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02/03/2008

Vous pouvez vaincre, par la grâce de Dieu !


podcast

La vie consiste à apprendre à vaincre ! Dès que vous aurez gravi une montagne, une autre, plus élevée et plus escarpée, se profilera devant vous.

Votre Frère, Bruno.

11:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

01/03/2008

LA PENSÉE A RETENIR.

La pensée du jour
« Le premier ennemi à combattre est à l’intérieur de soi.
Souvent, c’est le seul. »

Christine Orban

18:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA PENSÉE DU JOUR. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Dieu ne passe pas outre la misère de ses enfants.


« En sortant » du temple : puisque les malheureux n’ont pas le droit de venir jusqu’à Dieu, Dieu sort à leur devant.
« Jésus vit un homme qui était aveugle de naissance » : Dieu ne passe pas outre la misère de ses enfants : « J’ai vu, oui j’ai vu la misère de mon peuple, j’ai entendu ses cris ; je connais ses souffrances. Je suis descendu pour le délivrer » (Ex 3, 7-8). Nous sommes bien la seule religion qui ose prétendre que ce n’est pas l’homme qui cherche Dieu, mais Dieu qui inlassablement vient à la recherche de l’homme qui erre en exil loin de sa Terre Promise.
Impossible d’imputer à ce malheureux la responsabilité de sa maladie : elle est de naissance. Serait-ce donc qu’il porte le poids du péché de ses aïeuls ? Jésus refuse de s’engager dans ce genre de calcul : cet homme ne fait que manifester dans sa chair l’état de cécité de notre humanité tout entière depuis qu’elle est privée de la grâce divine. L’affirmation de Notre-Seigneur : « Je suis la lumière du monde » fait écho au Prologue : « Le Verbe était la vraie lumière qui en venant dans le monde, illumine tout homme » (Jn 1, 9). Il est venu pour manifester l’action de Dieu et révéler ainsi sa bienveillance paternelle envers les hommes ses enfants. C’est bien le même Père qui aux origines « façonna l’homme avec de la glaise prise du sol » (Gn 2, 7), qui maintenant « avec la salive et les mains de son Fils, fait de la boue qu’il applique sur les yeux de l’aveugle ».
Jusque-là on pourrait dire que Jésus guérit le mal par le mal : il ne fait que plonger l’homme dans des ténèbres plus profondes encore. Mais le geste s’accompagne d’une Parole qui va en révéler le sens : « Va te laver dans la piscine de l’Envoyé ». La symbolique baptismale est claire : plongé avec le Christ dans les ténèbres de la mort, enseveli avec lui en terre, l’aveugle va être illuminé par l’Esprit, qui l’introduira dans la vie même du Christ ressuscité. Le miracle est d’autant plus parlant qu’il est réalisé dans le contexte de la fête des Tentes, qui culmine dans une procession solennelle au cours de laquelle l’eau puisée à la source de Siloé dans un vase en or, est déversée sur l’autel du Temple en signe de rogations pour la pluie.
Le miracle est dûment constaté par un nombre important de témoins qui n’en croient pas leurs yeux. L’aveugle guéri n’arrive apparemment pas à calmer les esprits, puisqu’on l’amène aux pharisiens « afin qu’ils instruisent cette étrange affaire » : qui est donc cet homme qui guérit un aveugle-né un jour de sabbat, avant de disparaître dans la nature sans laisser de trace ? Seuls les actes médicaux indispensables à la survie du patient étaient autorisés un jour de sabbat. Rien ne pressait pour cet aveugle-né : le guérisseur est donc en infraction avec la Loi et ne saurait « venir de Dieu ». Mais alors « comment un homme pécheur pourrait-il accomplir des signes pareils ? »
A bout de ressources, le conseil des sages se tourne vers le bénéficiaire de l’intervention, qui sans hésiter confesse : « C’est un prophète ! » Cette réponse n’ayant de toute évidence pas convaincu ces messieurs, ils décident de ré-instruire toute l’affaire en vérifiant chaque étape, à commencer par l’identité du soi-disant miraculé. Les pharisiens devaient être visiblement contrariés par l’événement ; aussi les parents jugent-ils plus prudent de se dissocier de leur fils : « Il est assez grand, interrogez-le ! »
La délibération fut sans doute de courte durée et la sentence est prononcée en présence du bénéficiaire du délit : « Cet homme est un pécheur ». Avec beaucoup de bon sens, l’homme guéri oppose à cette conclusion l’objectivité de sa guérison ; c’est même la seule chose que l’on puisse affirmer avec certitude ; le reste relève plutôt d’une évaluation subjective fondée sur l’a priori des juges contre le thérapeute. L’altercation suscitée par cette impertinence conduit la controverse jusqu’à l’affirmation décisive : « Celui-là, nous ne savons pas d’où il est ».
C’est donc à nouveau la question des origines de Jésus qui surgit au cœur du débat. D’où vient-il ? De qui est-il l’Envoyé ? De qui a-t-il reçu ce pouvoir d’accomplir des miracles ? Pour répondre à cette interrogation qui traverse tout le quatrième évangile, il faut accepter de ne pas « savoir », c’est-à-dire renoncer aux réponses fondées sur des arguments soi-disant rationnels. De même qu’il est vain de vouloir décrire la lumière à un aveugle, il est impossible de définir une personne sans entrer en relation avec elle, sans accueillir ce qu’elle nous révèle d’elle-même. La lumière existe indépendamment du fait que le non-voyant ne la perçoive pas ; pourtant le malheureux ne peut rien en dire tant que ses yeux ne se sont pas ouverts à son influence. De même, la divinité du Christ subsiste indépendamment de notre cécité spirituelle. Mais que pourrions-nous énoncer de pertinent sur la véritable identité de Jésus, tant que notre cœur ne s’est pas ouvert à son influence, que nous ne nous sommes pas laissés guérir de notre aveuglement en nous lavant dans la piscine baptismale de l’Envoyé ? « Si vous étiez des aveugles, vous n’auriez pas de péché ; mais du moment que vous dites : “Nous voyons !” (alors que vous refusez de venir à la lumière) votre péché demeure. » C’est en mettant nos pas dans ceux du Christ, en l’écoutant parler, en le regardant agir, en nous laissant saisir progressivement par toute sa Personne, que sous la douce motion de l’Esprit, nous serons amenés progressivement à confesser sa messianité, c’est-à-dire à « voir » en lui, avec les yeux de la foi, le Fils de Dieu nous révélant la bonté du Père.
Le récit de l’aveugle-né nous fait parcourir l’ensemble de ce cheminement. Après avoir trouvé la vue, c’est l’expulsion de la synagogue - non plus en raison de son handicap mais de sa guérison - qui va permettre à cet homme de franchir le seuil de la foi, au cours d’une seconde rencontre dont Jésus prend à nouveau l’initiative. Dès la première parole qu’il lui adresse, l’aveugle guéri reconnaît sans hésitation sa voix. On imagine sans peine qu’il le mange des yeux et qu’il est tout oreille. Notre-Seigneur a lu dans son regard le germe d’une foi naissante ; aussi pour qu’elle puisse se dire, il lui donne la parole : « Crois-tu au Fils de l’homme ? » La question est directe et la réponse est sincère : l’aveugle guéri n’ose pas faire lui-même le lien entre celui qu’il appelle « Seigneur » et ce fameux « Fils de l’homme » auquel il est invité à donner sa foi. La réponse de Jésus « Tu le vois » vient balayer ses derniers scrupules : « Je crois Seigneur » et tombant à ses genoux, « il se prosterna devant lui » dans un geste d’humble adoration.
Cet admirable parcours n’est-il pas un modèle pour chacun de nous ? Au jour de notre baptême, nous avons été illuminés par le Christ. Mais notre foi doit encore être éprouvée par la contradiction, purifiée par l’épreuve, fortifiée par le témoignage, jusqu’à ce qu’enfin le Seigneur se révèle dans une seconde rencontre, qui nous conduise à le choisir résolument et définitivement comme notre Seigneur et Sauveur adoré. Puissions-nous tout au long de ce chemin de carême nous laisser conduire à cette seconde conversion qui fera de nous de vrais disciples et des adorateurs en esprit et vérité.

« Père saint, augmente en nous la foi, afin que nous puissions reconnaître en Jésus le Berger que tu nous donnes “pour traverser avec nous les ravins de la mort, et nous conduire par le juste chemin pour l’honneur de ton Nom”. Après nous avoir fait reposer sur les verts pâturages de ta Parole, tu nous as plongés dans les eaux vivifiantes du Baptême et tu as répandu sur notre tête le parfum de ton Esprit. Donne-nous maintenant de discerner dans cette Eucharistie, la table que tu prépares pour nous, et à laquelle tu nous offres la coupe débordante de ton amour (cf. Ps 22). »


Père Joseph-Marie.

 

17:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Trois petites questions.


podcast

Asseyez-vous, prenez une tasse de café ou de thé, puis répondez honnêtement aux trois questions suivantes :

 Votre Frère, Bruno.

17:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

29/02/2008

La guérison de l’aveugle-né.

"L’Esprit du Seigneur s’empara

de David ce jour-là" 1 S 16, 1-13

"La lumière produit tout ce

qui est bon, justice et vérité." Ep 5, 8-14


"Crois-tu au Fils de l’homme ? " Jn 9, 1-41


©F&L-D.Lefèvre


 

La guérison de l’aveugle-né est l’exemple type du cheminement qui conduit à la conversion – à la « manifestation de Dieu » – et cela grâce aux différentes étapes clairement mentionnées. Au point de départ, il y a un acte de « confiance » : ce handicapé de naissance se laisse toucher par Jésus qui lui met de la boue dans les yeux, elle-même le résultat de sa salive mélangée à la terre ! Ensuite, l’aveugle « obéit » à la Parole du Christ et va se laver à « la piscine de Siloé ». Un premier résultat s’opère : « Quand il revint, il voyait. » La guérison de l’âme va suivre celle de la vue grâce à son « témoignage » à l’égard des pharisiens qui le pressent de questions. Il leur répondit en s’engageant : « Si cet homme ne venait pas de Dieu, il ne pourrait rien faire. » Insulté puis jeté dehors, Jésus vient à sa rencontre et le convoque à un acte de foi définitif : « Crois-tu au Fils de l’homme ? » Il lui dit : « Je crois, Seigneur. » Alors il se « prosterna » devant Jésus. C’est bien à ce niveau de guérison que Jésus voulait en venir, celui de la lumière de la foi qui permet d’être libéré de son péché, c'est-à-dire de tout repli sur soi-même.

La lumière spirituelle a donc jailli chez cet aveugle en raison même de sa confiance, de son obéissance, de son témoignage et de sa foi. Que ce temps de Carême nous conduise sur le même chemin de conversion.

P?re Tanguy Marie
Père Tanguy-Marie
Prêtre de la Cté des Béatitudes
Auteur du livre : La parole, don de Vie, EDB, 2006

 

 

20:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'apostolat essentiel de l'Opus Dei.

L'apostolat essentiel de l'Opus Dei - selon les mots mêmes de son fondateur, saint Josémaria Escriva - est celui que réalise individuellement chaque membre dans son propre travail, dans sa famille, parmi ses amis. Action qui n'attire pas l'attention, difficile à traduire en statistique mais génératrice de fruits de sainteté dans des milliers d'âmes, qui vont, à la suite du Christ dans leur tâche professionnelle et quotidienne, silencieusement et efficacement. (Entretien avec Mgr Escriva de Balaguer, Fayard, 1973)
D'autre part l'Opus Dei, en tant qu'institution de l'Eglise, érige avec le concours d'un grand nombre de personnes qui ne sont pas membres de l'Œuvre - et qui souvent ne sont pas chrétiennes - des entreprises collectives au moyen desquelles l'Œuvre tâche de contribuer à la solution de tant de problèmes qui se posent dans le monde actuel. Ce sont des centres d'éducation, d'assistance, de promotion et de formation professionnelle, etc. (Entretien avec Mgr Escriva de Balaguer, Fayard, 1973)

19:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Entendez-vous la voix de Dieu ?


podcast

 

Dieu peut vous parler, soit à travers Sa Parole, soit à travers vos pensées, soit à travers vos aspirations ou les circonstances qui vous entourent, ou encore à travers des personnes qu'Il met sur votre chemin.

Votre Frère, Bruno.

10:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

"Il n'est pas de charge de deuxième ordre"

Quand on est au service de Dieu, il n'est pas de charge de deuxième ordre: toutes sont de la plus haute importance. — L'envergure de cette charge dépend de l'élévation spirituelle de celui qui s'en acquitte. (Forge, 618)

Comprenez-vous pourquoi une âme cesse de savourer la paix et la sérénité quand elle s'écarte de sa fin, quand elle oublie que Dieu l'a créée pour la sainteté ? Efforcez-vous de ne jamais perdre ce point de vue surnaturel, pas même aux heures de loisir ou de repos, aussi nécessaires dans la vie de chacun que le travail.

Vous pouvez bien parvenir au sommet de votre activité professionnelle; vous pouvez obtenir les succès les plus retentissants grâce a votre libre initiative dans vos activités temporelles; mais si vous abandonnez ce sens surnaturel qui doit présider à toutes vos activités humaines, vous ferez lamentablement fausse route (...).

Je vous disais tout à l'heure que, quand. bien même vous obtiendriez les succès les plus spectaculaires dans le domaine social, dans votre activité publique, dans votre travail professionnel, si vous vous laissiez aller intérieurement et si vous vous écartiez du Seigneur, vous auriez en fin de compte carrément échoué. Devant Dieu, et c'est en définitive ce qui compte, c'est celui qui lutte pour se conduire en chrétien authentique qui emporte la victoire; il n'existe pas de solution intermédiaire. C'est pourquoi vous connaissez tant de personnes qui devraient se sentir très heureuses, si l'on juge leur situation d'un point de vue humain, et qui cependant traînent une existence inquiète, aigrie; ils semblent avoir de la joie à revendre mais dès qu'on gratte un tout petit peu leur âme, l'on découvre un goût âpre, plus amer que le fiel. Cela n'arrivera à aucun de nous si nous essayons vraiment d'accomplir toujours la volonté de Dieu, de Lui rendre gloire, de Le louer et d'étendre son royaume à toutes les créatures. (Amis de Dieu, 10 et 12) 

        http://www.opusdei.fr/art.php?p=21415

10:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

28/02/2008

"Forts et patients: sereins"

Le regard fixé sur Dieu, si tu sais rester serein devant les préoccupations, si tu apprends à oublier les petitesses, les rancunes et les jalousies, tu t'épargneras de perdre tant de ces énergies dont tu as besoin pour travailler avec efficacité au service des hommes (Sillon, 856).

Celui qui sait être fort n'est pas mû par la hâte de recueillir le fruit de sa vertu ; il est patient. La force nous amène à savourer cette vertu humaine et divine qu'est la patience. Grâce à votre patience, vous possédez votre âme (Lc 21, 19). La possession de l'âme appartient à la patience qui, en effet, est l'origine et la gardienne de toutes les vertus. Nous possédons notre âme par la patience parce que, en apprenant à nous dominer, nous commençons à posséder ce que nous sommes. Et c'est cette patience qui nous stimule à être compréhensifs envers autrui, convaincus de ce que les âmes, comme le bon vin, s'améliorent avec le temps.

Forts et patients: sereins. Mais non pas avec la sérénité de celui qui, pour assurer sa tranquillité personnelle, se désintéresse de ses frères ou de la grande tâche, qui incombe à tous, de répandre à profusion le bien à travers le monde entier. Sereins parce que le pardon existe toujours, parce que tout a une solution, sauf la mort — et, pour les fils de Dieu, la mort est vie. Sereins, ne serait-ce que pour pouvoir agir de façon intelligente: celui qui conserve son calme est à même de penser, de peser le pour et le contre, d'examiner avec sagesse les conséquences des actions projetées. Et ensuite, calmement, il intervient avec décision. (Amis de Dieu, 78-79)
       
http://www.opusdei.fr/art.php?p=21414

12:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

25/02/2008

Medjugorje le 25 février 2008.


"Chers enfants,
en ce temps de grâce, je vous appelle à nouveau à la prière et au renoncement.
Que votre journée soit tissée de petites prières ardentes pour tous ceux qui n'ont pas connu l'amour de Dieu.
Merci d'avoir répondu à mon appel."


* MOT D'ORDRE

Dans ce carême, Marie nous invite à l’intercession pour ceux qui n’ont pas encore éprouvé l’amour de Dieu qui est le seul vrai bonheur que nous puissions connaître sur la terre.
Pour intercéder il faut se motiver, aimer, prendre dans son coeur et dans tout son être ceux pour qui nous prions. Leur pensée ne doit pas nous quitter de jour comme de nuit. Nous devons parler d’eux avec Dieu, plaider avec ferveur leur cause. Dans l’intercession nous combattons avec Dieu, c’est un véritable combat de Jacob.
L’intercession peut s’accompagner d’un jeûne. Ce combat se termine de lui-même et peut durer des jours, quand vient l’aube et la certitude que Dieu nous entendu. Nous sommes dans un temps de grâce et c’est avec une grande confiance que nous serons exaucés et que nous pouvons prier.
Ephraïm.

PETITES INFOS...

* Pour carême demandez le petit livre : Chemin de Croix et de guérison
Illustrations de chaque station à partir des photos du films de Mel Gisbon "la Passion du Christ". A chaque station, un passage de la Parole de Dieu et une méditation pour recevoir la guérison car " c'est par blessures nous sommes guéris" (Isaïe).
Prix indicatif : 7 €uros
A commander sur www.mariereine.com
ou par téléphone au 02.43.64.23.25 (heures de bureaux)

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et découvrez TV la Bonne Nouvelle !

*** AGENDA

* SESSIONS "Je serai guéri !"
Animé par Thierry et Myriam Fourchaud et les musiciens Philippe, Catherine.
*** NORD DE LA FRANCE : Soirée de louange et d'adoration pour entrer dans une relation vraie et personnelle avec notre Dieu...
le SAMEDI 1er MARS 2008 à 20h à l'église Se Thérèse à St Amand les Eaux
Contact sur place 03 27 27 81 39 (Agnès)

**** SESSIONS EN POLYNESIE du 29 mars au 14 avril 2008.
Informations : williamtsing@mail.pf ou
y.chevouline@mail.pf - tel : (689) 78-75-84

*** RETRAITES 2007 à la Cité de l’Immaculée (Mayenne) - Informations : 02.43.26.88.55. ou 02.43.64.23.25 -
Site www.citedelimmaculee.com

* Du lundi 24 mars au vendredi 28 mars 2008
La prière de Jésus avec le père Jacques Deschamps prêtre copte orthodoxe.

* Week-end école de prophétie
avec Debbie Kendrik et le Père Timothée
du 25 au 27 avril 2008.

- Du 28 avril au 3 mai 2008
L’unité dans ma famille
avec Léandre Lachance.

* 23 au 28 juin 2008
La Tendresse du Pére
avec Sr Stéphanie Marie

* Retraite : Je serai guéri !
par Thierry et Myriam Fourchaud
du 14 au 19 juillet 2008





* Que Dieu vous bénisse !
et que la Puissance du Saint-Esprit descende sur le monde !

Thierry Fourchaud

Cité de l'Immaculée - BP 24
53170 Saint Denis du Maine (France)
E.mail : communion@mariereine.com
Notre site : www.mariereine.com
Site d'évangélisation: www.labonnenouvelle.fr
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* Rejoignez le réseau des enfants de Marie
Abonnez-vous à la lettre (gratuit) :
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* Lettre à diffuser selon votre coeur !

22:08 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |