15/05/2008
La beauté de la sainte pureté”
Nous devons être aussi purs que possible; et sans crainte en ce qui concerne le corps, parce que le sexe est quelque chose de saint et de noble en tant que participation au pouvoir créateur de Dieu, et de ce fait destiné au mariage. Et c'est ainsi que, purs et sans crainte, vous donnerez par votre conduite le témoignage des possibilités et de la beauté de la sainte pureté ! (…)
Prenez un soin tout particulier de la chasteté et des autres vertus qui forment sa suite — la modestie et la pudeur — et qui en sont en quelque sorte la sauvegarde. Ne négligez pas si légèrement ces règles qui sont si efficaces afin d'être toujours dignes du regard de Dieu: la surveillance attentive des sens et du cœur; le courage — le courage de la couardise — de fuir les occasions, la fréquentation assidue des sacrements et, en tout premier lieu, de la confession sacramentelle; la croyance pleine et entière dans l'efficacité de la direction spirituelle personnelle, la peine, la contrition, puis la réparation des fautes, tout cela étant imprégné de l'onction d'une tendre dévotion pour Notre Dame, afin qu'elle nous obtienne de Dieu le don d'une vie sainte et pure. (Amis de Dieu, 185)
http://www.opusdei.fr/art.php?p=13884
11:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
14/05/2008
Soyez encouragé par ceux qui vous critiquent !
Lorsque vous avez besoin d'être encouragé, prêtez attention aux paroles de ceux qui vous critiquent ! Si vous n'étiez pas différent, ils ne s'occuperaient même pas de vous !
Bonne écoute sur cette nouvelle approche d'une critique constructive et libératrice.
Soyez à l'écoute des autres pour fortifier votre Foi et vous deviendrez ainsi, invincibles !
Votre Frère, Bruno.
11:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
13/05/2008
Change ton regard.
J'aime tes larmes quand elles sont sources de foi,
Ces cristaux dans tes yeux qui me parlent de toi,
Ces inquiétudes radieuses qui se penchent vers d'autres,
Qui reconnaît enfin l'impuissance de ses fautes,
Nous ne pouvons être sur tous les chemins,
Ceux de la misère nous emmènent au matin,
Tu te souviens de l'aurore de notre Humanité,
Où nous semblions pouvoir nous apprivoiser,
Puis vivre dans ce monde sans mille plaies,
Tu me demandes souvent ce qui fut changé,
Depuis l'aube incertaine de notre destinée.
Je ne sais que répondre face aux blessures,
Du monde qui vit dans ses inextricables tortures,
Sans te parler des intolérances qui tuent et déchirent,
Je ne puis que te dire ma certitude de l'homme bon,
Et que certains combats nous font entrer de front.
Je ne puis que te dire d'essuyer tes larmes,
De cesser tes soupirs aux allures de drame.
Change ton regard sur les hommes et le monde,
Donne-lui ton courage, ton sourire et ta Foi salvatrice
Tu sais l'Amour est plus puissant qu'une bombe,
Donne lui cette joie comme un feu sans artifices.
Petit Homme...
Bruno LEROY.
21:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Protégez vos fondations !
08:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Seigneur, avec ton aide, je lutterai”
N'oubliez pas que le saint n'est pas celui qui ne tombe jamais mais celui qui se relève toujours, humblement et avec une sainte opiniâtreté. S'il est écrit au livre des Proverbes que le juste tombe sept fois par jour (cf. Pr 34, 16.), toi et moi, pauvres créatures, nous ne devons pas nous étonner ni nous décourager devant nos misères personnelles, devant nos faux pas. Nous continuerons toujours plus avant si nous cherchons la force d'âme auprès de Celui qui nous a promis : Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et ployez sous le fardeau, et je vous soulagerai. Merci, Seigneur, quia tu es, Deus, fortitudo mea (Mt 11, 28.), car Tu as toujours été, Toi, et Toi seul, mon Dieu, ma force, mon refuge, mon appui.
Sois humble, si tu veux vraiment progresser dans la vie intérieure. Aie recours avec constance, avec confiance à l'aide du Seigneur et de sa Mère bénie, qui est aussi ta Mère. Avec sérénité, tranquillement, si douloureuse que soit la blessure encore ouverte de ta dernière chute, étreins une fois encore la croix et dis: Seigneur, avec ton aide, je lutterai pour ne pas m'arrêter, je répondrai fidèlement à tes invitations sans crainte des pentes abruptes, ni de la monotonie apparente du travail habituel, ni des chardons et des cailloux du chemin. J'ai la certitude que ta miséricorde m'assiste et qu'à la fin je trouverai le bonheur éternel, la joie et l'amour pour les siècles sans fin. (…) (Amis de Dieu, 131)
http://www.opusdei.fr/art.php?p=13882
08:47 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
12/05/2008
Les disciples ont oublié de prendre du pain…
Jésus, qui vient de laisser sur la rive des pharisiens mal intentionnés, tente de les soustraire à ces vaines préoccupations, et les prévient contre le levain, symbole de la corruption, des pharisiens et d’Hérode. Le levain est un ferment actif, c'est-à-dire que les projets funestes des ennemis de Jésus suivent leur cours de visent également les disciples.
Mais, à considérer que la parole de Jésus ait été entendue, elle n’a fait que renforcer le souci des disciples pour des questions matérielles, le levain évoquant le pain qu’ils n’ont pas pensé à acheter et qui va bientôt manifester douloureusement son absence.
Combien plus douloureux pour Jésus est l’entêtement de ses apôtres ! Il leur manque la foi. C’est le sens des versets du prophète Jérémie que cite Jésus : « Avec leurs yeux, ils ne voient rien ; avec leurs oreilles, ils n’entendent rien ». La profondeur de la Parole et de l’action de Jésus échappe totalement aux disciples.
Comment est-il possible qu’en vivant si près de lui, en partageant son intimité, en recevant directement de lui l’explication de la grandeur du projet de Dieu sur son peuple, comment est-il possible qu’ils ne comprennent pas ? Comment est-il possible qu’en étant instruits de la richesse du trésor de l’Eglise, en nous approchant régulièrement de l’autel du Sacrifice, en recevant de nos pères l’explicitation de la grandeur de notre foi, comment est-il possible que nous doutions encore de l’implication immédiate et réelle de notre quotidien dans notre destinée surnaturelle ? Le reproche de Jésus nous est fait à nous comme aux disciples.
Ne voyons-nous pas ? Avons-nous oublié ? Par ces deux questions de Jésus espère nous réveiller. Depuis le jour de notre baptême, nous avons reçu l’Esprit Saint qui a bouleversé notre regard. Par lui, nous pouvons discerner dans l’Hostie consacrée la présence de notre Dieu. En nous approchant de la table de la Parole, nous avons entendu l’enseignement de notre Maître, qui nous a assuré qu’il était avec nous jusqu’à la fin des temps. Que nous faut-il de plus ? Qu’avons-nous à nous inquiéter encore pour ce qui n’est finalement que second.
« Pourquoi discutez-vous sur ce manque de pain ? » demande Jésus. Que nous ayons failli à notre devoir ou à quel tache, aussi importante et nécessaire soit-elle, ne nous est pas reproché par Jésus. Ce dont il souffre, c’est de constater que nous nous lamentons sur nous-mêmes comme si nous ne pouvions compter que sur nous, sur nos propres forces, pour nous tirer d’affaire. Notre Seigneur, qui s’est livré pour nous, qui a donné sa vie pour que vivions de la sienne, n’est-il donc pas concerné ? Ne peut-il donc rien pour nous ?
Jésus est celui qui a donné du pain pour cinq mille hommes ; et il est resté douze paniers. Il a encore rompu le pain pour quatre mille hommes ; et il est resté sept paniers pleins. Le contraste est frappant. Il suggère que même s’il était possible d’en rester au signe, nous ne devrions pas prendre confiance en Jésus. Lui qui nourrit les foules, peut nourrir douze disciples. Penser ainsi n’est même pas entrer dans l’ordre de la foi, c’est une simple logique humaine. Faut-il que nos yeux vraiment fermés, faut-il que nos oreilles soient vraiment bouchées pour ne pas en prendre conscience.
« Vous ne comprenez pas encore ? » La question de Jésus résonne comme une invitation. Vous avez la foi, suggère-t-il, raisonnez selon ce que vous enseigne votre foi. Votre foi dit que Dieu est bon, qu’il est Père. Placez votre confiance en lui, en toutes circonstances.
Alors ouvrons nos yeux qu’il a éclairé de la lumière de son Esprit, ouvrons nos oreilles que l’Esprit de Vérité a préparées à entendre la Parole, ouvrons nos cœurs à la Présence aimante de celui qui brûle de remplir la vacuité de nos quotidiens. Ne nous préoccupons que de l’essentiel, vivre dans l’Esprit, et tout le reste, notre Seigneur s’en chargera par surcroît. Souviens-toi ! Ecoute, Israël !
Frère Dominique.
20:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
11/05/2008
Tu cherches à mettre du sens dans tes études ?
"Si tu ne sais pas où tu vas, arrête-toi pour savoir d’où tu viens"
Proverbe africain
- Tu te questionnes sur ton orientation ?
- Tu cherches à mettre du sens dans tes études ?
- Tu veux ré-enclencher une dynamique de réussite ?
- Tu veux prendre confiance en toi et mieux te connaître ?
Il est temps de prendre ces questions au sérieux ! Pour cela nous t’invitons à venir découvrir le programme OPEN (Orientation, Projet, Engagement) du CIRFA le 24 mai à Angers.
Tu peux également trouver des informations en visitant le site du CIRFA.
Nous t’attendons le 24 mai à Angers !
Editeur : [Fondacio] Le site des etudiants et jeunes pros
http://18-30.fondacio.fr
21:41 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
« Cœur qui soupire n’a pas ce qu’il désire ».
« Cœur qui soupire n’a pas ce qu’il désire ». On comprend que Jésus soupire profondément : lui qui ne se lasse pas de faire le bien - il vient de multiplier les pains (Mc 8, 1-10) - pour manifester aux hommes son amour, ne reçoit en réponse que déni, méfiance, soupçon. Les pharisiens avaient disparu de la scène ; sans doute pour se concerter et décider de la stratégie à mettre en place pour éliminer ce Rabbi de Nazareth dont l’influence leur fait de l’ombre. Survenant à l’improviste, ils « se mettent à discuter avec Jésus » : le verbe désigne une joute rationnelle comportant une certaine animosité. Leur but est de mettre Jésus « à l’épreuve », sous-entendu : dans l’espoir de le discréditer aux yeux de la foule. « Ils demandent un signe venant du ciel ». L’interpellation est d’autant plus surprenante qu’ils ont certainement entendu parler de la multiplication des pains. Si ils ont néanmoins une telle exigence, c’est donc qu’ils ne considèrent pas que ce miracle atteste le pouvoir divin de celui qui l’a posé ; ils n’interprètent pas ce signe comme « venant du ciel ». Ils veulent une preuve plus convaincante, qui manifesterait indubitablement que Dieu est à l’œuvre dans les faits et gestes de Notre-Seigneur.
Or une preuve contraignante n’est plus un signe car elle ne nécessite plus d’interprétation. La preuve s’impose à nous alors que le signe nous invite au risque de l’interprétation ; il sollicite un engagement personnel dans la recherche d’un sens possible ; par le fait même, le signe met en route sur le chemin de l’identification de Jésus. C’est précisément ce que repoussent les pharisiens. Ils prétendent le connaître et n’acceptent pas de sortir du périmètre de leurs aprioris. Aussi n’est-ce pas Jésus qui refuse de donner des signes mais « cette génération » qui refuse de reconnaître aux miracles qu’il accomplit, la valeur de signes.
Inutile de poursuivre un dialogue de sourd : Jésus préfère quitter les pharisiens, et « remontant dans la barque, il partit vers l’autre rive ». Cette dernière précision est sans doute significative. « L’autre rive » désigne le rivage au-delà de la mer - entendons au-delà de la mort - où Jésus ressuscité va accoster au matin de Pâques. Même la résurrection ne sera pas un « signe » pour les pharisiens, qui croiront avoir classé « l’affaire Jésus » le vendredi saint.
Deux univers se séparent : ce monde clos, refermé sur lui-même, sur son prétendu savoir, poursuit sa course sans but, ayant refusé la main tendue de celui qui lui ouvrait pourtant la porte de la vie ; mais pour ceux qui ont cru en lui, un autre monde a surgi, tout illuminé de la gloire du Seigneur ressuscité, qui les accompagne « tous les jours, jusqu’à son retour » (cf. Mt 28, 20). Le premier monde fait chaque jour la une des journaux ; du second on ne parle pas, sauf quelques attardés qui, rassemblés en Église, font mémoire « d’un certain Jésus qui est mort, et qu’ils déclarent toujours vivant » (cf. Ac 25, 19).
Pourtant dans le secret des cœurs et au cœur du monde, son Esprit poursuit son œuvre. A ceux qui l’accueillent, il enseigne les voies discrètes de l’amour, pour qu’à leur tour ils soient des signes vivants du Royaume de justice et de paix, que leur Seigneur a inauguré et leur a confié.
« Seigneur, donne-moi la sagesse de pouvoir lire les signes de ta présence dans les événements de ma vie. Accorde-moi de pouvoir me réjouir même dans les épreuves que tu permets pour “vérifier la qualité de ma foi, me conduire à la persévérance et à une conduite parfaite” (cf. 1ère lect.). Je pourrai alors te rendre grâce et te bénir, “trouvant ma consolation dans ton amour, selon tes promesses à ton serviteur” (Ps 118). »
Père Joseph-Marie.
19:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Faire preuve de grâce (2)
Les opinions divergentes vous aideront à croître en maturité. Les adolescents ont cet art de formuler des pensées originales, hors conventions, qui vous mettront au défi de repenser les vôtres et vous forceront à un plus grand degré d'honnêteté.
Bonne écoute de cette deuxième réflexion sur la Grâce.
Votre Frère, Bruno.
10:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
10/05/2008
PARLONS EMPLOIS.
20:14 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |