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03/09/2009

LES TRÉSORS DE L'ÂME.

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L'histoire raconte la légende d'une femme pauvre avec un garçonnet dans les bras, qui, passant devant une caverne, entendit une voix mystérieuse venant de l'extérieur et qui lui disait: « Entre et prends tout ce que tu désires, mais n'oublie pas le principal ». Souviens-toi d'une chose: Après que tu sois sortie, la porte se refermera à tout jamais. Profite de l'opportunité, mais n'oublie pas le principal. La femme entra dans la caverne et trouva beaucoup de richesse. Fascinée par l'or et les bijoux, elle déposa l'enfant par terre et commença à amasser, anxieusement, tout ce qu'elle pouvait dans son tablier.
La voix mystérieuse lui rappela: « Tu as seulement 8 minutes ». Les 8 minutes épuisées, la femme chargée d'or et de pierres précieuses, courut hors de la caverne et la porte se referma. Elle se rappela alors, que le garçonnet était resté à l'intérieur, mais la porte était fermée à tout jamais. La richesse dure peu mais le désespoir, toujours! La même chose parfois, nous arrive. Nous avons quelques 80 ans pour vivre en ce monde et toujours une voix nous rappelle : « De ne pas oublier le principal »!
Le principal, c'est les valeurs spirituelles, la foi, la vigilance, la famille, les amis, la vie. Mais l'appât du gain, la richesse, les plaisirs matériels nous fascinent tellement, que le principal reste toujours de côté… Ainsi, nous épuisons notre temps ici-bas, et nous laissons de côté l'essentiel: Les trésors de l'âme. Nous ne devons jamais oublier que la vie, en ce monde, passe rapidement et que la mort arrive de façon inattendue. Lorsque la porte de cette vie se refermera pour nous, les lamentations ne serviront à rien.

Bruno LEROY.



13:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/01/2009

Quand la porte se refermera.

L'histoire raconte la légende d'une femme pauvre avec un garçonnet dans les bras, qui, passant devant une caverne, entendit une voix mystérieuse venant de l'extérieur et qui lui disait: « Entre et prends tout ce que tu désires, mais n'oublie pas le principal ». Souviens-toi d'une chose: Après que tu soies sortie, la porte se refermera à tout jamais. Profite de l'opportunité, mais n'oublie pas le principal. La femme entra dans la caverne et trouva beaucoup de richesse. Fascinée par l'or et les bijoux, elle déposa l'enfant par terre et commença à amasser, anxieusement, tout ce qu'elle pouvait dans son tablier.

La voix mystérieuse lui rappela: « Tu as seulement 8 minutes ». Les 8 minutes épuisées, la femme chargée d'or et de pierres précieuses, courut hors de la caverne et la porte se referma. Elle se rappela alors, que le garçonnet était resté à l'intérieur, mais la porte était fermée à tout jamais. La richesse dure peu mais le désespoir, toujours! La même chose parfois, nous arrive. Nous avons quelques 80 ans pour vivre en ce monde et toujours une voix nous rappelle : « De ne pas oublier le principal »! Le principal, c'est les valeurs spirituelles, la foi, la vigilance, la famille, les amis, la vie. Mais l'appât du gain, la richesse, les plaisirs matériels nous fascinent tellement, que le principal reste toujours de côté…

Ainsi, nous épuisons notre temps ici-bas, et nous laissons de côté l'essentiel: Les trésors de l'âme. Nous ne devons jamais oublier que la vie, en ce monde, passe rapidement et que la mort arrive de façon inattendue. Lorsque la porte de cette vie se refermera pour nous, les lamentations ne serviront à rien.

10:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

02/12/2007

Pourtant l'oiseau chanta...

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Un jour, quelqu’un murmura : « Seigneur, parle-moi ! » et un oiseau chanta, mais la personne n’a pas entendu.  Alors elle cria : « Seigneur, parle-moi ! » et le tonnerre roula dans le ciel, mais cette personne n’a pas écouté.  Elle regarda autour et dit : « Seigneur, laisse-moi te voir ! » et une étoile scintilla dans le ciel, mais elle n’a pas vu.  Et elle s’écria : « Seigneur, montre-moi un miracle ! » et une vie est née !  mais cette même personne n’a pas remarqué.  Alors, elle cria désespérément : « touche-moi Seigneur, et laisse-moi voir que tu es là ! »   Sur ce, Dieu la rejoignit et la toucha.  Mais, elle écarta le papillon et s’en alla…

Cela me rappelle grandement que Dieu est toujours près de nous dans les petites choses simples que nous prenons pour acquises même à l’âge électronique.

Alors, j’aimerais en ajouter une autre.  Puis, elle cria encore :  « Seigneur, j’ ai besoin de Toi ! » et un courriel lui arriva avec de bonnes nouvelles d’encouragement.

Et elle le supprima et continua à crier et à brailler…

Ne ratons pas une bénédiction parce qu’elle n’est pas enveloppée de la façon que nous l’attendions et attendons l’inattendu…


Bruno LEROY.

11:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

01/09/2007

Une histoire de citrouilles...

On demande un jour à une fermière : « C’est quoi être chrétien ? »

La bonne dame songe un peu et répond : « C’est comme être une citrouille.  Dieu te choisit au milieu d’un champ, il t’amène et enlève tout ce que tu as de saleté.  Ensuite, en pénétrant dans ta tête, il enlève tout ce qui est de trop; il t’enlève les pépins des doutes, les noyaux de méchanceté et tout ce que tu retiens d’envie.

Alors, il sculpte un beau sourire dans ton visage et installe une chandelle à l’intérieur, pour que par cette flamme, tout le monde voit ton bonheur. »

Cette histoire m’a été passée par une amie, une belle citrouille de Jésus et maintenant, c’est moi la citrouille qui te passe l’histoire.

Est-ce qu’entre toi et moi, nous réussirons avec Jésus à enjoliver toutes les citrouilles de notre champ ?

11:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/04/2006

UNE HISTOIRE D'AMITIÉ.

C’est l’histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.  À un moment, ils se disputèrent et l’un des deux donna une gifle à l’autre.

Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable : AUJOURD’HUI MON MEILLEUR AMI M’A DONNÉ UNE GIFLE.

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner.  Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.  Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :  AUJOURD’HUI MON MEILLEUR AMI M’A SAUVÉ LA VIE.

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda : « Quand je t’ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre.  Pourquoi? »

L’autre ami répondit : « Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l’effacer.  Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l’effacer ».

APPRENDS À ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE
ET À GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.

08:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/01/2006

PROMENADE.

Normalement une promenade est une affaire assez banale. Vous décidez quelle distance vous voulez parcourir, où vous allez, et vous partez. Rien de compliquer. Votre coeur bat fort, votre sang nettoie toute cette graisse dans vos veines. Vous êtes en si bonne santé que vous pouvez manger tous les Big Macs et McFlurries que vous voulez, sans mourir d'une crise cardiaque (du moins pas avant quelques années). Mais ce n'est pas la même chose quand vous marchez avec vos petits-enfants. Souvenez-vous, votre but est d'aller et revenir dans un certain laps de temps, et puis vous continuez ce que vous avez à faire. Mais une fille de huit ans et un garçon de cinq ans ont un autre agenda, et cela complique la vie, si vous êtes pressés. Par exemple, vous devez vous arrêter pour inspecter cette petite chouette qui est morte tout près de la route. Ca vaut une petite conversation mais elle se termine vite parce qu'il faut aller un peu plus loin pour voir cette maison avec toutes ses décorations de Noël. Un peu plus tard, il y a une déviation du trottoir et le petit découvre un ponceau qui passe sous la route. Je suis passé en vitesse au-dessus de celui-ci des dizaines de fois, mais je ne me suis jamais senti contraint de dévaler les cotés de la route pour ensuite me plier en deux et explorer ce canal de drainage sec. Pourtant mes acolytes et moi l'avons fait l'autre jour. J'avais pensé à plusieurs reprises que ce serait bien d'explorer ce petit bois sur ma route, mais j'étais toujours trop pressé, trop préoccupé à résoudre les grandes questions de la vie ... jusqu'à l'autre jour. Nous, les grands explorateurs, nous avons bien aimé notre petit tour dans la petite forêt. Le temps passe. Il faut prendre une décision. Allons-nous faire toute la promenade ou devrions-nous revenir sur nos pas ? Comment décider une chose aussi importante que ça ? Vous jetez une pièce de monnaie en l'air et vous voyez si c'est face ou pile quand elle retombe parterre. Et pas seulement une fois-trois fois (quelle est la probabilité que " face " revienne trois fois de suite ?) " En avant ! " Parfois il faut s'arrêter et s'asseoir sur le trottoir pour se reposer (et parler). J'espérais que les voisins n'appelleraient pas la police, mais personne ne semblait spécialement choqué de voir un homme aux cheveux gris, assis sur le trottoir parlant avec deux enfants. Puis quelqu'un a décidé qu'il sera drôle de déficeler les chaussures de papi. Tout le monde trouvait ça comique sauf papi, qui a couru pour sauver sa vie. J'étais content de voir que je courais toujours plus vite d'un garçon de cinq ans ! Par moment, j'avais eu des doutes. Courir plus vite que la fille de huit ans était un peu plus problématique, mais j'ai réussi. Enfin, nous sommes arrivés à la maison. J'étais claqué et eux.... ? Fatigués ? Vous blaguez ou quoi ? Ce n'est pas étonnant qu'ils restent minces. Après cela, je ne pouvais pas m'empêcher de me poser une question : notre promenade n'avait-elle pas mis en lumière quelque chose que Jésus essayait de nous enseigner. " On lui amena des petits enfants, afin qu'il les touchât. Mais les disciples reprirent ceux qui les amenaient. Jésus, voyant cela, fut indigné, et leur dit: Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n'y entrera point. Puis il les prit dans ses bras, et les bénit, en leur imposant les mains. " (Marc 10 :13-16) Parfois il semble que notre but dans la vie soit d'aller d'ici jusqu'à là-bas. Nous marchons parce que cela nous donne la santé. Nous travaillons parce que nous devons vivre. Nous prions et nous lisons la Parole de Dieu parce que c'est le " devoir " d'un chrétien. Un beau jour, nous nous réveillons et trouvons que le monde est devenu fade. C'est blême, blême, blême ! Les enfants, par contre, sont plus fixés sur le moment. Explorer, causer, rêver font partie de la balade. La promenade même est le but non pas simplement d'arriver à la fin. Parfois, ils sont un peu déçus en arrivant à la maison. Pensez-vous qu'ils aient découverts quelque chose ? Ou peut-être que c'est nous qui l'avons oublié. Le fait que Dieu touche notre coeur avec sa Parole est plus important que de lire un certain nombre de chapitres chaque jour pour pouvoir tout lire en 12 mois. Et si nous allions doucement, faisant bien attention à ce que nous lisons ? " A ce rythme là, il me faudra deux ans pour lire entièrement la Bible au lieu de seulement une année ! " Et alors ? Le but est que le Seigneur nous nourrisse, que nous Le connaissions mieux, et que nos vies soient changées--pas de lire un certain nombre de chapitres. J'ai un fichier sur mon ordinateur qui s'appelle " Le Lieu Secret ". Normalement, j'essaie de réfléchir et de commenter ce que j'ai lu ce matin-là. Il m'arrive souvent d'étudier seulement quelques versets, mais je prends le temps de penser, de ruminer. Je suis étonné des choses que je remarque qui ont une importance pour ma vie quand je ralentis et que je regarde de près. Je passe toujours autant de temps dans l'étude de la Parole, mais j'essaie être curieux et j'explore. C'est agréable. Et si nous étions plus comme des enfants avec notre famille, dans notre temps de prière et d'étude biblique, dans nos relations avec les frères et soeurs en Christ ? Nous n'y serons pas aussi vite que nous l'avions planifié, mais nous trouverons que le voyage est aussi enrichissant que la destination.

13:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (3) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

UN FLOCON DE NEIGE.

« Dis-moi combien pèse un flocon de neige ? » demande une mésange à une colombe sauvage.

« Rien de plus que rien » fut la réponse.

« Dans ce cas-là, je dois te raconter une histoire merveilleuse. » dit la mésange.

« J’étais assise sur une branche de sapin, près du tronc, quand il a commencé à neiger tout doucement, sans tempête, comme dans un rêve, sans la moindre violence.

Comme je n’avais rien d’autre à faire, j’ai compté les flocons de neige qui se déposaient sur les brindilles et les aiguilles de ma branche.

Il y en avait exactement 3 741 952.  Quand le flocon suivant s’est déposé – rien de plus que rien, comme tu dis – la branche s’est cassée. »  Ayant dit cela, la mésange s’enfuit.

La colombe, une autorité en la matière depuis le temps de Noé, se mit à réfléchir à cette histoire quelques instants et murmura « Peut-être manque-t-il une seule personne pour que LA PAIX se fasse dans le monde ! »

11:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

23/12/2005

L'ÎLE DES SENTIMENTS...

Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient :  le bonheur, la tristesse, le savoir, ainsi que tous les autres, l’amour y compris. 
 Un jour, on annonça aux sentiments que l’Île allait couler. 
Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.  Seul l’amour resta.  L’amour voulait rester jusqu’au dernier moment. 
Quand l’île fut sur le point de sombrer, l’amour décida d’appeler à l’aide.  La richesse passait à côté de l’amour dans un luxueux bateau. 
L’amour lui dit « richesse, peux-tu m’emmener? »  « Non, car il y a beaucoup d’argent et d’or sur mon bateau.  Je n’ai pas de place pour toi ».  L’amour décida alors de demander à l’orgueil qui passait dans un magnifique vaisseau :  « orgueil, aide-moi, je t’en prie! »  Je ne puis t’aider, amour, tu es mouillé et tu pourrais endommager mon bateau. »  La tristesse étant à côté, l’amour lui demanda :  « tristesse, laisse-moi venir avec toi. »  « Ooh…amour, je suis tellement triste que j’ai besoin d’être seule! »  Le bonheur passa aussi à côté de l’amour, mais il était si heureux qu’il n’entendit même pas l’amour l’appeler!  Soudain, une voix dit : Viens amour, je te prends avec moi. »  C’était un vieillard qui avait parlé. 
L’amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu’il en oublia de demander son nom au vieillard.  Lorsqu’ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s’en alla.  L’amour réalisa combien il lui devait et demanda au savoir :  « Qui m’a aidé? »  « C’était le temps » répondit le savoir.  « Le temps? » s’interrogea l’amour.  « Mais pourquoi le temps m’a-t-il aidé? »  Le savoir sourit plein de sagesse et répondit : « C’est parce que seul le temps est capable de comprendre combien l’amour est important dans la VIE.

Bruno LEROY.

16:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

22/11/2005

UN CONTE A VIVRE DEBOUT !

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Je me faisais des reproches alors que nous faisions des embardées à cause des ornières de cette large route sèche. Ligoté, je regardais défiler lentement le paysage pendant que les boeufs qui tiraient sur le bas côté le wagon où j'étais retenu prisonnier avançaient. Je n'avais aucune idée de l'endroit où nous allions. Jetant un oeil sur le côté, je vis le gars qui m'avait drogué et kidnappé. Il s'était présenté comme étant " seigneur Lucifer " mais maintenant, alors qu'il chevauchait à côté de ses prisonniers (nous étions douze serrés coude à coude), un air de satisfaction au visage, je le surnommais " seigneur Serpent ". Sa tête un peu allongée et ses yeux perçants, mais néanmoins, plus que toutes autres choses ses mensonges, m'ont fait penser à un serpent ! Le gars était le meilleur menteur que je n'avais jamais connu. " Venez avec moi " avait-il fredonné. " Tu veux passer ta vie auprès des cochons et en creusant dans les champs ? Je vais te montrer la vraie vie. Tu auras plus d'argent et plus de distractions que tu n'en as jamais rêvé. La gloire sera au rendez-vous et aussi le succès, mon ami ! Fais-moi confiance. " Et comme un dingue avec un pois chiche dans la tête, j'ai suivi ce joueur de pipeau enchanté. Ses bandits m'ont assommé un soir et je me suis réveillé dans ce wagon, escorté par Serpent lui-même et 50 de ses voyous. Serpent montait un étalon noir et ses bandits marchaient des deux côtés du wagon avec des épées et des armes. Ils rigolaient fort et vulgairement. Mais quand nous nous approchions d'une forêt vallonnée, j'ai remarqué que le visage de Lucifer affichait plus d'anxiété que de contentement. On aurait dit qu'il avait peur de quelque chose. Au bout de dix minutes dans le bois, je vis ce qui lui faisait peur. Un cri de guerre haut et fort perça la tranquillité de la forêt. Sur le champ Serpent et sa petite armée s'arrêtèrent, la terreur illuminant leurs yeux. Puis ils se déployèrent en formation défensive. Je me contorsionnais jusqu'à ce que je voie la source du cri--un chevalier puissant assis sur un énorme cheval de bataille blanc. Il descendait sur nous à une vitesse incroyable, une épée étincelante portée au-dessus de sa tête. Il s'abattit sur les bandits telle une tempête en colère contre un champ de blé. Sept bandits gisaient parterre après le premier passage du cavalier blanc. Je me suis retourné dans l'autre sens et je l'ai vu quand il s'est arrêté pour revenir à l'attaque. C'était plus que nos lâches de gardes pouvaient supporter. D'abord un, puis trois, puis dix sont partis en courant, se dispersant dans le bois. Serpent cria à tue-tête. " Revenez, bande d'idiots ! Nous pouvons le vaincre. Revenez ! " Mais quand il s'est retourné dans la direction de son opposant terrible, venant sur lui seul à une vitesse effroyable, il a rapidement calculé ses options et éperonné son cheval noir, partant à toute vitesse dans la forêt derrière ses hommes, avec une malédiction. La dernière fois que je l'ai vu il criait : " Je me vengerai, Sauveur. Vous ne pouvez pas continuer à voler mes esclaves ! " Le grand homme est venu jusqu'à nous dans le wagon. " Qui veut venir avec moi ? " " Où irions-nous ? " gémit un des autres captifs. " " Je vous emmènerai dans le royaume de mon Père. Vous serez adoptés en tant que fils. Il vous aimera comme il m'aime. Vous pourrez le servir avec toute la joie et toute la bénédiction que votre coeur désire, pour le reste de l'éternité. " Je regardais le prisonnier mais cette dernière déclaration m'a fait regarder le guerrier. Il blaguait, n'est pas ? C'était trop beau pour être vrai. Un Roi qui envoie son Fils pour nous sauver, pour faire de nous une partie de sa famille ? Ca n'arrive pas. Mais regardant dans les yeux de l'homme--je l'ai cru ! Il y avait quelque chose... je ne savais pas quoi mais je savais qu'il disait la vérité. Les autres prisonniers ne semblaient pas trop convaincus : " je vais m'en passer cette fois-ci " disait l'un. " Moi, aussi " dirent tous les autres. " Si vous restez ici Serpent va revenir " leur dit le prince guerrier. " Oh, ça ira " dit l'un. " Il nous a ligotés pour la route mais une fois arrivés ça ira. " Et vous ? " me demanda le Fils du Roi. " Si ça vous est égal monsieur, j'aimerais bien aller avec vous. " Avec un coup d'épée habile, il a coupé mes liens. Comme c'était bon d'être libre ! " Viens ici " m'invita t-il. Il m'a donné la main et j'ai monté le grand cheval blanc avec lui. Nous partîmes au galop jusqu'au château de son père. Derrière nous, les bandits de Serpent sortaient de la forêt pour réclamer leurs esclaves--moins un. Et savez-vous ? Tout ce que le Prince a promis est vrai. Si le Prince venait chez vous dans votre captivité, que diriez-vous ? La version Message le dit comme ceci : " Dieu nous a sauvé des impasses et des donjons noirs. Il nous a mis dans le royaume du Fils qu'il aime tellement, ce Fils qui nous a sorti de la fosse où nous étions, banni les péchés que nous étions condamnés à répéter. Nous regardons ce Fils et nous voyons le Dieu qui ne peut être vu.... "
Bruno LEROY.

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06/11/2005

SAVOIR ÉCOUTER...

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Pour atteindre le coeur de quelqu’un vous devez faire plus que lui sussurer de belles paroles !

Vous devez aussi savoir écouter ! Vous devez savoir poser le genre de questions qui lui prouvera que vous avez vraiment écouté ce qu’il/elle disait, et que ses paroles avaient beaucoup d’importance pour vous. C’est souvent plus difficile aux hommes de comprendre cela. Quand ils se heurtent à un problème sans solution, ils pensent: “A quoi bon discuter de cela davantage ?”

Tandis que les femmes ont besoin de partager leurs problèmes avec quelqu’un qui saura les écouter et leur redonner confiance.

Avez-vous entendu l’histoire de ce mari en train de regarder un match à la télévision, alors que sa femme essaie de parler avec lui ? Voilà la conversation: La femme: Mon chéri, un tuyau a éclaté ce matin et a inondé la cave. Le mari: Ah ! La femme: Le plombier n’a pas encore pu le réparer. Le mari: Un peu de silence, le match est serré. Je crois que nous allons marquer. La femme: L’eau a provoqué un court-circuit et Fluffy a failli être électrocuté. Le mari: Formidable ! On a marqué ! La femme: Le vétérinaire a dit qu’il irait mieux dans une semaine. Le mari: Tu pourrais aller me chercher un Coca ? La femme: Le plombier a dit que la réparation coûterait cher et qu’il pourrait se payer ainsi des vacances. Le mari: Tu m’écoutes? Je voudrais un Coca. La femme: Et de plus Stanley, je te quitte. je pars demain matin avec le plombier pour Acapulco ! Le mari: Cesse de bavarder une minute et donne-moi ce Coca.

Le problème , dans cette maison, c’est que jamais personne ne m’écoute.

La morale de cette histoire: aimer c’est d’abord savoir écouter !

Bruno LEROY.

12:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |