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28/11/2007

LIVRE COLLECTIF DE BRUNO LEROY.

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Ce texte est l'aboutissement d'une longue démarche collective qui a mobilisé des centaines de personnes pendant plusieurs mois. A partir d'un " appel aux chrétiens ", un millier de questionnaires ont été envoyés puis dépouillés, analysés par un collectif qui a soumis ses conclusions aux signataires, personnes ou groupes. Pour la première fois sans doute depuis que le chômage est devenu un phénomène social central, chômeurs et travailleurs s'expriment directement sur les bouleversements que provoque le chômage, sur la façon d'envisager le travail, sur les solidarités à mettre en oeuvre, sur les solutions à apporter à la crise de l'emploi. Les chrétiens qui s'expriment ici n'ont pas de solutions toutes faites, peut-être seulement une lucidité et une espérance qui leur permettent d'envisager un vrai tournant social caractérisé par une société où le travail ne sera plus le seul intégrateur et où la solidarité ne sera plus une matière à option.

Toujours en vente dans les bonnes Librairies et sur Amazon.

Un ouvrage qui demeure, malheureusement, encore d'actualité.

Votre Frère Universel, Bruno.

11:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/09/2007

OPUS DEI PRÉLATURE INCOMPRISE...

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En journaliste avisé, en catholique convaincu et en chercheur minutieux, Patrice de Plunkett a poussé l’enquête sur l’Opus Dei jusqu’aux fondements de sa structure et jusqu’aux racines de son histoire. Plongeur en eaux profondes, il en revient avec des trésors, mais qui ne sont pas ceux que le naïf attend. L’oeuvre de Dieu fondée par un jeune prêtre espagnol devenu Monseigneur Escriva, c'est donc tout cela mais seulement cela ? Ainsi se désolera l’amateur de révélations scabreuses. Mais, quant au simple mendiant de vérité, quant au chrétien amoureux des mille éclats divers dont se pare le peuple de Dieu, il y trouvera, pour lui, puissante matière à réflexion, à méditation et à espérance. Patrice de Plunkett a réussi, comme il engage le lecteur à le tenter après lui, à porter un regard le plus objectif possible, loin des passions de tout ordre, sur cette prélature dont le succès n’en finit pas de nourrir d’extravagants fantasmes. Pied à pied, il démonte les légendes qui tentent d’en pourrir les fruits : non, l’Opus Dei n’a rien à voir avec le franquisme, explique-t-il.
Il en a même au contraire souffert la persécution ; non, l’Opus Dei ne dirige pas Rome ; non, l’Opus Dei n'est pas une « sainte maffia » ; non, l’Opus Dei n’est pas une menaçante puissance économique. Etc. Et, ne se bornant pas à écarter d’un revers de main toutes ces accusations et combien d’autres, plus mesquines et plus injustifiées encore, le journaliste descend véritablement dans les bas-fonds, fouille les poubelles – celles de la fameuse « affaire Calvi »notamment – et prouve, que si machination il y a, elle serait plutôt ourdie contre l’Opus Dei. Mais la machination n’est que celle des imbéciles, celle des envieux, celle des fous, celle des paranoïaques, celle des concierges et des affabulateurs de tout poil qui, depuis les Jésuites, n’en finissent pas de faire porter à l’Église le fardeau de leur besoin de sens insatisfait. Ce sont aussi des destins lumineux que Plunkett nous présente ici. Tous ces hommes et toutes ces femmes qu’il a rencontrés, numéraires et surnuméraires, engagés dans une sanctification quotidienne de leurs travaux et activités témoignent d’abord, par leur ardeur et leur ténacité, dans leurs oeuvres sociales, charitables et enseignantes, de l’effectivité immédiate du « levain dans la pâte ».

Jacques de Guillebon dans La Nef, n°171, mai 2006


Journaliste, essayiste, membre du comité éditorial de la revue de prospective catholique "Kephas", Patrice de Plunkett a écrit entre autres une biographie remarquée de "Benoît XVI et le plan de Dieu".

C'est dans un climat social et politique très tendu et peu favorable que le jeune abbé José-Maria Escriva se sent appelé à une mission spirituelle d'envergure. L'Opus Dei naîtra en 1928 à Madrid des longues méditations de son fondateur, soucieux de venir en aide à un monde en désarroi, moralement en déroute. Projet audacieux auquel il consacrera toute son existence parsemée de multiples épreuves.
Le premier centre de l'œuvre est créé avec de très modestes moyens dans la capitale madrilène en 1928. Y adhère une poignée d'étudiants espagnols séduits par l'idée du Père Escriva. Le but poursuivi est d'amener les laïcs à se sanctifier dans leur vie quotidienne personnelle, familiale, professionnelle et sociale. En dépit du climat de tension et des difficultés en tous genres, de nombreux centres de formation éducative et d'activités caritatives se développent. Ils seront de plus en plus performants avec l'unique souci de servir au sein de l'Eglise, sous les couleurs du Vatican.
Grâce à cette impulsion au fil des années, des écoles, des universités, des hôpitaux, des centres culturels, des ateliers s'organiseront sur tous les continents sous l'aile spirituelle de l'Opus Dei. Aides et dons privés viendront souvent au secours de situations apparemment insurmontables. Au plus creux des vagues, ni le Père Escriva, ni ses collaborateurs ne perdront confiance. L'expansion de l'œuvre se veut sans frontières, apolitique et pour tous sans distinction d'origine et de race.
Chaque vocation est individuelle et libre. Les membres sont reliés entre eux par des normes de prières, une formation doctrinale en parfait accord avec l'enseignement de l'Eglise catholique, un même esprit d'amitié et d'entraide, dans le respect de l'autre, quels que soient ses engagements par ailleurs. Le travail se fait dans son milieu de vie, sans tapage et sans recherche de vedettariat. Quels mystères cache cette discrétion ? Comme tout mouvement en extension, plus l'œuvre grandit, plus elle est vulnérable et intrigue.
Quelques zèles trop intempestifs, quelques vocations incomprises, du milieu familial surtout, des engagements avortés, malencontreux, suffisent à éveiller des soupçons. Les accusations, souvent les mêmes, sont reprises, montées en épingle par certains médias (Planète, Golias pour ne citer qu'eux).
Dans une société devenue égalitariste, hédoniste, laïcisée, en plein éparpillement, la transparence est de rigueur. Or, la discrétion de l'Opus Dei est mal vue. Sur quelques mécomptes, les imaginations s'échauffent, amplifiées par des articles venimeux de ci de là. Les termes de pénitence, de sacrifice, de mortification, d'approfondissement intérieur sont tournés en dérision et cloués au pilori de l'obscurantisme de nos pères. En réponse, les portes des divers centres sont largement ouvertes. Les enquêteurs s'obstinent, agacés de ne rien découvrir en dehors de l'harmonie de la paix et de la bonne humeur qui règnent partout.
La Prélature personnelle accordée à l'Opus Dei par Jean-Paul II "qui connaît le travail et la mystique des disciples d'Escriva" relance les polémiques. La béatification du fondateur en 1991, peu d'années après sa mort en 1975 à Rome, puis la proclamation de sa sainteté, déchaînent les médias : l'Ouvre est classée "Sainte Mafia"… Doù viennent ses ressources financières ? Quels sont ses modes de recrutement ? ses exigences ? ses appartenances ? etc, etc…

C'est à tout cela que répond Plunkett, sans complaisances , sans ménager rien ni personne. Son enquête est menée tambour battant. Dès le départ, il déclare qu'il n'est pas de l'Opus Dei et n'a nulle intention d'y entrer. C'est clair et net. Il écrit en vérité et liberté totales.
Avec de nombreux écrivains et journalistes, il répond à ce nouveau flot d'attaques ciblées contre la personne du Christ et son Eglise, dont fait partie l'Opus Dei, prise en otage. "Pour 30 deniers Judas trahit son maître, pour des millions de dollars, Dan Brown trompe son monde" tablant avec astuce sur l'ignorance des foules, le goût d'un public déchristianisé pour l'ésotérisme et l'air pollué du temps… Une minorité agissante se mobilise : prélats, prêtres, religieux, laïcs protestent vigoureusement. Tous prouvent que depuis 2000 ans, le vrai Christ, celui des Evangiles, n'a cessé d'attirer à lui des foules innombrables d'hommes et de femmes qui ont consacré leurs vies à propager Sa doctrine d'Amour.

Gisèle Bazin pour

12:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

12/09/2007

ON NE SAIT RIEN SANS APPRENDRE.

Tout ce qui est de l'ordre de la connaissance, de la culture, de l'épanouisssement de la personne, nous avons à l'acquérir. Nous nous en emparons de façon personnelle, mais il y a à la base un accueil fondamental. Toutes les grandes valeurs qui apportent à l'homme son épanouissement et son bonheur doivent être apprises. Elles ne sont pas innées : que ce doit la vérité, la liberté, la justice¸la paix ou l'amour. Par ailleurs, nous ne pouvons pas penser que nous les gagnons de façon définitive. La vérité, certes, nous ne la possédons pas automatiquement, elle s'acquiert laborieusement, inlassablement ; on n'a jamais perçu toutes les épaisseurs des réalités, des êtres…

La liberté, il faut l'apprendre, la dégager de ses ambiguïtés toujours renaissantes. Les hommes libres sont des êtres en incessant travail de libération pour devenir eux-mêmes, des êtres pour qui la liberté va s'identifier avec la contrainte du meilleur. La justice et la paix, elles aussi, sont des réalités en " à venir " ; elles sont une conquête incessante sur l'égoïsme ou la peur de l'autre.


De même, sait-on jamais ce que c'est que l'amour, jusqu'où il nous mènera, jusqu'à quel point il nous sort de nous-même, quel " plus " il va réclamer ? Comme le chante un poète : " Y a-t-il un seul amour qui n'ait besoin d'amour ? "…

Mais, à un certain moment, cette lune de miel prend fin et chacun doit faire son deuil d'un partenaire idéal répondant à toutes les demandes…
Mais on ne peut tout attendre de l'autre ; il est limité, et moi, je ne suis pas dispensé d'exister, d'être, même si j'attends de lui qu'il m'amène un " plus-être "…

On s'aime les yeux grands ouverts, avec lucidité sur les pauvretés, les manques réciproques, mais en sachant aussi que l'amour, s'il n'abolira jamais la différence, ne cessera pas de chercher la communion.

11:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

27/10/2006

NOUVEAU LIVRE DE GUY GILBERT.

Cliquer sur la vignette de couverture pour la voir en grand  Guy Gilbert
Essais - Documents
Et si je me confessais
 

Depuis 40 ans, le prêtre Guy Gilbert se bat pour la « racaille » des rues et des prisons, tous les exclus et les marginaux abandonnés par la société. Depuis 40 ans, il prône l'amour et la tolérance, le respect des autres et de soi-même. Depuis 40 ans, il interpelle l'opinion publique et les médias, avec la même énergie, ses mots coups de poing, son blouson de cuir et ses santiags. En 40 ans de sacerdoce, il n'a jamais perdu foi en Dieu ni confiance en l'homme.
Pour la première fois il se raconte dans un livre-confession. Lui qui a tant parlé pour les autres évoque sa vie sans détours, avec force et tendresse : sa naissance dans une famille ouvrière de quinze enfants, sa vocation religieuse dès treize ans, l'Algérie où il se confronte à la torture, l'injustice et la souffrance, forgeant sa résistance et ses révoltes, ses premières rencontres avec de jeunes « paumés », son combat quotidien, acharné, pour sortir les « fauves » de l'enfer, à Paris et à Faucon, dans la bergerie provençale qui accueille les « irrécupérables ».
Ce livre est l'occasion de retracer un parcours exceptionnel, celui d'un témoin engagé dans notre société.

Code EAN : 9782234057791
Code ISBN : 2234057795
Code HACHETTE : 5457791
Prix TTC : 18,50 €
Date de parution : Vers le 8 Novembre
Dimensions : 215 x 135 mm
Copyright : © Editions Stock, 2006
 

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24/09/2006

DÉSESPÉRANCE INTERDITE.

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par Alain Raoult - Préface du Père Guy Gilbert.
Intervenant en toxicomanie, l'auteur est fondateur de l'association Vie Espoir 2000, qui a pour objectif la prévention du suicide, notamment chez les jeunes.
18,29 euros (119,97 frs). ISBN: 2-86839-705-0.

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21:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |