“Avec Lui, l'échec n'est pas possible” (07/06/2008)
"Je peux tout en celui qui me rend fort." Avec Lui, l'échec n'est pas possible. Et de cette conviction naît le saint "complexe de supériorité" qui nous permet de faire face à nos tâches avec un moral de vainqueurs, car Dieu nous accorde sa force. (Forge, 337)
Si tu ne luttes pas, ne me dis pas que tu veux t'identifier davantage au Christ, Le connaître, L'aimer. En empruntant cette voie royale — suivre le Christ, nous comporter en tant que fils de Dieu —, nous savons bien ce qui nous attend: la Sainte Croix, où nous devons voir le point central sur lequel prend appui notre espérance de nous unir au Seigneur.
Ce programme, je te le dis à l'avance, n'est pas une entreprise facile, car le fait de vivre comme nous l'indique le Seigneur suppose de l'effort. (…) Ce que nous rencontrons, c'est la bassesse de notre égoïsme, les coups de griffe de la sensualité, les tracas d'un orgueil inutile et ridicule, et bien d'autres encore, qui sont autant de faiblesses. Faut-il se décourager ? Non. Répétons au Seigneur avec saint Paul: Oui, je me complais dans mes faiblesses, dans les outrages, les détresses, les persécutions, les angoisses endurées pour le Christ; car lorsque je suis faible, c'est alors que je suis fort.
(…) Je vis persuadé que je ne parviendrai à rien sans regarder vers le haut; sans Jésus. Je sais que la force dont j'ai besoin pour me vaincre et pour vaincre naît de la répétition de ce cri: je peux tout en Celui qui me rend fort. Ce cri en appelle à la promesse ferme de Dieu de ne point abandonner ses enfants, si ses enfants ne L'abandonnent pas. (Amis de Dieu, nos 212-213)
Ce programme, je te le dis à l'avance, n'est pas une entreprise facile, car le fait de vivre comme nous l'indique le Seigneur suppose de l'effort. (…) Ce que nous rencontrons, c'est la bassesse de notre égoïsme, les coups de griffe de la sensualité, les tracas d'un orgueil inutile et ridicule, et bien d'autres encore, qui sont autant de faiblesses. Faut-il se décourager ? Non. Répétons au Seigneur avec saint Paul: Oui, je me complais dans mes faiblesses, dans les outrages, les détresses, les persécutions, les angoisses endurées pour le Christ; car lorsque je suis faible, c'est alors que je suis fort.
(…) Je vis persuadé que je ne parviendrai à rien sans regarder vers le haut; sans Jésus. Je sais que la force dont j'ai besoin pour me vaincre et pour vaincre naît de la répétition de ce cri: je peux tout en Celui qui me rend fort. Ce cri en appelle à la promesse ferme de Dieu de ne point abandonner ses enfants, si ses enfants ne L'abandonnent pas. (Amis de Dieu, nos 212-213)
09:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |