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21/11/2013

LE TEMPS PREND DE L'ÂGE.

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La vie avance à petits pas,
Pour nous mener loin parfois,
Elle est émerveillement,
Chaque jour de se sentir vivant.
  
Peu importe le temps,
Il faut vivre l'instant,
Savourer le présent,
Avec un regard d'enfant.
  
Ceux que l'on dit vieux,
Ont perdus l'espérance,
Et sont tristes plus que joyeux,
Ceux que l'on dit vieux,
Ne savent plus être heureux.
  
La jeunesse est dans l'esprit,
Un rire qui s'épanouit au miroir de la vie,
La jeunesse est une façon de regarder,
Les événements qui peuvent arriver,
Et discerner les importants des futiles.
  
Les années enneigent nos cheveux,
Et nous donnent Sagesse,
A transmettre aux plus jeunes,
Pour leur montrer qu'on peut être Joyeux,
Même si les ans défilent tel un souffle de Dieu.
  
L'Amour a toujours rajeuni même les plus vieux d'entre-nous !
 
 
 
 
Bruno LEROY.

13:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

19/05/2013

Quand la vie coule de source par Bruno LEROY.

Spiritualité vivante
Par Bruno Leroy
 

10/02/2013

L'Amour est un art de liberté responsable.

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L’amour, acte révolutionnaire pour l’individu et la société, voilà qui peut surprendre ! L’amour comme acte révolutionnaire, pour l’individu mais aussi contre le système capitaliste et patriarcal. L’amour est un art et à ce titre nécessite connaissance et effort, alors que la plupart des gens le considèrent comme un effet du hasard, une chance.

On pense habituellement que le problème essentiel est d’être aimé et non d’aimer. On pense aussi qu’en amour l’important, c’est de trouver le bon objet et non d’avoir la faculté : deux personnes tombent amoureuses « lorsqu’elles ont le sentiment d’avoir découvert le meilleur objet disponible sur le marché, compte tenu des limitations de leur propre valeur d’échange ». Il existe également une confusion entre tomber amoureux et être amoureux. Tomber amoureux c’est laisser s’abattre le mur qui sépare les individus, c’est un miracle de soudaine intimité facilité par la consommation sexuelle. Mais ce type d’amour est éphémère, l’intimité perd son caractère miraculeux, antagonismes et déceptions reprennent le dessus. Alors que les témoignages accablants montrent la difficulté d’aimer, on a coutume de considérer qu’il n’y a rien de plus facile et que nul n’a apprendre sur le sujet. Or l’amour est un art qui nécessite de maîtriser la théorie et la pratique, il doit devenir la préoccupation ultime de l’individu.

« L’homme est vie consciente d’elle-même », de sa solitude, de sa séparation, de son impuissance devant les forces de la nature et de la société". L’expérience de la séparation d’avec la nature est source d’angoisse et suscite un sentiment de honte et de culpabilité. Dès lors comment surmonter cette séparation et trouver l’unicité ? La première solution partielle se trouve dans les états orgiaques (abolition du moi séparé ). Les rituels dans les tribus primitives font apparaître une exaltation collective, une fusion au groupe au cours de laquelle le monde extérieur disparaît. Ces orgies sexuelles permettent d’atteindre un orgasme amenant à l’état d’extase.

Ces rituels sont admis par le groupe et ne suscitent ni angoisse, ni culpabilité. Alors que dans une société qui a renoncé à ces pratiques, ceux qui s’y adonnent (en se réfugiant dans l’alcool ou les drogues ) se sentent encore plus angoissés quand l’expérience prend fin. Quant à ceux qui recherchent l’orgasme sexuel pour échapper à l’angoisse de séparation, l’acte sexuel ne comble la distance entre les individus que pour un instant, ils se retrouvent ensuite avec un sentiment croissant de séparation.« Toutes les formes d’union orgiaques ont trois caractéristiques : elles sont intenses, même violentes ; elles mettent en jeu la personnalité totale, esprit et corps ; elles sont transitoires et périodiques ». La seconde solution partielle se trouve dans le conformisme. L’union au groupe constitue un moyen de surmonter la séparation : « c’est une union où, dans une large mesure, le soi individuel disparaît, et dont le but est d’appartenir à la foule. » Par peur d’être différent les gens veulent se conformer à un degré bien plus élevé qu’ils n’y sont contraints. Ils se contentent de manifester leur différence sur des points mineurs".

Dans la société capitaliste, l’égalité des individus devient une égalité d’automates, d’hommes faisant les mêmes choses, ayant les mêmes idées et les mêmes sentiments. L’égalité des femmes a ainsi été pervertie, celle-ci se paie par l’élimination des différences : la polarité des sexes est entrain de disparaître. « Le processus social requiert la standardisation de l’homme, et cette standardisation, on l’appelle »égalité".

L’union par conformisme est dictée par la routine mais suffit rarement à calmer l’angoisse de séparation. Elle concerne surtout l’esprit et peu le corps. Son seul avantage est d’être permanente. La troisième solution partielle se trouve dans le travail créateur où la personne s’unit avec son matériau. Mais dans le système économique, le travailleur devient un appendice de la machine ou de l’organisation bureaucratique, il n’y a plus de vrai travail créateur. L’amour est la seule solution humaine. « Le désir de fusion interpersonnelle est le plus puissant dynamisme en l’homme ». L’amour est la réponse plénière au problème de l’existence mais de quel amour s’agit-il ? Il existe des formes imparfaites de l’amour, par exemple l’union symbiotique. Il s’agit d’unions dont le modèle est la relation mère-foetus. La forme passive se trouve dans le masochisme et la forme active dans le sadisme.

L’amour n’est une activité libre que s’il consiste essentiellement à donner, non à recevoir, sinon il s’agit d’une « passion » résultant d’une motivation inconsciente. Le don constitue la plus haute expression de la puissance : « donner est source de plus de joie que recevoir » parce qu’il exprime de vitalité. La sphère la plus importante du don ne se situe pas dans les choses matérielles mais dans les relations humaines : donner de sa vie. Celui qui donne ainsi de sa vie« enrichit l’autre, il en rehausse le sens de la vitalité en même temps qu’il rehausse le sien propre ». Dans le don, chacun est reconnaissant à l’autre de la vie qui naît pour les deux.

La capacité d’amour en tant que don, nécessite d’avoir surmonté la dépendance, le narcissisme, le désir d’exploiter et d’avoir acquis la foi en ses propres possibilités. Si ces qualités ne sont pas acquises la personne a peur de se donner, donc d’aimer.

D’autre part, le refus du don dans la relation, car pour pouvoir donner, il faut que ce don soit accepté par l’autre, comment donner à celui qui refuse ? Accepter le don, l’amour de l’autre, c’est déjà aimer, donc donner. L’amour est sollicitude, responsabilité, respect et connaissance. « L’amour est une sollicitude active pour la vie et la croissance de ceux que nous aimons. »

Le désir d’union repose également sur un besoin biologique : l’union des pôles masculin et féminin. Le mythe des êtres androgynes primitifs est l’expression de cette recherche de l’unité perdue. Cette polarité est à la fois extérieure : recherche de l’autre pour trouver l’union, mais aussi intérieure. Au niveau physiologique, hommes et femmes possèdent des hormones du sexe opposé, psychologiquement ils sont aussi bisexués. Hommes et femmes ne réalisent leur union intérieure que par la conjonction de leur pôle masculin et féminin (pénétrer et recevoir ). Le rapprochement avec les idées de JUNG sur « l’anima » et « l’animus » est en ce domaine assez saisissant, tout comme la parenté avec des philosophies beaucoup plus lointaines : tantrisme, taoïsme, des convergences riches de perspectives apparaissent dans ce domaine des pôles intérieurs masculins et féminins.

L’amour érotique bien qu’exclusif ne saurait être un égoïsme à deux, il doit aussi comporter une dimension d’amour fraternel, pour s’ouvrir aux autres. L’amour érotique est à la fois attirance individuelle unique et aussi acte de pure volonté.

L’amour de soi ne doit pas être confondu avec le narcissisme qui représente le premier stade du développement humain, celui qui régresse à ce niveau est incapable d’aimer. L’amour de soi est souvent assimilé à l’égoïsme, celui-ci traduit-il réellement un souci de soi-même ?

En fait l’amour est indivisible, il concerne à la fois les autres et soi : « si quelqu’un est capable d’amour productif, il s’aime également, s’il ne peut aimer que les autres, il n’aime en aucune façon ». La personne égoïste se hait elle-même, elle est vide et malheureuse, « avide d’arracher à la vie les satisfactions qu’elle pourrait obtenir si elle n’y faisait elle-même obstacle. »

L’amour est une expérience personnelle qu’il nous appartient de réaliser par nous-mêmes. Pour ce qui est de l’art d’aimer, ceci signifie que quiconque aspire à devenir un maître dans cet art doit commencer par pratiquer la discipline, la concentration et la patience dans chaque phase de sa vie. La discipline ne doit pas être une règle pénible, imposée mais ressentie comme un style de vie. Pour pratiquer la concentration, il faut apprendre à rester seul avec soi-même, c’est une conception essentielle de l’aptitude à aimer : faire le vide en soi-même.

Se concentrer signifie aussi savoir écouter, "vivre pleinement dans le présent, dans le ici et maintenant, sans penser à ce que l’on fera par la suite. Nous devons aussi avoir foi en nous-mêmes, en ce noyau immuable de notre personnalité. Seul celui qui a foi en lui-même peut avoir foi dans les autres et dans leurs virtualités. Enfin « pour aimer, comme pour se laisser aimer, il faut avoir le courage de juger certaines valeurs, comme étant d’importance ultime et alors de faire le saut et de tout miser sur elles. »

Le système accepte toutefois une certaine dose de non-conformisme et cantonne l’amour dans un rôle marginal. Dès lors si l’on prend l’amour au sérieux en le considérant comme la seule réponse rationnelle au problème de l’existence, on est forcé de conclure que des changements importants et radicaux dans la structure de la société sont indispensables pour que l’amour devienne un phénomène social, et non plus marginal, hautement individuel.

Bruno LEROY.

 

19/06/2012

PARLEREZ-VOUS ?

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Qui parlera pour les pauvres et les sans argent
Qui parlera pour les personnes opprimées
Qui parlera pour que leur voix soit entendue
Qui parlera si vous ne le faites pas
Qui parlera pour les sans voix
Qui dira la vérité dans les lieux de pouvoir
Qui parlera pour que leur voix soit entendue
Qui parlera si vous vous ne le faites pas
Qui parlera pour que les enfants de la violence
Qui parlera pour les femmes abusées
Qui parlera pour que leur voix soit enfin entendue
Qui parlera si vous-même vous le ne faites pas
Qui parlera pour les personnes rejetées, réprouvées
Qui parlera pour les gens atteints du Sida
Qui parlera pour que leur voix soit enfin entendue
Qui parlera si vous ne le faites même pas
Qui travaillera pour les milliers de sans-abri
Qui travaillera dans les ghettos et dans les rues
Qui travaillera pour que leur voix soit entendue
Qui travaillera si même vous vous ne le faites pas
Qui prendra soin des plantes et des bêtes
Qui prendra soin de la terre et de l’eau
Qui travaillera pour que leur voix soit enfin entendue
Qui travaillera si vous-même vous ne le faites pas ?


Bruno LEROY.

05/06/2012

La beauté de notre Vie nous engendre.

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Dans le silence intérieur se forme notre conscience
La certitude des mots prononcés avec Amour
Et nos secrètes pensées veulent vivre toujours
Cette éternité de l'instant quand nos regards
Attendent un geste de tendresse sans hasard
Mais tracé dans une harmonieuse présence
De nos âmes enlacées et qui savourent
Le bonheur d'être deux en cette humanité
Où la solitude est le souffle de l'homme
Une habitude inventée par des cœurs dispersés
La beauté de notre Vie nous engendre à nous-mêmes
Comme un poème éclaté chaque jour
Au soleil de nos saisons que nous conservons
Jalousement avec une volupté aux yeux d'enfants
Purs et innocents dans sa fraîcheur renouvelée
Au quotidien de nos rencontres
Comme des envolées dans le destin illimité
Et le vent de nos sentiments amoureux
Fait chanter ses accords heureux
Dans nos corps chaleureux et démesurés
Quand le temps nous appartient
L'avenir nous vient tel un navire sans chagrins
Sur les flots de la mer sereine et parle pour demain
De nos matins réinventés au Bonheur
De s'aimer malgré toutes les lames
Que les vagues imaginent pour nous couper
De nos radieux moments médités au fond de notre être
Pour donner une signifiance à notre existence
Plus je m'enfonce dans les profondeurs
Plus je sens la chaleur torride de t'Aimer.
 
Bruno LEROY.

 

22/03/2012

Dans le soleil de votre cœur.

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Dans le froid glacial de vos cœurs,
J'avance sans tituber dans mes rancœurs,
Malgré vos sourires figés aux grimaces commerciales,
J'avance sur les chemins de la pauvreté non vénale,
Dans le soleil de votre cœur,
Je me repose et me réchauffe de mes peurs,
Malgré vos pleurs suintant de détresse,
J'arrête quelques instants pour calmer vos tristesses,
Rien ne pourra me séparer de vous dans les péripéties,
Les affres de l'existence que nous vivons ensemble,
Nous sommes sur le même navire qui souvent chavire,
Malgré ce Monde pourri par votre égoïsme et votre fric,
J'avance pour ne pas sombrer dans vos indifférences,
Je suis infiniment jeune mon âme n'a que cinquante deux ans,
Face à l'éternité je ne suis que poussière d'étoiles,
Dans les mains de Dieu,
Qui se régale de ne jamais me voir vieux.
Les hommes sont des vieillards dans leur tête,
Il ne savent plus s'émerveiller des signes,
Que l'Esprit projette dans la respiration de nos nuits.
Je ne mourrai pas même mon souffle est dans le souffle,
De Dieu en son Esprit.
Et sur la voie lactée je glisserais comme on fait du ski,
Pour s'amuser, s'émerveiller, se renforcer dans cette certitude,
D'aimer la vie ou la mort et de se sentir aimé à l'infini.
 
Bruno LEROY.

03/03/2012

Un Souffle dans l'Infini.

http://www.coopdonbosco.be/priere/index.html

Cliquez sur le lien ci-dessus et méditez, priez, admirez, émerveillez-vous de la beauté de la vie comme un Souffle dans l'Infini. Merci à mes Amis Salésiens pour ce Diaporama musical et artistiquement bien travaillé. Puissiez-vous partager ce lien avec d'autres qui attendent peut-être un Sens plus profond chaque jour que Dieu fait pour eux, pour nous.

La musique et la poésie sont les substantifiques moelles de l'Existence.

Bruno LEROY.

10/02/2012

Demain, je partirai c'est certain.

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Demain, je partirai,
Est-ce certain ou trop lointain ?
Demain, je partirai c'est certain,
Pour un Bonheur plus éclatant,
Pour un Bonheur plus souriant,
Pour un parfait Bonheur issu des profondeurs,
Je partirai pour surgir de la terre-mère,
Et m'en aller danser vers le ciel cristallin,
Je partirai avec mon âme en bandoulière,
Peut-être un soir ou au réveil d'un matin,
Je m'en irai sans regretter l'air que nous respirons,
Je partirai sans pleurer vous voyant en larmes,
Je partirai sur le chemin de la félicité...
Mais aujourd'hui il me faut vivre pleinement,
Intensément l'instant présent,
Et dénoncer les injustices en tentant de les endiguer,
Demain je partirai,
Mais ce jour il me faut aimer,
Sans retenue au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit,
Dans la Joie de savourer chaque moment,
Dans les yeux de l'autre qui reflètent le visage du Christ.
Qui rit au soleil de la vie grâce aux apparences surpassées.
Demain, je partirai,
En attendant je vivrai profondément sous le regard de Dieu.
 
Bruno LEROY.

03/09/2011

Là où les mots perdent leur réalité.

Pour te donner le Bonheur j'inventerai des horizons,

Des superlatifs pour enrober de fleurs tes passions,

Des mots réalistes pour rendre au présent tes projets,

Et donner vivants aux ciels tes rêves emmurés,

Je donnerai mon âme aux sourires de ton coeur,

Et le feu de mes flammes pour détruire tes malheurs,

J'entrerai en prières et invoquerai les anges,

Pour qu'ils gardent à jamais ta joie d'exister,

Que tes éclats de rire enchantent et dérangent,

Les Hommes dont le regard fait souvent pleurer,

Je passerai toutes les mers oubliées,

Dans les cimetières de nos pensées,

Et j'inventerai des couchers de soleils,

Où les scintillements deviendront réels,

A force de vouloir t'inventer des histoires,

Je te ferai princesse ou fée selon les bribes,

Qu'il reste en mon domaine de mémoire,

Je te donnerai ce souffle de l'être libre,

Qui vient du profond de moi-même,

Comme une semence qui germe,

Dans cette vérité de notre Amitié,

Rien ne saurait nous séparer pas même,

Les routes et les ruissellements des années,

Non rien ne saurait interdire de s'aimer,

Dans cette pureté cristalline de l'Amour,

Celle qui commet les plus intenses audaces,

Que le temps de sa main jamais ne menace,

Le présent de l'amitié, l'amour, la respiration,

Est l'instant vécu dans l'éternité,

Là où les mots perdent leur réalité,

Pour devenir des hymnes de tendresse,

Que l'espace seul imagine en caresses,

Pour donner du Bonheur à profusion,

Dans les corps consistants de la raison,

J'inventerai un paysage paradisiaque,

Pour te redire à quel point je ne puis mentir,

Les sentiments sont des ombres maniaques,

Qui veulent servir la Vérité sans la trahir,

Cette certitude d'aimer et d'oser le dire,

C'est toujours la Joie réciproque qui entre,

Et ne ferme jamais la porte pour laisser le Vent,

S'imprégner de cette ultime mystique du chantre,

L'Amour est une allégresse qui progressivement,

Enchante le monde en lui offrant tel un Hommage,

La certitude que la vie vaut la peine d'être vécue,

Mais pas sans Toi ma douce et splendide inconnue,

Dont je connais pourtant les plus divins secrets,

Ceux qui font que tu demeures toujours dans la dignité,

Cette force de voir le jour et de regarder ses aspérités,

Ne jamais baisser les bras face aux multiples adversités,

Toi seule est capable de t'inventer un Bonheur,

J'avais imaginé moult desseins pour ton coeur,

Et je sais que ta puissance d'Aimer tout être rencontré,

Donnera à ta Vie tant de Joies que j'avais espérées,

Et qui sont déjà en toi de toute éternité...

je savais que l'Amour te donnerait des ailes,

Tu t'envoles désormais vers les merveilles,

Le tréfonds des bruissements de tes convictions,

Donnent à ton amour oblatif toutes raisons,

Elles font partie de toi comme un battement,

Permanent et harmonieux cependant,

Elles étaient cachées pour ce monde matériel,

Elles se révèlent en ta dimension spirituelle,

Mystiques de l'Amour nous resterons toujours,

Pour Témoigner qu'il existe une Présence d'Amour,

Le Bonheur ne se trouve qu'en Soi au creux des vagues,

Nacrées par les rosées où les pensées semblent divaguer,

L'équilibre d'être en possession de soi-même,

Se trouve dans l'amitié, l'amour , la Vérité,

De s'aimer et se savoir aimé sans intérêt,

Par gratuité savoir que nous sommes précieux,

Nous rend étrangement et invinciblement Heureux.

 

Bruno LEROY.

21:56 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONVERSIONS, GOSPEL, LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., LITTÉRATURE., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Comme une douce respiration.

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Je ne suis qu'une braise qui invente le feu,

Je suis la pénombre au fond de tes yeux,

Mon amour la vie est un souffle admis,

Parmi les humains qui me sourient,

Mon amour le vent tu n'es que le temps,

D'un espoir permis et souriant,

Qui ne respirera plus demain,

Mon amour la vie tu es mon chemin,

Où mes interdits me donnent la main,

Pour passer le pont des rêves ensoleillés,

Mon amour la vie tes bras parfumés,

Me donnent envie de toujours t'aimer,

Malgré les soucis, les idées figées,

Que tu n'apprécies presque jamais,

Mon amour la vie j'ai Dieu dans mes poumons,

Comme une douce respiration,

Qui inspire ma raison et croit en mes illusions,

Mon amour la vie comme il est bon,

De chavirer ainsi en freinant ses passions,

Mon amour la vie il pleut ce matin,

La brume semble vouloir t'éteindre,

Mon amour la vie les larmes du ciel,

Sont d'immenses sourires qu'on devine,

Lorsque l'âme est claire et limpide,

Mon amour la vie le soleil est mort,

Mais tombent tes cris tels des remords,

Mon amour la vie tout semble chavirer,

Et pourtant je t'aime en découvrant tes regrets,

Que les hommes ont instaurés,

Pour te défigurer par leurs saloperies,

Mon amour la vie quoique tu deviennes,

Tu demeures sacrée aux soupirs de mes veines,

Mon amour la vie tu sais que je t'aime,

Quand de la Liberté tu fais un mirifique poème.

 

Bruno LEROY.

21:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |