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29/11/2010

L'amour. Une émotion qui s'use ?

 

Une émotion qui se redécouvre sans cesse !

Une émotion que l'on ne peut maîtriser mais que l'on peut nourrir, attendre et chercher...

Et qui dans ce cas revient toujours plus forte, d'autant plus en contraste avec les passages de désert...On peut côtoyer ceux qui nous sont les plus chers sans même les voir. Quotidiennement !

 

 

Époux ou épouse, mais aussi dans la relation avec Dieu.

 

 

On n'écoute plus, absorbés par nos activités et nos pensées dont l'autre est exclu !

On peut ainsi parler, écouter faire quelque chose pour l'autre sans que l'autre n'existe vraiment dans nos coeurs, dans nos pensées, dans nos gestes ou nos paroles...Et soudain, sans même comprendre pourquoi, quelque chose brise cette glace, nous montrant notre besoin de relation authentique, profonde et sincère.

On aime !

Bruno LEROY.

 

 

25/11/2010

Tu possèdes le feu des désirs brûlants.

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L'eau coule le long de ton corps ardent,
Tu possèdes le feu des désirs brûlants,
Je ne laisserai pas le piège se refermer,
Sur tes courants tumultueux et enflammés.
 
 
Ah ! Que n'ai-je tant ascétisé dans ma vie,
Vos charmes ne me laissent pas de marbre,
Mais je sais maîtriser les passions de nuits,
Mon cœur gravite désormais d'autres arbres.
 
La spiritualité n'empêche nullement d'aimer,
Jouir dans les fanges de vos corps évanouis,
Elle permet de ne point sombrer dans vos désirs,
Ceux que l'on ne désire pas vraiment.
 
Un autre amour différent de votre chair salace,
Permet de ne point vivre en vieux dégueulasse,
En jeune incontrôlé par des hormones jaillissantes,
Qui provoque déjà des blessures naissantes.
 
Le système nous incite à baiser avec la publicité,
Cette femme qui présente un objet à acheter,
N'est-elle pas devenue objet à son tour,
Elle présente du vent pas de l'amour.
 
Si tu suis le système alors tu penseras,
Nuit et jour au sexe qui dévore l'amour,
Au fric qui bousille tes relations authentiques,
Et tu crèveras dans ce vide sidéral sans foi.
 
Il te faudra choisir entre la beauté des sentiments,
Et l'éjaculation précoce sans lendemain,
Entre l'argent qui bouffe ton oxygène intérieur,
Ou le Bonheur d'être aimé pour ce que tu es.
 
Bruno LEROY.

12:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Je viendrai loger dans la maison de ton âme

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Je te soutiens dans ces moments d'incertitudes,
Mon soleil brûlera dans tes brumes obscures,
Et tes peurs s'évaporeront comme l'éther,
Tu sais j'ai combattu tant d'imbéciles,
Ceux qui prétendent savoir sans connaître.
 
Depuis longtemps je respire au profond de mon être,
De mes propres limites tout en les savourant,
Les autres n'ont guère le droit d'estimer si tu es grand,
Ta splendeur, tes éclats se font dans ton esprit avec raison.
Apprends à mieux te connaître pour te reconnaître.
 
Renvoie les autres sur les chemins de leurs perfections,
Trace ton propre destin comme une fleur en bord de route,
Et tu seras très loin des pensées construites pour toi,
Tu seras ton maître à penser face à ta destinée,
Toujours je te tiendrai la main pour t'éviter de trébucher.
 
Tu sentiras mon souffle t'aider à te relever,
Dans les situations qui semblent compliquées.
Je t'aime et je t'aimerai loin du propos courant,
Loin des réflexions de ces ombres moralisantes,
Qui démoraliseraient toute marche en avant.
 
Je marche à tes côtés sans complexe d'aimer,
Ton cœur bat dans le mien j'entends tes angoisses,
Je viendrai loger dans la maison de ton âme,
Uniquement pour sans cesse répéter mon amour,
Te rassurer de ces yeux que tu prends pour des vautours.
 
Bruno LEROY.

23/11/2010

QUAND TU ME TENDS LES BRAS VERS TA LUMIÈRE.

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Cet arbre qui vieillit au gré des saisons,
C'est ton ami qui se façonne à sa façon,
Un jour plus jeune pourtant malgré le temps,
Passant avec sa froidure sacrifiée au vent.
 
Dans ton regard levant je deviens adolescent,
En tes rêves d'enfant je deviens jeune éternellement,
Et je grandis en ton souffle respiration de mon âme,
Braise qui s'embrase pour devenir brûlante flamme.
 
Sans toi je ne suis qu'un arbre solitaire,
Les bras tendus vers le ciel qui attend,
Le suprême miracle de ton cœur palpitant,
Quand tu me tends les bras vers ta lumière.
 
Bruno LEROY.

20:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

SANS AMOUR LES JOURS NE FONT QUE PASSER.

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Toi et moi contre le monde entier,
Toi et moi pour l'éternité,
Une façon absolue de nous aimer,
Malgré les adversités et les tempêtes,
Qui pourraient nous briser,
Sans amour les jours ne font que passer,
Dans les yeux des autres,
Sans jamais devenir nôtres,
Sans Amour je ne pourrais pas même t'imaginer,
Dans mes je t'aime...!
 
Bruno LEROY

20:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'AMOUR S'EXPRIME SANS MOT DIRE.

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Des corps qui puisent la force à la source,
Les plus délicieuses nuits mourant dans un cri,
Un gémissement qui atteint les sommets,
Les plus élevés de la conscience humaine.
 
Amour, amour quel chant rythme ta chanson,
Ce paradis en musique psychédélique,
Mais garde sa raison dans sa façon,
D'aimer sans illusions en vérité.
 
 
Nos corps ne sont pas figés, fixés, sculptés,
Dans la glaise de la mort,
Ils coulent le long des flots tels des bateaux,
Pour changer le décor,
Dans nos veines ruissellent mille merveilles.
 
L'amour est notre puits ouvert sur la vie,
Nous cherchons en ses flancs nos passions,
Ô splendeurs d'un océan qui s'ouvre dans le cœur,
Profond de ce que nous pensions être illusions,
La mer déborde loin des idées convenues.
 
Convenances de pensées immuables,
Les sentiments sont les réflexions des corps,
Lorsque le soleil vient brûler leur chair amitié,
Pour en extraire le feu d'un amour consumé.
 
Vagues jaillissantes de nos rêves tremblants,
L'amour est un cadeau offert par le firmament,
Une sorte d'étoile solitaire mais aimante,
Qui scintille sur la voie lactée des amantes.
 
Que nous sommes quand nos fièvres donnent,
A nos mains des secousses tremblantes,
Non de peur mais d'extase dans cet ultime instant,
Où l'amour s'exprime sans mot dire et pourtant,
Tout est dit dans un cri de volupté sans effroi.
 
Bruno LEROY.
 

20:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/11/2010

IL EST MORT SANS FAIRE DE BRUIT.

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Il est mort un matin de pluie,
Dans les mains de ses nuits,
Il est mort sans faire de bruit,
Sans l'ombre d'un geste, d'un cri,
Il est mort les yeux tournés vers demain,
Embrassant les couleurs de son destin,
Il est mort dans un sourire soulagé,
Avec cette face illuminée,
D'un feu intérieur qui le brûlait,
Il est mort entièrement enchanté,
Laissant sur ses lèvres des chants,
Des poèmes et d'étranges rêves,
Il est mort plus lumineux que les cieux,
Oui, il est bien mort l'homme que j'étais,
Ce vieil homme aura tout pardonné,
Par amour de la vie il s'est donné,
Aux plus petits aux plus blessés,
Il mort pour renaître dans une dimension de l'être,
Où la Tendresse envers soi éclabousse les autres,
Il est mort cet égoïste qui ne pensait qu'à ses pensées,
Il est bien mort cet homme d'autrefois que je n'aimais,
Il me fait chavirer cet homme d'aujourd'hui,
Que j'aimerai toute ma vie s'il demeure à mes côtés,
Par souci de fidélité aimante à propager dans l'Humanité.
Bruno LEROY.

11/10/2010

Dans les profondeurs de Ton silence.

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( Photo : Bruno LEROY )

Dans le silence des forêts,

Les arbres me regardent marcher,

Sur leurs feuilles peintes d'Espérance,

J'ai senti le sourire de Ta présence.

 

 

Dans le miroir de l'ondée,

Où les batraciens viennent chanter,

Des oraisons, des prières, des chants d'adoration,

J'ai senti ton sourire se blottir dans mon imagination.

 

 

Dans l'herbe fraîche,

Où mon corps se délaisse,

Emporté par des parfums de Tendresse,

J'ai senti ton sourire telle une brise de caresses.

 

 

Dans la nuit qui tombe,

Sans faire de bruit dans sa pénombre,

Les étoiles s'allument et s'éveillent,

J'ai senti ton sourire telle une merveille.

 

 Dans l'aube matutinale,

Aux couleurs bleutées et idéales,

Le soleil enlève son pyjama  de nuit pour être debout,

J'ai senti ton sourire m'emporter loin de ce monde fou.

 

Et depuis ce temps précis,

C'est dans les profondeurs de Ton silence,

Que je confie ma Vie,

Et celle de mes Amis,

Aux battements de  cœur de Ta divine Providence.

 

Bruno LEROY.

27/09/2010

J'IMAGINAIS MA VIE TROP PARFAITE.

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J'imagine l'amour coulant dans mes veines,
J'imagine la vie ruisselante de tendresse,
J'imagine ton cœur sans haines,
J'image tant de choses, tant de rêves,
Des humains qui se regardent sans juger,
Mais en tendant la main pour aider,
Le prochain sur le trottoir glacé,
Le jeune qui te renie pour t'affronter,
Et voir dans ton existence toute la cohérence,
De tes pensées et actes réunis,
J'image ma mort comme un éclat,
Dans l'œil aimant du firmament,
Et Dieu venant vers moi pour me dire,
Comme tu as rempli d'aurores tes délires,
J'offre au monde la rose de tes souffrances,
Et que tombe des ciels un tapis de pétales,
Une réalité de douceur en cette terre brûlante,
De guerres, d'indifférences, d'égocentrisme,
Et de mille défauts encore...
Mais le monde n'est pas parfait,
Je te renvoie sur la planète pour savourer,
Tes frères et sœurs que tu as aimé dans leurs blessures,
Pour que tu puisses avec Joie panser leurs plaies,
Penser le monde pour le rendre plus habitable.
Mais, surtout envoie ton sourire à ceux qui l'ont perdus,
Rien ne sert de se plaindre si jamais tu ne fais rien,
Je t'envoie pour faire briller l'âme des humains,
Ceux que j'aime tant et que tu n'as pas toujours compris,
Alors, je me suis relevé et j'ai demandé Pardon,
A celui qui nous a créé de toutes éternités.
Amen !
 
Bruno LEROY.

21:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |