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04/06/2009

La pédagogie du Seigneur consiste à provoquer ses interlocuteurs à la réflexion.

Scribes, prêtres, sadducéens, pharisiens et même hérodiens se sont succédés auprès de Jésus pour le mettre à l’épreuve, épiant ses moindres paroles pour y trouver un motif d’accusation, mais en vain ; aussi « personne n’osait plus l’interroger » (12, 34). Profitant de ces instants de répit, Notre-Seigneur reprend son enseignement dans le Temple. La foule a été témoin des passes d’armes entre les chefs religieux et le Rabbi Yeshua et ne sait plus trop dans quel camp se situer. Elle pressent la nouveauté du message de Jésus, mais demeure attachée aux enseignements traditionnels. Devant la perplexité de son auditoire, Notre-Seigneur va essayer de leur faire pressentir que sans être faux, l’enseignement des scribes demeure cependant incomplet ; qu’il nécessite un complément ; qu’il doit s’ouvrir à un accomplissement, sous peine de tomber dans la contradiction interne.
« Comment les scribes peuvent-ils dire… ? » : la tournure de la phrase ne laisse aucun doute : la forme interrogative suggère non seulement de l’étonnement, mais aussi du scepticisme, voire une pointe de contestation. L’affirmation mise en cause concerne le Messie, que la Tradition situe dans la lignée de David en s’appuyant sur la prophétie de Nathan (2 Sam 7, 11-16). Jésus ne récuse pas cette interprétation : on imagine mal Notre-Seigneur contester la Parole de Dieu ! Nous en voulons pour preuve qu’il ne corrigera pas l’aveugle BarTimée lorsque celui-ci l’appellera « Fils de David » (10, 48) ; pas plus qu’il ne fera taire la foule lorsqu’elle criera : « Béni soit le Règne qui vient, celui de notre père David ! » (11, 10). La pédagogie du Seigneur consiste à provoquer ses interlocuteurs à la réflexion, en opposant à cette conception traditionnelle - fondée dans les Écritures - un autre passage inspiré qui semble incompatible avec le premier. Jésus cite en effet le psaume 10 9 (110) - psaume messianique traditionnellement attribué à David – dans lequel celui-ci nomme le Messie « son Seigneur ». Comment le Messie peut-il être à la fois son fils et son Seigneur ?
En argumentant ainsi, Jésus pose les termes d’une aporie : ces deux affirmations - le Messie fils et Seigneur de David - jouissent toutes les deux de l’inerrance en raison de leur caractère inspiré ; pourtant elles semblent contradictoires. Nous sommes donc obligés de nous élever à un niveau supérieur, afin de trouver une synthèse plus englobante, dans laquelle les deux propositions soient vérifiées. Jésus ne fait pas le travail à notre place : il énonce clairement les termes de l’aporie, et se contente de poser une question pour orienter notre recherche : « D’où vient qu’il (le Messie-Seigneur) est également son fils (de David) ? » Le « comment » de l’étonnement initial qui a mis en route notre réflexion, est devenu « d’où », suggérant que la solution est à chercher du côté d’un lieu d’origine : « d’où vient ? » La réponse ne peut être que « de Dieu » puisque lui seul est Seigneur et peut donner part à sa seigneurie. Mais alors s’il vient de Dieu, comment le Messie peut-il s ’inscrire dans la lignée de David ? La question reste pour le moment sans réponse, du moins pour la foule nombreuse qui écoute Jésus. Nous pressentons que nous nous acheminons vers le mystère de l’Incarnation, auquel saint Marc ne fait pas allusion au début de son Évangile. Il faudra attendre la pleine manifestation de la seigneurie du Christ au matin de Pâques, pour que nous puissions reconnaître que le Fils unique de Dieu s’était incarné non par la volonté d’un homme, mais par l’action de l’Esprit dans le sein de la Vierge Marie, donnée pour épouse à Joseph, de la maison de David (Mt 1, 20).

« Seigneur, que de contestations s’élèvent de nos jours contre ton origine divine ! Chacun te réduit à un simple homme, incarnant ses propres idéaux : humaniste, libéral, révolutionnaire, poète, moraliste, homme politique de gauche ou de droite, hippie ou écologiste, mage ou chamane… Ne permets pas que ces voix discordantes nous troublent ; que l’Esprit Saint nous porte sur ses ailes et nous fasse accéder à l’intuition du Mystère de ton incarnation, par laquelle tu nous “rends participants de ta nature divine” (2 P 1, 4) en partageant notre condition humaine. »



Père Joseph-Marie.

20:32 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LA TURQUIE ET L'EUROPE.

 

La Turquie doit-elle rentrer dans l'Union Européenne ? Question politique, géographique, religieuse, économique...
Émile Visseaux, historien, nous apporte un éclairage essentiel pour mieux réfléchir à ce sujet.

Intervenant(s) : Emile Visseaux,
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11:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

AF 447 : la piste d'une désintégration en vol.

Delphine Chayet et Cyrille Louis
04/06/2009 | Mise à jour : 08:40
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Crédits photo : AP

INFO LE FIGARO - Pour avancer cette hypothèse, les experts notent que les débris sont très dispersés, parfois distants de plus de 300 km.

Deux jours après la disparition de l'Airbus A 330 d'Air France au milieu de l'Atlantique, les experts disposent d'un premier indice matériel tendant à démontrer que l'appareil s'est désintégré en haute altitude. De premières observations ont en effet permis de constater que la zone de dispersion des débris en mer est très étendue. «On peut observer des fragments à plus de 300 km les uns des autres, confie ainsi une source proche de l'enquête technique. Sous réserve de plus amples informations, ce premier élément plaide en faveur d'une explosion qui aurait touché l'aéronef en plein vol.» Si elle devait être confirmée, une telle désintégration à une altitude d'environ 10 000 mètres pourrait s'expliquer aussi bien par l'action d'un phénomène météorologique exceptionnellement violent, plausible dans la zone de convergence intertropicale empruntée par le vol, que par une brusque dépressurisation ou par un attentat terroriste.

Quatre groupes de travail

Chargés d'enquêter sur cette catastrophe, les experts du Bureau d'enquête et d'analyse (BEA) affirment pour l'heure ne privilégier aucun scénario malgré les nombreux indices déjà recueillis. Mercredi, de nouveaux débris, dont une pièce métallique de 7 mètres de diamètre et une trace de kérosène de 20 km, qui s'ajoutent au siège et à une bouée orange déjà trouvés mardi, ont été détectés par la marine brésilienne.

Dès lundi soir, deux enquêteurs assistés de deux représentants d'Air France et d'Airbus se sont envolés pour le Brésil. Par ailleurs, quatre groupes de travail ont été constitués pour se concentrer respectivement sur les recherches en mer, la maintenance de l'appareil, son exploitation et ses équipements. «Nous avons déjà beaucoup d'informations et nous travaillons maintenant pour analyser leur pertinence dans la compréhension de l'événement», résume le directeur du BEA, Paul-Louis Arslanian, qui ajoute : «Mon objectif est de remettre un premier rapport d'ici la fin du mois de juin.» Refusant à ce stade d'interpréter la cascade de messages d'alerte Acars transmis par l'appareil peu avant le crash, M. Arslanian a simplement précisé mercredi que le pilote du vol AF 447 a évoqué «de fortes turbulences» lors de son ultime contact avec les contrôleurs du ciel brésiliens. Abordant l'historique de l'avion, il relève : «Rien ne permet de penser que l'avion a connu un problème avant le départ.»

Sans cacher qu'il sera sans doute très difficile de retrouver les deux boîtes noires de l'avion par les grands fonds qui s'étendent sous la zone du crash, M. Arslanian a enfin concédé : «L'enquête risque fort d'être longue et je ne peux exclure qu'on ne soit finalement pas en mesure d'aboutir à une certitude totale.» De son côté, le parquet de Paris s'est saisi hier de l'enquête avant d'annoncer l'ouverture prochaine d'une information judiciaire.

» Catastrophe de l'Airbus AF 447 : le film de la journée

» DOSSIER SPECIAL - Les mystères du vol AF 447

10:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite, informations |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

“C'est l'héroïsme que l'on attend d'un chrétien”

Combien qui se laisseraient clouer sur une croix, devant des milliers de spectateurs stupéfaits, ne savent pas supporter chrétiennement les piqûres d'épingle quotidiennes! — Juge, par là, ce qu'il y a de plus héroïque. (Chemin, 204)


Aujourd'hui comme hier, c'est l'héroïsme que l'on attend d'un chrétien. Héroïsme dans les grandes luttes, s'il le faut. Héroïsme — et c'est cela qui est normal — dans les petites batailles de chaque jour. Quand on lutte continuellement, avec Amour, de cette façon qui paraît insignifiante, le Seigneur est toujours aux cotés de ses enfants, comme un pasteur plein d'amour: Moi-même, je paîtrai mes brebis; moi, je les ferai reposer. Je chercherai celle qui était perdue, je ramènerai celle qui était égarée; je panserai celle qui est blessée, et je rendrai force à celle qui est infirme... Ils seront en sécurité sur leur terre, et ils sauront que je suis Yahwé, quand je briserai les barres de leur joug, et que je les délivrerai de ceux qui les asservissent.

Je fais appel à sa miséricorde, à sa compassion, pour qu'Il ne regarde pas nos péchés, mais les mérites du Christ et ceux de sa sainte Mère, qui est aussi notre Mère, ceux du Patriarche saint Joseph qui lui tient lieu de Père, ceux des saints.

Le chrétien peut vivre avec l'assurance que, s'il désire lutter, Dieu le saisira de sa main droite, comme on peut le lire à la Messe d'aujourd'hui. Jésus, qui entre à Jérusalem en chevauchant un pauvre âne, est le Roi de paix qui nous dit: le royaume des cieux est emporté de force, et ce sont les violents qui le conquièrent. Cette force ne doit Pas se traduire par la violence envers les autres: c'est la force qui s'exerce à combattre nos propres faiblesses et nos misères; c'est la vaillance qui nous empêche de déguiser nos infidélités personnelles; c'est l'audace qui nous fait confesser la foi, même quand l'ambiance lui est contraire. (Quand le Christ passe, 82) 

http://www.opusdei.fr/art.php?p=15700


       

09:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

03/06/2009

Dieu ne nous imposera jamais l’écoute de sa voix.

 Un scribe s'avança vers Jésus et lui demanda : ‘Quel est le premier de tous les commandements ?’ Jésus lui fit cette réponse : ‘Voici le premier : Écoute, Israël…’ » Le premier des commandements que le Seigneur nous donne c’est de l’écouter, c’est d’accepter d’être accueillant à sa Parole de vie. Et que commence par nous dire cette Parole ? « Le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur ». Unicité, radicalité. Il n’en est pas d’autres vers qui notre cœur puisse tendre l’oreille car personne en dehors de lui ne peut légitiment prétendre à ce titre.

La conséquence pour nous d’une telle affirmation ? « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force ». Quelle exigence ! Avec le cœur partagé qui est le nôtre, comment prétendre y être arrivé, ne serait-ce qu’une fois dans notre vie. Certes, nous en avons le désir, mais ce précepte nous bouscule parce qu’il nous renvoie à notre incapacité à l’accomplir. N’aurions-nous pas envie de répondre à Jésus : ‘Ecoute Seigneur, laisse-moi tranquille, j’essaye de faire ce que je peux, mais ne me demande pas l’impossible’ ?

Et pourtant le Seigneur nous demande bien de l’aimer et non pas de faire seulement notre possible pour l’aimer. Ne passons pas trop facilement à côté de l’exigence de ces paroles, même si nous ne devons pas nous laisser enfermer par celle-ci.
Pour ce faire, il est essentiel de nous souvenir qu’il s’agit en premier lieu d’écouter. Ecouter la beauté d’une telle parole : « Le Seigneur notre Dieu est l’unique, tu aimeras… » ; écouter l’amour du Seigneur qui résonne en elle et ce jusque dans la première épître de saint Jean où il nous est dit : « Dieu le premier nous a aimés ». Dieu ne peut nous demander de l’aimer de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit et de toute notre force que parce que lui-même nous a aimés le premier. Dieu ne peut nous demander de rester fidèle à ce précepte que parce que lui-même, le premier, demeure fidèle.

La première exigence n’est donc pas d’aimer le Seigneur mais de l’écouter et en l’écoutant de se laisser ajuster à lui. Ecouter pour se laisser ajuster, pour se laisser transformer et pour pouvoir aimer du même amour dont nous sommes aimés. Somme toute, n’est-ce pas cela être juste ?

Mais Dieu ne nous imposera jamais l’écoute de sa voix. La Parole de Dieu ne vient pas comme une voix qui se surajouterait à tous nos bruits, à tous nos propos vains et futiles, quitte même à les dominer de sa force.
Parce qu’elle est plénitude, la Parole de Dieu ne peut pas ne pas tout emplir. Elle ne peut donc que jaillir du silence le plus profond. Lui seul veut dire quelque chose. Oui, derrière les bruits, derrière les cris, il y a en moi ce silence qui existe plus que moi, il y a ce silence de quelqu’un qui est sur le point de parler et qui commence ainsi : « Ecoute,… ». Ouvrons l’oreille de notre cœur et écoutons. Ce qui suit sera unique pour chacun d’entre nous.


Frère Elie.

21:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

“Le fort souffre parfois, mais il résiste”

La façade n'est qu'énergie et solidité. — Mais quelle faiblesse et quel manque de volonté à l'intérieur! — Décide-toi plus fortement à faire de tes vertus non pas des faux-semblant, mais des habitudes qui dessinent ton caractère. (Sillon, 777)


(…) Le chemin du chrétien, comme celui de tout homme, n'est pas facile. Il est vrai qu'à certains moments tout semble se dérouler selon nos prévisions; mais d'ordinaire, cela ne dure pas. Vivre c'est affronter des difficultés, ressentir joies et peines dans son cœur; et dans cette forge, l'homme peut acquérir force, patience, magnanimité, sérénité.

Est fort celui qui persévère dans l'accomplissement de ce que sa conscience lui dicte de faire; celui qui ne mesure pas la valeur d'un travail exclusivement aux bénéfices qu'il en retire, mais aux services qu'il rend aux autres. Le fort souffre parfois, mais il résiste; il pleure peut-être, mais il boit ses larmes. Quand la contradiction redouble, il ne cède pas. (…)(Amis de Dieu, 77) 

       
http://www.opusdei.fr/art.php?p=15698

11:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite, action sociale chrÉtienne. |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

01/06/2009

« Prier, travailler … et lire »

Le P. Lombardi évoque les propos de Benoît XVI pour humaniser la société


ROME, Lundi 1er juin 2009 (ZENIT.org) - C'est sous la devise « Ora et labora e t lege », « Prie, travaille et lis » que Benoît XVI a présenté la clef qui peut ré-humaniser la société et la culture, souligne le porte-parole du Saint-Siège, le père Federico Lombardi s.j.., qui demande de ne pas négliger « l'actualité éternelle » du message de Saint Benoît de Nursie, proposé par le pape durant sa visite du 24mai à l'abbaye de Mont-Cassin, fondée par le patriarche du monachisme occidental. 

Dans l'éditorial du dernier numéro « Octava Dies », bulletin hebdomadaire du Centre de télévision du Vatican, dont il est le directeur, le père Lombardi approfondit les éléments de cette devise, s'arrêtant d'abord sur la prière, « primat de Dieu et de Jésus Christ dans la vie personnelle et communautaire ; puis sur le travail : la fatigue quotidienne à humaniser et spiritualiser en découvrant et respectant la valeur et l'ordre de la création ; enfin sur la lecture, autrement dit la culture et l'éducation ».

« À vrai dire, nous avions tous et depuis toujours en tête l'« ora et labora », mais nous n'avions pas tous aussi présent le troisième élément : « et lege », c'est-à-dire « lis, étudie ». Ce n'est pas un hasard que ce soit justement le pape Benoît qui nous le fasse remarquer, un pape chez qui la synthèse entre prière, service et culture se présente non seulement comme message, mais encore avant cela comme témoignage personnel », relève le porte-parole qui est aussi le directeur de la salle de presse du Saint-Siège.  ;

Le père Lombardi a rappelé le « grand discours » au monde de la culture à Paris, où le pape avait mis en lumière comment la « recherche de Dieu était la force à l'origine de la croissance de la culture européenne dans ses diverses dimensions ».

A Mont-Cassin il a repris ce discours et, parlant des archives et de la bibliothèque de l'Abbaye, il a dit qu' « ils rassemblent d'innombrables témoignages de l'engagement d'hommes et de femmes qui ont médité et ont recherché comment améliorer la vie spirituelle et matérielle de l'homme. Pour cela aussi, après 1500 ans et quatre destructions, Mont-Cassin a encore quelque chose de très important à nous dire ». 

« Lis, étudie », conclut le porte-parole du Saint-Siège. « Il ne suffit pas de naviguer, de cliquer et de faire du zapping, ou du copié-collé sans fin. Autrement, il ne restera rien, ni pour toi, ni pour les autres »


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21:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |