7427 7827

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/03/2011

Dans le silence de mon âme, je sais qu'Il est vivant et me parle.

La prière est pour moi, substance de ma Vie. La poésie est l'expression de la Beauté de l'Adoration face aux somptuosités Divines. Chacun, donne un sens à son Existence. Il me souvient d'une interview d'un "grand" théologien, le journaliste lui posa cette question inattendue : Si vous constatez après tous les combats que vous avez menés au Nom de votre Foi que Dieu n'existe pas et qu'il n'a d'ailleurs jamais existé. Que feriez-vous ? Le "théologien" répondit : vous savez je suis sorti de ces dilemmes infantiles et stériles d'une croyance qui vacille sans cesse. Si vous me prouviez que Dieu n'existe pas, je répondrai et pourtant quelle belle vie j'ai eu avec Lui. Dans le silence de mon âme, je sais qu'Il est vivant et me parle. Dieu n'est pas la résultante d'une discussion philosophique ou sémantique. Il est le feu d'une expérience vécue tout au long de l'existence. Ce soi-disant théologien, c'était moi... 
Dieu fleurit dans les cœurs qui l'accueillent.
 
Pour que vous puissiez accueillir Sa Présence en cette période spécifique de Carême et même après. Mes Frères et Sœurs Coopérateurs Salésiens ont créés un Diaporama. J'emploie volontairement le mot de création car, il s'agit-là d'une oeuvre d'art construite avec Amour.
 
Vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessous pour découvrir l'importance de la prière dans la respiration d'un être qui se veut spirituel.
 
 
 
Puisse ce texte convertir votre regard intérieur dans un recueillement approprié.
 
Bruno LEROY.

19:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., MÉDITATIONS., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

18/03/2011

LA POÉSIE FAIT LE PRINTEMPS.

dyn003_original_500_335_pjpeg__9919ecbf08d3c968823f2cb3bf036ae1.jpg

La renaissance de la vie vient avec le printemps. La sève monte silencieusement dans les arbres pour faire éclater les bourgeons de mille étoiles de fleurs mirifiques. L'âme des poètes traverse les saisons avec le même silence pour revenir au printemps avec des mots fleuris et parfumés. La plus somptueuse des Fêtes est celle-ci, elle évoque le mystère des hommes face à la beauté ou l'angoisse. L'écriture peut être spontanée ou recherchée, peu importe les métaphores véhiculent des histoires personnelles dévoilées à la face d'autrui.
 
La poésie est la substance de l'âme où jaillissent des gerbes de mots pour savourer la profondeur humaine. Les jeunes font du slam pour crier et hurler la splendeur de leurs vérités tant retenues. Les anciens prennent le stylo pour noircir le papier et éclaircir leur conscience. Tout le monde est sur la même longueur d'onde de la poésie inspirée par l'existence.
 
Les poètes redonnent un souffle à notre société qui s'étouffe dans la routine. L'horizon devient lumineux soudainement car, ce sont les poètes qui font le printemps. Sans eux, nous resterions définitivement en hiver dans le froid de notre cœur. Il font naître une nouvelle saison, celle du bonheur de l'expression. Oh ! Magnifique musique mélodique des mots qui chantent entre eux.
 
La poésie fait chanter le printemps et celui-ci, écoute à la fois étonné et transcendé. Nous sommes tous et toutes des poètes en puissance, il suffit de laisser parler cette voix en nous, cette petite symphonie qui met des accords sur notre vie. Pour nous faire redécouvrir notre harmonie intérieure à l'aube du printemps, renaissance vers un autre temps.
 
Bruno LEROY.

21:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/03/2011

Quelle est la lumière qui nous guide ?

E001531_LRG.gif

Quelle est la lumière qui nous guide dans notre vie quotidienne ? Celle des spots publicitaires ? des flash-infos ? des bandes annonces du dernier film ? des devantures ruisselantes des magasins ? Réussissons-nous à prendre de la distance par rapport à ces multiples sollicitations extérieures ? Gardons-nous notre liberté intérieure ou sommes-nous prisonniers de notre société de consommation qui érige le bien-être et la jouissance en valeurs suprêmes ?

Nous ne sommes pas invités à nous soustraire au monde, mais à redécouvrir notre intériorité spirituelle, afin de nous conduire comme « des fils de la lumière, des fils du jour » ; car « nous n’appartenons pas à la nuit et aux ténèbres. Dès lors, ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres » (1 Th 5, 5-6). Le message est clair : la sobriété a pour but de nous soustraire à la fascination des sollicitations extérieures ; la vigilance doit nous garder attentifs aux motions intérieures de l’Esprit. Pour qu’une telle attitude devienne habituelle, il faut bien sûr s’y exercer en des temps privilégiés durant lesquels nous nous efforçons de nous recueillir, de nous intérioriser, de revenir à nous-mêmes. La difficulté est que nous avons perdu la clé de notre chambre intérieure ; lorsque nous essayons de faire silence, nous sommes bientôt submergés par le bruit de nos pensées en cavale et par le tintamarre de nos émotions débridées. Aussi risquons-nous de nous décourager : comment pourrions-nous revenir à nous-mêmes alors que nous ne savons plus qui nous sommes ?

C’est bien pourquoi Paul nous invite à « revêtir le Seigneur Jésus Christ pour le combat de la lumière ». N’est-il pas le vrai visage de l’homme réconcilié avec Dieu et rétabli dans la lumière de la grâce ? N’est-il pas le chemin qui nous conduit à notre vérité profonde et à la source de la vie ? Revêtir le Seigneur Jésus Christ signifie épouser sa manière de voir les personnes, les événements ; évaluer les situations à la lumière de ses critères ; pour agir conformément à ce qu’il attend de nous. Autrement dit : pas d’oraison chrétienne qui ne soit enracinée dans la lectio divina, c’est-à-dire dans une « lecture savoureuse de la Parole », qui nous fasse entrer dans l’intimité du Seigneur Jésus, et nous donne de le connaître « en Esprit et vérité » (Jn 4, 23).

Comme Noé, il nous faut « entrer dans l’arche » de l’Église - de notre « église intérieure », c’est-à-dire de notre cœur - pour nous y tenir prêts à « l’avènement du Fils de l’Homme ». Mieux vaut ne pas faire étalage de notre démarche : ce serait contradictoire avec sa finalité. Saint Jean de la Croix conseillait d’éviter d’exposer trop tôt au vent du monde, la flamme encore vacillante de notre vie intérieure commençante, afin d’éviter qu’elle ne s’éteigne. L’important est de nous « tenir prêts » dans la discrétion d’un cœur vigilant et dans l’ardente espérance de la venue du « Maître de maison ».

« Deux hommes seront aux champs : l’un est pris, l’autre laissé. Deux femmes seront au moulin : l’une est prise, l’autre laissée ». Nous suggérons que les hommes représentent la dimension extérieure de notre humanité - l’être « charnel » dont parle Paul ; et que les femmes symbolisent notre intériorité psychique, c’est-à-dire notre dimension affective et nos facultés.

Chacune de ces polarités - masculine et féminine - est présentée en binôme, pour signifier que nous sommes « doubles » : notre être psychique et notre être charnel sont en partie autonomes, et en partie soumis à l’être spirituel, c’est-à-dire à l’homme nouveau, au Christ intérieur. « L’un(e) est pris(e), l’autre laissé(e) » : l’être naturel en nous ne subsistera que dans la mesure où il se sera soumis à l’Esprit, c’est-à-dire dans la mesure où il aura accueilli la grâce du salut. Peut-être pouvons-nous deviner, en filigrane des personnages masculins et féminins qui « sont pris », Joseph et Marie chez qui l’être charnel et psychique sont pleinement intégrés dans l’être spirituel, et mis au service du dessein de Dieu.

Tous deux vivent dans le monde, mais ne sont pas du monde : leurs pensées, leurs paroles, leurs actions sont entièrement finalisées sur l’accueil du Sauveur. Qui mieux que Marie et Joseph pourrait nous introduire dans ce temps de conversion à l’unique nécessaire, en cette période de Carême ?

Bruno LEROY.

19:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., COMBAT SPIRITUEL., LE REGARD DE BRUNO., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/03/2011

GUY GILBERT TRANSMETTEUR D'UNE INVINCIBLE ESPÉRANCE.

 

Guy%20Gilbert%20%200%20St%20Henri%20Houthem%20140%20[800x600].jpg

Guy Gilbert s’exprime toujours avec cet espace de liberté de langage qui le caractérise. Ses mots issus des blessures béantes de la rue, ont la saveur des profondeurs. En effet, Guy est un intellectuel, voire un théologien sans le savoir ou sans le vouloir. Ses approches des problématiques sociétales même si elles sont enrobées d’un certain humour sont toujours d’une grande rigueur analytique.

Cela peut surprendre chez ce prêtre que l’on qualifie souvent de rockeur des rues. Et pourtant, son expérience parle pour lui. Lorsqu’il évoque l’inculturation prônée par Vatican II, comprend-t-on réellement sa démarche d’éducateur ? Parfois, j’en doute. Tant de reproches lui furent jetés en pleine figure à cause de son look et de ses mots ; qu’il lui fallut un courage indestructible pour affronter les critiques stériles. Guy est toujours debout avec les mêmes convictions chevillées au corps. Ces valeurs qui donnent sens à son existence et qu’il s’oblige, en tant que Témoin du Christ, à transmettre.

Ces convictions qui génèrent un sens à toutes vies. Rien n’est inaccessible chez lui. Rien non plus n’est facile. S’il est bien un domaine dans lequel Guy ne transige pas c’est l’éducation inculquée avec laxisme. Chaque parent ou éducateur doit être en capacité de refus. Au risque de voir tomber sur sa pauvre tête les foudres injurieuses des adolescents en révolte. L’adulte doit poser des repères afin que les jeunes ne se perdent point. Ces Ados dont on a tout accepté par peur du conflit.

Voyez les dégâts dont notre société refuse de comprendre les causes. Les violences sans nom provoquées par le malaise des jeunes qui ne savent plus pour quelles raisons obscures ils respirent dans ce monde qui les ignore allègrement. Ils n’ont plus rien à perdre pas même la vie. Les adultes que nous sommes devenons chaque jour indifférents aux problèmes qui les habitent.

Guy Gilbert veut tracer de nouveau les balises qui nous ont fait grandir et que nous refusons de transmettre volontairement aux ados. Volontairement, pas tout à fait, je dirai plutôt involontairement par lâcheté, par peur. Oui, nos sociétés ont peur de leurs jeunes et surtout de leurs réactions. Aurions-nous oubliés que nous avons été enfants avant de prétendre tout savoir ? Un Homme qui sait tout est un être arrêté et figé pour l’éternité. Il est un mort-vivant croyant comprendre les autres tout en les ignorant. Il nous faut des vivants, nous martèle Guy Gilbert. Il nous faut des êtres de Lumière. N’est-il pas vrai que la Lumière peut éclairer le chemin rocailleux des meurtris de la vie.

Guy est éducateur, certes mais également prêtre. Voilà, la source de sa Force. Cette Foi indicible dont transpire toute sa personne. Le Témoignage sans prosélytisme est pour lui essentiel. C’est la preuve certaine que Dieu travaille aussi dans le coeur des plus petits. Son secret, la prière celle qui donne ce souffle de liberté pour mieux s’épanouir. Transmettre cette puissance de vie inoculée par l’Esprit est capital dans sa mission d’éducateur. Puissent chaque chrétien et chrétienne, comprendre cette puissance invincible d’une osmose permanente avec Dieu. Ce Dieu des combats pour une culture où l’oppression ne serait que mauvais souvenir. Ce Dieu qui nous fait vivre les authentiques valeurs pour une liberté responsable aux yeux de l’Humanité. Ce Dieu qui nous pousse à parler pour dire aux Jeunes les convictions joyeuses de notre vie.

Ce Dieu qui nous offre le courage d’affronter toutes les peurs pour exprimer ce qui nous tient debout envers et contre tout. Ce Dieu qui fait sourire les enfants par son humour sur les événements. Ce Dieu qui suinte d’Espérance et dont le feu se reflète sur notre visage. Ce Dieu qui sait nous dire « Non » pour nous faire pénétrer dans la maturité spirituelle. Cette maturité dont les Jeunes attendent quelques signes des adultes souvent, en vain. Aimer, c’est savoir dire « Non » quand les garde-fous ont délimités le terrain. Aimer, c’est être constamment présent avec distance pour que fleurisse la liberté individuelle. Guy Gilbert, comme bon nombre de chrétiens, a trouvé depuis sa tendre enfance sens à son existence. Il se fait un devoir de dévoiler ce bonheur qui fomente aux tréfonds de son être. En fait, ce que nous admirons chez lui, c’est ce que nous ne sommes pas capables de dire ou de faire. Et pourtant, ayez confiance Frères et Soeurs bien aimés, l’Esprit-Saint vous donnera le comportement et les mots selon vos charismes pour devenir à votre tour des successeurs de Guy Gilbert.

Des Témoins de l’Amour et de l’Espérance. Des Témoins du Christ vivant dans ce monde aux senteurs de culture de mort. Des ressuscités face à cette terre déprimée de ne plus saisir le sens, l’essence même d’une transcendance voulue par un Dieu d’Amour. Répandre l’Amour dans les moindres gestes quotidiens devient contagieux pour ceux et celles qui nous entourent et nous regardent vivre. De plus, l’amour est inventif à l’infini et permet de trouver des solutions face à la misère humaine dont les jeunes sont les premières victimes. Guy Gilbert ne fait rien d’autre que suivre les pas de la Providence. Suivons-le, sur les sentes où notre destin est donné en offrande à chacun, comme le Christ par Amour désintéressé pour l’Humanité.

 

 

  

Bruno LEROY.

13/03/2011

LE BAUME DE TOUTES PLAIES.

89.gif

Chers Amis ( es ),
 
La vie a plusieurs visages que l'on aimerait voir sourires. Pour cette ultime raison, certaines personnes voudraient satisfaire le monde, voire même les éternels insatisfaits. Et pourtant, il faut se dire et s'imposer à un moment de l'existence, un temps où nous serons seuls face à nous-mêmes. Prendre du recul pour mieux avancer vers autrui. Voilà en somme la substance de ma philosophie. Il ne faut jamais oublier que nous ne sommes pas en capacité de donner ce que nous ne possédons pas. De la tendresse, de l'amour, du silence issu du tréfonds de l'âme. Si nous ne vivons plus ces valeurs quintessencielles, comment voulez-vous les redistribuer autour de vous ? Il faut savourer l'amour pour en donner à son tour...Si vous n'êtes que boule de haines et de rancunes. Vous vous mentez et pire, vous mentez aux autres. La vie spirituelle a sa propre discipline. Alors vivons-là pleinement en ce Carême. Et nous mettrons de la joie et de l'espérance dans les cœurs de chaque humain qui croisera notre chemin. Puis la prière nous fera avancer dans nos propres profondeurs. Malgré les saloperies et les merdes qui nous parviennent, nous ne sommes jamais seuls. Notre foi nous donne la force de donner un parfum de liberté à nos existences dominées par l'économie hégémonique. Et soyons en communion avec le Japon qui panse ses purulentes blessures. Soyons, par la contemplation et l'action, le baume des plaies du Monde.
Je vous souhaite une excellente semaine dans l'Esprit d'Amour de Jésus-Christ, notre Sauveur et Libérateur !
 
Bien Fraternellement, Bruno.

21:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/03/2011

Réflexions sur le rôle des bénévoles.

Lorsque nous exerçons une fonction au cœur d’une association en tant que bénévole, il me paraît évident que la reconnaissance ne peut guère s’effectuer de façon similaire à celle d’un salarié.

En effet, souvent le salaire est le symbole d’une valeur accordée aux prestations de l’employé. Alors, le bénévole ne serait-il jamais inclus dans une dynamique de reconnaissance ? Répondre négativement serait méconnaître la nature Humaine et la signification de ses expressions affectives.

Un sourire, un regard, un geste posés peuvent provoquer l’atmosphère sereine ou conflictuelle de relations internes entre individus.

La relation de confiance est primordiale, base constitutive de toute relation qui permet aux autres de progresser.

La reconnaissance de l’autre est une façon de vivre en acceptant et surtout, en intégrant ses différences. Apprendre à négocier ces différences est la source essentielle de toutes relations saines.

Par contre, le refus catégorique de découvrir l’autre dans son individualité propre, relève de la pathologie. Les associations, qu’elles soient humanitaires ou autres, sont les reflets intrinsèques de nos comportements sociétaux.

Donnons davantage de lumière dans notre reconnaissance envers autrui. C’est-à-dire, une flamme de vérité respectueuse qui fait grandir intérieurement. L’éclat de nos ententes relationnelles et donc, de la reconnaissance inconditionnelle de l’autre, rejaillira sur la société tout entière.

Une association caritative doit montrer l’exemple qu’une humanité rayonnante et bien vivante est encore possible. La reconnaissance de l’autre peut se caractériser aussi par la sanction car, elle est négation de l’indifférence. L’équipe de bénévoles devient alors un microcosme pouvant s’ouvrir vers d’autres paradigmes de façon plus limpide en fragmentant mieux ses limites. La reconnaissance que les autres éprouvent à notre endroit est la preuve même que nous existons au sein d’une association.

Nous sommes responsables des relations que nous entretenons avec autrui. Lorsque nous aurons compris cela, nous aurons tout compris !

Demain, sera la société du rejet ou de l’acceptation inconditionnelle de l’autre à la seule condition que cette relation soit basée sur le Respect. Accepter ne signifie pas tout accepter mais, se mobiliser pour que la tolérance ne demeure point un vain mot dans un vieux dictionnaire.

C’est l’affaire de tous et toutes, là où nous vivons, de porter un autre regard sur les réalités afin de mieux nous intégrer. Si le bénévolat permet une intégration du bénévole dans un groupe, cette intégration doit être également sociale. Et plus le bénévole aura à cœur de se former pour mieux s’épanouir au profond de son individualité, plus il sera en communion avec les autres pour vivre une démarche authentique en faveur des plus exclus de notre société.

Tout cela en fait, est une question de regard que les autres nous portent ou que nous portons sur nos actions. Cette reconnaissance est porteuse de gratuité, d’approfondissement des valeurs personnelles et du sens que nous posons sur le Bénévolat. Les bénévoles sont les transmetteurs des convictions qui les animent. Et celles-ci sont toujours porteuses de gratuité. Il ne pourrait en être autrement... Oui, re-connaissance, naître de nouveau à soi-même pour se reconnaître et être reconnu.

L’importance fondamentale de vivre une certaine empathie avec autrui, nous fait découvrir d’autres horizons que nous-mêmes. Nous entrons alors, dans la co-naissance de l’autre, une position qui donne vie à sa représentativité existentielle. Car être reconnu inconditionnellement, c’est commencer à exister !

Et faire exister les autres pour qu’ils puissent prendre leur destin en main avec une conscience responsable et adulte.

Bruno LEROY.

11:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., PÉDAGOGIE., PHILOSOPHIE | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Liz Mc Comb Stand By Me.

11:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES., GOSPEL | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LIZ MC COMB.


LIZ MC COMB ::: Live a l'Olympia

envoyé par Liz_mc_comb. - Clip, interview et concert.

Une voix qui a la puissance d'un torrent en colère et la douceur d'un souffle comme une brise qui caresse les flots de l'Humain habité par le Divin. Liz est la chanteuse qui s'exprime avec l'âme de son coeur dont je n'ai jamais entendu de semblables échos chez d'autres artistes. Elle est unique et c'est bien ainsi. Puisse-telle continuer longtemps de nous enchanter pour mieux avancer sur le chemin de l'intériorité.
                                                Bruno LEROY.

10:41 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES., GOSPEL | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Liz Mc Comb les racines du Gospel sont dans la prière.


Interview de Liz McComb
envoyé par afriktv. -

10:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES., GOSPEL | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

03/03/2011

JE VEUX CHANTER.

19:29 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES., Musique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |