03/08/2011
Il me souvient de tes larmes.
Il me souvient de tes larmes,
Ondes intérieures qui pleurent,
Cristaux s'effritant dans ton cœur,
Ton charme devenant ton ultime arme.
Je me souviens de tes joies,
Comme des éclats de Toi,
Des morceaux éparpillés,
Sur le sol fade et froid.
Fausses joies tristes sourires,
Faux émois tristes désirs,
Tu n'étais pas Toi mais un autre,
Tu ne vivais que dans le regard de ces autres.
Dont tu imaginais les pensées,
Dans l'univers que tu t'inventais,
Et de tes mains glacées tu as tué,
Ce que tu étais être vrai dans sa Vérité.
Laisse-moi contempler l'éther,
Qui soudain enterre ma chair,
Dans ton enfer devenu paradis,
Dont ton âme jamais ne me dit.
Si la flamme qui consume les cieux,
Est présente pour ouvrir mes yeux,
Sur le bonheur d'un ailleurs qui peut se vivre,
Sur cette terre de façon épanouie et libre.
Bruno LEROY.
19:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
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