19/02/2005
AIMER UN ANGE...
Parce que tu es la Lumière de mes rêves,
La substance joyeuse des jours qui se lèvent,
Parce que tu es la vie dans sa respiration,
Qui donne au destin le délice des illusions,
La vérité dans les sentiments qui jamais,
Ne mentent pour faire plaisir ou avoir la paix,
Parce que tu es l'indicible qui ne peut s'écrire,
La Tendresse éprouvée qui ne veut pas mourir,
Le sourire de Dieu dans l'infini désir d'être deux,
Parce que tu es l'être le plus précieux à mes yeux,
Je retrouve chaque jour la présence de ton Amour,
Et je sais la gratuité réelle suavement sans retour,
Par que mon coeur sait battre tambour,
Quand il voit ton doux visage d'Amour,
Je t'Aime au superlatif du présent divin,
Je t'Aime car tu es le chemin de mon destin...
JE T'AIME MON ANGE !!!
Bruno LEROY.
11:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE | Lien permanent | Commentaires (3) | 
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Commentaires
Une amie qui passe
Écrit par : Une amie qui passe | 23/02/2005
Un trait de pinceau pour un peu de couleur
Dans les brumes de notre terne vie
Pour un moment de bonheur
Il y a des instants vraiment magiques
Où même une grise vie n’est plus triste
Où l’on sait que les mots ne sont pas que symboliques
Où l’on sait que l’on vit, que l’on existe
Il y a aussi de la magie dans les notes ainsi poster.
Ce sont des mots qui partent et des paroles qui se font entendre
Dans notre terne vie, il y a un temps où brille même le soleil
Nous avons enfin le bonheur, d’avoir quelqu’un à qui parler.
Mark
Écrit par : Mark | 10/03/2005
Cheminant un jour en un lieu solitaire,
le roi Salomon rencontra une fourmilière.
Aussitôt toutes les fourmis vinrent par milliers le saluer.
Une seule l'ignora, occupée à emporter, grain par grain,
l'énorme monticule de sable devant elle.
Le roi Salomon la fit appeler et dit :
"Ô petite fourmi,
même avec la longévité de Noé et la patience de Job,
jamais tu ne pourras faire disparaître
cette montagne de sable !"
"Ô grand roi,
répondit la fourmi,
ne t'arrête pas à ma taille...
mais regarde plutôt mon ardeur.
Derrière ce monticule est ma bien-aimée.
Rien ne m'arrêtera pour l'effacer.
Et si je dois perdre la vie, au moins je mourrai
dans l'espoir de la rejoindre.
Ô roi,
apprends d'une fourmi ce qu'est la force de l'amour,
apprends d'un aveugle le secret de la vision..."
Un joli petit conte dont je ne connais pas l’auteur !
Trouver dans les pages d’un forum,
Qui hélas n’avez pas était signé…
Écrit par : Jackie | 18/04/2005
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