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20/01/2012

L'Amour regarde toujours dans la direction de la Lumière.

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Dans la profondeur du paysage, j'aperçois ton visage. Une larme transpire sur le sang de notre planète. Une source suinte de tes paroles internes. J'entends ton Esprit parler à mon esprit. Et me murmurer doucement toutes les douleurs qui boivent notre Vie. Tu as raison, Seigneur, nous sommes des tueurs en puissance. Nous éteignons tes étoiles comme des lampes insignifiantes. Ce n'est plus Toi qui laisse jaillir tes larmes, c'est moi face à ses alarmes des pauvres gens. Quand reviendra le feu consumant nos angoisses futures pour nous concentrer sur le présent. L'instant éternel dans lequel tu te trouves. Quand nous aurons assimilé nos propres rancunes. Nos nostalgies et colères face à la connerie de certains. Pense à celui qui se dit être ton Frère qui est incommensurable dans son silence.  Celui qui ne pense qu'à son cul, sa gueule et son pognon. Un raté de l'existence ne sachant pas explorer ses talents.
 
Laisse donc ces ombres dont le temps ne retiendra pas même le nom. Et vis ta vie à plein poumons en respirant l'Amour à chaque étage de ton existence. Sache que le Pardon, n'est pas l'oubli et qu'un jour ils paieront avec une autre matière que l'argent. Aime le vent qui vient inspirer tes poèmes, tes chants et tes fantasmes. Aime l'Amour des autres et de Dieu. Les événements te parlent de Lui. Écoute les mélodies et les tempos gospels qui te parviennent. L'Amour regarde toujours dans la direction de la Lumière. Le reste n'est que pénombre dont il faut extraire quelques brindilles dorées. Tu vois, vivre est si simple lorsque la Présence de Dieu se fait présente chaque jour. Tu peux mourir demain ou ce soir, l'espérance est ton miroir.
 
J'aime la substance même de la vie au point d'en extirper la quintessence poétique. Les mots se mettent à éclabousser ton corps et te faire comprendre que tu dois former, chérir le Verbe.
Le poète est celui qui met du parfum azuré dans les sentiments éprouvés. Ensuite, tu peux crever les syllabes feront le reste. Tu es le maître sans pour autant maîtriser le Verbe. Il vient, il va sur des chemins inattendus et toujours cependant dans une direction faite pour Toi.
 
Le Verbe est prière chantée, exprimée avec le sang de l'âme. Et tu entends des phrases à écrire tels des cris et des soupirs. Le monde a besoin de Beauté pour vivre pleinement en Harmonie. Quand prendras-tu conscience que le langage construit la conscience. L'enfant est celui qui ne parle pas. Sommes-nous restés des enfants sur le plan de la spiritualité ? Malheureusement, oui. Et heureusement, car ainsi nous pouvons progresser et toujours espérer mieux. N'oublie pas que la prière est la moelle de tes os. Sans elle, tu ne saurais marcher. Alors, prie, lutte et Aime. Puis, vas de l'avant pour ne pas sombrer dans un passé obsolète. Dans les marasmes du passé, il n'y a que cadavres. Dans la fumée du futur, il n'y a qu'illusions. Vis l'instant présent comme un moment d'éternité. De plus avec le Christ, tu auras l'impression d'être entre l'espace-temps de l'existence intense et de la mort présence d'un lendemain qui vient avec Joie.
 
Bruno LEROY.

13:13 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONVERSIONS, LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

19/01/2012

Le Mystère de l’Homme est en fait simple à saisir.

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Dans la vie, le secret d’un certain bonheur, est d’élever son âme au dessus du mercantilisme ambiant et de la pensée préfabriquée.

Le Mystère de l’Homme est en fait simple à saisir. Il lui faut marcher sur les nuages intérieurs de son cœur. Puis s’harmoniser avec les éléments qui ne sont que prolongement de sa conscience, sa façon de penser et d’exister.

 

Toujours aller de l’avant pour danser vers une contemplation infinie dans le doux murmure du vent de la vie. Chercher, creuser ce qui  ne réduit jamais l’individu à son individualité.

Se laisser tomber tels des flocons de neige immaculés sur les trottoirs du désespoir.

Dans cette fragilité humaine sentir que nous respirons quand même.

Qu’importe la fragilité si celle-ci se métamorphose en une humilité saine et juste.

