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13/03/2006

LES POÉSIES DE MARK.

Je suis barricadé dans l'étau germe de mon coeur,
et je ressens la solitude stressante esclave d'une tombe,
en côtoyant cette garce insensible, qu'on appelle
LA PEUR
contre l'indifférence irresponsable et éternelle du nombre.
Nous évoluons presque tous, comme des forteresses,
perchées sur notre orgueil ou nos déconvenues.
Ceux,
qui laissent un étroit passage ! Ceux là,
Croient côtoyer la faiblesse ! Alors,
Qu'ils ne dévêtissent qu'une parcelle innocente de leur image,
Il n'y a, rien d'impudique à mettre son âme émue , nue.
Pourquoi rester volontairement emmuré ???
Alors qu'une,
Jonction cérébrale suffit à s'extérioriser!
Hélas, nous devenons victimes de notre propre défense.
À peine dehors, flot séditieux, on souhaite déjà rentrer,
on craint de se laisser incruster par des liens,
sur ce qu'on possède de plus inviolable;nos pensées!!
On craint de quitter la peur brûlante, pour la démence.
Ah!
Ce n'est pas si aisé de se libérer!
Nous fabriquons autour de nos bouches infidèles.
Nos meilleurs gardiens!! Ah!
Ce n'est pas si évident de savoir communiquer!!

Je prends un grand plaisir à laisser vagabonder quelques mots choisis
Ici !!!
Oui c’est avec plaisir que je passe écrire un petit mot
Ou une poésie, pour être en harmonie.
J’aime les belles phrases et qui ne sont peut être pas mon miroir.
Mais je connais cette misère, le manque d’amis où d’amour au sens propre.
Mark

Un mot pour les jeunes

PUTAIN DE DROGUE


De trop fortes échappatoires consommer
Annihilent toute volonté.
On échafaude des projets
Qui peu après la fumée
Seront bien désuets.
Rien ne se conclura sur la journée,
Le psychique et le physique embuées
Par le fait d’être défoncé.
Quand a l’apport d’imagination !
Ce ne sont que diversifiant déraisons.
Les membres vont s’alourdir
L’esprit voudra dormir
Planant entre un faux sommeil
Et au moindre bruit le réveil,
Inutilement les heures vont passer
À part glander, Rien n’aura été concrétisé.
L’envie de refumer s’en vient répétitivement
Lorsque les effets vont décroissants.
La fatigue et le farniente vont accroître
Une fois ingurgité le goudron noirâtre.
Se promettant de diminuer
Toujours plus on va consommer.
Tout comme l’abus deviendra habitude,
L’effet deviendra lassitude.
On aura beau chercher toujours plus forte friandise.
On fini cloîtré dans un monde artificiel,
RIEN n’est plus pareil,
Tel un relégué voué au banc.
La tiédeur des amitiés, ces faux semblants,
N’apporte qu’un bien éphémère réconfort.
PARLER sera même un effort.
On se morfond dans un paradis in sensoriel,
Où l’être devient superficiel.
Tout et tous deviennent dérisoire
C’est toujours les mêmes déboires.
Ce n’est plus une échappatoire à la réalité
Mais bien aux enfers basculer.
N’omettons la faim artificielle
Qui fait enfler tel une trop cuite vermicelle.
Camarade drogué! Alcool ou fumette, il faut un peu s’échapper de la réalité
MAIS a trop exagérer tu n’as rien à y gagner…..


Mark.

10:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

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