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09/04/2015

Savoir s’affirmer sans blesser.

 

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L'affirmation de soi et de sa différence prend toujours le visage du refus et de l'opposition. Dès l'âge de deux ans, l'enfant sait dire non. Il met son entourage à l'épreuve et enregistre les réactions qu'engendre l'exercice de sa fragile autonomie. Il peut, par son entêtement, paralyser les projets de toute la famille, faire perdre patience à ses parents, obtenir parfois de guerre lasse ce qu'on lui refusait, centrer toute l'attention sur lui au détriment de ses frères et sœurs. L'adolescence est, on le sait, une autre période privilégiée pour exister en s'opposant. Il faut tout de même du temps, souvent jusqu'à l'âge adulte, pour parvenir à la véritable capacité de dire " NON ", sans blesser l'autre et sans culpabilité, simplement se respecter soi-même et se faire respecter des autres.

 

S'affirmer positivement ou afficher refus et résistance sont deux façons d'atteindre l'identité personnelle et de la manifester. L'incapacité d'emprunter l'une ou l'autre voie, chez un adulte, est signe d'une maturité inachevée. Affirmation et refus prennent racine dans l'individu et lui permettent de se poser différent face à l'autre. Mais l'autre contribue aussi à façonner l'identité en jouant le rôle de miroir et en reflétant à l'individu sa propre valeur.

C'est le cas de l'amour maternel et paternel, de l'amour du couple ou de l'estime qui se développe entre collègues de travail. Ces relations sont normalement marquées par l'acceptation mutuelle.

 

Cela n'implique pas, tout le monde le sait, que les partenaires soient toujours d'accord ni qu'ils partagent les mêmes goûts et les mêmes vues sur tout .. Mais cela signifie que chacun est accueilli et apprécié comme il est de façon globale et positive. On peut dire à l'autre son désaccord, le reprendre, l'encourager à repousser une limite ou à combattre un défaut. C'est une autre façon de lui refléter qu'on croit en lui et qu'on désire qu'il grandisse davantage en devenant pleinement lui-même. La confiance est contagieuse lorsqu'elle révèle à un être tout ce qui l'habite et lui tend la main pour lui ouvrir la porte de son destin.

 

Rêvons d'une société où notre confiance serait force de persuasion avec ce regard d'amour qui fait grandir l'autre en son humanité afin qu'il puisse s'affirmer face à la rudesse d'un monde qui néglige mortellement nos individualités. Rêvons d'une humanité libérée et faisons en sorte que nous aidions à cette libération par notre confiance donnée avec amour à ceux et celles dont les pas hésitant demandent qu'on les soutienne dans leur titubation vers leur affirmation.

 

Bruno LEROY.

13:41 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Dans l'intimité de mon journal.

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Nous passons toujours à côté de nous-mêmes, j'allais dire sans prendre la peine de nous regarder.
Vous allez certainement vous demander ce qu'il m'arrive. Si je ne suis pas tombé ce jour sur la tête au point de faire une crise d'égotisme névrotique.
Si je n'ai pas passé ma journée, entre deux jeunes en difficulté, à me contempler dans un miroir.
Pas du tout, je veux parler de progression spirituelle, notamment par l'intermédiaire du Journal intime.
Imaginez combien de gestes nous faisons dans une journée sans en prendre conscience.
Or, tous les soirs en rentrant du travail ou de ses occupations. Il est bien de prendre, ne serait-ce qu'un quart d'heure pour écrire ce que nous avons vécus.
Comment me suis-je comporté, Seigneur, avec ce sempiternel emmerdeur que je refusais d'écouter. Et pourtant, je faisais semblant.
Comment as-tu été présent ce jour Ô Christ, dans les moindres battements de mon cœur et dans les interstices de mes pensées.
D'ailleurs, étais-tu au centre de mon être aujourd'hui ?
Regarde comment, j'ai envoyé balader loin de moi celui qui voulait se confier.
Ah ! ce matin quand même mes prières ont touchées ton sourire d'Amour, non ?
Voilà, les événements que nous pouvons écrire au fil des jours, des années.
Puis, nous devons laisser reposer le cahier sur lequel nous écrivons pour le relire par la suite.
Avons-nous progressé, stagné ou régressé ?
Si tel est le constat, alors il est temps de se reprendre.
D'abord, demander pardon à Dieu pour toutes ces négligences volontaires ou involontaires.
Mais, demander Pardon en Vérité. Pour que celui-ci nous soit accordé afin de repartir sur de bonnes bases.
Et ne pas cesser de tenir chaque jour ce cahier, témoin de nos combats, nos lâchetés, nos petitesses et parfois, notre grandeur insoupçonnée.
Cela paraît simple, presque sans intérêt et pourtant, je puis vous assurer que sa puissance sur notre épanouissement spirituel est démontré.
Notre journal intime s'adresse en fait, dans nos questions intérieures, directement à Dieu.
Son Amour se penchera sur votre quotidien pour vous faire remarquer vos manquements.
C'est un retour vers Soi plus que nécessaire. J'allais dire vital pour avancer sur le chemin de la Liberté spirituelle.
Surtout, cachez ce cahier. Il est le livre de votre Vie. Nul n'a le droit de le toucher. Encore moins de l'ouvrir pour lire vos sentiments profonds.
Écrire une page sur son journal intime chaque soir, c'est louer Dieu par une prière personnelle.
Elle ne pourra que vous concentrer sur l'essentiel.
Et vous finirez par changer progressivement au fil du temps. Sans vous apercevoir que c'est votre Journal qui vous fait maintenir le cap.
Tous les grands spirituels rédigent un journal intime. Ce qui leur permet de progresser humainement et spirituellement dans leurs relations avec autrui et Dieu.
Essayez et vous verrez. Votre Vie s'en trouvera transformée et plus forte, dans le sens où ce que vous ferez dans l'ordinaire de vos journées sera extraordinaire.
Commencez par comment ai-je aimé, aujourd'hui ? Ma femme, mes amis, mes rencontres, mes collègues...Comment ai-je réagi devant certaines insultes ? Puis, notez sans vous juger.
Vous ferez un travail d'introspection, plus tard. Lorsqu'une semblable situation se présentera.
Mais, la question primordiale est celle de la qualité de notre Amour. En effet, sur terre nous sommes faits pour aimer et être aimés, rien d'autre.
Le reste est secondaire !
Car, tout découle de notre capacité à Aimer.
 
Bruno LEROY.

05/04/2015

Pâques le triomphe définitif de la Vie .

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Le Royaume ne reste pas seulement une espérance inouïe ; il se concrétise déjà dans la pratique de Jésus. En effet, ses miracles et ses guérisons font plus que démontrer sa divinité : ils manifestent que son annonce libératrice s'enracine déjà dans l'histoire au milieu des opprimés, interlocuteurs privilégiés de sa prédication et premiers bénéficiaires de sa pratique. Le Royaume est un don de Dieu offert gratuitement à tous. Mais on y rentre par un processus de conversion, et celle qu'exige Jésus ne signifie pas seulement un changement de convictions ( de théorie ), mais surtout une modification d'attitudes ( de pratique ) dans les relations personnelles, sociales et religieuses qu'entretiennent les hommes.

La liberté exercée par Jésus vis-à-vis de la Loi et des coutumes de son temps, ses exigences radicales concernant le changement de comportement dans la ligne des Béatitudes finirent par provoquer un conflit grave qui engageait les différentes instances du pouvoir d'alors. Jésus a connu la diffamation et le dénigrement, la persécution et les menaces de mort. Son arrestation, ses souffrances sous la torture, sa condamnation en justice ne se comprennent que comme conséquences de sa pratique et de sa vie. Dans un monde qui refuse d'adhérer à ses propositions et de s'engager sur le chemin de la conversion, l'unique alternative laissée à Jésus, pour rester fidèle à son Père et à son propre message, était d'accepter le martyre. Si la croix exprime bel et bien le rejet humain, elle signifie également l'acceptation sacrificielle de Jésus.

La résurrection dévoile le sens absolu du message du Royaume, de la vie et de la mort de Jésus. Elle est le triomphe définitif de la Vie et de l'Espérance en un Royaume réconcilié où la paix universelle est fruit de la justice divine et de l'intégration en Dieu de toutes choses. La résurrection se présente, dès lors,comme la libération en plénitude de tous les obstacles qui s'opposent à la souveraineté de Dieu et à la pleine réalisation de tous les dynamismes de Vie et de gloire placés par Lui dans la création et l'être humain. La résurrection donne en particulier son sens à la mort de l'innocent, de celui qui est rejeté parce qu'il proclame une justice plus grande ( celle de Dieu ), de tous ceux qui, à l'image de Jésus, succombent pour une cause digne et sont anonymement éliminés. Ce n'est pas un César à l'apogée de son pouvoir qui est ressuscité, mais un crucifié au corps disloqué sur le Calvaire. Ceux qui ont souffert une mort injuste pour le bien participent à sa résurrection.

Se mettre à la suite de Jésus implique que l'on adopte sa cause, que l'on soit disposé à souffrir les persécutions qui en découlent et à partager courageusement son sort, dans l'Espérance de recevoir en héritage la pleine libération apportée par sa résurrection.

Ce projet Universel de Dieu nous aide à comprendre le lien qui unit la création et la rédemption, le temps et l'éternité. Le Royaume de Dieu représente plus que les libérations historiques, toujours limitées et ouvertes à des perfectionnements ultérieurs, mais il est anticipé, concrétisé temporellement en elles, il y prépare sa pleine réalisation dans l'irruption du ciel nouveau et de la terre nouvelle.

Nous ne serons des imitateurs de Jésus et de véritables chrétiens que dans la mesure où nous serons solidaires avec les pauvres et où nous vivrons l'évangile de la libération. Au sein des luttes syndicales, dans la lutte des droits de l'homme et d'autres formes d'engagement, la même question doit revenir toujours : quelle est la collaboration du christianisme aux pratiques et aux motivations de la libération des opprimés ?.

L'engagement pour la libération des millions d'opprimés de notre monde rend à l'évangile une crédibilité qu'il possédait à ses débuts, et aux grands moments de sainteté et de prophétie. Le Dieu de Tendresse des humiliés et le Jésus-Christ libérateur des opprimés sont annoncés avec un nouveau visage et une image nouvelle aux hommes d'aujourd'hui. Le salut éternel qui nous est offert passe par des libérations historiques, celles qui restaurent la dignité des enfants de Dieu et rendent crédible l'impérissable utopie du Royaume de liberté, de justice, d'amour et de paix, du Royaume de Dieu au milieu des hommes.

Bruno LEROY.

04:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

03/04/2015

Paulo Freire et la Pédagogie de la Libération.

19:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS., PÉDAGOGIE., PHILOSOPHIE, THÉOLOGIE DE LA LIBÉRATION. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Un Dimanche particulier.

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Ce Dimanche est particulier pour les chrétiens du Monde entier. Le tombeau de nos habitudes, nos certitudes, nos culpabilités, nos angoisses, notre regard sombre sur l’Existence.

Ce tombeau est ouvert au Vent de l’esprit de Vie !

Alors, que faire en cette journée de Pâques sinon, nous promettre que les forces de mort n’auront plus le dernier mot.

Pour cela, il nous faut vivre inconditionnellement sous les injonctions de l’Esprit saint.

Redonnons du souffle à notre petite Vie afin qu’elle s’élargisse jusqu’aux confins de la Terre.

Nous sommes des êtres de Lumière et nous devons éclairer de mille feux ardents l’existence des autres et, ne point les laisser croupir dans une culture de mort.

Fini les désespoirs sans raisons apparentes, les lassitudes et les murmures.

Nous sommes Fils et Filles d’un Dieu qui a vaincu la mort pour que cette peur ontologique que nous avons de notre finitude s’évapore.

Alors prions pour établir ce qu’il est convenu d’appeler la théologie du moment présent.

Vivre l’instant sans se préoccuper du passé sauf pour ce qu’il nous a appris, sans s’inquiéter pour l’avenir qui n’est pas encore là. C’est-à-dire mettre réellement en place une spiritualité de l’instant présent que Dieu habite. Il faut que nous sachions que le Christ n’est ni dans le passé, ni dans le futur ; Il est dans l’ici et maintenant.

Aujourd’hui frères et sœurs vous n’aurez aucune nouvelles de ma part.

Je serai dans le silence intérieur d’une prière viscéralement intense.

Et ceux, celles que je rencontrerai ne verrons que du feu dans cette symbiose christique.

L’Esprit guidera mon âme vers un soleil plus brillant qu’autrefois.

Pâques est la Fête du changement en profondeur des aspirations du cœur.

Alors, je vous souhaite de merveilleuses Fêtes de Pâques vécues dans l’Amour, la Tendresse, la douceur de la Vie.

Bien Fraternellement, Bruno. @+

QDVB UDP.

 

12:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

01/04/2015

Transmettre nos connaissances et nos valeurs.

 

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La pensée est toujours affaire de discipline intellectuelle. Une page ouverte dans la conscience humaine permet de penser le monde tel qu’il nous arrive. Cette ouverture d’esprit donne une curiosité sans préjugés qui nous emplit d’un savoir illimité. Intellectuellement, l’homme ne connaît pas de limites à son savoir. Mais, il sait très bien se limiter lui-même, comme une culpabilisation face à l’intelligence.

 

 

En tant qu’éducateur, je dis souvent que la plus grande révolution, c’est l’éducation et rien d’autre. En effet, combien de Jeunes se sentent mal dans leur peau uniquement par manque de connaissances des problématiques de ce temps. En France, dans certaines régions, il existe près de 80% d’analphabètes. Cependant, il existe plusieurs formes d’intelligence et il ne faut surtout pas confondre la culture et l’esprit intellectuel. Il faut cependant, se rendre à l’évidence, un Jeune qui ne sait ni lire, ni écrire aura beaucoup de mal à discerner les paradigmes sociaux. Cela parait banal et pourtant, nous sommes à la source même des problèmes de violence qui agitent nos pays.

 

 

Nous, chrétiens avons toutes les clefs qui nous permettront d’endiguer les violences futures. Il nous faut acquérir la vertu de silence pour lire, écrire, écouter une musique qui transcende, penser le monde avant d’agir. Cette discipline n’est pas aléatoire et doit être pratiquée quotidiennement. Ensuite, nous pourrons transmettre nos savoirs, nos valeurs aux autres. Devenir ainsi contagieux pour faire fructifier la part inculte du monde. La nourriture spirituelle devient plus forte et plus savoureuse lorsqu’elle est alimentée par l’intellect. Mais, il faut cette volonté à toutes épreuves pour échapper à une pensée unique qui aurait tendance à nous rendre idiots. Nous devons demander à Dieu-Amour, la ténacité de monter plus Haut sur les sommets de notre cerveau. La lecture assidue, des centres d’intérêts pour le domaine artistique ne sont pas négligeables.

 

 

Cependant, nous devons avoir toujours à l’esprit que nos connaissances sont transmissibles. A quoi nous servirait de savoir des tas de choses si nous ne faisions pas profiter notre entourage de notre savoir ?. En cultivant notre jardin intérieur nous devons offrir les fruits de nos récoltes. Si tout le monde pratiquait cette devise, nous serions dans une société où la soif intellectuelle serait sans cesse comblée par de saines relations. Les autres seraient demandeurs et nous de même, cela générerait un échange de savoirs et de savoir-faire. Mais, quel rapport tout cela avec notre Foi où nous devons remettre notre esprit en Dieu ? Le plus grave péché est de douter des talents que Christ nous a donné pour enrichir de réflexions son œuvre. Que penserions-nous si nos pasteurs étaient totalement dénués de bon sens ? Le savoir est un mot qui signifie étymologiquement : savourer, sagesse. Sagesse de la Vie donnée par Dieu-Amour. Tout refus est un manquement à la création : Dieu a créé l’Homme à Son image !

 

 

La réflexion c’est la pensée qui se mire dans le miroir du monde. C’est le reflet du visage de Dieu en nous. Il nous faut insister sur le point que personne dans notre société n’est exclus du devoir de s’instruire. Que nous soyons riches, pauvres, handicapés ou hardis, nous sommes tous dans la même dynamique d’épouser l’intelligence qui nous habite. Faire fructifier nos talents et non les enterrer pour laisser dormir ce que nous aurions pu apporter à notre société. Toujours dans le souci de notre propre Harmonie pour rendre le monde Harmonieux. Certes, certaines personnes aimeraient que nous ne pensions point afin de laisser l’argent diriger nos existences et ainsi faire grossir les capitaux des gens avides. La pensée fait naître l’esprit critique et il devient difficile de nous manipuler. Nous avons presque une conscience prophétique qui nous fait marcher selon la Volonté de Dieu et non selon les lois du marché. Dieu-Amour ne veut que notre Bonheur et Il sait bien qu’il passe aussi par la sagesse du savoir. Le discernement chrétien est à ce prix, nous ne pouvons échapper à l’entretien d’une réflexion au service d’autrui. Nous sommes Témoins de l’Intelligence Divine. Se refuser à instruire notre corps, c’est refuser le véritable visage de Dieu et ne plus se réfléchir en Lui. Notre vie devient alors, une terrible fatalité dans l’univers auquel nous ne pouvons donner Sens. Et pourtant, les chrétiens et chrétiennes, que nous sommes sont des passeurs de Sens. Demandons, par la prière, à Dieu-Amour d’orienter nos curiosités vers de saines occupations afin de devenir des chrétiens réfléchis et emplis de Sagesse. L’Esprit nous aidera dans cette démarche qui est aussi un combat spirituel contre l’inculture et pour l’évangélisation.

 

 

 

Bruno LEROY.

15:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |