien ne vaudra jamais le sentiment de se sentir bien. La santé est la mère de la longévité...

Un exercice qui s’apparenterait à une torture, ou bien contraint et forcé, n’atteindra jamais l’illumination que nous recherchons.

La différence qui existe entre l’étude des arts martiaux et des programmes de fitness comme l’aérobic ou la musculation, c’est qu’au bout de quelques semaines, vous savez déjà tout à leur sujet. Au-delà, c’est de la routine... Le Kung Fu, à l’inverse, enseigne au corps et à l’esprit la vie durant. Et surtout, il permet d’établir une communication permanente entre les deux.

La pensée contrôle l’action du corps et quand elle ne le fait pas, alors le corps se conduit comme un vulgaire robot. C’est ce qui se passe quand on exécute des mouvements désordonnés sans aucune autre finalité que l’exercice en lui-même. Dans l’étude du Kung Fu, chaque mouvement possède sa signification et son application dans la vie réelle. Mieux, au sein du mouvement se cache une compréhension profonde de la sagesse du monde.

Au fond, que le Kung-Fu soit considèré comme un art martial avec une connotation philosophique ou non n’a aucune importance. Le Kung Fu n’est pas un art martial, ni une philosophie ou une religion, c’est un Art de Vivre !

Le Kung-Fu est applicable à chaque situation de la vie courante. Il est ce que vous en ferez ! Mais si vous faites en sorte de bien en appliquer les préceptes, alors vous conservez le contrôle de vous-même et de la si- tuation...

Toutes les techniques offensives et défensives peuvent être maîtrisées en une courte période de temps sans grande difficulté... Un élève intelligent pourra absorber le contenu physique du Kung-Fu en une année ou deux. Je l’ai déjà vu se produire.

Mais le but du Kung Fu, cependant, est plus difficile à saisir. Un investissement à vie de l’adepte n’arriverait pas à appréhender la simple vérité cosmique à l’œuvre dans les mouvements du Kung-Fu. Voilà pourquoi il faut quand même s’adonner à fond à son étude. La récompense qui attend sur la route vaut bien le voyage!

Mais il est encore plus profitable de n’attendre aucune récompense. Car seule la plus pure des dévotions est capable d’amener le chercheur au plus près de son but...

Un élève lent devra consacrer encore plus d’efforts, mais s’il possède les ressources en lui-même, il a plus de chance d’atteindre la vérité qu’un élève plus rapide mais qui prend la connaissance pour argent comptant. La dévotion est la clef, la question et peut-être une grande partie également de la réponse...

Désir, détermination, persévérance et pratique sont les clefs du succès du Kung-Fu. La taille ou le sexe de la personne n’entrent pas en ligne de compte. Presque tout le monde peut apprendre et maîtriser les mouvements, tandis que le corps et l’esprit forment une alliance solide. Les femmes réussissent bien dans les styles du Nord car elles exploitent au maximum la grâce, la légèreté et l’esthétique qu’elles rencontrent dans ces styles. Les enfants apprennent avec une facilité déconcertante. Comme on apprendrait à des chiots... Ils tirent d’énormes avantages de la discipline : coordination, vitesse, mental et confiance renforcés. Sans parler de la subtile progression interne qu’ils vivent en même temps. Petit à petit, un chemin se fraye dans cet univers de questions. Au travers de la discipline et de la pratique, il est possible de découvrir des plans supérieurs de la vie sur terre. Sans peur ni colère, un équilibre se fait jour, fascinant... et conduisant un état qu’on n’a jamais connu auparavant et au-delà de toute expérien-ce...

C’est cela le Kung Fu !

Une autre façon d’apprendre, que je dois mentionner, est celle du Rebelle. Rien ne laisse prévoir le progrès de ce chercheur. Il peut-être ultra-rapide ou catas-trophique. Généralement, ces personnes passent par des étapes de mutation : dangereux, imprévisibles, parfois brillants, inventifs, destructeurs ou dérangeants... Qui sait ? Aucune étiquette ne peut être apposée sur cette catégorie. Elle est partie intégrante de la personne. Chacun sait qui il est. C’est ce que je suis...

Le Kung-Fu aujourd’hui jouit d’une formidable popularité planétaire. C’est en partie dû à l’influence du programme Kung-Fu, qui considère les arts martiaux dans leur habilité à résoudre les problèmes, quelque chose envers quoi on se tourne quand tout le reste a échoué... Dans la série Kung-Fu (qu’on peut voir maintenant dans soixante et onze pays), contrairement aux films du genre, les personnages affrontent le mal avec philosophie et n’utilisent la violence physique qu’en cas d’extrême nécessité ; et encore, avec la plus grande retenue...

Cette attitude est organique aux experts de Kung-Fu de la plupart des styles. Leurs aptitudes leur permet de s’élever physiquement, mentalement et spirituellement au-dessus de l’adversaire et de la difficulté.. C’est cette attitude authentique qui séduit si fortement les gens dans le monde. Car notre époque n’est guère propice à la confiance et à la foi, en dehors de puissances qui sont extérieures à nous et au-delà des valeurs temporelles et matérialistes de la société au sein de laquelle nous vivons...

 

SPIRITUALITÉ:

 

N’importe quelle discussion sérieuse sur la philosophie du Kung-Fu revient à aborder le domaine spirituel. Cela frise parfois dangereusement la religion. Mais tous les systèmes, qu’ils soient d’ordre scientifique, religieux ou mystique, englobent le concept de puissance suprême qui gouverne l’univers selon des lois immuables. Le chemin conduit à découvrir, confirmer et comprendre ces vérités entourant la seule grande Vérité.

En sciences physiques, on observe les phénomènes et on tente de les expliquer par l’expérimentation et l’interprétation. Dans les religions et dans les philosophies mystiques, on accepte comme certaine la théorie et c’est le phénomène qui doit être interprèté en accord avec cette théorie. Cette méthode d’exploration requiert la Foi. Elle est utile en face de concepts qui dépassent la perception. Les efforts pour appliquer la théorie d’Einstein sur la relativité‚ en sont un parfait exemple. On réinterprète l’évidence pour prouver la validité de la théorie. La vérité, c’est que les scientifiques opèrent beaucoup de cette manière mais n’aiment pas l’admettre.

L’application de cet outil, la foi, est ce qui définit l’expérience spirituelle. La foi, hors de ce cadre, est appelée croyance ou instinct, ou encore inspiration... Elle est aussi en rapport intime avec le hasard et la chance. La véritable nature de ce qui est spirituel par rapport à ce qui est absurde n’est pas toujours facile à distinguer. Il n’y a pas de claire séparation entre ce qui est science, superstition ou foi... Tout ce qu’on peut dire sans discussion est qu’il existe une réalité plus vaste au-delà de notre entendement. Elle n’a pas de nom mais nous connaissons son existence. En pratique, nous faisons parfois une percée au sein d’une réalité plus étendue et nous sommes capables alors de percevoir toute une série de mystères qui étaient autrefois imperméables à notre compréhension. Mais nous recouvrons à nouveau les limites de notre avancée et nous devons nous remettre en chemin. Ce processus me semble, autant que je l’aie compris, sans fin.

En fin de compte, toutes les études au monde ne pourraient épuiser l’entière vérité. Même en travaillant toute une vie, nous n’arriverons pas au bout de nos explorations. C’est alors qu’intervient la foi. A condition d’accepter des théories dont nous ne pouvons pas prouver la validité, nous sommes capables de percevoir l’image totale, même si sa structure reste au-delà de notre compréhension.

Cette méthode d’exploration décourage les cyniques...

Il existe une vieille histoire à propos de la foi et du cynisme. Deux chercheurs d’or étaient assis dans un saloon en Alaska. Ils prenaient un verre et le sujet de leur conversation tomba sur Dieu. “Je n’y crois pas", dit l’un des chercheurs d’or.”

“Ah bon ? C’est plutôt inhabituel par ici. Et pourquoi cela ?", dit l”autre.

“J’y ai cru mais ça m’a passé. Tu vois, un jour que je me trouvais sur la toundra, j’ai été pris dans un horrible blizzard. J’étais perdu et j’ai pensé que j’allais mourir de froid... alors, je me suis agenouillé pour prier Dieu mais absolument rien ne s’est passé". “Pauvre idiot", dit l’autre chercheur d’or, "comment peux-tu dire ça ? Tu es encore parmi nous, non? I1 a bien fallu que tu t’en sortes..."

“Oui, je m’en suis sorti. Mais ce n’est pas grâce à Dieu. Un diable d’esqui-mau qui passait par là m’a remis sur le bon chemin !"

La foi, l’espoir et la croyance sont des outils vénérables sans lesquels nous ne pouvons atteindre à l’infini. Quand ils deviennent prisonniers du dogme religieux ou de rites stéréotypés, ils ne répondent plus à leur vocation. La foi est puissante, à condition de s’accompagner de l’illumination. Elle peut déplacer les montagnes. Mais une foi aveugle est aussi porteuse de folie. Aussi, comme l’ail, on doit l’utiliser avec parcimonie.

I1 y a une méthode alternative à la foi. C’est le cynisme, la première des religions. I1 est le moyen de découvrir tout le reste, étant donné que le cynisme implique le scepticisme. Le scepticisme débouche sur l’examen et l’examen sur la compréhension.

 

QUAND ON SE PERD :

 

A un moment ou un autre, il arrive que l’élève ait l’impression de stagner. Parfois, le professeur est en faute. Si c’est le cas, il est temps d’aller voir ailleurs. Mais le plus souvent, c’est l’apprentissage qui est en cause, ou l’attitude ou encore le manque de concentration.

Nous nous comportons presque tous au début comme des bulldozers. Nous apprenons les formes et la technique à notre manière, en interprétant ou en adaptant les mouvements à l’une de nos erreurs et de nos préjugés. Cette approche ne peut réussir car nous sommes confrontés à nos propres limitations. Et nous finirons éventuellement par abandonner la discipline...

Mais si nous en ressentons l’appel, nous reprendrons les choses en mains, même si nous avons oublié la plupart des techniques. Nous recommencerons tout, avec encore plus d’humilité et de dévouement ! Celui-là est le véritable apprentissage car nous voyons les choses comme jamais auparavant. Le corps nous surprend par sa connaissance. Alors, chaque cours devient un moment de révélation, que nous nous n’oublierons jamais.

La peur est l’obstacle fondamental, le simple fait de penser qu’on ne peut réussir est dissuasif. Si cette peur persiste, elle prend plus de place et submerge tout le reste.

Il vous faut prendre confiance en vous, vous sentir encouragé à l’extérieur et... quelque chose en plus : le courage. Celui qui n’en a pas peut l’acquérir. Ce n’est pas facile. Je serais étonné que vous en fassiez l’expérience avec ce livre ou dans n’importe lequel autre...

Le dernier obstacle, une fois la peur vaincue ou assumée : le trop de confiance. Penser que c’est arrivé, l’ego, l’arrogance, l’illusion de la clarté. Mais ce sentiment peut surgir aussi si la peur vous habite toujours, comme une couverture... Cet élève-là parle trop au lieu d’écouter. Après tout, si l’on nous a donne deux oreilles et une bouche, ce n’est pas par hasard.

Cet obstacle n’est pas facile à surmonter sans une révélation qui vous permette d’en sortir ; cela survient en général après une grosse déception de l’ego : humiliation, dérision, sentiment d’indignité ou quelque chose de ce genre. Bien sûr, ce n’est pas une perspective agréable mais elle a ses bons côtés à la fin.

C’est comme si on aidait un ivrogne à trouver le chemin de la lumière. Jusqu’à ce qu’il l’ait trouvé, il niera tout, clamant que le monde entier se trompe ! Lui est parfait. Il faudra qu’il s’effondre avant de faire demi-tour et alors là, il risque de devenir insupportable dans l’autre sens... On dirait que certains ne désirent pas apprendre. Il leur faut une dose d’humilité. Il la trouvera peut-être au sein de la communauté des arts martiaux et il risque de l’apprendre de la manière la plus dure. Il vaut mieux prendre la bonne direction dès le début...

Une autre chose qui peut faire obstacle, c’est simplement faire erreur, se tromper de priorité ou comprendre les choses de travers. Ceci arrive d’une multitude de façons. Etre mal entouré (ceci peut inclure le professeur), faire l’impasse sur des étapes importantes comme l’écoute, la pratique, la constance; ignorer ou désobéir aux injonctions du professeur...

Le syndrome disparaît avec la mauvaise attitude. Sinon, il vaut mieux tout plaquer pour en terminer avec la souffrance.

Mais les distractions habituelles peuvent s’avérer un frein au progrès : les femmes, la drogue, les soucis, la pitié de soi et toutes les autres, ne serait-ce que la simple paresse. Car la plupart des échecs sont le fruit d’une combinaison de tous ces éléments ou bien ajoutés les uns aux autres. L’autosatisfaction ne fait pas non plus l’artiste martial. Il n’y a aucun moyen de progresser ou d’accéder à la maîtrise tout en cédant au vice et à la faiblesse...

Mais ne vous laissez pas décourager ! Car c’est précisément pour régler ces problèmes que vous entreprenez ce genre d’étude... Il vous faut avoir confiance dans le programme d’études et aussi en vous-même. Mais ne tardez pas trop. Vous n’avez pas l’éternité‚ pour le réaliser.

Et le dernier obstacle, enfin, qui se présente à vous s’appelle vieillesse. Vous serez trop décrépi pour vous lancer...

Bruno LEROY.

13:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |