05/02/2011
TOUT SACRIFIER SAUF L'AMOUR.
- Être capable d’accepter l’autre tel qu’il est
- Être capable de s’accepter soi-même, tel qu’on est
- Être capable de dire : moi, je pense différemment, mais ça ne m’empêche pas d’aimer, d’avoir un cœur
- Être capable de traiter l’autre comme je voudrais qu’on me traite
- Être capable de reconnaître que l’autre peut avoir raison
- Être capable de reconnaître ses torts, en les reconnaissant, on se grandit
- Être capable de réaliser l’autre tel qu’il est, et non tel que je voudrais qu’il soit
- Être capable de dire : je te félicite !
- Être capable de dire : excusez-moi !
- Être capable de pardonner
- Être capable d’écouter l’autre sans le répéter à d’autres
- Être capable de retenir sa langue afin de ne pas offenser
- Être capable d’encaisser des coups sans vouloir les remettre
- Être capable d’accepter d’être dérangé par les autres
- Être capable de sacrifier de son temps pour le dédier à l’autre
- Être capable de dire Merci !
- Être capable de dire ensemble : Notre Père que ta volonté soit faite, pardonne-nous
- Être capable de tout sacrifier, sauf l’Amour !
21:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO., MÉDITATIONS., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES., POUR LES JEUNES., Prières, Prières., RÉFLEXIONS ET PENSÉES, RÉFLEXIONS LITTÉRAIRES., RÉFLEXIONS., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
01/02/2011
La relation sexuelle un don réciproque.
Il y a en chacun de nous un besoin sexuel. Certes, il n’est pas du même ordre que le besoin de manger ou de boire. En effet, on peut se passer, être privé de l’exercice de la sexualité, ou la différer, sans cependant mourir ; ce qui n’est pas le cas de la nourriture ou de la boisson. Ce besoin sexuel est présent dès le plus jeune âge. L’enfant éprouve de manière diffuse son corps comme une source de plaisir. Il aime être bercé, pris dans les bras, choyé. Il aime être embrassé et embrasser. Ce contact corporel, il est cherché non pas comme pure sensation épidermique, mais comme expression d’une relation intersubjective. Au moment de la puberté, le garçon et la jeune fille découvrent en leur corps de nouvelles potentialités de plaisir ainsi que le désir plus vivace de le partager, de le donner à l’autre, de le recevoir de l’autre, comme expression d’un amour mutuel. A nouveau, faire de la relation sexuelle un don réciproque, n’est pas acquis d’avance ; il faut du temps ; un temps où l’attirance des cœurs, la connaissance mutuelle au-delà des images rêvées, la maturation psychologique et le désir sexuel progressent de pair.
Ce n’est pas mettre de son côté toutes les chances de réussite en amour que de vouloir tout, tout de suite, de se livrer à la passion érotique, en court-circuitant le temps des maturations. Dans ce cas "on fait l’amour" sans amour, sans lien amoureux correspondant. Des illusions sont possibles à ce propos. Par exemple, le jeune homme qui veut "faire l’amour" moins par amour de l’autre que pour éprouver sa virilité et épater les copains. Ou encore la jeune fille qui donne son corps pour retenir un amour fragile à peine naissant, pour retenir un partenaire indécis ou volage, en croyant que la relation sexuelle suffit à créer un lien durable. Les désillusions peuvent être rudes et laisser au cœur des blessures qui demeurent ouvertes. Banaliser l’acte sexuel, le détacher d’un lien amoureux forgé à l’épreuve du temps, c’est prendre le risque de s’interdire l’accès un jour à un amour authentique.
La relation sexuelle, si l’on veut qu’elle soit gratifiante, vient en son temps : au moment où les partenaires se mettent à aimer le lien qui les unit, à vouloir le préserver dans la durée et à espérer qu’il n’aura pas de fin. C’est alors que l’acte sexuel devient l’expression d’un don de soi réciproque, en pure perte, sans calcul. Car à l’étreinte des corps se conjoint l’abandon confiant et réciproque à l’autre. Le plaisir érotique s’en trouve accru car la rencontre des corps est en même temps échange affectif où chacun se reçoit de l’autre et se donne à lui.
Dans la relation sexuelle, il y a certes un désir de fusion, mais, au moment de la rencontre, au moment le plus intense de la proximité, l’autre reste autre, car la femme ne saura jamais ce que l’homme éprouve dans son corps et vice versa. C’est pourquoi la rencontre sexuelle, pourvu qu’elle s’inscrive dans un lien amoureux, n’est jamais prise de possession de l’autre, mais rencontre de sa mystérieuse altérité. Elle est ainsi offrande et non pas prise. La fidélité, elle se forge quand, pour l’amour de soi et pour l’amour de l’autre, on se prend à aimer le lien amoureux lui-même ; on le maintient, on le préserve, on l’entretient, on le cultive avec art et sagesse afin que, petit germe fragile au départ, il devienne arbre épanoui.
Bruno LEROY.
20:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONSEILS ÉDUCATIFS., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., PÉDAGOGIE., PENSÉES PERSONNELLES, PHILOSOPHIE, PSYCHOLOGIE., RÉFLEXIONS ET PENSÉES, SCIENCES HUMAINES, SCIENCES SOCIALES., SOCIOLOGIE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
23/01/2011
CRAIG ADAMS CHANTE PRAISE THE LORD : LOUEZ LE SEIGNEUR !
12:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
L'Amour est épanouissement constant de la Vie.
12:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONVERSIONS, LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., MÉDITATIONS., PÉDAGOGIE., PENSÉES PERSONNELLES, POUR LES JEUNES., RÉFLEXIONS ET PENSÉES, RÉFLEXIONS LITTÉRAIRES., RÉFLEXIONS., SOCIÉTÉ., SPIRITUALITÉ, THÉOLOGIE CONTEXTUELLE., VIVRE L'ÉVANGILE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
15/01/2011
La saveur des incandescences du bonheur.
Je voudrais mourir le corps face à la mer,
Entendre les gens rire de ce fait divers,
Je voudrais entrer dans cet autre univers,
Les yeux retournés au-dedans de moi-même,
Entendre le silence m'inspirer quelques vers,
Goûter à ta Présence une dernière fois,
Pleurer dans les bruits indigestes d'autrefois,
Comme si m'absenter devenait un problème,
Pour l'Humanité qui se fiche de ma peau,
L'amour ne meurt pas quand il est cultivé,
L'amour c'est toi c'est moi en cette éternité,
Je voudrais tant revivre tout ce que j'ai raté,
Et puis, je me dis qu'il est venu ce souffle,
S'arrêter au bon moment de ma vie,
Les combats sont finis terminés à jamais,
Les souffrances aussi sont en plein trépas,
Que reste-t-il désormais de moi et des années ?
Des joies exprimées au printemps de nos rêves,
Des fleurs parfumées qui n'en finissent pas de mourir,
Des illusions devenues réalités dans les bras du désir,
Je voudrais mourir les yeux ouverts face à l'enfer,
Et dire au diable que la Vie est belle, trop belle,
Au point d'en mourir...
Quand Dieu ne répond pas aux prières suppliantes,
Quand nos cris restent désert au pays de l'absente,
Je ne veux plus mourir car trop d'oiseaux chantent,
Leurs mélodies font rire et apaisent nos âmes,
Le soleil fait du charme aux nuages trop lourds,
Je ne veux que vivre dans l'Amour,
D'un Dieu poète ou troubadour aux tempos rock,
Comme un chanteur revenu sur la scène perdue,
Je veux revenir à la douceur de vivre,
Et ces cruels combats qui nous veulent libres,
Je veux revenir aux prières d'autrefois, aux cantiques,
A cette introspection qui met la vie en musique,
Je voudrais te revoir un instant dans mon miroir,
Et le briser au moment où tu apparais,
Pour tuer le temps et tuer la mort des souffrants,
Oh ! Satan ne vient pas mettre tes doigts dans les miens,
Je les briserai sans pitié pour tes supplices d'esclave,
Je suis à Dieu désormais et rien ne saurait me faire trembler,
Depuis ma tendre enfance je lui ai donné mon existence,
Et depuis mes journées même dans leurs noirceurs,
Ont la saveur des incandescences du bonheur,
J'ai donné sens à ma présence sur cette terre,
En laissant mon esprit glisser dans les doigts,
De la divine Providence qui me procure des joies,
Par-delà toutes souffrances perdues d'avance,
Je veux vivre sempiternellement dans ce regard,
D'Amour que Dieu Seul peut donner,
Et faire de ma mort une immense farce,
Qui fera partir ma chair en fumée,
Juste pour impressionner les spectateurs,
Qui verront sur mes lèvres ce sourire,
Narquois de l'homme qui s'en va,
Vers d'autres chemins et d'autres destinées,
Rien à craindre quand on se sent aimé,
Jusqu'au bout de soi-même,
Suprême sagesse d'une pensée réfléchie,
Aux profondeurs d'une nouvelle philosophie
Celle de Jésus-Christ et de son message de vie,
Tu sais la Foi est une expérience dont on ne revient,
Si tu fais cette rencontre même la mort ne sera rien.
Bruno LEROY.
20:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, MÉDITATIONS., PENSÉES PERSONNELLES, PHILOSOPHIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
10/01/2011
Demain sera plus magnifique qu'aujourd'hui.
Où baigner mon Bonheur au sein de notre Amour,
Fleurs épanouies qui parfument les jours,
Tels des rêves enfouis au regard de velours,
Nos sentiments chaque jour se ressourcent.
Demain sera plus magnifique qu'aujourd'hui,
Puisque nos mains ne lâcheront jamais le destin,
Construit dans la tendresse de nos nuits,
Invincible par ce respect à jamais déposé,
Sur nos corps aimants sans ressentiments,
Comme les vagues puissantes et nacrées,
Qui au long du chemin portent ses fruits.
Les jours et les nuits ensoleillent ma Vie,
Depuis des années que tu existes à mes côtés,
Je sais que le printemps est toujours de saison,
Puisque l'Amour est un art qui sans cesse se crée,
Dans le jardin des magiciens et des fées.
Sans toi je ne serai que la moitié de moi.
Triste vie que ce vide à vivre de toute éternité.
Je t'Aime plus que mes mots ne sauraient,
Dire sans éprouver quelques sanglots de leurs limites,
Pauvres phrases qui valent moins que le silence,
Puisque l'Amour se vit avant de se dire,
Et les gestes parlent plus que tous mes délires,
Demain n'aura pas l'aspect d'un navire qui chavire,
Mais l'étoile scintillante de notre joie sempiternelle,
Qui chaque jour s'étire pour retrouver la clarté intérieure.
Bruno LEROY.
21:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
07/01/2011
Le vague à l'âme.
18:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Mes mots sont pour ceux qui ne sont pas aimés.
12:32 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LITTÉRATURE., MÉDITATIONS., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIES SPIRITUELLES., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
02/01/2011
TU ES NOTRE LIBERTÉ D'AIMER.
20:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO., LITTÉRATURE., MÉDITATIONS., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
16/12/2010
NOËL INCARNATION DE LA BONNE NOUVELLE.
Dire que le Christ sauve l’homme du péché est une affirmation répétée par des siècles de croyants, au point de se vider pour certains de son poids de réalité. Or, le péché a une dimension structurelle et collective.
Si donc l’affirmation des croyants est plus qu’une formule creuse, c’est que le salut en Jésus-Christ doit pénétrer jusque dans les structures collectives de l’humanité. Bien plus, tout comme le « péché originel » interdisait une conception individualiste du péché, en désignant la solidarité première qui marque les êtres humains, l’initiative libératrice de Dieu en Jésus-Christ concerne les hommes, et chacun d’entre eux, dans leur solidarité fondamentale.
Le salut de chacun se comprend à l’intérieur d’une histoire de salut qui englobe toute l’humanité.
Or le mal qui ronge le monde des hommes porte des noms aujourd’hui : sous-développement, marginalisation, inégalités criantes, exploitation des pauvres par les riches, chômage, loi du profit, règne de la violence, de la torture, du délit d’opinion, etc...Ce mal, des systèmes et des personnes en sont les auteurs ; d’autres hommes en sont les victimes. Les expressions de ce mal sont sociales et politiques.
Si la Bonne Nouvelle du salut en Jésus-Christ a un sens concret pour les hommes d’aujourd’hui, comment pourrait-elle être étrangère à ces maux ? Comme le mal, dont elle vient sauver les hommes, elle aura nécessairement une portée sociale et politique. C’est dire que les chrétiens, corps contemporain de Jésus, porteurs de la Bonne Nouvelle de libération, ne peuvent éviter d’être partie prenante dans le débat politique de notre temps, ni de prendre parti pour les victimes de ces maux : les petits, les faibles et les opprimés, avec qui Jésus s’est montré solidaire.
Sa naissance, tel un paria de notre société, doit nous mettre sur la route du Christ et c’est dans la prière silencieuse, que nous entendrons ses Appels et ses gémissements pour nous dire que Noël n’est pas une simple Fête pantagruélique assouvie dans les beuveries des carencés spirituels mais, le signe d’une mémoire qui se réactualise chaque année pour nous rappeler notre vocation au sein du monde. Suivre les pas du Christ-Amour, c’est vivre Noël chaque jour dans les yeux de Dieu.
Puisse ce Noël être pour vous une conversion festive vers davantage d’Amour, celui qui dépasse les haines, les remords et les rancunes.
Notre terre aurait bien besoin d’un Noël quotidien vécu dans une spiritualité authentique faite d’Amour et de compassion. Seigneur, donne-nous ce Noël quotidien pour alimenter notre Foi afin que nos jours aient la fraîcheur des matins dont les parfums sentent bon l’Espérance et la joie de vivre en suivant les pas de ton Esprit de liberté.
Bruno LEROY.
13:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., COMBAT SPIRITUEL., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POUR LES JEUNES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |