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12/04/2011

Au miroir de nos pensées.

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Il est essentiel de nourrir ses pensées aux fleuves divergents qui enrichissent notre réflexion. Sans la confrontation des idées, voire des idéologies ou ce qui est jugé comme tel, nous serions dans l'incapacité de nous construire une personnalité. C'est la résistance et la confirmation de nos convictions face à autrui qui fait ce que nous sommes. Bien-sûr, dans le respect des différentes pensées. Nous pouvons élaborer la nôtre comme un fruit partagé entre amis. Il ne faut jamais essayer de persuader quiconque sur notre vision interne de percevoir le monde. il nous faut, au contraire, convaincre par le comportement de vie que nous sommes ce que nous pensons. Le prosélytisme en matière de réflexion commune est un manque de respect d'autrui. La persuasion ne peut s'effectuer que face à une situation urgemment dramatique.
 
 
Il faut cultiver une certaine confiance dans la façon de penser de notre entourage pour abreuver notre soif de compréhension. Et même si souvent, nous nous trompons dans l'appréhension de ces idées, l'amour est à ce prix. Il faut apprendre et risquer de se tromper pour mieux épurer nos pensées profondes et se diriger au fil des années vers l'Essentiel. Une sorte de pauvreté et d'humilité de la pensée demeure indispensable pour avancer sur le chemin rocailleux de la Vérité vraie.
 
Bruno LEROY.

20:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., MÉDITATIONS., PÉDAGOGIE., PENSÉES PERSONNELLES | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Notre système fonctionne dans le délire.

Nous sentons que notre système fonctionne dans le délire : d'un côté, la rationalité des techniques et la rentabilité ; de l'autre , l'absurdité et l'irrationnel. Ne pas être dans ce délire, c'est être hors du réel, un exclu qui n'a que le droit de se taire. Comment faire entendre une parole ? Les personnes en difficulté veulent vivre autre chose et sortir de leur état qui ne les satisfait pas.
Nous avons à consentir à un changement de civilisation, c'est dérisoire de le dire. Il faut travailler dans une perspective d'ensemble à long terme, sans déserter notre lieu. C'est une mentalité neuve qui décourage fanatisme et sectarisme : créer, susciter, innover, savoir que c'est du provisoire, mais jamais vain et insignifiant, toujours nécessaire et indispensable.

Si accompagner une personne en difficulté est de l'ordre d'une naissance, nous devons allier savoir, faire et savoir-faire, avoir équipements, matériaux et outils nécessaires. Il nous faut sortir de la logique économique de rentabilité pour une autre logique qui n'est plus marchande, mais humaine : que chacun puisse naître à lui-même, trouver sa voie, sa consistance, sa taille.
Accepter de parier sur des rêves et d'avancer de pari en pari, d'aventure en aventure, d'épreuve en épreuve, se laisser altérer, mettre à mal ses certitudes et renverser les tables de la loi...Oser la relation de confiance, emmagasiner son lot de joies, de souvenirs heureux, d'expériences nouvelles, retrouvailles avec et dans le chemin de la personne. N'est-ce-pas de l'ordre du regard qui désarme et ne juge pas ? Plein de joie et d'intelligence, il autorise l'autre à naître à lui-même et à exister. Ce regard qui ne se contente pas de soutenir le nôtre, mais l'appelle, est présence et discrétion. Ce regard ne tue jamais, il élargit l'espace des possibles.

Pourquoi un délinquant voudrait-il se réinsérer dans la société ? Il est inséré dans cette société, en tant que délinquant, N'oublions pas que la marge fait partie de la page. Notre rôle d'adulte éducateur est la réinsertion du jeune dans son propre être : lui faire découvrir la formidable potentialité de l'être humain, lui faire pointer du doigt que sa situation de jeune en difficulté lui fait développer des capacités de résistance et de vie étonnantes dont nous ne serions peut-être pas capables. Notre rôle est de faire un bout de chemin avec eux pour leur montrer autre chose, leur ouvrir d'autres horizons, leur amener de la culture. Pour cela tous les moyens sont bons, toutes les portes sont possibles, à une condition : le partage des vécus. Le travail social n'est pas de dire : " Tu devrais faire " . Il faut faire- avec, aller-avec. Notre présence active c'est la reconnaissance de l'autre, c'est ce qui fait grandir qu'on ait douze ou trente ans. Il faut aller au devant d'eux, se mettre en situation difficile de déséquilibre d'où surgira la réflexion à deux, adulte et jeune.

Nous devons avant tout retrouver la personne. La pratique éducative ne devrait fonctionner en tout premier lieu qu'avec cette conviction. Toute société se vit de mythes et d'histoires constitutives, l'être humain ( et le jeune qui nous préoccupe ici ) est à la fois plus simple et plus complexe que la société. S'il a besoin " d'histoire " , pourquoi cette histoire que nos sommes sensés aider à restituer ne serait-elle que pragmatique, normative, adaptée aux besoins de la marche sociale ? Pourquoi ne serait-elle pas, au niveau de notre tâche éducative, la recherche de moments heureux, de souvenirs marquants, de déstabilisations consenties avec la protection d'un adulte ? Toute joie emmagasinée est un sacré pas sur le chemin du grandir. Nous l'oublions souvent. Nos prétentions de réinsertion des jeunes en difficulté sont souvent éloignées de la réalité. Or, la réalité, ce sont eux. Nos convictions mises en oeuvre et nos paroles étant vraies, les exclus pourront être associés aux mesures économiques, remis dans le circuit de leur responsabilité. Le cercle infernal de l'exclusion pourra être brisé, ouvert. Si les éducateurs de rue partent du principe que l'exclusion n'est pas une fatalité, elle peut se combattre. Mais il y a nécessité et urgence à renouveler notre conception de la vie et du travail social. Seul, notre regard anticonformiste sur les raisons et les causes de l'exclusion des jeunes, nous fera changer nos relations éducatives et nous empêchera de penser la réinsertion en terme de production, comme souvent la société nous le demande. Je suis, de part mes fonctions, au service des jeunes et non de politiques capitalistes qui rêvent de rendre productives toutes les machines humaines. Je travaille pour l'épanouissement des jeunes et non leur aliénation au nom de quelques idéologies que ce soient, c'est mon regard d'éducateur de rue qui aime voir grandir l'adolescent en fonction de sa personnalité intérieure en pleine liberté de son devenir, qui me donne la force de continuer à temps et contre-temps.

 Bruno LEROY.

19:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONSEILS ÉDUCATIFS., COUPS DE GUEULE., CRITIQUE SOCIALE., CULTURE., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Atelier d'écriture.

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19:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ADOS, CONSEILS ÉDUCATIFS., LITTÉRATURE., MILITANTISME., POUR LES JEUNES., PRESSE., SCIENCES HUMAINES, SCIENCES SOCIALES., SOCIAL. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Jésus sur mon chemin.

19:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Dieu au sourire d'enfant.

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Dieu est présent dans le sourire d'un enfant,
Il est Amour aussi dans le coeur des grands,
Sera-t-Il écouté de par le Monde ?
Sera-t-Il aimé de façon féconde ?

La réponse est en l'Homme telle une question,
La question est en l'Homme telle une passion,
Il suffit d'ouvrir son âme au vent de l'Esprit,
Il suffit de s'émerveiller aux murmures de la Vie,
De retrouver cet enfant endormi au fond de Soi,
De brûler au feu de son Amour crépitant de Foi,
De vivre en Harmonie avec nos forces et faiblesses.

Car, l'enfant qui s'éveille n'est nullement tristesses,
Mais Joie d'exprimer la Tendresse avec innocence,
D'une âme pure qui ose se reconnaître telle qu'elle est,
Dans les yeux du Dieu vivant au centre de nos réalités,
Avec le regard d'un enfant blessé mais aimé à jamais.

Telle est notre certitude face au Père qui ne saurait,
Nous abandonner quand nos coeurs se confondent,
Dans les bras de Son Espérance intense et profonde.


Bruno Leroy, éducateur de rue

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Aimer la vie et la mort pour s'en émerveiller.

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Dans le froid glacial de vos cœurs,
J'avance sans tituber dans mes rancœurs,
Malgré vos sourires figés aux grimaces commerciales,
J'avance sur les chemins de la pauvreté non vénale,
Dans le soleil de votre cœur,
Je me repose et me réchauffe de mes peurs,
Malgré vos pleurs suintant de détresse,
J'arrête quelques instants pour calmer vos tristesses,
Rien ne pourra me séparer de vous dans les péripéties,
Les affres de l'existence que nous vivons ensemble,
Nous sommes sur le même navire qui souvent chavire,
Malgré ce Monde pourri par votre égoïsme et votre fric,
J'avance pour ne pas sombrer dans vos indifférences,
Je suis infiniment jeune mon âme n'a que cinquante deux ans,
Face à l'éternité je ne suis que poussière d'étoiles,
Dans les mains de Dieu,
Qui se régale de ne jamais me voir vieux.
Les hommes sont des vieillards dans leur tête,
Il ne savent plus s'émerveiller des signes,
Que l'Esprit projette dans la respiration de nos nuits.
Je ne mourrai pas même mon souffle est dans le souffle,
De Dieu en son Esprit.
Et sur la voie lactée je glisserais comme on fait du ski,
Pour s'amuser, s'émerveiller, se renforcer dans cette certitude,
D'aimer la vie ou la mort et de se sentir aimé à l'infini.
 
Bruno LEROY.

Au soleil de nos saisons.

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Dans le silence intérieur se forme notre conscience
La certitude des mots prononcés avec Amour
Et nos secrètes pensées veulent vivre toujours
Cette éternité de l'instant quand nos regards
Attendent un geste de tendresse sans hasard
Mais tracé dans une harmonieuse présence
De nos âmes enlacées et qui savourent
Le bonheur d'être deux en cette humanité
Où la solitude est le souffle de l'homme
Une habitude inventée par des cœurs dispersés
La beauté de notre Vie nous engendre à nous-mêmes
Comme un poème éclaté chaque jour
Au soleil de nos saisons que nous conservons
Jalousement avec une volupté aux yeux d'enfants
Purs et innocents dans sa fraîcheur renouvelée
Au quotidien de nos rencontres
Comme des envolées dans le destin illimité
Et le vent de nos sentiments amoureux
Fait chanter ses accords heureux
Dans nos corps chaleureux et démesurés
Quand le temps nous appartient
L'avenir nous vient tel un navire sans chagrins
Sur les flots de la mer sereine et parle pour demain
De nos matins réinventés au Bonheur
De s'aimer malgré toutes les lames
Que les vagues imaginent pour nous couper
De nos radieux moments médités au fond de notre être
Pour donner une signifiance à notre existence
Plus je m'enfonce dans les profondeurs
Plus je sens la chaleur torride de t'Aimer.
 



Bruno LEROY.

10/04/2011

Un texte de Bruno Leroy à méditer ...

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    CoopBelSud-diaporamas et présentations flash

    "LA PRIERE, SUBSTANCE DE NOTRE VIE" un texte de Bruno Leroy à méditer ... Être Salésienne Coopératrice, Salésien Coopérateur de Don Bosco, ...
    www.coopdonbosco.be/.../index.html -
  • 

09/04/2011

Le Verbe est prière chantée, exprimée avec le sang de l'âme.

 

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Dans la profondeur du paysage, j'aperçois ton visage. Une larme transpire sur le sang de notre planète. Une source suinte de tes paroles internes. J'entends ton Esprit parler à mon esprit. Et me murmurer doucement toutes les douleurs qui boivent notre Vie. Tu as raison, Seigneur, nous sommes des tueurs en puissance. Nous éteignons tes étoiles comme des lampes insignifiantes. Ce n'est plus Toi qui laisse jaillir tes larmes, c'est moi face à ses alarmes des pauvres gens. Quand reviendra le feu consumant nos angoisses futures pour nous concentrer sur le présent. L'instant éternel dans lequel tu te trouves. Quand nous aurons assimilé nos propres rancunes. Nos nostalgies et colères face à la connerie de certains. Pense à celui qui se dit être ton Frère qui est incommensurable dans son silence.  Celui qui ne pense qu'à son cul, sa gueule et son pognon. Un raté de l'existence ne sachant pas explorer ses talents.
 
Laisse donc ces ombres dont le temps ne retiendra pas même le nom. Et vis ta vie à plein poumons en respirant l'Amour à chaque étage de ton existence. Sache que le Pardon, n'est pas l'oubli et qu'un jour ils paieront avec une autre matière que l'argent. Aime le vent qui vient inspirer tes poèmes, tes chants et tes fantasmes. Aime l'Amour des autres et de Dieu. Les événements te parlent de Lui. Écoute les mélodies et les tempos gospels qui te parviennent. L'Amour regarde toujours dans la direction de la Lumière. Le reste n'est que pénombre dont il faut extraire quelques brindilles dorées. Tu vois, vivre est si simple lorsque la Présence de Dieu se fait présente chaque jour. Tu peux mourir demain ou ce soir, l'espérance est ton miroir.
 
J'aime la substance même de la vie au point d'en extirper la quintessence poétique. Les mots se mettent à éclabousser ton corps et te faire comprendre que tu dois former, chérir le Verbe.
Le poète est celui qui met du parfum azuré dans les sentiments éprouvés. Ensuite, tu peux crever les syllabes feront le reste. Tu es le maître sans pour autant maîtriser le Verbe. Il vient, il va sur des chemins inattendus et toujours cependant dans une direction faite pour Toi.
 
Le Verbe est prière chantée, exprimée avec le sang de l'âme. Et tu entends des phrases à écrire tels des cris et des soupirs. Le monde a besoin de Beauté pour vivre pleinement en Harmonie. Quand prendras-tu conscience que le langage construit la conscience. L'enfant est celui qui ne parle pas. Sommes-nous restés des enfants sur le plan de la spiritualité ? Malheureusement, oui. Et heureusement, car ainsi nous pouvons progresser et toujours espérer mieux. N'oublie pas que la prière est la moelle de tes os. Sans elle, tu ne saurais marcher. Alors, prie, lutte et Aime. Puis, vas de l'avant pour ne pas sombrer dans un passé obsolète. Dans les marasmes du passé, il n'y a que cadavres. Dans la fumée du futur, il n'y a qu'illusions. Vis l'instant présent comme un moment d'éternité. De plus avec le Christ, tu auras l'impression d'être entre l'espace-temps de l'existence intense et de la mort présence d'un lendemain qui vient avec Joie.
 
Bruno LEROY.

12:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

08/04/2011

Ce que l’on apprend au coeur de la crise.

“Pourquoi rester ici à attendre la mort ?” 2 Rois 7.3 saparole.com

Les armées syriennes assiégeaient Samarie où les habitants étaient en train de mourir de faim. Quatre lépreux qui, en raison de leur maladie, devaient vivre en dehors des murailles de la ville, survivaient d’habitude en mangeant les maigres restes de pain que les habitants de la ville leur jetaient du haut des remparts chaque jour. Mais maintenant avec la famine qui sévissait dans la ville, plus rien ne leur était jeté.

Ils se dirent alors : “Pourquoi rester ici à attendre la mort ?” Aussi décidèrent-ils de faire quelque chose : “Ils se levèrent donc au crépuscule, pour se rendre au camp des Syriens ; et lorsqu'ils furent arrivés... voici qu'il n'y avait plus personne. Le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chars et un bruit de chevaux, le bruit d'une grande armée... A la nuit tombée, ils s'étaient donc enfuis pour sauver leur vie ; ils avaient abandonné leur camp... laissant sur place les tentes, les chevaux et les ânes. Les quatre lépreux... entrèrent dans une tente, où ils mangèrent et burent ce qu'ils y trouvèrent ; puis ils emportèrent de l'argent, de l'or et des vêtements qu'ils allèrent cacher... Puis ils se dirent l'un à l'autre : Nous n'agissons pas bien ! Cette journée est une journée de bonne nouvelle... Venez maintenant, allons faire rapport à la maison du roi” (2 Rois 7.5-9).

Cette histoire nous enseigne trois vérités importantes : tout d’abord que la crise devient notre alliée lorsqu’elle nous pousse à agir, d’une manière ou d’une autre, pour nous sortir d’affaire. C’est seulement quand nous sommes vraiment fatigués de nous sentir abattus et déprimés, que la situation commence à s’améliorer ! La deuxième vérité, c’est que Dieu commence à agir pour notre bien lorsqu’Il nous voit faire le premier pas de foi. Les seules choses qui risquent de limiter le déploiement de Sa puissance, ce sont nos doutes, notre entêtement ou notre complaisance. Sa parole affirme : “C'est pourquoi le Seigneur attend pour vous faire grâce...” (Esaïe 30.18). La troisième vérité c’est que lorsque Dieu veut nous bénir richement, nous n’avons pas le droit de garder Ses bénédictions pour nous seuls. D’autres personnes autour de nous ont besoin de ce que Dieu nous a accordé et nous devons le partager avec elles, au moment opportun. 

 Bob Gass.

 

21:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |