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12/07/2019

Vacances éternelles gravées dans le ciel.

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Les larmes de la mer font pleurer l’atmosphère,
Je demeure solitaire devant ce spectacle extraordinaire,
Immobile, méditatif, contemplatif le cœur en prière,
La Beauté appartient à Dieu seul,
Mais il nous la partage par Amour,
Pour que nous sentions sa présence dans les paysages,
Ces multiples visages apparaissent dans le vent, le soleil,
Dans ce que notre âme puisse ressentir comme merveilles,
Laissons la lumière de la vie envahir nos vacances,
Laissons les jours se savourer à la douceur de Son amour,
Laissons le silence nous parler intérieurement en conscience,
Les Vacances ne sont pas des instants de repos stériles,
Mais des moments intenses d’adoration fertile,
Vivons nos Vacances dans la plénitude de l’être,
Dans la splendeur des Forêts aux mille verts étranges,
Dans le plaisir d’écrire une carte postale avec lenteur,
Les Vacances sont un renouveau de notre façon de voir,
Les choses avec calme, sérénité et la lenteur du cœur,
Ah ! Si toute l’année nous étions en Vacances,
De nous-même et des autres de temps en temps,
Nous pourrions retrouver Dieu en harmonie,
Et mieux aimer autrui sans juger avec précipitations,
Mais avec la profondeur du Sage qui sait les raisons,
De nos énervements et de nos futiles décisions,
Soyons en Vacances toute l’année et prions,
Pour que notre équilibre intérieur soit maintenu,
En nous souvenant parfois de ces beautés côtoyées,
Ainsi le paradis des Vacances deviendra source dense,
Dans laquelle nous puiserons notre Force d’aimer toute l’année.
Ah ! Si les Vacances devenaient riches d’intériorité,
Nous pourrions en conserver la mémoire à volonté,
Pour nous apaiser,
A nous de vivre des Vacances éternelles gravées dans le ciel.
Pour que nos prières se souviennent… !

Bruno LEROY.

18/04/2019

Notre Dame de Paris nous convertit à l'Amour.

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Ô Marie voilà que le premier jour saint ,
Des flammes venaient raviver ton chagrin,
Face à ton Fils glorieux et triomphant,
Le feu est la peur enfouie des êtres Humains,
Contre ses baisers brûlants nul ne peut rien,
L'eau est présent pour arrêter son ardeur,
Mais voilà que nos cœurs s’enflamment,
Non de Bonheur mais de craintes et de peurs,
J'ai vu à l'intérieur de mon âme une rédemption,
Une couronne d'épines contre nos distensions,
Elle criait, hurlait unissez-vous Hommes défaits,
La Foi et la Raison vous demande de vous aimer,
Et de croire que les problèmes sociaux,
N'ont rien à faire avec le regard de Dieu,
Pourtant,ses souffrances éprouvées sont vos yeux,
Et font couler les larmes vinaigrées telle de l'eau,
Sur vos blessures et vos transports sociétaux,
Ce que vous ne semblez pas savoir des plaies,
Du Christ sont les purulences de nos esprits,
Il n'a guère souffert pour se mettre en spectacle,
Il a voulu s'unir à notre vie, notre destin misérable,
Notre Dame de Paris veut nous réunir pour toujours,
Sur le chemin qui instaure le travail et l'artisanat,
Les pleurs de cette catastrophe et le ravissement,
De nous savoir ensemble unis par la transcendance,
Que nous ne voyons mais nous envoie des signes,
De réconciliation aux flots d'un embrasement intérieur.

Bruno LEROY.

31/10/2015

Dans le parfum de l'automne naissant.

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Dans le parfum de l'automne naissant,
J'ai pris ta main d'enfant-adolescent,
Je t'ai fait découvrir les couleurs des feuilles,
La lenteur du temps que l'on cueille,
Je t'ai fait renaître à la vie,
En cette période de silence intense,
J'ai ressuscité toutes tes envies.
 
Ton regard émerveillé sur les beautés,
Les teintes qui s'allument tel un soleil d'été,
L'instant qui consume tes rêves secrets,
Embrase tes yeux d'un enthousiasme heureux.
Merveilleux est le moment de tes admirations,
Il redonne à la brise des chants d'inspirations.
 
Oui, les oiseaux chantent au plus haut,
Pour toi ce sont les chants les plus beaux,
Mélodies sacrées venues d'un ailleurs,
Dont tu ne sais le nom mais tu entends le cœur,
Battre en toutes saisons même celles dites mauvaises.
 
Souviens-toi autrefois tu étais un hiver froid,
Ta lumière brillait comme une lame de couteau,
Celui que tu utilisais pour voler tous ces salauds,
Les personnes étaient des pions dans tes chaos,
Maintenant tu vois le Monde sous un aspect nouveau.
L'existence il faut la respecter car elle nous est donnée,
Par un Absolu dont nous ne cesserons jamais,
De chercher les traces pour toujours avancer.
 
Vers la joie, l'allégresse, le bonheur d'être sur terre,
A contempler les souffles éternels qui nous font respirer,
Sur cette planète si belle et qui parfois pleure,
De ne pas être aimée comme toi autrefois,
Quand l'existence semblait te glisser entre les doigts.
Tu as trouvé de bonnes raisons de vivre,
De ton passé il faut que tu te délivres,
Pour être enfin un homme debout et libre.
 
 
Je t'accompagnerai vers ce destin chaque matin
Que Dieu fait.
 
Bruno LEROY.

09/03/2015

Cette Joie profonde que Tu fécondes.

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Tu es présent dans mon cœur d’enfant même lorsque ton absence aléatoire fait comme un cratère de volcan en éruption. Le feu est alors confiné dans mon corps telle une vive chaleur qui me brûle de toi.

Je me consume en Toi car, tu es moi dans mon espace intérieur. Tu te consumes au bout de mes lèvres ta brume obscure me remplit de fièvre. Tu es l’Amour dont le visage rayonne chaque jour que tu construits. Vivre sans toi serait pure illusion chimérique.

Tu es le battement de mon âme quand mon âme te rejoint. Quand mon sang cessera dans mes veines, Ton âme infiniment deviendra mienne. Dès que le soleil se lève ton regard illumine mes jours.

Je sais que tu seras là pour nourrir plus en avant notre Amour. Tu es l’expression quintessencielle de la tendresse, celle donnée sans retour. Gracieusement par Amour.

Tu incarnes pour moi l’Amour pur, parfait, exemplaire imitable à l’infini. Je t’Aime pour ces superbes roses que tu cultives au jardin de mon être. Leur parfum embaume mes gestes les plus simples ou les plus insipides. Tu es la senteur du printemps qui fait germer les fruits à venir. Tu viens dans mon présent pour détruire mon passé et projeter un nouvel avenir. Je t’Adore pour le bonheur que tu m’offres quotidiennement tel un cadeau illimité dans le temps. Cette Joie profonde qui féconde ma vie trop souvent vagabonde. Tu es la Force qui me tient debout telle une flamme que le vent ne fait pas vaciller.

Je vis l’instant présent grâce à ta radieuse présence de chaque instant. Tu habites en moi comme un prolongement de mon humanité. Je t’Adore pour cette conscience plus sereine que tu m’offres. Moi, l’enfant fougueux aux mille colères tu apaises mes guerres. Je t’Aime tellement que le ciel n’est plus assez grand pour loger mon Amour. Voilà pourquoi je te porte toujours en moi comme pour me rassuré de voir l’éternité avec tes yeux. Ton regard est devenu le regard que je porte sur notre Humanité. Tu me fais découvrir tant de merveilles nouvelles, chaque jour, chaque seconde.

Ma vie sans toi serait une erreur, un malheur indicible. Ton Amour abreuve mes désirs de boire à la source de ta Vérité. Je ne saurai vivre sans t’aimer, sans te contempler, sans t’admirer. Tu es l’habitant unique de mon paysage intérieur et extérieur. Tu es le Souffle qui m’emporte vers des rivages insoupçonnés. Tu es l’Amour je suis la porte qui te laisse entrer en moi à jamais. De toutes éternités...

Bruno LEROY.

17/02/2015

Je t'Aime...!

24/09/2014

Dans la profondeur du paysage, j'aperçois Ton visage.

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Dans la profondeur du paysage, j'aperçois ton visage. Une larme transpire sur le sang de notre planète. Une source suinte de tes paroles internes. J'entends ton Esprit parler à mon esprit. Et me murmurer doucement toutes les douleurs qui boivent notre Vie. Tu as raison, Seigneur, nous sommes des tueurs en puissance. Nous éteignons tes étoiles comme des lampes insignifiantes. Ce n'est plus Toi qui laisse jaillir tes larmes, c'est moi face à ses alarmes des pauvres gens. Quand reviendra le feu consumant nos angoisses futures pour nous concentrer sur le présent. L'instant éternel dans lequel tu te trouves. Quand nous aurons assimilé nos propres rancunes. Nos nostalgies et colères face à la connerie de certains. Pense à celui qui se dit être ton Frère qui est incommensurable dans son silence.  Celui qui ne pense qu'à son cul, sa gueule et son pognon. Un raté de l'existence ne sachant pas explorer ses talents.
 
Laisse donc ces ombres dont le temps ne retiendra pas même le nom. Et vis ta vie à plein poumons en respirant l'Amour à chaque étage de ton existence. Sache que le Pardon, n'est pas l'oubli et qu'un jour ils paieront avec une autre matière que l'argent. Aime le vent qui vient inspirer tes poèmes, tes chants et tes fantasmes. Aime l'Amour des autres et de Dieu. Les événements te parlent de Lui. Écoute les mélodies et les tempos gospels qui te parviennent. L'Amour regarde toujours dans la direction de la Lumière. Le reste n'est que pénombre dont il faut extraire quelques brindilles dorées. Tu vois, vivre est si simple lorsque la Présence de Dieu se fait présente chaque jour. Tu peux mourir demain ou ce soir, l'espérance est ton miroir.
 
J'aime la substance même de la vie au point d'en extirper la quintessence poétique. Les mots se mettent à éclabousser ton corps et te faire comprendre que tu dois former, chérir le Verbe.
Le poète est celui qui met du parfum azuré dans les sentiments éprouvés. Ensuite, tu peux crever les syllabes feront le reste. Tu es le maître sans pour autant maîtriser le Verbe. Il vient, il va sur des chemins inattendus et toujours cependant dans une direction faite pour Toi.
 
Le Verbe est prière chantée, exprimée avec le sang de l'âme. Et tu entends des phrases à écrire tels des cris et des soupirs. Le monde a besoin de Beauté pour vivre pleinement en Harmonie. Quand prendras-tu conscience que le langage construit la conscience. L'enfant est celui qui ne parle pas. Sommes-nous restés des enfants sur le plan de la spiritualité ? Malheureusement, oui. Et heureusement, car ainsi nous pouvons progresser et toujours espérer mieux. N'oublie pas que la prière est la moelle de tes os. Sans elle, tu ne saurais marcher. Alors, prie, lutte et Aime. Puis, va de l'avant pour ne pas sombrer dans un passé obsolète. Dans les marasmes du passé, il n'y a que cadavres. Dans la fumée du futur, il n'y a qu'illusions. Vis l'instant présent comme un moment d'éternité. De plus avec le Christ, tu auras l'impression d'être entre l'espace-temps de l'existence intense et de la mort présence d'un lendemain qui vient avec Joie.
 
Bruno LEROY.

07/03/2014

Suite n°3 de Jean-Sébastien Bach.


podcast

19:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO., Musique, POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

09/02/2014

Anne-Marie Dubois :"Saint François d'Assise, La Prédication aux oiseaux" de Franz Liszt.

21:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans AMIS ( ES ) SPIRITUELS OU ARTISTES., ARTISTES., Musique, POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/01/2014

Que serais-je sans Toi ?

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Le jour peut être brumeux au point de le faire ressembler à la nuit.
Les arbres peuvent bien pleurer et se briser sous les pluies.
Notre Amour est lumineux par-delà les embruns de la vie.
Nos mains se cherchent aux confins des stupeurs pour de nouveaux ravissements.
Le passé est une ombre posée sur le mur du silence.
Il n'existe que dans la mémoire de l'absence.
Demain est un jour à inventer à deux dans l'aujourd'hui vécu en pleine Harmonie.
L'Amour, cette rose sans épines qui fleurit et parfume nos jours de ses senteurs suaves.
Nous vivons cette dimension presque mystique de nos rencontres quotidiennes.
Le présent est notre souffle où nous respirons la plénitude d'aimer, ultime sérénité !
Ta présence me hante comme une obsession divinement vitale, essentielle.
Que serais-je sans ton feu qui embrase mes instants les plus radieux ?
Je ne serai qu'un papillon dont on admire la beauté des ailes éphémères.
Je ne pourrai plus voler par-dessus les putrides aspects de cette société.
Je ne pourrai plus admirer aussi les splendeurs incrustées dans les fibres de la vie.
Tu es la force d'exister au présent plus que parfait.
Tu es le sel qui s'évapore de mes océans intérieurs.
Te parler, t'écouter, te savourer me rend plus présent à moi-même.
Je t'Aime...!
Sauras-tu comprendre ces mots qui t'inventent une nouvelle réalité dans ma conscience ?
Tu jaillis en mon être comme une flamme qui ne saurait s'éteindre.
Puisque tu es ce que je suis et je deviens ce que tu Es.
Resplendissante osmose d'une démarche commune quand nos corps se frôlent amoureusement.
Nos esprits se pensent et pansent les plaies que le destin construit malicieusement.
Tu es ma prière au sein de la paix et des tourments.
Je ne pourrai imaginer que tu n'aies jamais existé.
Comment s'inventer l'enfer en sachant que tu invites au Paradis.
La question ne me vient guère à l'esprit.
Tu représentes ce Bonheur que le cerveau Humain ne peut, ne serait-ce qu'un moment, inventer avec des arguments.
Non, tu n'es guère une âme voguant sur les nuages arrogants.
Tu vis en moi comme je suis en Toi.
Tu sais, j'allais dire pour être franc, mais tu as au fait de tout ce que je ressens ; à chaque aurore mon coeur s'illumine de savoir que ma journée te sera consacrée.
Oui, je t'Aime et j'essaie chaque jour de m'améliorer.
Pardonne-moi, si je n'ai pas toujours été à la Hauteur de Ton Amour.
Mais, il faut que je deviennes encore plus immense au fond de moi, pour mériter ton regard aimant.
Je t'Aime passionnément comme on ne peut aimer un humain souvent trop limité.
Mon Dieu fais que tes rayons de lumière éclairent toutes mes pensées.
Même les moins avouables car, tu sais que je suis pécheur.
Pourtant, ce qui fait notre union depuis tant d'années, c'est de me savoir aimé autant, voire davantage que je puis t'aimer.
Car, moi-même en tant qu'individu, je suis limité.
Infuse-moi toutes les dimensions de ton Amour pour que je puisse transmette auprès de jeunes qui ne connaissent pas même ton Nom, une présence de Tendresse qui se vit avant de se dire.
Rends-moi contagieux auprès de tout être rencontré et les plus souffrants en priorité.
Donne-moi la main de Marie pour que je puisse avoir ces effluves d'Amour aux senteurs de Tendresse.
Et puis, donne-moi ton Esprit-Saint afin que la Force d'aimer mon prochain coule dans mes veines devenues sereines.
Je t'Adore tu es le poème que tant de personnes cherchent à lire sans y parvenir.
Donne-moi, l'humilité de devenir Ton Témoin pour l'éternité.
Et ton sourire d'Amour à la face de l'Humanité.
Fais de moi un missionnaire de Ta Parole au centre du Monde.
Uniquement pour apporter l'air frais de Ta Vérité.
Je t'Aime et ne cesserai jamais de t'aimer.
Toi, mon Dieu de miséricorde, âme de mon âme.
Fais que chaque jour soit un chemin qui mène à Ta Présence d'Amour.
Ainsi, mon avenir ne sera pas construit sur du vent mais aux rythmes de tes injonctions.
Laisse-moi contempler en pleurant les blessures de Ta Passion.
Les larmes nettoient les yeux aveuglés d'orgueil.
Je veux être nettoyé par Toi de la tête aux pieds.
Pour que mes prières trouvent les mots puisés dans la quotidienne charité.
Celle d'un homme qui cherche à te servir, t'Aimer et te respecter.
Selon tes saintes Volontés sans jamais trahir ton message de justice et de liberté.
Amen !
Bruno LEROY.

21/11/2013

J'AI APPRIS DE LA VIE.

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J’ai appris…  que plus on approche de la fin, plus ça va vite.

J’ai appris…  qu’on doit se réjouir que Dieu ne nous donne pas tout ce qu’on lui demande.

J’ai appris…  que l’argent n’achète pas la dignité.

J’ai appris…  que ce sont les petites choses qui signifient le plus.

J’ai appris…  que sous la carapace de chaque personne se trouve quelqu’un qui a besoin d’être apprécié et aimé.

J’ai appris…  que le Seigneur n’a pas tout fait en un seul jour, comment le pourrais-je ?

J’ai appris…  que d’ignorer les faits ne change pas les faits.

J’ai appris…  que d’en vouloir à quelqu’un lui permet seulement de continuer à te faire mal.

J’ai appris…  que c’est l’amour et non le temps qui guérit tout.

J’ai appris…  que pour croître je dois m’entourer de gens plus brillants que moi.

J’ai appris… que chaque personne que je rencontre mérite d’être accueillie par un sourire.

J’ai appris…  que personne n’est parfait jusqu’à ce que je tombe en amour avec.

J’ai appris…  que la vie est difficile, mais que la force de Dieu en moi est supérieure.

J’ai appris…  que les opportunités ne se perdent jamais : quelqu’un saisira celles que je manque.

J’ai appris…  que si tu t’adonnes à l’amertume, le bonheur fuira loin de toi.

J’ai appris…  que j’aurais aimé dire à ma mère que je l’aimais avant qu’elle ne disparaisse.

J’ai appris…  que mes paroles devraient être douces et tendres, parce que je pourrais avoir à les regretter demain.

J’ai appris…  qu’un sourire est une façon économique d’améliorer mon apparence.

J’ai appris…  que lorsqu'un nouveau-né tient ton petit doigt dans son petit poing, que tu es accroc pour la vie.

J’ai appris… que tous veulent être au sommet, mais que le bonheur et la croissance personnelle se trouvent dans notre intériorité en union avec l'aimé*.

Bruno LEROY.

* Expression biblique pour nommer le Christ.

13:07 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |