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28/06/2014

Retrouver la confiance.

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Bien souvent, nous préférons notre confort, nos certitudes, nos petites habitudes. Et progressivement, le monde autour de nous devient sclérosé, ennuyeux, fatigant, gênant, car il nous bouscule sans nous demander notre avis. La spiritualité n'est plus que cendres éteintes que l'on tente en vain de rallumer.

 

 Nous en voulons à la terre entière de n'avoir pas compris qu'il ne fallait pas nous désinstaller. Lentement mais sûrement, le dialogue avec Dieu devient rare sauf, dans les cas d'extrême détresse. Nous ne sommes plus dans la mouvance de l'Esprit. Et nous sommes surpris de ne plus entendre les réponses de Dieu. Notre malheur ? La peur de perdre notre confort habituel, la certitude que tout ce qui bouleverse notre vie vient du malin. Il serait temps que nous comprenions que donner sa Vie à Dieu peut nous ébranler avec cette sensation de tomber. Mais Dieu est Amour, Il ne laisse jamais par terre un de ses enfants. La peur tue l'Amour plus cruellement qu'un meurtre délibéré. Mais vivre sous les injonctions de l'Esprit, ne nous fait plus craindre quoique ce soit...Là, nous reconnaissons les véritables chrétiens ne craignant rien, ni personne.

 

Avoir cette certitude que notre existence est entièrement menée par Dieu, détruit les anciennes angoisses du changement. Bien-sûr, il est plus facile de l'écrire que de le vivre au quotidien. Rassurez-vous, c'est difficile pour tout le monde de créer avec Dieu-Amour son bonheur sur cette terre, demandez à votre pasteur, le cheminement qu'il faut effectuer pour arriver à cette Hauteur spirituelle. Cependant, le plan de Dieu est plein d'Amour, votre pasteur le sait, et Lui a fait confiance. La prière pour demander à Christ quel chemin ou sentier nous devons prendre reste essentielle à notre devenir chrétien. Amen !

 

 

Bruno LEROY.

18:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

27/06/2014

Les Jeunes ont une soif immense de communiquer pour exister.

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Quel que soit leur âge, les jeunes ont une très grande soif de communiquer. Cette soif commence à se manifester dès la naissance. De mois en mois, d’année en année, des codes de plus en plus élaborés sont explorés par l’enfant, au fur et à mesure qu’il échange avec son entourage : ses parents, ses frères et sœurs, ses amis, les éducatrices de la garderie et plus tard, l’enseignant. Dès la naissance et pour qui veut le comprendre, ses gestes, ses rictus, tout est pour lui, moyen de communication. Au fur et à mesure que sa physiologie évolue, sa perception des codes verbaux et non verbaux prend du sens et la répétition de tel ou tel mot, lui en confirme la permanence. C’est ensuite à son tour de chercher à les reproduire et d’en vérifier l’effet sur ses proches. Généralement, l’attention qu’on lui porte va au-delà de ses attentes. « Mma… mma » est immédiatement perçu comme l’expression du mot « maman ». Tout le monde s’extasie; bébé a la confirmation que ces syllabes attirent l’attention de la boule de cheveux qui lui sourit et… surtout …qui lui donne le sein ou le biberon!

Le langage se construit ainsi et l’écrit arrivera de la même façon. L’enfant réalise aussi que pour communiquer, il faut être au moins deux. Peu à peu, il apprend que le sens et le poids des mots comportent des nuances en fonction des interlocuteurs. C’est tout un apprentissage qui l’enrichit d’un vocabulaire différencié en fonction des interlocuteurs et des situations. Ici, l’influence du milieu de l’enfant et de ses expériences revêt une grande importance car elle le confirme de plus en plus dans sa façon d’appréhender son monde en devenir.

 

C’est à partir de ce stade, jusqu’à l’âge adulte, qu’il nous paraît important d’accompagner ce jeune en devenir, dans une recherche de l’écoute d’autrui et dans un raffinement de plus en plus nuancé et précis de l’expression de son imaginaire en construction. L’école, jusqu’à ces derniers temps, fournissait au jeune les instruments pour coder plus précisément cette symbolique arbitraire qu’est l’écriture, tant pour la lire que pour l’écrire. On s’est aperçu que c’était insuffisant, car elle ne tenait pas compte de toutes les compétences de l’enfant pour s’intéresser véritablement à l’objet même de toute cette démarche : le message. Ces préoccupations se manifestent, à mesure que la réforme de l’enseignement se met en place progressivement. Les enseignants tentent  d’en tenir compte. Malheureusement, leur tâche est immense, car le nombre d’enfants est trop important pour qu’ils se consacrent à la recherche du développement optimal de chaque enfant.

 

Nous croyons que certains milieux peuvent faire des expériences très bénéfiques pour enrichir la qualité de cette communication. Dès l’âge de quatre ans les enfants commencent à découvrir que l’écriture a du sens, puisque papa ou maman leur a lu plusieurs fois la même histoire dans le même livre qui a les mêmes images et les mêmes mots. Bien sûr, il ne sait pas lire mais les images lui parlent et il reconnaît dans ces images ce que papa ou maman lui ont lu.

Les liens qu’il fait avec le texte, les images et ce qui lui est lu, sont des facteurs de motivation puissants pour découvrir, apprendre et utiliser ces codes qui, pris isolément, n’ont encore aucun sens pour lui.

 

Dans le cadre du projet « Les jeunes s’approprient leur littérature », nous avons expérimenté plusieurs démarches qui amplifiaient chez les jeunes enfants, le goût de traduire en mots écrits, leur imaginaire. Plusieurs de ces expériences consistaient à faire inventer des histoires par des enfants de quatre ans, à les transcrire et ensuite, à les faire illustrer par ces mêmes enfants. Les éducateurs et les éducatrices de CPE et les parents doivent se reconnaître dans ces expériences, car nombreux sont ceux qui les ont pratiquées. Les enfants adorent ce genre d’activités car ils se sentent reconnus dans ce qu’ils expriment. De plus, afficher les dessins qu’ils ont réalisés, prolonge leur plaisir d’avoir participé à une œuvre tangible et vérifiable.

 

Nous sommes allés beaucoup plus loin et les résultats ont été époustouflants!

 

Nous avons proposé à des jeunes enfants d’inventer une histoire à partir d’une démarche qui tient compte des étapes de la construction d’un conte : description des personnages, évocation d’un problème, recherche de solutions, conclusion. Au fur et à mesure que l’histoire s’élaborait, les enfants voyaient une transcription de leur évocation sous forme de dessin. Ils avaient une trace écrite, compréhensible par eux, de ce que l’animateur écrivait. Ces enfants étaient transportés de joie lorsque l’animateur relisait ses écrits et qu’ils pouvaient lire l’histoire sur le dessin. Cette approche a fait l’objet d’un projet de recherche de maîtrise qui confirme que, non seulement, les enfants amélioraient la richesse de leur vocabulaire et la qualité syntaxique de leur évocation mais aussi, que leur niveau d’opération mentale s’était accru, après une pratique de cette expérience  durant seulement  quelques jours.

 

Cette expérimentation confirme que cette pratique permet d’enrichir la qualité de l’expression du jeune enfant dans son milieu. De plus, elle met en évidence  le plaisir de la découverte et le désir de l’enfant, de s’améliorer toujours plus, si les conditions le lui permettent.

 

 Voilà un modèle de création participative où chacun, avec ses compétences, apporte sa contribution à la construction d’un patrimoine culturel enfantin qui pourra servir d’outil pédagogique incitatif donnant le goût aux jeunes de s’investir dans la lecture d’un contenu attrayant, proche de leur vécu, de leurs aspirations, de leurs rêves. Souhaitons que de telles initiatives voient le jour en d’autres lieux et que cette série de projets, initiés par les responsables et des éducateurs servent de modèle.

 

Les enfants et adolescents ont un univers intérieur très riche. Cependant, il peut subvenir un débordement de cette richesse non-exploitée. Elle devient alors une aliénation latente qui nuit à l'épanouissement.

 

Toutes formes d'expressions artistiques ont des fonctions cathartiques. En ce sens, l'environnement de l'enfant demeure primordial. Il faut des adultes qui évitent le jeunisme et transmettent leurs savoirs, leurs convictions.En cohérence avec leur propre vécu. Les jeunes élimineront d'eux-mêmes ce qui ne correspondra pas au miroir de leur existence. Pour autant, il faut que la pédagogie de la créativité soit le reflet existentiel de ce que les animateurs ou éducateurs vivent profondément.

 

Les sentiments écrits correspondent à la fois aux interdits et aux débordements de l'imagination. Il faut passer par ce stade pour acquérir au fil du temps, une conscience claire. Puissions-nous être présents à nos enfants lorsque ceux-ci expriment les magmas éblouissants ou les abysses de leur âme. Ainsi, ils se définiront mieux par rapport au monde qui les entoure. Le langage écrit permet ce positionnement de l'être.

 

Sinon, nos petits bonshommes ne grandiront jamais et seront d'éternels "adulescents" vivant inexorablement à la surface des événements, sans les intégrer. Nous serions alors responsables de leur future désocialisation pathologique, dans le sens où ils souffriront toujours de ce corps étrange qu'ils n'habitent pas. S'approprier le langage, c'est aussi s'approprier sa vie dans toutes ses dimensions.

 

Alors, notre vigilance d'éducateurs ( trices ) s'impose davantage que nous l'aurions imaginés. Nous sommes co-acteurs, avec nos enfants, de cette écologie mentale qui structure l'adulte.

                                                       

Bruno LEROY.

 

 

 

10:53 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

26/06/2014

Une seconde vie grâce aux petits frères des Pauvres.

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Dans un monde où seul le rendement compte, où les humains sont réduits à leur capacité de produire. Contrairement, à ce que instinctivement, nous pensons, ce ne sont pas les jeunes les plus exclus de nos systèmes de production. La productivité demeure encore dans les possibles de leurs facultés au regard de leur âge. Ils ont l’énergie suffisante pour assumer notre société de marchandisation. Hélas ou heureusement, bien souvent ils ne veulent pas participer et se rendre complices des rouages capitalistes. Ce sont des prophètes sans le savoir. Mais, il est une autre dimension de notre société qui semble être de plus en plus ignorée, sauf le temps des élections. Ce sont les personnes âgées, que l’on nomme ainsi par fausse compassion pour ne point les heurter. Autrefois, nos disions les vieux, les vieilles avec un respect sans mesure.

 

Aujourd’hui, une Association à caractère exceptionnel décide de leur donner une seconde vie. Depuis, leur fondateur chrétien, Armand Marquiset, lucide au point de s’insurger contre la misère de nos vieux amis. Les petits frères des Pauvres, réfléchissent, agissent pour que leur devise, des fleurs avec du pain, prennent figure d’une renaissance. Des milliers de Bénévoles sont au service des seniors, mémoire vivante de notre humanité. Ces bénévoles sont formés par l’association mieux que des éducateurs. La bonne volonté est bien en soi mais la volonté de compétence est préférable. Le cœur voit ce que la raison ignore. La raison voit ce que le cœur obscurcit parfois. Il faut une juste mesure, un détachement aimant pour accompagner les plus pauvres et les plus meurtris sur le chemin der la vie.

 

Les petits frères possèdent une imagination débordante pour mettre de la chaleur humaine chez nos vieux amis. Des vacances sont organisées pour les valides et les moins mobiles. Des activités artistiques et culturelles sont mises en place toute l’année. Des repas conviviaux redonnent le sourire aux visages les plus sombres. Tuer cette solitude qui tue nos anciens, voilà l’objectif premier des petits frères.

 

Même si le fondateur était chrétien, le prosélytisme est proscrit par respect pour l’être souffrant. Chaque personne accompagnée est unique et indissoluble. Il faut honorer dans la confidentialité la plus absolue, l’histoire de chacun.

 

Les petits frères des Pauvres ont besoin d’accompagnateurs bénévoles qui offriront leur dynamisme éclatant pour semer la Joie dans l’âme de nos anciens. Et les aider aussi lorsque les Administrations veulent leur chagrin. Depuis des années, je suis admiratif du travail que les petits frères effectuent même au niveau souvent insalubres des logements dans lesquels survivent nos vieux.

 

Alors, plutôt que vous insurger dans votre propre solitude, si vous mettiez les valeurs de Fraternité en actes. Plutôt, que vomir sans cesse sur une société qui ne répond pas aux besoins de tous. Vous engager pour changer l’aspect de notre Humanité serait un acte hautement spirituel. Concrétiser cet esprit fraternel qui fait la richesse des petits frères des Pauvres.

 

Assez de ces personnes qui ne sentent plus le parfum premier de l’évangile. Celui de devenir révolutionnaire en vivant avec le Christ une fraternité authentique. Assez de ces jeunes devenus vieux et qui laissent crever dans les hôpitaux nos anciens dans une déréliction sans nom. Engagez-vous, plutôt que vous victimiser sur vos propres problèmes souvent imaginaires. Devenez libres de vous donner aux autres et de préférence aux plus souffrants. Je n’écoute désormais que les cris de ceux ou celles qui s’impliquent vraiment pour que notre société soit plus respirable.

 

Les petits frères des Pauvres sont riches de Fraternité. Ils cultivent cette fleur chaque jour que Dieu fait. Devenir bénévole auprès des salariés des petits frères, c’est donner à sa vie le soleil qui lui manquait en se donnant totalement aux plus âgés de nos frères en humanité. Demain, il sera trop tard pour vous engager. L’engagement est un " oui " pour améliorer le destin d’autrui. Et c’est un " non " profondément révolutionnaire face à notre monde déshumanisé.

 

Bruno LEROY.

 

Éducateur Social.

 

http://www.petitsfreres.asso.fr/

 

 

11:11 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

24/06/2014

Prendre le temps de rêver et de vivre.

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Prendre le Temps en ce monde bousculé. Prendre le temps de rêver les splendides horizons d’Espérance que Dieu a déposé en notre âme. Répondre ainsi aux Talents que Christ nous demande de cultiver. Quel merveilleux programme de Vie, n’est-ce pas ?

 

Frères et Soeurs, il est temps que notre société et notamment, nos Jeunes prennent du temps pour méditer et accomplir leurs rêves. Pour cela, il faut dépasser certains obstacles. Ensemble, chrétiens et chrétiennes que nous sommes, partageons nos rêves et aidons les autres à les vivre. Notre vocation est de transmettre tout ce que Dieu en Son Infini Amour nous a donné en pleine libéralité. Ne conservons pas nos rêves pour nous. Ils deviendraient cauchemars. Offrons au monde les rêves solaires et éclatant de Lumière afin de donner un autre visage à notre Humanité. Une société de violence et de manque de repères spirituels est une société qui a tué ses rêves les plus beaux. Puisse l’Esprit-Saint nous accompagner dans ce rêve d’une Humanité nouvelle !

 

Pourquoi parler des rêves avec tant d’insistance ? Simplement, je m’aperçois que notre société prend de moins en moins en considération les rêves humains. La compétitivité, la performance et bien d’autres paradigmes ont fait de nous les esclaves modernes d’un monde de consommation. Qu’importe alors, si les jeunes et moins jeunes se mettent à rêver de leur avenir pour créer des projets. Les projets sont imposés pour faire face à la concurrence. Laissons nos rêves de côté où nous finirons tous et toutes dans la rue à tendre la main en espérant quelques Euros.

 

A me lire, peut-être pensez-vous que je décris bien ce qui risquerait de nous arriver si nous suivions nos rêves. Hé bien, cette description est entièrement fausse et véhiculée par les médias à tel point qu’on semble sentir sa réalité. Non, ceux ou celles qui ont des rêves mettent tout en place, jusqu’au bout, pour que ceux-ci se réalisent. Le chrétien doit être le premier à faire confiance en un Dieu d’Amour qui est à l’écoute de nos rêves pour combler Ses desseins. Nous devons tout mettre en place pour acquérir cet esprit critique qui nous réalise en tant qu’Hommes.

 

Ne pas sombrer dans le matérialisme le plus bas afin de satisfaire les lobbys industriels. Ce matérialisme dépourvu de sens, sinon celui de s’enrichir, détruit nos rêves les plus nobles. Nous sommes au service de Christ, pas des patrons qui nous considèrent tels des numéros. Nous pouvons connaître le chemin que Dieu nous destine, uniquement dans la prière des profondeurs de l’âme. Il sait que nos rêves de chrétiens désirent un monde où la Haine, l’égoïsme, l’individualisme forcené, le profit soient éradiqués de notre société. Sinon, à quoi nous servirait-il de nous dire chrétiens en lisant la Bible tout en ne la vivant pas ?

 

Voilà notre combat spirituel. Remettre sur terre les rêves que Dieu Amour nous donne. Avoir confiance en nos qualités et capacités. Trouver la force dans la prière de chaque instant. Ne plus être les esclaves d’un monde moderne qui tue nos rêves. Et peu importe les conséquences, nous aurons oeuvrés pour Christ et la mise en application de Ses rêves. Nous espérons que d’autres générations se lèveront en disant qu’ils veulent une existence autonome dans les bras de Dieu.

 

Ce Dieu Libérateur qui est venu pour les plus petits d’entre nos Frères et Soeurs, ne saurait être contre nos rêves de liberté. Une liberté responsable où la course au profit laissera place à une terre d’Amour.

 

Bien-sûr, il nous faut de l’argent pour vivre mais non vivre pour l’argent. L’Esprit-Saint pourvoira à l’accomplissement de notre destin, pourvu qu’il soit vécu dans la prière afin que nous ne confondions point nos propres rêves avec ceux de Dieu.

 

Réaliser nos rêves, c’est toujours grandir en Humanité selon la Volonté de Christ.

 

 

Bruno LEROY.

14:47 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |