07/04/2006
UNE HISTOIRE D'AMITIÉ.
C’est l’histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. À un moment, ils se disputèrent et l’un des deux donna une gifle à l’autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable : AUJOURD’HUI MON MEILLEUR AMI M’A DONNÉ UNE GIFLE.
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre : AUJOURD’HUI MON MEILLEUR AMI M’A SAUVÉ LA VIE.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda : « Quand je t’ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi? »
L’autre ami répondit : « Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l’effacer. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l’effacer ».
APPRENDS À ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE
ET À GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.
08:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONTES SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Commentaires
Quelle belle leçon qu'est cette histoire ... Apprendre à pardonner et à effacer ses blessures pour ne conserver que les jolies choses de la vie.
Merci pour ce joli conte
Écrit par : Stéphanie | 07/04/2006
Oui, Chère Stéphanie,
Que l'on soit croyant ou non, l'importance du " PARDON " est essentielle dans nos vies.
L'être Humain ne peut prétendre à une libération intérieure, s'il n'est pas en capacité de pardonner. Car, plutôt que ressasser sans cesse les paroles ou les actes qu'une personne a commise à notre encontre ; il est libérateur de pardonner, ce qui ne veut pas dire effacer d'un coup d'éponge mais, se libérer de l'emprise et de l'impact qu'ont certains individus sur notre intériorité.
Le refus du Pardon est un emprisonnement à Vie !
Tout le monde est concerné par cet enchaînement. Tant que nous n'aurons pardonnés, nous serons dans l'incapacité d'aller de l'avant...
Là où la Foi déborde tout entendement c'est de savoir pardonner au meurtrier d'un enfant par exemple. Moi, je ne sais pas le faire. Alors, je dis à Dieu : Tu es plus Grand que moi et Toi Seul peut pardonner.
La libération vient alors progressivement puisque notre regard sur autrui change sans pour autant acquiescer les fautes passées.
Je vous remercie de votre intervention et vous souhaite une très belle journée dans le coeur de Dieu Amour !
QDVB
Très Fraternellement, Bruno.
Écrit par : BRUNO LEROY. | 08/04/2006
Les commentaires sont fermés.