02/12/2008
Les sciences expliquées par les Simpson.
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Les sciences expliquées par les Simpson Ecologie, nucléaire, santé, astronomie... Quand Bart, Omer et toute la famille parlent de ces grandes questions, on comprend tout de suite beaucoup mieux ! Dossier | |
BIOLOGIE Qu'est-ce qui nous fait pleurer ? Joie, peur, tristesse, douleur... Les larmes viennent quand on ne les attend pas. Ces gouttes d'eau salée jouent un rôle important sur le corps. Comment pleure-t-on ? Explications | |
EN VIDEO Peut-on prévoir une éruption ? Les volcans qui explosent sont des spectacles les impressionnants de la nature. Comment les scientifiques font-ils pour prévoir une éruption ? Réponse en vidéo, expliquée par une spécialiste. Voir | |
Les sciences |
19:56 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
NOUS SOMMES TOUS PAREILS.
Nous sommes à peu près tous pareils, emprisonné par une multitude de liens, contraintes, obligations, dépendances, conformismes... Parmi toutes ces attaches, celles qui nous ligotent le plus ne sont pas, comme nous l’imaginons souvent, extérieures à nous. Notre vraie prison est intérieure, émotionnelle et mentale.
Nous sommes tels ces hommes primitifs que l’on pouvait enfermer dans un cercle tracé par terre, simplement parce qu’on leur avait injecté la croyance que, s’ils le franchissaient, ils mourraient aussitôt.
Avouez-le : il n’y a pas de jour où nous ne faisons une montagne de soucis futiles. Râlerie, chagrin, colère, consternation, accusation, dépression... peuvent naître pour des riens et nous gâcher la vie. Cette dramatisation est due à un mélange de paranoïa, d’impatience, de mauvais stress et surtout : d’un terrible manque d’humour.
Logiquement, nous devrions être tordus de rire en constatant combien nous pouvons être raides, nous prenant pour le sommet du monde, dramatisant le moindre incident, déclenchant le plan ORSEC si nous ne trouvons pas tout de suite l’objet dont nous avons besoin... ou une jaunisse si quelqu’un risque d’avoir une mauvaise opinion de nous. Oser se moquer de soi-même est un excellent exercice avant d’entreprendre de méditer, en quête du grand Soi en soi-même.
14:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
01/12/2008
Les enfants ont des droits.
La Convention internationale des droits de l'enfant :
La Convention relative aux droits de l'enfant a été ratifiée par 193 États depuis que l'Assemblée générale des Nations unies l'a adoptée à l'unanimité en novembre 1989. C’est le traité international le plus ratifié au monde : Deux pays seulement - les États-Unis d'Amérique et la Somalie - ne l'ont toujours pas adoptée.
En ratifiant la Convention, les États s'engagent à respecter un code d'obligations contraignantes envers leurs enfants. Grâce à la Convention, les droits de l'enfant sont aujourd'hui le fer de lance de la lutte en faveur des droits de l'homme; la société des adultes se doit de les garantir en tant qu'obligation légale, impératif moral et priorité du développement.
En vertu de la Convention, l'UNICEF a l'obligation juridique de promouvoir et de protéger les droits de l'enfant en soutenant les travaux du Comité des droits de l'enfant. Plus précisément, l'article 45 charge l'UNICEF des tâches suivantes :
- Participer à l'examen des rapports des États parties;
- Donner des avis spécialisés sur l'application de la Convention;
- Soumettre au Comité des droits de l'enfant des rapports sur l'application de la Convention;
- Donner suite aux demandes que lui adresse le Comité au sujet des conseils ou de l'assistance technique à apporter à un État partie.
C’est la première fois qu’un traité de défense des droits de l'homme associe à son application une institution spécialisée des Nations unies.
Les droits de l’enfant en France
La France est le deuxième pays à avoir ratifié la Convention relative aux droits de l'enfant. Ce traité international est entré en vigueur dans notre pays le 2 septembre 1990. La France n'est cependant pas à l'abri de tous les maux qui peuvent toucher les enfants dans les pays industrialisés : pauvreté, précarité, maltraitance. Parfois, l'accès aux services de base leur est même refusé.
L’UNICEF France qui est garant de l’application de la Convention dans notre pays, cherche à accompagner les acteurs de la société dans son application en proposant conseils, partenariats et accompagnement. Ainsi, depuis 2002, l’initiative « Ville amie des enfants » valorise les bonnes pratiques des Villes en faveur des enfants et des jeunes.
Par ailleurs, l’UNICEF France organise, avec ses partenaires institutionnels, des conférences et des débats sur l’enfance en France pour ouvrir des voies nouvelles à l’application de la Convention. De la même manière, l’UNICEF France a créé en 2000 une commission consacrée à l’Enfance en France. Depuis 2007, Il a mis en place une Mission « Enfance en France » qui lui donne une expertise sur la question du respect des droits de l’enfant sur le territoire français et lui permet de prendre position sur une question aussi cruciale que la récidive des mineurs par exemple.
19:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ACTUALITÉS SOCIALES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Relance du dépistage précoce des comportements agressifs.
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"En 1945 un mineur sur 166 était mis en cause dans une affaire pénale, aujourd'hui c'est un sur trente, il faut réagir", a déclaré le député des Hauts-de-Seine. "Je ne pense pas" que ce soit trop tôt, a-t-il dit à propos de la proposition d'abaisser la responsabilité pénale de 13 à 12 ans faite par la commission Varinard chargée par la garde des sceaux Rachida Dati de réformer la justice pénale des mineurs. "Moi je souhaite qu'on aille même sans doute un peu plus loin", sur "la question de la détection précoce des comportements", a-t-il ajouté.
En 2006, des projets de détection précoce des troubles du comportement dès le plus jeune âge pour prévenir la délinquance, s'appuyant sur un rapport de l'Inserm, avaient suscité un tollé chez les professionnels de la petite enfance, éducateurs et "psys". Une pétition intitulée "Pas de zéro de conduite pour les enfants de 3 ans", avait recueilli plus de 46 000 signatures.
18:29 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POLITIQUE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
30/11/2008
« Prenez garde, veillez : car vous ne savez pas quand viendra le moment »
Il faut toujours tenir compte d'un double avènement du Christ : l'un quand il viendra et que nous devrons rendre compte de tout ce que nous aurons fait ; l'autre, quotidien, quand il visite sans cesse notre conscience et qu'il vient à nous afin de nous trouver prêts lors de son avènement. À quoi me sert, en effet, de connaître le jour du jugement, lorsque je suis conscient de tant de péchés ? De savoir que le Seigneur vient, s'il ne vient pas d'abord dans mon coeur et ne revient pas dans mon esprit, si le Christ ne vit pas et ne parle pas en moi ? Alors, oui, il m'est bon que le Christ vienne à moi, si avant tout il vit en moi et moi en lui. Alors pour moi, c'est comme si le second avènement s'était déjà produit, puisque la disparition du monde s'est réalisée en moi, parce que je peux dire d'une certaine manière : « Le monde est crucifié pour moi et moi pour le monde » (Ga 6,14).
Réfléchissez encore à cette parole de Jésus : « Beaucoup viendront en mon nom » (Mt 24,5). Seul l'Antéchrist s'empare de ce nom, bien que ce soit mensonger... Dans aucun passage de l'Écriture, vous ne trouverez que le Seigneur ait déclaré : « Moi, je suis le Christ ». Car il lui suffisait de montrer qu'il l'était par ses enseignements et ses miracles, parce que le Père était à l'oeuvre en lui. L'enseignement de sa parole et sa puissance criaient : « Moi, je suis le Christ », plus fort que si des milliers de voix l'avaient crié. Je ne sais donc pas si vous pourrez trouver qu'il l'a dit en paroles, mais il l'a montré en « accomplissant les oeuvres du Père » (Jn 5,36) et en donnant un enseignement imprégné de piété filiale. Les faux messies en étant dépourvus, ils ne peuvent employer que leurs discours pour soutenir leurs prétentions mensongères.
Commentaire sur l'évangile de Matthieu, 11, 24 ; PL 120, 799 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 14)
17:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RÉFLEXIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
29/11/2008
Nous commençons l’Avent !
Nous commençons l’Avent de cette nouvelle année liturgique avec une consigne précise de la part de notre Seigneur : « Veillez ! » (Cf. Evangile). C’est une invitation à être attentif aux signes de la nouveauté chrétienne dans l’attente de son plein accomplissement lorsque notre Seigneur viendra dans la gloire et nous ressuscitera avec lui. Car c’est bien cela que nous attendons : ressusciter en Christ pour ne faire plus qu’un avec lui.
Mais être tendu vers le futur ne signifie pas s’évader du présent. C’est au contraire mesurer le présent à l’aune de ce futur, c’est anticiper dans l’aujourd’hui ce futur. L’évangile nous invite à entrer dans cette attitude lorsqu’il nous dit que dans l’attente du retour de leur patron les serviteurs doivent rester fixés à leur travail. C’est dans le présent que je trouve le Seigneur qui déjà vient à moi pour me préparer à le recevoir dans toute sa plénitude lorsqu’il reviendra à la fin des temps.
Veiller signifie également garder ardent et vif le désir de la venue du Seigneur. Cela implique de ne jamais se lasser de l’appeler : « Reviens pour l’amour de tes serviteurs et des tribus qui t’appartiennent. Ah ! Si tu déchirais les cieux, si tu descendais, les montagnes fondraient devant toi » (Cf. 1ère lecture). Mais appeler ainsi de toute son âme la venue du Seigneur présuppose que l’on en ait reconnu la nécessité, que l’on se soit rendu compte de notre besoin d’être sauvés, que l’on ait pris conscience de notre condition de pécheurs dont Dieu seul peut nous sauver : « Nous étions tous semblables à des hommes souillés, et toutes nos belles actions étaient comme des vêtements salis… » ; « tu étais irrité par notre obstination dans le péché, et pourtant nous serons sauvés » (Cf. 1ère lecture).
Veiller implique encore que l’on ne doute pas de la venue de celui qui nous l’a promis. S’endormir signifierait précisément que nous n’y croyons plus. Nous n’aurions plus aucune raison de veiller.
Alors, sur quoi peut bien se fonder cette assurance et cette confiance en la venue de notre Seigneur ? Sur la fidélité de Dieu à ses promesses que nous pouvons déjà voir comme réalisées dans l’histoire du salut que nous livre l’Ancien Testament. Dieu est déjà intervenu en faveur de son peuple comme il le lui avait promis. La 1ère lecture tirée du livre d’Isaïe le proclame. Si elle est un appel à ce que le Seigneur vienne, elle est aussi l’expression d’une espérance dans la réalisation de cette venue qui s’appuie sur tous ces moments où le peuple d’Israël a reconnu son Dieu qui venait jusqu’à lui : « Voici que tu es descendu, et les montagnes ont fondues devant ta face. Jamais, on ne l’a entendu ni appris, personne n’a vu un autre dieu que toi agir ainsi envers l’homme qui espère en lui. »
Toutes ces visites de Dieu étaient en fait des préparations et des annonces de la plus belle et de la plus haute : la venue du Verbe qui est descendu habiter parmi les hommes en prenant chair de notre chair.
Nous touchons ici le cœur de la pédagogie de l’Avent : faire mémoire des faits de salut accomplis par Dieu dans l’histoire sainte pour assurer notre cœur qu’il veut tout autant intervenir en notre faveur. La raison ne se trouve pas en nous, en nos mérites, mais en lui qui nous a voulus comme ses enfants, ses fils, son peuple, son héritage : « Pourtant Seigneur, tu es notre Père. Nous sommes l’argile, et tu es le potier : nous sommes tous l’ouvrage de tes mains » (Cf. 1ère lecture). Si Dieu s’est montré fidèle aux promesses faites à son peuple jusqu’à lui envoyer son propre Fils, il se montrera aussi fidèle avec nous, « lui qui nous a appelés à vivre en communion avec son Fils Jésus Christ notre Seigneur » (Cf. 2ème lecture).
Veiller c’est donc espérer. Espérer qu’un jour nous communierons à la vie divine pour toujours au cœur d’une création toute entière transfigurée. Dès à présent, cette espérance doit demeurer le ressort de notre agir contre toute forme d’obstacle ou de découragement. En tant que chrétiens, nous devons croire en notre monde plus que quiconque parce que nous le savons destiné à l’éternité.
« Seigneur, durant ce temps de l’Avent qui commence, éduque-nous à l’espérance. C’est l’unique force qu’il faille introduire urgemment dans notre société qui, ayant vu s’écrouler, les unes derrière les autres, toutes les formes d’espérances humaines, s’est résignée à l’accablement de l’homme sous le poids de la violence et de l’injustice. »
Frère Elie.
16:08 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
PRIONS ENSEMBLE....
INTENTION(S) DU JOUR | |||
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Vous pouvez également envoyer vos intentions de prières. Avec votre ( ou un autre ) prénom pour demeurer anonyme.
Nous prierons intensément pour vous !
Très Fraternellement !!!
Bruno LEROY.
13:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
L'INSTANT POÉTIQUE.
13:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
La naissance de Jésus et notre nouvelle naissance, d'en-haut.
La vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. Esaïe 7, v. 14.
La naissance de Jésus dans l'histoire : "C'est pourquoi le Saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu" (Luc 1, v. 35). Jésus est né dans ce monde, mais il n'est pas du monde. Il n'est pas non plus une émanation de l'histoire; il est entré dans l'histoire, venant d'ailleurs. Jésus-Christ n'est pas l'homme le plus parfait, il est d'origine supérieure à la race humaine. Il n'est pas un homme qui devient Dieu, il est Dieu incarné, Dieu venant dans une chair semblable à celle des hommes. Sa vie est la vie la plus haute et la plus sainte, commençant de la façon la plus humble. La naissance de Jésus fut un avènement.
Sa naissance en moi : "Mes enfants, pour qui j'éprouve de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'à ce que Christ soit formé en vous..." (Galates 4, v. 19). De même que le Christ a surgi dans l'histoire humaine, venant d'ailleurs, de même il doit venir en moi du dehors. Ma vie peut-elle servir de crèche à l'enfant de Bethléem ? Je ne peux entrer dans le Royaume de Dieu à moins d'être né d'en-haut, d'une naissance qui n'a rien de commun avec la naissance ordinaire. "Il faut que vous naissiez d'en-haut." Ce n'est pas un commandement, c'est un fait fondamental. Ce qui caractérise la nouvelle naissance c'est l'abandon total à Dieu qui permet à Christ de se former en moi. Sa nature se manifeste alors en moi et je peux vivre de Sa Vie.
La manifestation de Dieu dans notre chair est devenue possible pour vous et pour moi par la Rédemption.
12:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
“Nous n'avons pas de temps en trop, pas une seconde à perdre”
Nous n'avons pas de temps en trop, pas une seconde à perdre. Et je n'exagère pas: il y a du travail; le monde est vaste et il y a encore des millions d'âmes qui n'ont pas entendu clairement la doctrine du Christ. Je m'adresse à chacun d'entre vous. Si tu as du temps en trop, réfléchis un peu: il est très possible que tu sois plongé dans la tiédeur; ou que, surnaturellement parlant, tu sois infirme. Tu ne bouges plus, tu es immobile et stérile, tu ne fais pas tout le bien que tu devrais faire à ceux qui t'entourent, dans ton milieu, dans ton travail, dans ta famille.
Pensons courageusement à notre vie. Pourquoi parfois ne trouvons-nous pas les minutes nécessaires pour achever avec amour le travail qui nous incombe et qui est le moyen de notre sanctification ? Pourquoi négligeons-nous nos obligations familiales ? Pourquoi la précipitation survient-elle au moment de prier, d'assister au Saint Sacrifice de la Messe ? Pourquoi la sérénité et le calme nous manquent-ils pour accomplir nos devoirs d'état, alors que nous nous attardons sans aucune hâte à suivre nos caprices personnels ? En voilà des futilités, me direz-vous. Oui, c'est vrai; mais ces niaiseries-là sont justement l'huile, notre huile, qui maintient la flamme vive et la lumière allumée. (Amis de Dieu, nos 41-42)
http://www.opusdei.fr/art.php?p=18983
12:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |