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31/10/2012

Faire ensemble une Terre où il fait bon vivre.

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Mon coeur est dans l'écrin de ton corps comme une palpitation subtile qui évite la mort.

D'ailleurs, l'Amour est plus puissant que Tout, puisqu'il dépasse toutes les détresses de la Terre.

Je t'Aime dans le regard émerveillé des enfants de la Vie.

Ceux qui ont gardés une âme d'artiste sur le monde en péril.

Ceux qui sourient même lorsque leurs pieds sont au bord du précipice.

Ceux qui demeurent optimistes avec réalisme.

Ceux qui nous ressemblent un peu ou auxquels nous ressemblons pour mieux nous rassembler.

Et faire ensemble une Terre où il fait bon vivre l'Amour au présent du plus que parfait.

Je t'Aime dans l'immensité de l'univers et mon coeur peut en contenir tous les battements car, depuis qu'il te connaît, il est devenu gigantesque au point de ne jamais douter de l'Humanité...

Oui, je t'Aime et j'espère que tu retrouveras les bonnes couleurs qui enchantent tes yeux sur le nouvel écran de nos désirs.

 

Bruno LEROY.

 

10:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

30/10/2012

La mort est une porte ouverte vers l'Infini.

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Nous arrivons vers une lumière particulière, celle de la Toussaint. D'aucuns pensent que nous célébrons les morts et leurs mystères. Ceci est bien évidemment faux et vrai en même temps. Faux dans le sens où nous fêtons également ses petites fourmis qui travaillent en silence pour forger un monde meilleur selon le cœur de Dieu. Ces personnes sont vivantes et nous les côtoyons souvent sans savoir parfois qu'elles portent un germe de sainteté. Vrai aussi, nous faisons mémoire des morts qui sont dans la brûlure de l'Amour Divin. Les Saints et Saintes que nous prions sont souvent dans l'espace-temps de notre Seigneur Jésus-Christ. Ils en connaissent le secret et la Puissance de compassion qui émane de Lui. Ils vivent en osmose avec son âme. La mort est une porte ouverte vers l'Infini de Dieu.

 

 

Comme disait Guy Gilbert avec un peu de provocation, les morts se fichent de nos fleurs. Il voulait mettre l'accent sur la prière et non le pharisaïsme qui consiste à mettre un pot de chrysanthèmes et d'oublier le reste de l'année le défunt. Il faut bien faire son devoir, comme disent certains...

Non, il faut toujours agir par conviction et ne pas attendre l'approbation des autres. Notre Foi est d'abord personnelle. Elle est relation avec le Christ chaque jour et nul ne connaît la consistance de cette relation. Elle est acte de Tendresse envers un Inconnu devenant de plus en plus connu et palpable dans notre conscience. Au fil des jours qui passent...

Puis, cela se perçoit dans notre comportement. Nous savons alors que nous sommes habités de Sa présence. Notre soleil intérieur ne pleure plus, il cherche les éclats positifs de la Vie.

Ce chemin vers la sainteté, nous le pratiquons donc chaque jour sans même nous en apercevoir ou le vouloir.

Et je pense que ne pas vouloir devenir saint à tous prix est la meilleure façon de le devenir.

 

 

Vivre en chrétien chaque jour en acceptant nos faiblesses, nos forces, nos charismes. Se nourrir de la Sainte Bible comme une vitale lecture de l'âme.

Nous ne sommes que de petits marcheurs vers cette sainteté qui illumine notre quotidien.

 

 

Il faut que notre approche spirituelle devienne Universelle. Ainsi, nous pourrons partager dans le respect, nos expériences communes.

La Foi est pour moi une expérience, car si vous saviez combien de fois, j'ai failli m'écrouler et j'ai senti la main de l'Amour me sortir du puits.

Expérience, pour moi, d'une vie bien remplie ( trop peut-être ) au service des autres et surtout des blessés de notre société.

Je pense intimement que Dieu a voulu que je suive cette route. Il en existe des milliards et chacune demeure respectable.

Puissiez-vous vivre selon les desseins de l'Esprit, même dans la souffrance ou les difficultés.

Un vieux prêtre disait un jour à un jeune qui ne comprenait pas " l'intérêt " de la prière.

- As-tu un grand père ?

- Oui et je l'aime beaucoup, mon pépé !

- Et tu ne lui parles jamais ?

- Si bien-sûr, pourquoi cette question ?

- Parce que tu me dis aimer Dieu et u ne veux pas même Lui parler.

- Tu vois, mon garçon. Tout Amour a besoin d'être dit par des mots ou des gestes. Nous avons besoin d'exprimer l'Amour qui enfle notre cœur.

Comme il avait raison ce vieux prêtre. Aimons-nous et osons le dire pleinement pour nous épanouir au firmament des autres.

 

 

Nous avons le choix dans la réussite relationnelle. Soit que nous nous fermons comme des huîtres, et personne pas même Dieu ne pourra entrer.

Soit que nous nous ouvrons aux événements agréables ou sordides de notre existence. Mais nous accueillons les murmures du Temps.

Notre sainteté est d'aimer à tort et à travers, certes avec fermeté, mais sans préjugés.

Dans chaque être scintille une étoile qui vient de Dieu. A nous de la trouver !

 

Bruno LEROY.

 

11:53 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Regard d’une enfance retrouvée.

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Le vent chante dans tes arbres,

Les cordes sont des feuilles,

Qui s’effeuillent dans tes baisers,

C’est la mélodie de l’amour.

 

Celle que nous voulions jouer,

Lorsque nous étions enfants,

Puis en grandissant les intérêts,

Sont venus tuer nos élans.

 

A quoi sert de vivre sans tendresse,

La question se pose-t-elle adulte,

Quand l’argent inonde nos illusions,

Donne le faux frisson d’exister ? !

 

Non certains ne semblent plus habités,

Par un silence profond qui les fait danser,

Aux pas d’une absolue liberté,

D’une subtilité de humer la vie en son corps.

 

Que faut-il faire au creux de cet enfer,

Il faut retrouver l’âme perdue dans l’éternité,

Le cœur enfoui dans les marées trop matures,

L’enfance échevelée qui sourit au présent.

 

Et de tes yeux tu verras les oiseaux,

Danser dans la lumière de l’éther,

Pur sera ton regard d’une enfance retrouvée,

Les vagues viendront se reposer sur les rochers.

 

Les forêts parleront au soleil,

Des nuits où tout s’émerveille,

Même les murmures des ruisseaux,

Écouterons ta parole intérieure.

 

Tu seras le sage qui sait les secrets,

De notre mère nature qui souvent pleure,

De nos comportements trop intolérants et durs,

Alors, tu te lèveras pour sauver son dernier souffle.

 

Tu sauras le mystère des êtres et de l’amour,

Tu écriras sur les sables mouvants tes rêves d’enfant,

Car tu ne craindras pas que les tempêtes les efface,

Ils sont écrits en toi comme une préface du Bonheur.

Demain plus jamais ne te fera peur !

 

Bruno LEROY.

 

11:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

26/10/2012

Le père Guy Gilbert toujours Hospitalisé.

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Sacrifiant à une ancienne tradition rurale de Saint-François d’Assise, la bénédiction des animaux a été accomplie dimanche 21 octobre salle des Merisiers par le père Georges Verger, curé de Villevaudé, et le chanoine Olivier Vatar, responsable de la paroisse de Chelles.

 

 

 

C’est Guy Gilbert qui devait célébrer pour la 3e année consécutive cette cérémonie religieuse, mais victime d’un AVC (Accident vasculaire cérébral ) survenu mardi 16 octobre, il a été hospitalisé à l’hôpital militaire des Invalides où il se rétablit progressivement.

 

 

Le père Guy Gilbert a eu 77 ans en septembre.

 

 

Il ne se ménage pas, œuvrant continuellement pour sa fondation, la bergerie de Faucon, qui accueille des jeunes délinquants en voie de réinsertion qui lui ont été confiés par la justice.

 

 

 

www.guygilbert.net

 

 

19:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Sur le chemin de la confiance contagieuse.

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L'affirmation de soi et de sa différence prend toujours le visage du refus et de l'opposition. Dès l'âge de deux ans, l'enfant sait dire non. Il met son entourage à l'épreuve et enregistre les réactions qu'engendre l'exercice de sa fragile autonomie. Il peut, par son entêtement, paralyser les projets de toute la famille, faire perdre patience à ses parents, obtenir parfois de guerre lasse ce qu'on lui refusait, centrer toute l'attention sur lui au détriment de ses frères et sœurs. L'adolescence est, on le sait, une autre période privilégiée pour exister en s'opposant. Il faut tout de même du temps, souvent jusqu'à l'âge adulte, pour parvenir à la véritable capacité de dire " NON ", sans blesser l'autre et sans culpabilité, simplement se respecter soi-même et se faire respecter des autres.

 

S'affirmer positivement ou afficher refus et résistance sont deux façons d'atteindre l'identité personnelle et de la manifester. L'incapacité d'emprunter l'une ou l'autre voie, chez un adulte, est signe d'une maturité inachevée. Affirmation et refus prennent racine dans l'individu et lui permettent de se poser différent face à l'autre. Mais l'autre contribue aussi à façonner l'identité en jouant le rôle de miroir et en reflétant à l'individu sa propre valeur.

C'est le cas de l'amour maternel et paternel, de l'amour du couple ou de l'estime qui se développe entre collègues de travail. Ces relations sont normalement marquées par l'acceptation mutuelle.

 

Cela n'implique pas, tout le monde le sait, que les partenaires soient toujours d'accord ni qu'ils partagent les mêmes goûts et les mêmes vues sur tout .. Mais cela signifie que chacun est accueilli et apprécié comme il est de façon globale et positive. On peut dire à l'autre son désaccord, le reprendre, l'encourager à repousser une limite ou à combattre un défaut. C'est une autre façon de lui refléter qu'on croit en lui et qu'on désire qu'il grandisse davantage en devenant pleinement lui-même. La confiance est contagieuse lorsqu'elle révèle à un être tout ce qui l'habite et lui tend la main pour lui ouvrir la porte de son destin.

 

Rêvons d'une société où notre confiance serait force de persuasion avec ce regard d'amour qui fait grandir l'autre en son humanité afin qu'il puisse s'affirmer face à la rudesse d'un monde qui néglige mortellement nos individualités. Rêvons d'une humanité libérée et faisons en sorte que nous aidions à cette libération par notre confiance donnée avec amour à ceux et celles dont les pas hésitant demandent qu'on les soutienne dans leur titubation vers leur affirmation.

 

Bruno LEROY.

 

19:27 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/10/2012

Témoigner signifie aussi se ressourcer dans le silence.

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Après une journée mouvementée tel un océan de colère et de fureur. Je pose ma conscience dans le cœur assoiffé de Dieu. Dans la prière, je laisse le vent me guider vers d’autres horizons parfois indéterminés. Dans cette fougue du cœur qui se livre et se délivre en Christ, je retrouve l’essence même du Bonheur.

Cette paix intérieure qu’aucune vague ne peut faire sombrer dans les abysses de la mélancolie.

Un éducateur se doit de donner les blessures de ses jeunes au creux de celles du Christ.

Il a souffert avant nous et sait ce que l’horreur de la douleur signifie.

Lui seul peut y remédier .

Alors, il prend sur Lui toutes les souffrances humaines et leur donne une signification.

Notre symbole demeure la croix, nous le savons.

C’est bien pour cela que nous sommes entièrement confiants en un avenir incertain, souvent.

La prière est notre oxygénation et nous fait humer les doux parfums de la Vie.

Cette Vie que nous voudrions parfois sans problèmes, sans conflits, sans conséquences…

En fait, déjà presque morte faute de n’avoir aucune saveur sauf celle de la routine assassine.

En tant que chrétiens ( nes ), nous avons tout un programme à suivre au quotidien.

Nous avons le devoir de nous perfectionner, nous purifier spirituellement.

Quels exercices spécifiques pratiquons-nous pour trouver la lumière dans le regard des autres ?

Il ne faut pas que nous laissions notre existence tanguer aux tempêtes mauvaises et destructrices.

Nous sommes dans ce monde mais ne sommes pas du Monde.

Il faudrait peut-être se le rappeler de temps en temps…

La prière permet de prendre nos distances avec cette impression que nous avons souvent de nous penser indispensables.

Voilà pour quelle raison, je disais que l’éducateur, dès sa journée terminée, doit tout remettre entre les mains du Seigneur.

Nous ne sommes pas des magiciens. Nous sommes de modestes hères qui essayons de témoigner de l’Amour puissant de Dieu.

Témoigner signifie aussi se ressourcer dans le silence, pour entendre l’Éternel nous parler et nous indiquer les pistes à suivre. Les routes du paradis de la Vie.

Si nous ne pratiquons point ce minimum de vérité vis-à-vis de nous-mêmes. Ne soyons pas surpris de considérer l’existence comme absurde.

La méditation du soir et la prière du matin se vivent dans ce silence amoureux de Dieu.

Ainsi, nous aurons mille façons d’exister dans les yeux des autres.

Je vous souhaite une soirée intériorisée vers l’infini de vous même et une nuit où les feux follets de vos prières rejailliront sur votre visage le lendemain.

 

Bien Fraternellement, Bruno.

QDVB UDP.

 

PS : Toutes mes prières vont pour le rétablissement du Père Guy Gilbert, victime d’un accident vasculaire cérébral. Bon rétablissement Guy !

 

20:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/10/2012

Ce chant de la Vie qui honore toutes formes de vies.

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Souvent, lors de rencontres imprévues, certaines personnes m’exposent en long, en large et en couleur, leurs différents problèmes.

Vous savez ces tourments qui torturent le cerveau, rendent l’estomac hors service et le sommeil impossible.

Je n’ai guère de solution toutes faites, pré-programmées, pré-conçues.

Je n’ai que ma propre expérience pour témoigner de ma joie intérieure de vivre.

Et cette allégresse face aux soucis, aux moqueries et même aux insultes me vient, j’allais dire simplement de la prière. Est-il si simple de prier ? Je ne le pense pas car, il faut instaurer une véritable rencontre avec l’Éternel.

Et nous savons que l’intensité des rencontres ne sont pas toujours à la hauteur de nos désirs.

Cependant, je ne puis que vous dire ma ferveur de prier envers et contre tout.

La prière apaise et intériorise les méandres de votre âme.

Vous exprimez vos douleurs au Christ et vous ne serez ainsi plus seul ( seule ) à les porter.

D’ailleurs, lorsque nous vivons une certaine dimension spirituelle, il nous est impossible de supporter soit la souffrance ou les larmes, mais de les porter avec Dieu.

Ne plus supporter sa Vie mais la porter avec Jésus-Christ !

Voilà la sublime amitié qui s’enfante quand nous avons réellement une conscience christique. Certains ( nes ) que nous parcourons les chemins main dans la main avec notre Ami le Christ.

Alors, les blessures intérieures se relativisent au vent et tempêtes de l’Esprit. Et nous voici dans une sérénité prête à être partagée.

Ah ! cette prière discussion inlassablement perpétuelle avec l’Amour de Dieu.

Ce chant de la vie qui honore toutes formes de vies.

Cette route qui conduit dans les discernements de notre conscience, sanctuaire où Dieu habite.

Oui, cette autoroute, je la prends tous les jours.

Et ne puis la conseiller, puisque j’en sais la puissance.

Rien, mais rien ne peut échapper à la vigilance de Dieu.

Pour cela, il faut avoir également dans son cœur, les visages meurtris de ceux et celles qui n’en peuvent plus d’exister dans cette société de l’indifférence généralisée.

Je veux dire que la prière provoquera, su ce n’est fait, un immense changement dans votre façon de vivre et de contempler votre prochain.

Vous aurez la Force d’aller de l’avant pour faire tomber tous les préjugés des sentiers balisés.

Dieu devient prioritaire ainsi, que vous et votre prochain.

Vous désirez convertir cette médiocrité qui nous colle tous et toutes à la peau en joyau ?

Alors, priez maintenant et Dieu vous enverra ses sourires.

Des signes d’Amour indicibles.

 

Bruno LEROY.

 

21:13 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

12/10/2012

La célébration du passé permet d’envisager l’avenir avec confiance.

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La ritualité met les hommes en communication en conférant à des objets, à des gestes, et à des mots des significations symboliques et par là noue un tissu de relations sociales où chacun peut trouver son identité par le sentiment d’appartenir à une communauté humaine déterminée. Par exemple, lors d’une cérémonie d’ouverture ou de clôture d’un congrès politique, les participants chantent l’hymne du parti ; ils énoncent ainsi dans un langage symbolique un certain nombre de valeurs sur lesquelles ils s’accordent et, par le fait même, nouent le groupe politique auxquels ils appartiennent.

 

Comme toute loi, le rite interdit. Ce qu’il interdit en priorité, c’est l’attitude d’isolement. Car, par essence, le rite est social. Participer au rite, c’est donc nécessairement être mis en relation avec la collectivité. La participation au rite suppose donc une aptitude à se reconnaître dans une collectivité qui a une histoire singulière ; il oblige à la relation avec les autres, il va à contre-courant des tendances individualistes. En outre, le rite marque une césure par rapport au travail et au temps quotidien ; il oblige à s’en dégager. En d’autres termes, le rite interdit de rester immergé dans des tâches besogneuses, régentées par le besoin. Il met en suspend une vie qui ne serait réglée que par le travail, l’utilité ou le profit.

 

Notons à cet égard que ceux qui sont esclaves du travail, méprisent le rite, car celui-ci est improductif. Ainsi, le rite du repos dominical a pour fonction, en autres, de libérer l’homme de l’asservissement aux tâches pesantes ; il le soustrait au poids de la quotidienneté des jours afin de le rendre disponible à la relation aux autres. La participation au rite suppose donc la capacité de s’abstraire d’un déroulement de temps continu et subi. Le rite humanise le temps ; il y imprime la trace de la liberté de l’homme. Il manifeste que l’homme n’est pas seulement un être de besoin, mais aussi un être de relation. Chacun rivalise de dons et de cadeaux. Ce qui est échangé n’est pas considéré comme une marchandise utilitaire et monnayable, mais comme l’expression de la reconnaissance mutuelle et de la joie de vivre ensemble. C’est ainsi que lorsque des cadeaux sont offerts, on en efface le prix ; on veut signifier par là que l’échange se situe par-delà le circuit économique du marché et du profit et met en oeuvre une relation de gratuité qui, elle, est sans prix : le véritable trésor est la relation elle-même.

 

L’échange des biens sous le signe de la gratuité ouvre l’avenir. Le fait d’avoir ranimé l’opération de reconnaissance mutuelle permet de revenir au temps quotidien, d’y poursuivre des fins, d’y travailler, d’affronter les difficultés de l’existence, d’y dépenser son énergie pour y faire naître la vie. Ainsi, par exemple, le rite de l’an nouveau est aussi bien souvenir du passé qu’ouverture vers l’avenir. La célébration du passé permet d’envisager l’avenir avec confiance. En ce sens, le rite a pour fonction de lier tradition et nouveauté.

 

En résumé, le rite par sa triple fonction reconstitue le lien social. Il affirme la vie par la pratique de l’échange et fait foi en l’avenir. Il est ainsi une manière de subvertir la mort, de combattre inlassablement ce qui mine l’existence du corps social.

 

Bruno LEROY.

 

19:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Ces Génies étaient additcs au café.

 

Alphonse Allais :

« Tout passe en ce monde, sauf le café dans le mauvais filtres ».


Jean-Sébastien Bach :

La cafémanie a inspiré au grand musicien l’une de ses plus célèbres sonates. 
En 1732 Johann Sebastian Bach compose une ode au café.


Honoré de Balzac :

L’écrivain qui mit au jour une œuvre gigantesque avant de s’éteindre, épuisé, à 51 ans, s’excitait au travail par un usage immodéré du café.
On raconte qu’il aurait bu 50.000 tasses de café pour parvenir à écrie la « Comédie Humaine ».

« Ce café tombe dans votre estomac… Dès lors tout s’agite, les idées s’ébranlent comme les bataillons de la Grande Armée sur le terrain d’une bataille, et la bataille a lieu. Les souvenirs arrivent au pas de charge, enseignes déployées ; la cavalerie légère des comparaisons se développe par un magnifique galop ; l’artillerie de la logique arrive avec son train et ses gargousses ; les traits d’esprit arrivent en tirailleurs ; les figures se dressent, le papier se couvre d’encre, car la veille commence et finit par des torrents d’eau noir, comme la bataille par sa poudre noire. »


Beethoven :

Il fallait employer très exactement 60 grains pour préparer sa tasse, pas un de plus, pas un de moins.


Louis Ferdinand Céline :

« Certes, écrit-il, je veux bien aller  au ciel, mais à conditions que l’on serve le café au lit… Le lit je m’en moque, mais le café crème j’Y tiens. »


Sir Winston Leonard Spencer Churchill :

« Monsieur, si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre café.

 Madame, si j’étais votre mari, je le boirais ».


 
Georges Courteline :

« On change plus facilement de religion que de café. La monde d’ailleurs se divise en deux classes : ceux qui vont au café et ceux qui n’y vont pas. De là, deux mentalités parfaitement tranchées et distinctes, dont l’une – celle de ceux qui y vont – semble assez supérieure à l’autre ».


Pierre Dac :

« Si l’on donnait du café aux vaches, on trairait du café au lait. »


Serge Gainsbourg :

« L’amour sans philosopher, c’est comme le café. Très vite passé. »


Philippe Geluck :

« Boire du café empêche de dormir. Par contre, dormir empêche de boire du café ».

« Il est possible de boire un café dans un café. Il est envisageable de boire de l’eau dans l’eau. Il est souvent trop tard pour boire une bière dans une bière. »


Louis XV :

Louis XV était un illustre amateur  et sans doute le seul homme qui put s’enorgueillir de boire du café provenant d’une plantation française. Les serres de Versailles abritaient en effet une douzaine de caféiers qui, à force de soins, produisaient chaque année quelques livres de café.


Mahmoud Darwich – poète palestinien :

« Il n’existe rien qu’on puisse appeler « le goût du café » ; ce n’est pas un concept en soi. Chacun a son propre café, à tel point que je peux juger d’un homme, pressentir son élégance intérieure, à l’aune du café qu’il m’offre. »


Paul Morand :

« Par le thé, l’Orient pénètre les salons bourgeois ; par le café, il pénètre les cerveaux. »


Marquise de Sévigné :

« Racine passera, comme le café.»


Napoléon :

L’empereur était grand consommateur de café.

« Le café fort me ressuscite, disait-il, il me cause une cuisson, un rongement singulier, une douleur qui n’est pas sans plaisir. J’aime mieux alors souffrir que de ne pas souffrir. »


Pape Clément VIII :

« Ce serait un péché de laisser aux incroyants seulement une boisson aussi délicieuse ; vainquons Satan en la bénissant pour en faire une boisson vraiment chrétienne ».


Talleyrand :

« Noir comme le Diable
Chaud comme l’enfer
Pur comme un Ange
Doux comme l’Amour ! ».

 

Voltaire :

C’est assurément l’un des plus illustres amateurs de café. Il en consommait beaucoup et Brillat-Savarin s’était déjà demandé s’il ne fallait pas attribuer à l’usage de ce breuvage « la clarté admirable qu’on observe dans ses œuvres ».
On dit qu’il buvait 50 à 72 tasses de café par jour.

Il rétorquait à ses amis qui lui faisaient remarquer que le café était un poison, même si son évolution est lente : « Lente certes, puisque après 50 ans, il n’a pas encore produit d’effet négatif ».

19:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/10/2012

Trouver les clefs du Bonheur.

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Mon week-end fut de tout repos. Je n’ai strictement rien fait et ne m’en porte pas plus mal.

Il est excellent de prendre soin de soi tout en écoutant dans nos profondeurs les chuchotements de la parole de Dieu.

J’écrirai bien un livre sur l’éloge de la paresse, si cela n’avait déjà été fait.

Il est bon d’écouter sa musique préférée et ainsi d’imaginer le monde.

Ou de lire un livre spirituel qui vous élève et vous inonde de ses pensées.

Je me dis souvent que la vie est belle lorsque nous la vivons simplement.

Cependant, nous avons l’art suprême de tout compliquer.

Ce qui fait de notre existence un exercice de contorsion dont on se sort rarement.

Et nous passons nos jours à nous dire que la vie est conne, les voisins pourris et les gens dans la rue, n’en parlons pas !

Or, c’est là qu’intervient justement et judicieusement l’Evangile qui nous dit de ne pas regarder la paille dans l’œil de notre voisin, mais de nous changer nous-mêmes.

En effet, les autres ne sont pas responsables de nos cheminements pervers et suicidaires.

Nous sommes responsables de notre joie parfaite et incommensurable.

Simplement, que faisons-nous pour l’obtenir ?

Changeons-bous notre regard embrumé sur autrui ?

Vivons-nous libérés de nos chaînes de peurs et de préjugés stupides ?

Prions-nous pour acquérir de la Force et de la Sagesse face aux événements ?

Nous retirons-nous dans notre silence intérieur, là où Dieu habite ?

Bien-sûr, que non et pourtant les autres demeurent des cons !

Si nos jours sont une succession d’échecs et de désespoir, il ne faut point s’en étonner avec un tel regard.

Et l’émerveillement, vous connaissez ? Redevenir un enfant selon notre volonté.

Rassurez-vous, j’ai les mêmes progrès à effectuer pour marcher sur la route que m’a prescrit Jésus-Christ.

Demandons à l’Esprit saint ce que le Seigneur attend de nous. Et vous verrez la réponse ne tardera pas à venir et peut-être d’une façon différente de celle que vous attendiez.

C’est l’unique discernement pour comprendre si nous empruntons le juste chemin ou non.

Si la réponse est divergente de notre vie actuelle. Nous saisirons pourquoi nous sommes parfois si malheureux ( ses ). Dieu nous aura fait signe dans notre désespérance. Encore faut-il le demander, pour avancer. Sinon, nous deviendrons de vieux ronchons sans éclats, sans soleil, sans lumière et nous nous éteindrons sans bruit.

Une Vie sans Dieu est une existence aveugle, sans yeux pour nous guider et nous responsabiliser.

Je le pense profondément ! Mais, c’est ma croyance et je ne cherche à convaincre personne.

Pourtant, lorsqu’on a trouvé les clefs du Bonheur édifiant, comment ne pas les partager.

Je vous souhaite une semaine où vous serez contagieux (ses ) d’amour et d’espérance.

J’essaierai de l’être à mon tour sur mes lieux de travail et de rencontres.

Une mirifique semaine à Toutes et Tous vécue dans cette respiration intime avec Dieu Amour Absolu.

Bien Fraternellement, Bruno.