Nous sommes des humains qui aimons la vie avec passion. Pas forcément son visage défiguré, mais ses flux et reflux paisibles dans nos hivers.

Pourquoi aimons-nous tant les paysages lorsqu’ils nous parlent d’Absolu ?

Simplement parce que nous sommes arrivés au point central du silence où règne la Beauté.

Voilà, le mot est lancé comme une flèche dans la ferveur de l’aimée.

La beauté, nous la voyons chaque jour à notre porte, et nous demeurons dans une cécité presque inconsciente.

 

Pourtant, elle s’impose à nous comme une évidence qui danse à nos genoux.

Je sais que souvent, tu la captures dans tes photographies qui deviennent prolongement de toi-même. Tu as le sens de la présence du sacré en Toi. Ne le perds pas ! Tu deviendrais alors une rose sans parfum. Un cerveau sans raison. Une pluie sans chanson. Un oiseau sans plumage. Une être humain sans idéal, sans cette capacité intrinsèque de s ‘émerveiller , s’enthousiasmer  pour, ce que d’aucuns considèrent comme des frivolités.

 

Et puis, la musique des jours entame ses cantates sacrées de Bach, son Via Crucis de Liszt, son requiem de Mozart et la résurrection de Mahler.

 Et bien d’autres intériorités ou symphonies. Oui, tant d’autres pour nous aider à cheminer dans la joie d’une sérénité retrouvée, comme les Béatitudes de César Franck.

 

Pour te dire que beaucoup de personnes ont cherchées, cherchent encore de quoi faire rayonner les extases de kyrielles de splendeurs un peu comme François d’Assise chantait des psaumes avec les oiseaux à la manière de Messiaen ou de Liszt.

 

La beauté des mélodies est écrite dans notre tête pour en faire des harmonies et vivre harmonieusement avec autrui et même l’écume du cosmos.

 

Tu fais partie de mon Univers et sans toi, je perdrai ma lumière, le feu qui m’éclaire.

Je t’Aime plus que de passion, de fusion et d’effusion. Je t’Aime comme une transcendance qui m’éblouit souvent. Je ne t’Aime pas vraiment comme une immanence omniprésente et castratrice.

Tu es ma Liberté d’aimer, de vivre, de respirer, de chanter, de danser, de rire et de pleurer aussi.

Jamais ô non jamais ; je ne changerai l’horizon bleu-océan qui scintille en moi telle une larme d’or de liberté absolue.

Je t’Aime et même plus…Il fallait que je te le dise encore une fois et je le redirai chaque matin que tu m’inventes dans Ta liberté de me faire avancer vers l’Infini qui ne finira jamais.

Je t’Aime et c’est peu dire. Tu es dans ma chair comme une écharde bienfaisante et dont je sens l’intime présence aimante.

Bruno LEROY.

21:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., GOSPEL, LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Ne ne pouvons plus vivre de cette façon si nous aimons la Vie

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Nous ne pouvons plus vivre ainsi, c’est une évidence. Comment vivons-nous dans ce système qui détruit l’Humain en ne valorisant que les notions de rentabilité, productivité sous le regard bienveillant de l’économie ?
La réponse est simple à moins d’être masochiste au premier degré, nous ne vivons pas ! Nous ne vivons plus, nous survivons...
Est-ce un phénomène politique, philosophique, psychologique ?

Il paraît indispensable de prendre ses trois dimensions en compte. Le politique n’est pas uniquement Sarkozy. Cela est également notre capacité à développer un comportement Citoyen au cœur de la cité. Et bien-sûr, il est nécessaire dans ce cas, d’interpeller les politiques pour engager une communication responsable avec eux.

Le philosophique est notre recherche de vérité profonde face aux paradigmes sociétaux. Comment chercher la Vérité de son être lorsque la télévision, les journaux pensent pour nous ? En relativisant leurs propres analyses comme étant critiquable dans le sens noble du terme. C’est-à-dire que ces organes médiatiques ne détiennent pas la Vérité absolue. Il faut se façonner une vision, un idéal de sa propre existence sur terre. Donner sens à tout ce que nous vivons et peu importe sa densité. Chaque geste, chaque pensée même de prime abord superficielle, peuvent creuser des sillons au profond de notre âme. Il faut pour cela habiter son temps, vivre intensément l’instant. Combien de minutes prenez-vous par jour pour effectuer une introspection qui ferait grandir votre spiritualité. Cette force de ne plus se considérer comme un objet parmi d’autres. Mais devenir pleinement Humain au fil des jours. Pour les chrétiens, quelle est l’importance de la prière face aux heures qui coulent entre vos doigts. Quelle place accordez-vous à la contemplation. Vous arrive-t-il d’écrire des moments merveilleux que vous avez vécus afin d’en faire mémoire et d’ébaucher une philosophie de Vie qui renforcera vos convictions. Ces valeurs qui bien souvent sont à contre-courant de notre société de tout à jeter. Valeurs non éphémères mais immortelles en leur essence.

Tout cela est extrêmement sérieux pour vivre dignement dans un Monde qui n’a guère que le mot crise sur les lèvres. Notre équilibre intérieur ne saurait générer un chaos extérieur. Si nous sommes cohérents avec nos propres idées et comportements ; nous ne serons peut-être pas appréciés par tous mais nous aurons cette indéfectible certitude de marcher sur le juste chemin.
Pensons un peu à ce que sont devenues les valeurs gratuites comme l’Amour, la Tendresse, le Respect. Nous devons impérativement devenir des mystiques, c’est-à-dire des personnes en recherche du Mystère qui donne un sens à notre existence. Sinon, c’est la mort sociale qui nous attend. Et nous savons de façon scientifique que celle-ci mène inéluctablement à la mort physique.

Pour savourer la saveur du Bonheur, il nous faut cultiver dans notre jardin intérieur l’humilité et la simplicité. Humilité vient du latin « humus », c’est-à-dire faire éclore sa vraie nature sans artifices. Ce n’est point s’humilier mais se révéler tels que nous sommes aux yeux des autres. Et la simplicité, c’est toujours et en toutes occasions chercher l’Essentiel en excluant le superficiel.
Ne sont-ce point là des idéaux à atteindre en période de crise ? Ces valeurs intrinsèques à l’Humain nous sauveront, sans nul doute, des délires financiers et mercantiles de cette Crise qui efface notre part d’humanité.

Notre créativité personnelle s’épanouit alors tel un aurore gracieux dans un ciel lumineux pour nous donner des idées alternatives afin que cette crise économique ne soit plus une ombre sur notre conscience.
Il ne faut pas voir cette crise comme une perte des repères et valeurs mais comme une métamorphose de nos sociétés.
Il nous faut accueillir cette crise tout en la combattant sinon, nous risquons de sombrer dans la dépression.
Il faut voir cette crise non pas comme une résignation citoyenne mais, comme un défi spirituel.

De plus, je puis vous affirmer avec des exemples à l’appui que nous ne sommes qu’aux prémisses d’une économie qui se désagrège.
Les institutions subiront des secousses sismiques que nous n’avions pas même imaginés.

Et c’est en ce sens qu’il nous faut devenir matures dans nos approches des problématiques. Il nous faut demeurer forts et garder précieusement l’Espérance qui nous fait aller de l’avant quand les vents sont contraires. Le visage de notre terre change d’apparence. A nous de l’accepter sur certains points et de le refuser sur d’autres.

Si nous aimons suffisamment la vie, nous la laverons de ses scories. Sinon, nous ne serons que des êtres soumis face à un système qui nous détruit. Dieu pour nous aider à recouvrer la quintessence des véritables valeurs. A condition que nous soyons inlassablement des mystiques en recherche d’un bonheur hautement spirituel. Et cela n’est pas réservé aux seuls croyants, heureusement. Chacun peut trouver le bonheur au fond de son cœur. Puis vivre debout et libres par un refus à la soumission ambiante.


Bruno LEROY.

12:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/01/2012

Dans le fond de tes yeux, j'inscrirai mon nom.

 

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Demain, le soleil se lèvera sur un jour enchanté. Il ne peut que tendre les bras vers le désir d'aimer. Demain deviendra aujourd'hui, telle est sa destinée. Mais quelle splendide éclosion de gerbes de fleurs aux pétales parfumés de douceur. Oui, demain sera le jour suprême d'un état d'âme absolument magnifique. Un mot, un nom, un saint et une ambiance pleine de fraîcheur comme la rosée du matin sur les feuilles endormies. Puis, le vent caressera de sa main tremblante, les charmes pudiques des herbes mouillées, qui n'attendaient que cela pour s'éveiller.
Dans le fond de tes yeux, j'inscrirai mon nom pour que jamais tu ne le perdes de vue.
Je t'aime comme une respiration, comme un autre moi-même.
Je t'aime comme une goutte de soleil qui vient éclairer tes nuits.
Demain, il fera jour sur le lit de notre Amour.
Demain se vit au quotidien dans le murmure du temps.
Demain est déjà l'Aujourd'hui que nous vivons intensément, passionnément dans l'Amour de nous et de la Vie.
Ô que l'existence est dense de ta présence qui danse aux tempos des flux et reflux des marais qui sourient.
De voir tant d'amour déborder de nos chants et musiques assoiffées d'éternité...
Nous sommes des souffles réciproques qui s'inspirent l'un de l'autre.
Je t'Aime et te dis Merci pour ce que Tu Es,
 
Bruno LEROY.

20:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/01/2012

Dites c'est contagieux d'aimer, non ?

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Quand j'étais petit,
Je voulais voir le monde heureux,
Entendre les rires joyeux,
Des adultes des enfants qui vivaient à mes côtés,
Je voulais repousser la lune noire de leurs pensées,
C'est vrai quand j'étais petit je rêvais,
Puis j'ai grandi dans les larmes de sang,
Au milieu des trahisons des faux-semblants,
Je me suis révolté en me brisant moi-même,
Sur la jetée trop ferme...
Les vagues étaient trop rudes,
Pour l'adolescent que j'étais devenu,
Je voyais la terre comme un cercueil de misères,
Je ne retenais jamais mes cris même injustifiés,
Puis j'ai encore grandi mes révoltes se sont épurées,
Mon Espérance depuis est devenue une muraille,
Mes révoltes je les vis dans la rue la violence,
La baston de certains jeunes autant révoltés,
Que je l'étais...
Mes révoltes ont pris sens dans le regard des autres,
Pour les aider à grandir debout et libres,
Pour les accompagner dans leur vérité,
Je ne suivrai jamais les chemins tracés,
Je serai toujours proche des plus blessés,
J'aime la marge quand elle contemple la page,
Je serai toujours un pauvre au milieu des pauvres,
Et défendant leurs droits au sein des illusions,
Ou des insultes des adultes arrivés,
Devenus indifférents ou rancuniers,
Mes révoltes disent aussi les devoirs,
Que les jeunes sont capables d'accomplir,
Mes rêves d'enfant je les vis à cinquante ans,
Chaque jour Dieu m'accompagnant,
Peu importe la fatigue avec les rides du temps,
Mes révoltes ont toujours ce sourire d'enfant,
Que je communique aux autres enfants,
Pour que le monde devienne vivant,
Comme un éclat de rire aux senteurs de joie de vivre,
Car la priorité n'est point de changer la société,
Mais de se convertir pour se transformer,
Afin que les autres voient qu'on peut être Heureux,
Sans être arrogant mais en cultivant le jardin de Dieu,
Qui ne veut que notre Bonheur au-delà de nos révoltes,
Puis transmettre partout transmettre la beauté d'exister,
Malgré les ombres et les impuretés se savoir aimé.
Alors transmettons nos rêves, nos passions, nos illusions,
Et la terre deviendra l'arche de Noé insufflé par l'Esprit.
Oui réaliser ses rêves c'est déjà exister dans la vie des autres,
Qui aimeraient réaliser aussi leurs désirs secrets,
Dites comme c'est contagieux d'aimer, non ?
 
Bruno LEROY.

17:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., IMPRESSIONS PERSONNELLES., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Prier au milieu des tempêtes, des pluies et des naufrages.

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Vivre joyeux
en sachant que Dieu veille
sur nos humbles personnes.

Puis, admirer, contempler la création
faite avec Amour par Dieu.

Regarder la vague naissante
dont l'écume vient tapisser le sable.

Écouter le chant de la mouette
qui interprète sa chanson gratuitement
pour Son Créateur.

Changer notre regard sur la beauté des Hommes
trop souvent cachée sous des aspects rudes.

Faire confiance en Dieu,
c'est découvrir chaque jour,
le diamant aux mille feux
qui scintille en chaque être rencontré.

C'est prier Dieu au milieu des tempêtes,
des pluies et des naufrages.

C'est Lui dire notre reconnaissance
de donner tant de soleils dans nos Vies.

L'ombre, elle, vient de Satan
et ne peut émerveiller notre âme
prédisposée à la magnificence de Dieu-Amour.



Bruno LEROY.

10:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Draguez votre conjoint ! N'en laissez pas l'occasion à d'autres.

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Le dialogue assure l'entente et l'adaptation mutuelle des époux. C'est le partage des sentiments, des attentes, des joies et des peines. La tendresse, ce sont les mille expressions de bonté, de service, de patience, qui édifient le foyer.
Chaque jour est alors l'occasion de grandir dans la communion et la découverte mutuelle. Même les inévitables conflits deviennent des défis pour le couple : s'ils sont dépassés dans le pardon, ils le font grandir.
Pour cela, il est bon de connaître les principaux langages de l'Amour. Pourquoi ces langages de l'Amour sont-ils si négligés ou ignorés dans nos foyers, là où ils pourraient être le mieux vécus ! ?
 
Alors qu'ils sont tellement exploités dans le flirt et les amourettes !
Voici donc Frères et Sœurs bien aimés, les principaux langages de l'Amour.
Premièrement, les paroles valorisantes. Il existe des mots magiques : un compliment est infiniment plus efficace que mille remontrances. Ne laissez pas d'autres flatter ou appeler votre conjoint " Chéri ( e ) ". Faites-le vous même avec vos mots !
 
Deuxièmement, les moments d'intimité. Une sortie à deux, une activité commune ( travaux, sport, voyage ) permettent de rompre la routine quotidienne, libèrent les confidences, et assurent de riches souvenirs.
Troisièmement, les gestes d'affection. Une caresse affectueuse, un bisou, cela prend deux secondes, et c'est gratuit. Pourquoi la Tendresse disparaît-elle de nos foyers, là où elle peut vraiment s'exprimer ?
Quatrièmement les services rendus. Ils ne sont plus le propre de la Femme au foyer. Ils représentent pour beaucoup la plus tangible des preuves d'Amour.
Cinquièmement les cadeaux ( même symboliques ). S'ils sont offerts avec cœur et sont chargés d'affection, leur souvenir est inoxydable, surtout pour la femme.
 
Le couple qui pratique ces langages de l'Amour ne s'ennuiera jamais et grandira toujours. Pour le plus grand Bonheur des enfants. Mari et femme s'exprimeront réciproquement leur affection. S'il se sent aimé, le conjoint devient dévoué et aimant. Trop d'hommes redoutent d'être doux par crainte de paraître mous, alors que la femme désire un mari fidèle, attentif, respectueux. Si certaines femmes deviennent infidèles, c'est souvent pour combler leur déficit affectif.
 
Draguez votre conjoint ! N'en laissez pas l'occasion à d'autres. Il ne suffit pas de l'Aimer, il faut qu'il se sente aimé. Exprimez-lui votre affection pour remplir son " réservoir affectif ".
Il y a mille occasions pour cela chaque jour.
 
 
Lorsqu'on a compris cela, on ne se pose plus les questions du genre " Pourrons-nous rester 50 ans ensemble ? ". Car pour l'Amour, chaque jour est nouveau et l'occasion d'un progrès. La flamme du premier Amour devient finalement la braise du Grand Amour. Comme le disent souvent les vieux époux : " Nous nous aimons davantage aujourd'hui que le jour de notre Mariage ".
Autrefois, le mariage était fondé sur les traditions et l'alliance des Familles. Ce n'était pas toujours génial, et le dialogue manquait souvent. Mais on supportait, on s'adaptait, et cela tenait par la force des traditions.
Aujourd'hui, les traditions disparaissent. On ne supporte plus. On cherche à s'épanouir chacun de son côté. Souvent, on se marie sans préparation sérieuse, pour se caser, ou par conformisme. Ce genre de couple ne résiste guère à l'épreuve du temps et des difficultés de la vie moderne.
 
 
Pour la vie professionnelle, on exige des études et des diplômes. Par contre, rien n'est demandé ou si peu pour bâtir un couple. Qui oserait imaginer ou exiger un permis de bâtir un couple ou de faire des enfants ?
Pourtant, un couple qui n'est pas solidement fondé sur des Valeurs stables et durables, est semblable à une maison sans fondations, qui sera vite ébranlée. De même, une connaissance superficielle, un manque de dialogue ou de préparation, des motivations floues, c'est inéluctablement s'engager dans les problèmes.
L'impréparation au mariage est la meilleure préparation au divorce.
Un vrai mariage repose sur de solides fondations. Des personnes mûres. Un amour réciproque, où chacun trouve son bonheur en faisant le bonheur de son conjoint. Des valeurs fortes et un projet commun.
L'engagement du mariage fonde la confiance et la stabilité du foyer. Mari et femme sont appelés à grandir dans une relation Fraternelle. S'ils sont croyants, cette relation devient une alliance sacrée en Dieu et dans Sa Volonté.
Le mariage dans le Seigneur est la plus solide des Fondations.
C'est 70% des problèmes évités ou résolus d'avance. Il est comme une maison bâtie sur le Roc. il est un OUI de chaque jour et pour toujours au conjoint et à Dieu.
" La maison fondée sur le roc tient bon quand vient la tempête. Mais la maison fondée sur le sable s'écroule, et sa ruine est complète. " ( Matthieu 7.24-27 ; psaumes 127 et 128 ).
Le foyer est alors comme une maison solidement bâtie dans laquelle il fait bon vivre, il surmonte les inévitables épreuves de la Vie.
 
Bruno LEROY.

10:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/01/2012

LES CHRÉTIENS INDIGNÉS QUE NOUS SOMMES.

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Si les chrétiens indignés que nous sommes, n’étaient en fait que la résurgence d’une certaine théologie de la  libération sans marxisme.

Jean-Paul II avait affirmé que cette théologie ne posait plus problèmes à l’Église institutionnelle et même qu’elle encourageait vivement l’option préférentielle pour les pauvres.

Pourquoi ne trouverions- nous point dans les sources des écrits de ces théologiens, la praxis qui convient au contexte actuel.

Il faut en parler…Il faut que nous réfléchissions ensemble pour redonner l’essence évangélique au cœur de notre société dont le sens semble lui échapper.

Assez de pensées chimériques où les beaux idéaux portés par les chrétiens scintillent dans les clairs matins comme des gouttes de rosée gorgées d’espérance.

Il nous faut avancer sur les sentes d’une vision réellement réformatrice de nos comportements sociaux et relationnels.

Mettons le feu de l’évangile dans l’économie déjà bien enflammée, voire calcinée par une gestion sans retenue.

Mais avant de commencer ce cheminement ; il faut que les chrétiens indignés que nous sommes, se tiennent au courant des grandes vagues fondamentales qui immergent nos océans de pensées. Que pensons-nous de l’Éducation, l’économie de marché, le tout à jeter, le tout immédiat, les relations de supériorité des riches envers les plus pauvres.

Bien-sûr, nous avons quelques bribes d’idées sur ces sujets.

Mais, comment faire pour trouver les solutions adéquates selon chaque situation ?

Penser en fonction d’une théologie sociale de libération qui structurera nos convictions.

Et ne jamais oublier que notre indignation se veut au service de Dieu-Amour et prioritairement en faveur des plus petits d’entre nos frères et sœurs.

Tous ces humains  sont les reflets divins de nous-mêmes. Ils possèdent une part de Sacré, même s’ils sont athées, et appartiennent aussi à notre terre mère.

Nous sommes les enfants d’un même Père, nous sommes frères, pour mener un combat vers davantage de dignité. Encore faut-il que nos sursauts ne demeurent pas lettre morte dont personne ne lira les sublimes envolées lyriques.

L’Amour du prochain exige de nous un engagement sans mesure pour un monde plus chaleureux, plus humain et plus fraternel. Ce monde là ne peut éclore sans nous !

 

Bruno LEROY

 http://www.chretiensindignonsnous.org/

11:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/01/2012

Affirmation et refus prennent racine dans l'individu.

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L'affirmation de soi et de sa différence prend toujours le visage du refus et de l'opposition. Dès l'âge de deux ans, l'enfant sait dire non. Il met son entourage à l'épreuve et enregistre les réactions qu'engendre l'exercice de sa fragile autonomie. Il peut, par son entêtement, paralyser les projets de toute la famille, faire perdre patience à ses parents, obtenir parfois de guerre lasse ce qu'on lui refusait, centrer toute l'attention sur lui au détriment de ses frères et soeurs. L'adolescence est, on le sait, une autre période privilégiée pour exister en s'opposant. Il faut tout de même du temps, souvent jusqu'à l'âge adulte, pour parvenir à la véritable capacité de dire " NON ", sans blesser l'autre et sans culpabilité, simplement se respecter soi-même et se faire respecter des autres.

S'affirmer positivement ou afficher refus et résistance sont deux façons d'atteindre l'identité personnelle et de la manifester. L'incapacité d'emprunter l'une ou l'autre voie, chez un adulte, est signe d'une maturité inachevée. Affirmation et refus prennent racine dans l'individu et lui permettent de se poser différent face à l'autre. Mais l'autre contribue aussi à façonner l'identité en jouant le rôle de miroir et en reflétant à l'individu sa propre valeur.
C'est le cas de l'amour maternel et paternel, de l'amour du couple ou de l'estime qui se développe entre collègues de travail. Ces relations sont normalement marquées par l'acceptation mutuelle.
Cela n'implique pas, tout le monde le sait, que les partenaires soient toujours d'accord ni qu'ils partagent les mêmes goûts et les mêmes vues sur tout .. Mais cela signifie que chacun est accueilli et apprécié comme il est de façon globale et positive. On peut dire à l'autre son désaccord, le reprendre, l'encourager à repousser une limite ou à combattre un défaut. C'est une autre façon de lui refléter qu'on croit en lui et qu'on désire qu'il grandisse davantage en devenant pleinement lui-même. La confiance est contagieuse lorsqu'elle révèle à un être tout ce qui l'habite et lui tend la main pour lui ouvrir la porte de son destin.

Rêvons d'une société où notre confiance serait force de persuasion avec ce regard d'amour qui fait grandir l'autre en son humanité afin qu'il puisse s'affirmer face à la rudesse d'un monde qui néglige mortellement nos individualités. Rêvons d'une humanité libérée et faisons en sorte que nous aidions à cette libération par notre confiance donnée avec amour à ceux et celles dont les pas hésitant demandent qu'on les soutienne dans leur titubation vers leur affirmation.

Bruno LEROY.

19:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Ces violences sournoises qui régissent notre existence.

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Nous vivons dans une société qui nous fait marcher au rythme de l'éclair. Éblouis que nous sommes par nos performances ou envahis de remords par notre passivité, ce sont ces violences sournoises qui régissent notre existence. Notre spiritualité s'en trouve atrophiée ou reléguée au second plan.
En fait, nous sommes les pâles reflets dans notre vie spirituelle, des attentes de ce monde. Et nous voilà, toujours en retard d'un voyage intérieur. C'est ce que nous pensons, malheureusement, souvent. La vie spirituelle avec Dieu-Amour est d'un autre ordre, heureusement. Une longue et solide paix intérieure vient nous habiter, lorsque nous suivons les enseignements d'Amour de Christ. Le temps est son Royaume et Il se laisse approcher dans ce silence habité que nous entretenons dans la prière.
Nous puisons notre Force à la source essentielle de Son regard. Notre existence spirituelle se construit, peu à peu, malgré les tempêtes qui nous submergent. Le dialogue constant avec Dieu est nécessaire à cette lente et sereine construction de notre être. Lorsqu'un jeune m'affirme, je crois en Dieu mais je ne prie pas. Je lui réponds, aimes-tu tes parents ou un membre de ta famille ou simplement un ami. Il me rétorque, souvent, j'aime telle personne, et moi de lui dire, donc tu ne lui parles jamais !
Il me regarde interloqué et je lui dis, tu m'affirmes aimer Dieu et tu ne lui parles jamais, non plus. Dis Lui, simplement que tu l'aimes et qu'il remplit ta vie. Voyez-vous, nous sommes tous sur le même bateau, nous affirmons haut et fort que nous aimons Christ et ne Lui réservons pas même quelques temps de silence profond pour être en communion avec Lui.
Cette croissance spirituelle ne viendra que dans un silence d'Amour entretenu.
Ensuite, nous serons plus forts, plus fermes pour assumer les adversités de l'existence.
Que Dieu nous apprenne, chaque jour à retrouver cette qualité de silence qui habite nos coeurs et enflamme de joie notre Vie. C'est ce que nous pouvons nous souhaiter, en tant que chrétiens qui veulent vivre constamment dans les bras d'Amour de Christ.
Laissons les autres courir, nous les rattraperons par notre croissance spirituelle qui nous rendra indéfectiblement confiants envers tout événement qui nous parvient, puisque nous vivrons main dans la main avec Christ !
 
 Bruno LEROY.

19:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |