7427 7827

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/02/2011

La guerre des banlieues n'aura pas lieu.



Découvrez Abd Al Malik se livre, la guerre des banlieues n'aura pas lieu sur Culturebox !

19:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Andrée Chedid, la poétesse qui dansait la vie a rejoint l'éternité.

L’écrivain et poète née au Caire en 1920 et installée à Paris depuis 1946 est morte lundi 7 février. Elle laisse une œuvre riche où l’amour de la vie occupait la place centrale


Andrée Chedid avec son fils Louis (D) et son petit fils Matthieu (G) (NASCIMBENI/AFP).



« J’ai bien assez vécu ! » ; « Je meurs d’avoir trop espéré/D’avoir trop et trop vite/Vécu de la douceur des mots » ; « J’en ai assez de mourir/Jour après jour »… Des mots qui nomment la mort sans peur ; des vers jetés sur le papier qui la regardent bien en face ; des poèmes qui l’affrontent, plus pour l’apprivoiser que pour la défier. Pour se faire accepter d’elle.

À l’heure de parachever son parcours d’écriture, de clore son dernier recueil poétique,  L’étoffe de l’univers , paru cet automne en pleine rentrée littéraire mais loin du tumulte, Andrée Chedid n’en finissait déjà pas de « mourir » sous sa propre plume. Délibérément, sans larmes et dans un sourire à la vie qu’elle aimait tant, elle laissait se refermer une œuvre de ferveur et de chaleur, emplie du soleil sur le Nil et des feuilles mortes sur les rives de la Seine.

Elle livrait cinq poèmes courts, tous intitulés Mourir, tous composés en novembre 2005, à 85 ans. Tous déchirants. Laissant le lecteur devant un point d’orgue, jusqu’à la triste nouvelle tombée lundi midi. Le chant du cygne d’une grande dame des lettres, née en 1920, entrée en écriture à l’âge de seize ans, auteur depuis les années 1950 d’un chant au monde, rempli de fables, d’odes, semblables à cet Orient qui la vit apparaître.

 

Une vingtaine de romans et de récits, dont le Sixième jour (en 1960) et L’Autre (en 1969), tous deux adaptés à l’écran, de nombreux recueils de poésies, des pièces de théâtre, des essais, des livres pour enfants, et même des chansons pour son fils Louis et surtout son petit-fils Matthieu – le chanteur M : le fameux « Je dis Aime », en 1999, qu’elle offrit, comme un jeu d’écriture joyeuse.

C’était encore le temps de l’effervescence, avant l’exil intérieur de la maladie. Depuis des années, Andrée Chedid se trouvait confrontée à son propre oubli, qu’elle scrutait jour après jour tandis qu’il gagnait du terrain. Face à l’échéance du néant, elle se dépêchait d’accomplir sa dernière tâche, d’offrir à celles et ceux qui l’accompagnaient des adieux dignes.

Elle se permettait même, en même temps que les vers ultimes, de livrer un dernier roman, Les quatre morts de Jean de Dieu, récit imaginé d’un enfant de son siècle, de la Guerre d’Espagne à la chute du Mur de Berlin : un double masculin, comme elle atteint de cette Alzheimer que, pour le coup, elle se refusait à nommer autrement que « cette salope ».

 

« La vie, il faut la saisir au collet depuis son plus jeune âge. Avec sérénité, mais avec appétit féroce. » Ces mots, mis dans la bouche de Jean de Dieu, étaient chez elle une idée forte. Comme l’a écrit un jour le critique Jean-Pierre Siméon, ami et grand spécialiste de son œuvre, « la vie, quoi qu’il en soit, a toujours le dernier mot » dans ses textes.

La vie d’Andrée Chedid, remplie de flâneries et de rencontres, débute un premier jour de printemps. Elle naît au Caire, de parents chrétiens libanais dont les aïeuls arrivèrent en Égypte au milieu du siècle précédent. Des parents beaux, brillants, mondains, qui ne jouent pas un rôle clé dans son éducation, confiera-t-elle. À sa mère, l’élégante Alice, devenue très âgée, elle écrit en 2001 à son adresse Les saisons de passage, livre de souvenirs exprimant son amour en même temps que son absence de rancœur.

Andrée, enfant, est pensionnaire au Sacré-Cœur du Caire, un établissement « macabre », « sombre et glacé », écrira-t-elle. C’est là qu’à douze ans, elle sent naître son envie de « devenir poète (pas poétesse) ». Se confiant à sa maîtresse, elle reçoit en guise d’encouragement cette seule réponse, froide et sèche : « La poésie est un métier de paresseux, mon enfant. »

 

Sa propre réaction, spontanée, même pas effrontée, lui vaut une punition : « Alors, vive la paresse, ma mère. » Une boutade. Car Andrée, qui signera dans les années 1950 un Éloge de la cancritude, travaille. Licenciée de lettres à l’université américaine du Caire, élevée dans les trois langues, l’arabe, le français et l’anglais, elle publie ses premiers poèmes, en anglais, sous le pseudonyme de A. Lake.

Au début des années 1940, elle se trouve au Liban, tout juste mariée à son cousin Louis, un « coup de foudre » qui lui donnera deux enfants et irriguera son écriture. Régulièrement, elle affirmera la primauté du sentiment amoureux : « L’amour est toute la vie, il est vain de prétendre qu’il y a d’autres écritures », écrit-elle. À 86 ans, elle garde le feu pour écrire à Louis un poème à la beauté confondante : « De cet amour ardent je reste émerveillée ».

En 1946, avec lui, elle vécut son « exil libérateur », comme elle nomme, en citant Milan Kundera, son installation à Paris. Elle y développe une œuvre sans moralisme, dure parfois, et sans angélisme. Mais remplie d’espoir pour les petites gens, où chaque figure, héroïne (souvent) ou héros, refuse la fatalité, s’extirpe du malheur, de la guerre, de l’exil, pour se hisser : Omar-Jo, petit orphelin dans L’Enfant multiple, Hassan, dans le Sixième jour, ou la très belle Alefa, dans la Cité fertile, qui a ces mots : « Nos vies ont un terme, la vie n’en a pas »… 
 
Source: La Croix
Jean-Yves DANA

08:41 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/02/2011

Quel est le visage du pauvre évangélique ?

 

6a00e398c10210000101347ef9c403860b.jpg

C'est tout homme qui place son être et son pouvoir au service de Dieu et de ses frères ; c'est celui qui ne se centre pas sur lui-même, qui ne place pas sa confiance, le sens de sa vie et de son action dans la jouissance de ce monde et l'accumulation des biens, nom, renommée et gloire, mais qui s'ouvre avec gratitude à Dieu, sert les autres, même son ennemi, avec désintéressement, et élabore des moyens susceptibles d'engendrer une vie plus digne pour tous.

 

 

 

Par opposition à une société de consommation et de profit, le pauvre évangélique use avec modération des biens de ce monde et en les partageant ; il n'est ni un ascèse rigide qui méprise la création, faite bonne par le Père, et les choses excellentes qu'il a mises à la disposition de tous, ni un gaspilleur qui dépense sans compter pour le plaisir de jouir égoïstement. Le pauvre évangélique est celui qui se rend disponible à Dieu pour réaliser son projet dans ce monde et qui devient, pour cette raison, instrument et signe du Royaume de Dieu.

 

 Voilà pourquoi le pauvre évangélique se montre solidaire avec les pauvres et va même jusqu'à s'identifier à eux, comme l'a fait le Jésus historique. Il est pauvre évangélique à un degré éminent celui qui n'est pas lui-même un pauvre socio-économique mais se fait l'un d'entre eux par amour et solidarité, lutte à leurs côtés contre leur pauvreté injuste, et cherche avec eux la Libération et la Justice. Il ne glorifie pas la pauvreté matérielle puisqu'elle est le fruit du péché de l'exploitation, ni la richesse qui est le signe de l'accumulation qui opprime et exclut, mais il exalte et réclame la Justice sociale pour tous.

 

L'amour pour le pauvre se charge parfois d'une intensité si forte qu'il engage un grand nombre d'hommes et de femmes à s'identifier aux pauvres socio-économiques et aux discriminés, à partager leurs souffrances, à prendre part à leurs consolations mutuelles et même à mourir avec eux avant le temps.

 

Telle est la libération parfaite, car non seulement la personne s'est libérée d'elle même mais aussi, à la suite de Jésus, le pauvre de Nazareth, elle s'est libérée pleinement pour les autres et pour Dieu, caché en eux. Les pauvres évangéliques cherchent, à la lumière des défis lancés par les pauvres concrets, à penser et attiser la dimension libératrice de la foi pour que, dès maintenant dans l'histoire, on puisse cueillir par anticipation les fruits du Royaume, principalement la reconnaissance du Père, l'accueil de la filiation divine, la Vie et la Justice pour tous, et la Fraternité Universelle.

 

Bruno LEROY.

20:27 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONSEILS SPIRITUELS., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/02/2011

LES SILENCES DE MAURICE ZUNDEL.

19:03 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans AMIS ( ES ) SPIRITUELS OU ARTISTES., GUIDE DE VIE SPIRITUELLE., LES BLOGS AMIS., MAURICE ZUNDEL., TÉMOINS DE CE TEMPS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

05/02/2011

L'INSTANT PRÉSENT.


podcast

Vous pouvez télécharger cet enregistrement sur le site eXultet.

Puissiez-vous méditer profondément ces réflexions spirituelles pour changer définitivement votre perception de la Vie !

Bien Fraternellement, Bruno.

21:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

TOUT SACRIFIER SAUF L'AMOUR.

  • Être capable d’accepter l’autre tel qu’il est
  • Être capable de s’accepter soi-même, tel qu’on est
  • Être capable de dire : moi, je pense différemment, mais ça ne m’empêche pas d’aimer, d’avoir un cœur
  • Être capable de traiter l’autre comme je voudrais qu’on me traite
  • Être capable de reconnaître que l’autre peut avoir raison
  • Être capable de reconnaître ses torts, en les reconnaissant, on se grandit
  • Être capable de réaliser l’autre tel qu’il est, et non tel que je voudrais qu’il soit
  • Être capable de dire : je te félicite !
  • Être capable de dire : excusez-moi !
  • Être capable de pardonner
  • Être capable d’écouter l’autre sans le répéter à d’autres
  • Être capable de retenir sa langue afin de ne pas offenser
  • Être capable d’encaisser des coups sans vouloir les remettre
  • Être capable d’accepter d’être dérangé par les autres
  • Être capable de sacrifier de son temps pour le dédier à l’autre
  • Être capable de dire Merci !
  • Être capable de dire ensemble : Notre Père que ta volonté soit faite, pardonne-nous
  • Être capable de tout sacrifier, sauf l’Amour !

 

Bruno LEROY.

Pédophilie les prédateurs du Net.


Clip anti envoyé par Quarouble. - Les dernières bandes annonces en ligne.

20:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ADOS, Blog, COUPS DE GUEULE., PÉDAGOGIE., SOCIAL., SOCIÉTÉ. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

TOUTES CES PHOBIES QUI NE SONT QUE RACISME.

 Les minorités chrétiennes sont-elles opprimées en milieu musulman ? C’est l’une des questions qui reviennent fortement en ce début d’année, question fortement réactivée par l’attentat d’Alexandrie devant une église copte. Et pour parler de cette oppression le mot qui s’entend beaucoup est celui de christianophobie. Mot médiatique, mot de journaliste, mot qui se répand à mesure que les discriminations, les brimades ou même les attentats meurtriers font la une des journaux.

Si la fréquence du mot est assez récente, sa formation ne surprend pas. Son sens est facile à comprendre : la christianophobie est la haine des Chrétiens. Le mot phobie existe, en tant que tel, même s’il n’est pas lié à un autre radical. Mais c’est un terme qui appartient au langage de la psychologie : on peut avoir la phobie de la foule, de la solitude, de l’enfermement. Cela correspond à un genre de peur irraisonnée, qui entraine un mouvement de recul, de fuite pour éviter une situation ressentie comme insupportable. Et dans ce sillage, phobie a servi à former des termes psychologiques : on peut trouver des mots tels que claustrophobie, agoraphobie…. Celui qui est claustrophobe développe une panique à l’idée de se trouver enfermé. Mais cela n’est nullement dirigé vers une autre personne ou un autre groupe : c’est une réaction tout à fait individuelle.

D’un autre côté, depuis quelques années, le suffixe phobie a été utilisée avec un tout autre sens : il exprime le mépris, la haine, l’hostilité farouche que l’on peut développer à l’égard d’un groupe. Cela s’apparente donc à une forme de racisme : une collectivité incarne l’idée du vice, ou même du mal. L’un des premiers mots qu’on a entendus dans cette série est homophobie, avec l’adjectif qui lui correspond, homophobe. Il s’agit bien d’un sentiment développé par rapport à une minorité qu’on va considérer comme déviante, et dont on ne va pas supporter l’existence. C’est donc en général au nom de la morale, du bien, d’une certaine idée de ce qui doit être fait et de ce qui, à l’inverse, est un péché, que cette détestation s’amplifie. L’homophobie est donc dirigée contre les homosexuels, et on parle ainsi de comportements, d’attitude ou de propos homophobes.

Parallèlement, on s’est mis à parler d’islamophobie à propos du racisme contre les musulmans. La peur et la haine n’ont pas les mêmes motifs ni les mêmes formes, mais le mot s’emploie plutôt dans ces contextes ou les musulmans sont minoritaires. Alors, on n’a pas ou presque pas de judéophobie, mais c’est que l’antisémitisme est ancien, et que ce dernier mot est né à une époque ou justement le suffixe –phobie n’était pas en usage.

Et le mot christianophobie s’est donc construit sur ce modèle, et se répand, hélas

 

Coproduction du Centre national de Documentation Pédagogique.
http://www.cndp.fr/
Venez découvrir le livre Les Mots de l'Actualité d'Yvan Amar.

Yvan  Amar

20:24 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Radios catholiques.

Tout comme la télévision, la radio peut être un instrument de communication et d’évangélisation au service de l’Église. Dans de nombreuses régions du monde, son taux de pénétration dans les foyers est même supérieur à celui du petit écran. Contrairement à la télévision qui agit sur les émotions et ne touche que la superficie de l’être humain, la radio permet d'entrer dans le « profond » de l'individu. Ce qui permet aux radios catholiques d'inviter plus facilement tout un chacun à réfléchir sur le message évangélique.

Au Vatican, le « Conseil pontifical pour les communications sociales » est spécialement chargé de tout ce qui concerne la communication de l'Église. Le 20 juin 2008, les représentants des radios catholiques du monde entier ont été reçus par le Saint Père Benoît XVI, qui leur a indiqué que les stations radiophoniques catholiques constituent « dès à présent, un écho, petit mais concret, dans le monde de ce réseau d'amitié que la présence du Christ Ressuscité, le Dieu-avec-nous, a inauguré entre ciel et terre et entre les hommes de tous les continents et de toutes les époques ».

Les radios catholiques sur tous les continents participent donc à la mission de l'Église en rendant attrayante la Parole de Dieu. Au côté de beaucoup de ces stations, on trouve Radio Vatican qui leur propose des programmes en différentes langues, principalement sur les évènements auxquels participe le Pape. Ces programmes sont ensuite retransmis dans le monde entier sur les différents réseaux radiophoniques. Mais bien sûr, ces radios disposent aussi de leurs propres programmes de nature régionale, nationale ou parfois internationale.

Selon une étude menée aux Etats-Unis, un grand nombre d'auditeurs des radios catholiques disent que l’écoute régulière de la station les rend spirituellement plus engagés et inspirés. Il est possible d'en apprendre beaucoup sur la foi catholique en écoutant ces stations. L'impact est même positif sur la fréquentation de la messe, aussi bien pour ceux qui pratiquaient déjà, que pour les catholiques qui ont repris une pratique religieuse et sont retournés à l’Église grâce à l’écoute régulière d'une radio catholique.

L'expérience vous intéresse ? Vous avez soif d'entendre parler de votre foi chrétienne ? Alors voici ci-dessous une liste de radios catholiques que vous êtes invités à découvrir, principalement sur l'Internet, mais aussi à travers le câble, le satellite, voir même les ondes hertziennes. C'est un excellent complément aux blogs catholiques et aux forums catholiques pour mieux appréhender sa foi et s'alimenter du message du Christ. Laissez-vous porter par les prières quotidiennes qui nourriront votre âme, elles sont largement diffusées sur ces radios.

Les radios catholiques en France

Radio Ecclesia est la radio du diocèse de Nîmes. On y trouve des interviews, des débats, de l'info, des reportages, des interventions extérieures en direct ou bien encore des conférences. La grille de programmes des créneaux consacrés à la prière, à la formation biblique et à la réflexion théologique. Au niveau actualité, elle retransmet le journal préparé par la rédaction française de Radio Vatican. Pour écouter cette radio catholique sur votre ordinateur c'est ici (Windows Media Player). Si vous êtes à Nîmes, retrouvez Ecclesia sur 106.8 Mhz FM.

Radio Fidélité se veut une voix chrétienne dans le monde d'aujourd'hui. Elle est co-fondatrice de la COFRAC, qui lui permet d'échanger des émissions avec des radios catholiques d'autres pays. Elle diffuse 24h/24 sur la Loire-Atlantique et la Mayenne, et l'association à but non lucratif qui gère la radio existe depuis 1986. Radio Fidélité se veut une station d'envergure locale, axée sur la proximité. Elle est financée à 70% par les dons de ses auditeurs, le reste est issu de partenariats, du fonds de soutien des radios associatives et de l'aide du diocèse. Pour écouter c'est ici (Real Player).

Radio Notre-Dame est la radio du diocèse de Paris. Crée en 1981, elle veut informer librement et en vérité sur la vie de l’Eglise et du monde. A l'antenne, Radio Notre Dame développe un regard chrétien sur l’actualité et la vie en société. La station accompagne la vie chrétienne, notamment par la prière. Son audience est estimée à 100 000 personnes, dont plus de la moitié dans la tranche horaire 6h-9h le matin. Sur le site web vous trouverez un lien pour écouter la WebRadio de RND. Si vous êtes à Paris, retrouvez Radio Notre Dame sur 100.7 Mhz FM.

Radio Esperance offre ses ondes aux auditeurs catholiques de la région de Saint Étienne. Ils sont présents sur de nombreuses fréquences FM de la région, aunsi que sur le satellite WorldSpace, en Europe et en Afrique francophone. Le site web donne aussi accès à plusieurs WebRadios, qui permet soit d'écouter Radio Espérance en direct, soit d'écouter des émissions orientées soit vers la musique sacrée, soit vers la musique de louange, ou la Parole de Dieu. On trouve aussi entre autre l'actualité du Saint Siège, et l'Évangile en langue arabe.

Radio Présence est une station dans la région Midi-Pyrénées qui offre différents programmes de tonalité religieuse et informative, avec des questions intéressantes abordées comme les questions d'économie, de culture, les enjeux familiaux, etc. Pour les internautes, des podcasts sont mis à disposition pour écouter vos émissions préférées dans le confort de votre lecteur MP3 ou de votre téléphone mobile. Sur la bande FM, la station est diffusée sur de nombreuses fréquences de la région de Toulouse et sud-ouest.

Les radios catholiques en francophonie

Radio Maria France est membre de la Famille Mondiale de Radio Maria, association internationale présente dans plus de 50 pays sur les cinq continents à travers plus de 40 radios dans 13 langues différentes. Radio Maria est une radio catholique qui opère pour l'évangélisation et la conversion des coeurs dans le service de l'Église, en parfaite orthodoxie avec l'enseignement du Pape. En France on peut les écouter en AM sur 1467 Khz dans la région de Nice, Monaco, Fréjus-Toulon, ou bien sur le satellite Hotbird S, et enfin en WebRadio sur l'Internet.

Radio Espoir est une radio de la communauté catholique des diocèses de Grand-Bassam et d'Abidjan en Côte d'Ivoire, elle existe depuis 1990. Avec elle, l'annonce de la parole de Dieu accompagne l'homme auditeur dans ses différents lieux et activités de la vie quotidienne. Les responsables de la radio souhaitent mettre en ouvre une nouvelle méthode d'évangélisation à travers la radiodiffusion. Les programmes de prières y sont très présents, ainsi que beaucoup de conférences. C'est actuellement la première radio libre de Côte d'Ivoire. Elle diffuse en FM sur 102.8 MHz autour d'Abidjan.

La Communauté Francophone des Radios Chrétiennes (COFRAC) n'est pas à proprement parler une radio, mais un regroupement de radios partageant ensemble certains de leurs programmes. Sur le continent africain, cela concerne rien moins que 45 radios réparties dans 14 pays. Par exemple, c'est à travers la COFRAC que Radio Notre Dame est reprise par des radios catholiques de plusieurs pays d'Afrique.

20:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/02/2011

Nos Jeunes se fichent pas mal de nos idéologies.

44530_147034698651017_100000334631139_297167_3642364_n.jpg

Nos sociétés contemporaines sont en manque de repères et c’est un euphémisme de le dire.

Je ne suis pas contre les combats qui grandissent l’Homme, puisque je suis le premier à me lever.


La Foi en Dieu-Amour n’est liée à aucune idéologie : elle se vit pour en donner Témoignage ! Que nous ayons des sensibilités différentes sur les politiques de notre Pays, très bien, c’est le mécanisme de la démocratie en marche.

Pendant que nous tergiversons, les Jeunes nous regardent. Ils se disent que les adultes se battent entre-eux pour des futilités. Et comme, ils ont raison, ne trouvez-vous pas ?

L’important, voire l’essentiel est de vivre notre Amour de Dieu dans la prière afin de devenir des combattants de l’Espérance en ce Monde. La Bible n’est pas un programme politique au sens où nous l’entendons. Remettons de l’Amour, de la la Liberté avec pour épouse la Vérité du Christ, au coeur de nos existences.

Cessons, Frères et Soeurs de combattre le vent qui s’échappe entre nos doigts. Soyons rayonnants de la Lumière de Dieu auprès de tous ceux et celles qui nous rencontrent. Notre Amour ne saurait subir nos incohérences.

Les Jeunes et les plus meurtris de notre société attendent de nous que nous vivions librement notre Foi sans faillir. Sans prosélytisme, évidemment. Ils attendent que nos convictions traversent leurs coeurs. Dès qu’un Homme, affirme haut et fort ses principes qui lui permettent de donner sens à sa vie ; nous hurlons qu’il est conservateur et ne l’acceptons pas. Dès que nous évoquons les problématiques de violences, d’incivilités de nos sociétés, nous hurlons que nous sommes en manque de repères. Tout cela, n’est-ce point le summum de notre individualisme qui veut s’affirmer ?

Il est urgent de montrer l’exemple aux Jeunes d’une cohérence de vie collée à la peau de notre Foi. Nous sommes en train de montrer le contraire...

Nos Jeunes se fichent pas mal de nos idéologies, ils veulent vivre dignement, tout simplement. La question que je me pose est celle du petit enfant qui dit à sa maman : pourquoi, toi et papa vous vous battez tout le temps ? Pourquoi, nous adultes, ayant l’ossature d’un vécu riche en expériences, ne sommes nous point des transmetteurs de Paix et de cohérence ? Tout simplement en vivant dans les bras de Dieu pour entendre les gémissements de l’Esprit-Saint qui nous indique le chemin au quotidien. Pour le bien-être de notre Humanité. Plus jamais la guerre mais, la construction d’une vie donnée aux autres par la force de convictions qui nous habitent et le la tendresse d’Amour du Christ qui loge dans nos moindres respirations.

Donnons une âme à ceux et celles qui croient l’avoir perdue alors qu’elle sommeille seulement. Donnons un Souffle à notre militantisme chrétien pour exprimer la Beauté de la vie!
Oui, donnons le Don de nous-mêmes aux autres et nous serons dans la droite ligne de l’Évangile qui nous donne en retour des valeurs immuables ! Merci pour tous les pauvres de la Terre et les jeunes qui se demandent qui pourra leur indiquer, leur dévoiler le sens de leurs propres existences. Non, plus jamais la guerre mais, l’Amour entre nous, dépassant nos différences !


Bruno LEROY.

18:24 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |