07/10/2011
Dans le silence insondable.
21:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
30/09/2011
Un miracle Naturel.
Bruno LEROY.
17:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
L'EXIGENCE DU RESPECT DE LA VIE.
L'avortement, tout le monde en convient, est un échec ; il s'oppose au développement d'un être humain autonome déjà en gestation. Personne ne demande ou ne pratique un avortement de gaieté de cœur. L'embryon n'est pas un appendice du corps de la femme qui le porte; il est autre. Enlever une tumeur, extraire une dent ou amputer d'un membre n'est pas une opération du même ordre que l'avortement. Quelles que soient les conceptions morales et religieuses, il y a un large consensus sur ce point : l'avortement fait obstacle au développement d'une vie autonome.
Par respect de la vie, il convient donc de mener à tout prix une politique globale qui empêche qu'on arrive à des situations où l'avortement apparaît comme la seule issue possible. La société, en effet, ne peut se résoudre à récuser l'appel de la vie qui la traverse et vient d'au-delà d'elle même.
Le problème est celui d'une responsabilité collective. Il ne concerne pas uniquement l'homme et la femme qui ont conçu un enfant sans l'avoir désiré. Ceux-ci n'ont pas un droit de vie et de mort sur l'enfant selon qu'ils le désirent ou non. Un enfant conçu non désiré par les parents peut et doit être désiré par la société; celle-ci, par une politique d'aide vigoureuse aux parents en difficulté, doit suppléer à leur manque de désir d'enfant et leur assurer les conditions pour que l'enfant conçu puisse être accueilli.
La prise en compte de l'exigence du respect de la vie par les parents et par la société tout entière implique un certain nombre de mesures : l'édification de centres d'accueil et d'aide aux personnes connaissant une grossesse non désirée ; une information sur les techniques contraceptives pour les couples et surtout pour les jeunes qui éprouvent leurs premiers émois ; une aide et une reconnaissance sociale des mamans célibataires ; une facilitation des procédures d'adoption, une politique d'aide à la famille de telle sorte que les foyers disposent des conditions matérielles pour accueillir une grossesse ; un aménagement global de la société de telle sorte que le rythme de travail et la recherche du bien-être ne deviennent pas une entrave au désir et à l'accueil d'enfants.
L'idée de cet article m'est venue à la suite d'une rencontre éducative avec une jeune fille paroxystiquement angoissée à la perspective inéluctable d'avorter du fœtus qu'elle porte en elle car, le garçon qui prétendait l'aimer est parti lorsqu'il a appris qu'elle était enceinte. Cette jeune fille risque de rester meurtrie toute sa vie si des personnes compétentes et aimantes ne la suivent pas jusqu'au bout de cette tragédie. J'ai décidé de l'accompagner aussi longtemps que faire se peut sur ce chemin rocailleux. Nos jeunes ont des relations sexuelles de plus en plus précoces et il faudrait que les adultes révèlent le mystère sublime de l'acte d'amour qui est communion des corps et non, une simple recherche de plaisir sans signification. Il nous faut redonner à l'Amour le sens mystique et merveilleux qu'il porte en sa quintessence. C'est une écologie quotidienne que nous devons mettre en place afin que chacun reconsidère la Vie comme un art avec l'esthétique que cela comporte dans chaque geste effectué avec une tendresse profonde qui révèle toute la symbolique de l'existence. Cette jeune fille n'a que treize ans et c'est à nous de lui faire comprendre que l'acte demandé de se faire avorter n'est nullement sa mort définitive dans cette société qui devrait agir politiquement et humainement afin que de telles histoires aux larmes de sang, ne se produisent plus.
Puissions-nous aider nos jeunes à aimer la vie et ses subtils parfums afin qu'ils habitent harmonieusement leur propre corps et ne le l'évalue point tel un gadget sans limites. Devenons des combattants de la Vie; elle est si belle à contempler chaque matin quand le soleil se lève sur le jour éveillé. Oui, la Vie est une mirifique aventure et la liberté est un projet de chaque instant à construire pour devenir acteur de son destin et non esclave d'une existence qui ne signifie plus rien. Les adultes doivent être les passeurs qui permettent à chaque individu de mesurer sa propre liberté en vue de ne pas être constamment sous la tutelle de sentiments aliénants. Le bonheur des autres est aussi notre bonheur sans cela, la vie n'aurait aucune saveur.
Bruno LEROY.
16:03 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRISTIANISME SOCIAL., CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
27/09/2011
COMMENT SORTIR DE CETTE CRISE ÉCONOMIQUE ?
18:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRISTIANISME SOCIAL., CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
17/09/2011
CET ESSENTIEL COMBAT SPIRITUEL.
La prière, source limpide de notre relation avec Dieu prend parfois des allures d’une discussion abrégée. Quand allons-nous cesser de nous détruire ainsi, d’entrer dans le jeu d’une société qui met tout en place pour que nous évitions le recul envers nous-mêmes. Il nous faut comprendre que c’est dans l’intérêt de nos Hommes politiques de nous éviter de penser pour mieux nous manipuler. A cette échelle, nous pourrions dire que la société est une grande secte qui se plaît à évincer ses adeptes lorsqu’ils ne sont plus dans la course. Combien de personnes âgées placées dans les anti-chambre de la mort, par ce que jugés improductifs par notre société. Allons-nous accepter longtemps et passivement, en tant que chrétiens ( nes ), de voir nos jeunes, nos aînés devenir les surplus de notre société. Nous avons un immense devoir à accomplir au Nom de l’Évangile révolutionnaire de Christ.
Nous ne pouvons plus accepter que les valeurs familiales, amicales soient considérées comme de simples loisirs. Nous devons nous insurger contre cette médiocrité ambiante qui nous laisse croire que ce qui ne rapporte pas d’argent est nul et non avenue. Dès que nous n’entrons plus dans les schémas déterminés, nous sommes bons à être jetés dans les oubliettes pour mourir à petit feu. Où est notre capacité de révolte face à ces états de faits ? Je ne parle pas évidemment d’une révolte armée pour renverser un État. Je parle de notre révolte spirituelle, celle qui laisse du temps au temps. Celle qui laisse germer les fleurs de la Beauté au tréfonds de notre âme pour en répandre le parfum. Celle qui sait que la prière est une rencontre essentielle avec notre Dieu d’Amour absolu et que Lui parler nous redonne Paix intérieure.
Quand écouterons-nous les moindres bruissements de nos cœurs comme une feuille qui danse au vent pour rejoindre Christ dans l’Espérance. Il en va de notre survie spirituelle ! . Comme bon nombre d’athlètes s’exercent intensément avant d’effectuer un exercice important, notre spiritualité est toute aussi importante. Notre Amour pour Dieu est notre respiration et combien de temps respirons-nous par jour ? La prière est notre oxygène et ne sommes-nous point cyanosés ? Il est temps de reprendre notre avenir en main et par effet boomerang, celui de nos enfants et de notre société.
Il nous faudra oser nous affirmer fraternellement en disant, veuillez m’excuser pour le moment, je prends du temps pour moi. Nous ne pouvons être chrétiens que de mots. Les évangiles sont à vivre au quotidien et ce, dans n’importe quel endroit où nous sommes. Il existe des astuces pour vivre profondément notre Foi. A nous de les trouver et de demander à Dieu-Amour de nous aider dans ce combat spirituel. Il nous donnera les armes nécessaire pour ne pas nous conformer à ce monde mais, redevenir nous-mêmes face à Lui. Son Esprit nous donnera la Force d’affronter les critiques. Christ nous donnera la sérénité pour savourer l’instant en ses parfaits délices. Les gens nous prendrons peut-être pour des fous mais nous serons des fous de Dieu Amour. Qui sont les plus fous, ceux qui courent après le temps perdu ou ceux et celles qui remettent leur destin entre les bras de Dieu. Réaffirmons au Christ que nous n’Aimons que Lui. Il nous a aimé le premier. Il est mort et ressuscité pour nous. Prouvons Lui que notre Foi est véridique, qu’elle plonge au plus profond de notre être, là où le temps s’arrête.
Ne laissons pas tomber par une vie trépidante notre combat spirituel pour un monde meilleur. Relevons nos manches pour dire à Dieu : me voici mon Dieu d’Amour et je laisse ma vie, mon destin, mon âme se laisser conduire au brasier de tes flammes d’Amour. Seul Ton Amour peut nous sauver des tourments d’une existence mouvementées. Je suis prêt ( te ) pour le plus somptueux combat, celui de l’Amour sans retour.
Bruno LEROY.
12:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRISTIANISME SOCIAL., CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (13) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
16/09/2011
La poésie doit illuminer le visage de ta vie.
C'est la poésie que l'on aime chez les êtres et que l'on cherche chez eux: quelque chose de léger, de lumineux, que l'on a besoin de regarder, de sentir, de respirer, quelque chose qui apaise, qui harmonise, qui inspire. Mais combien de gens, qui n'ont pas encore compris cela, vivent sans jamais se préoccuper de l'impression pénible qu'ils produisent sur les autres. Ils sont là, désagréables, bougons, les lèvres serrées, les sourcis froncés, le regard soupconneux, et même s'ils essaient d'améliorer leur apparence extérieure par toutes sortes de trucs, leur vie intérieure prosaïque, ordinaire, ne cesse de transparaître.
Alors, désormais, cessez d'abandonner la poésie aux poètes qui l'écrivent. C'est la vie que vous menez qui doit être poétique. Eh oui, l'art nouveau, c'est d'apprendre à créer et à répandre la poésie autour de soi, à être chaleureux, expressif, lumineux, vivant !
18:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
13/09/2011
Je crois en des lendemains meilleurs.
Oui, garder l’espoir envers et contre tout. Traverser les tempêtes des adversités de l’existence. Pour faire de nos échecs des tremplins vers de possibles réussites.
Vouloir tout mettre en place par militantisme et tolérance des projets qui nous tiennent à cœur. De ces projets qui pourraient donner un peu plus de fraîcheur au visage de l’Humanité. Demeurer ensemble pour créer de nouvelles alternatives où il ferait bon vivre dans le respect d’autrui. Utopies, peut-être ou certainement pas.
Tant que les hommes se lèveront pour proposer des idées afin que le monde ne sombre point. Tant que l’espoir restera la manne des militants de nouveaux paradigmes de vies. Cet espoir est celui qui a soutenu les plus petites flammes qui sont devenues brasiers indispensables. Le secret de la réussite en tous domaines ? Celui de ne jamais baisser les bras quoiqu’il arrive et se remettre à reconstruire sans cesse avec l’espoir chevillé au corps, comme une force nécessaire à la réalisation de tous projets Humains.
Cet espérance qui alimente le désir de transformer une société qui nous est intolérable en certains domaines. Une ouverture vers davantage de démocratie pour faire participer le plus de personnes possibles à notre avenir qu’il reste à bâtir. L’espoir une utopie ? Non une réalité ancrée vers les problématiques de demain et qui, ne veut pas se résigner face au seul destin.
Bruno LEROY.
12:03 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
11/09/2011
L’occident veut être la puissance première de la pensée.
Tout est fait dans cette société pour nous empêcher de mieux nous apprécier, nous apprivoiser et connaître la culture de l’autre. Cet autre qui est une partie de moi-même, un prolongement de ma conscience. Les lois instaurent des barrières qui forcent les individus à s’ignorer sans se comprendre. Les cultures, aussi différentes soient-elles ont leurs saveurs. Notre curiosité, notre intelligence naturelle voudrait que nous pénétrions délicatement dans le royaume de mon frère et ma sœur dit " étranger ".
Malheureusement, nous avons tout instauré pour que les étrangers demeurent d’éternels étrangers. La loi interdisant le port de la Burqua en est la preuve flagrante. Pour une minorité de Musulmans vivant leur religion différemment, nous érigeons des interdits stupides. Franchement, n’y avait-il point d’autres moyens pour séparer les français d’une entité qui fait peur ? La seule et unique réussite de cette loi est de nous séparer davantage de nos frères Musulmans. Ils ne demandent pourtant qu’un simple geste, celui de les aider à vivre pleinement leur foi en paix. Mais non, au nom d’une laïcité qui pense sans cesse se perdre et se sent en dépression, nous préférons stigmatiser toujours les mêmes personnes. Il eût été plus subtil de dire que, par exemple, pour une carte d’identité, il faut se dévoiler sinon l’administration ne peut la valider. Ce n’est pas la loi que j’estime honteuse, c’est l’esprit même de cette loi. Elle est faite au départ pour nous diviser. Elle est faite pour attiser les flammes de nos angoisses et de nos peurs des maghrébins. Elle manque de pertinence uniquement pour atteindre ce point final et définitif : la séparation irrévocable avec la culture Musulmane.
Pauvre France qui ne sait accueillir les différences et les estimer à leur juste valeur. Le Coran est autant respectable que la Bible. Je ne suis pas un intégriste qui tente de vous convertir au soleil brûlant de l’Islam. Non. Je dis que cela suffit de nous battre à coups de livres Saints. Au contraire, revenons aux disputes théologiques qui mettaient en lumière nos réflexions et discours. Est-il si loin ce temps du respect de l’autre dans sa façon de voir la vie en fonction de ses opinions ou religions ?
Pour moi, il reste proche...Je lis la Bible comme étant mon Livre Sacré par excellence. Le Christ est l’Ami qui habite mon âme. Mais, je lis également les poètes soufis qui sont l’essence même de la foi musulmane. A chacun sa vision et tentons plutôt de nous rejoindre dans nos divergences pour en faire des convergences relationnelles et culturelles. Certains Français en ont marre de ces répressions à cent cinquante euros qui nous sépare davantage d’un terreau mystique avec de nobles aspects artistiques enrichissants dont, par exemple la musique méditative orientale. Et moi, le premier.
Sans aller à vouloir aimer tout le monde aveuglément sans discernement, profitons des couleurs qui vitalisent notre Pays et le réchauffent d’une profonde spiritualité.
Dieu est là où les Hommes ont planté des fleurs dans le jardin de leur religion. A nous de visiter ces jardins enchantés et de nous sentir bien en leur présence. Tuer la convivialité, comme nous le faisons insidieusement, c’est vouloir que la vie s’éteigne définitivement. L’esprit même de ce visage multiculturel est en train de mourir à cause de nos intolérances pusillanimes. L’occident veut être la puissance première de la pensée. Une sorte de privatisation des comportements que nous anesthésions avec les droits de l’humain dits universels par ceux qui détiennent un Pouvoir certain.
Dans ce cas de figure, les autres cultures ne sont en aucun cas respectées et encore moins comprises. Pourtant, c’est la connaissance des divers paradigmes philosophico-religieux que véhiculent d’autres personnes qui nous rend plus tolérants. Avant de vouloir donner des leçons de droits civiques, apprenons à nous comporter avec civilité. Les laicards s’enfoncent dans un intégrisme peureux tout comme les religieux craignant les péripéties de nos sociétés. Cela est une façon de préserver une certaine identité qui, pourtant n’est guère en danger. Face à cette paranoïa, Il faut raison garder. Puisse chacun se réconcilier et surtout, écouter les civilisations conjointes dans ses approche différentes des problématiques existentielles. Chaque être sur cette Terre est une pierre précieuse contenant sa propre richesse dont il serait profitable d’analyser pour mieux apprécier. Finissons-en avec ses guerres intestines qui mènent à la haine des différences. Aimons-nous dans notre part personnelle unique et tendons la main aux exclus que nous générons volontairement. Pour cela, une conversion absolue de l’individu s’impose. Un travail sur Soi est à élaborer pour vaincre nos animosités. Puisse le futur porter les stigmates d’une indéfectible paix retrouvée.
Bruno LEROY.
10:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
09/09/2011
La mort de nos sociétés est déjà programmée...
Le Libéralisme semble avoir triomphé de toutes les tempêtes. Rien n’est plus faux. Son cortège macabre peut être contrebalancé par un contre-pouvoir. Des alternatives existent et devraient se mettre en place afin de refuser ce fatalisme de la pensée unique. C’est l’espoir pour les plus petits qui se voient broyés dans cette machine économique sans philosophie propre. Il nous faut remettre les valeurs Humaines avant l’économie. Les libéraux semblent sans âme face à la mondialisation. Seuls, les esprits contestataires et lucides redonneront une philosophie de Vie aux paradigmes politiques. Sinon, la mort de nos sociétés est déjà programmée...
Le néo-libéralisme nous offre son cortège de drames Humains avec son non-respect des travailleurs intérimaires, des précaires, chômeurs, rmistes, tous exclus de la société de consommation. Les exclus de la machine à profits aussi, les retraités ayant à peine de quoi survivre en attendant au bout du chemin la misère, la mort, froide, ou caniculaire, mais finalement planifiée.
Tout cela présenté dans les journaux, sauf certains, comme une fatalité. Nos vies ne valent plus que ce que les statistiques en font. La destruction de la planète fomentée par quelques poignées de dirigeants de multinationales anonymes. Les êtres humains que nous sommes ont-ils perdus tout espoir, tout désir de vivre une vie épanouissante, libre ? Une vie basée sur le partage, la solidarité, la fraternité. Une vie débarrassée des entraves du travail inutile, du fric, de la valeur marchande, du pouvoir. Une vie sans dominants ni dominés. Une vie où nous prendrons le temps de vivre, de profiter nous aussi. Nous qui produisons par notre labeur toute la richesse, nous n’avons droit qu’à des miettes. Consommation de survie pour beaucoup d’entre nous, alors qu’il y a de quoi donner à tous couverts, soins et logis. Consommation de choses, de besoins inutiles que l’on se crée, que l’on nous crée, et que l’on paye de toute notre vie par le travail et l’allégeance au système. Créons une société de liberté non basée sur le profit. Nous savons tout faire. Nous savons produire ce qui est nécessaire à l’homme. La nourriture, l’abri, les soins. Nous pouvons nous organiser autrement. Vivre en fabriquant du plaisir, de la joie de la fraternité plutôt que continuer dans la spirale mortifère de l’exploitation, de la guerre, de l’anéantissement quotidien de la planète sur laquelle nous ne sommes qu’un infiniment petit souffle de vie.
L’heure est venue de partager autre chose que la galère, la misère pendant qu’ils jouissent de tout sur notre dos. Le néo-libéralisme nous offre la souffrance emballée dans un joli papier cadeau et nous rend irresponsable de notre devenir. Nous sommes capables de construire une société alternative dont l’homme ne serait plus un loup pour autrui. Les politiques sécuritaires sont des mesures fascistes et de contrôle des humains sans notre autorisation. Nous ne pouvons continuer à vivre dans un monde qui laisse crever ses ados, ses enfants mais, parle de profits constamment. Je dis non au capitalisme sauvage qui détruit toute idée de Vie.
Bruno LEROY.
18:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
07/09/2011
Ces êtres de paix et de lumière que sont les vieillards.
Merci, Seigneur, de nous avoir fait connaître ces êtres de paix et de lumière que sont les vieillards.
Merci de nous avoir fait découvrir leur sagesse accumulée au fil des expériences de la vie.
Merci de goûter la tendresse des hommes et des femmes que la souffrance a adoucis.
Merci de nous permettre de rassurer les personnes angoissées ou rongées par le scrupule.
Merci d’apporter un peu de joie à ces hommes et ces femmes que l’âge a un peu rejetés dans l’ombre.
Merci de soigner les corps accablés de rhumatisme ou affaiblis par la maladie.
Merci de nous procurer la chance de donner le meilleur de nous-mêmes et peut-être de recevoir encore plus.
Merci, Seigneur, pour tout ce monde inconnu que tu nous révèles et qui nous transmet ton Amour.
Amen !
Bruno LEROY.
21:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |