04/05/2008
L'odyssée de la vie en images.
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L'odyssée de la vie en images | ||||
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Tirées du célèbre documentaire "L'odyssée de la vie", ces images de synthèse retracent les étapes de la gestation d'un fœtus. 14 images |
14:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
25/05/2007
Quand la souffrance est celle du médecin.
Nous publions ci-dessous une analyse du docteur Carlo Valerio Bellieni, directeur de l’unité de soins intensifs néonatals à la Polyclinique universitaire « Le Scotte » de Sienne, en Italie, et membre de l’Académie pontificale pour la Vie sur la manière dont les médecins traitent la souffrance.
Cela semble paradoxal mais il existe un point fondamental sans lequel tout traitement de la douleur est peu efficace : soigner la douleur du médecin. Les recherches les plus récentes nous expliquent en effet que le premier problème de la relation médicale est le regard que l’on porte sur le patient, à travers lequel le patient accepte ou non la maladie ou, dans le cas de parents, le fils ; et ce regard sur le patient dépend beaucoup de la manière dont le médecin s’accepte lui-même ou se sent accepté, avec ses faiblesses et ses limites. Je crois que c’est précisément le point sensible à la base de désaccords dans le domaine éthique : on reflète sur les autres ce que l’on pense de soi-même.
Transposons cela dans le domaine de la réanimation des nouveau-nés qui risquent de rester handicapés ou de perdre la vie. Il ne s’agit pas au fond de décider uniquement combien de semaines doit avoir un fœtus nouveau-né pour le réanimer ou non : nous devons d’abord nous arrêter et nous demander quelle idée nous avons du petit patient et de sa maladie… Pensons-nous qu’en sauvant un enfant gravement malade nous ne ferons que donner un poids aux parents et à la société ? Pensons-nous que le handicap soit vraiment la fin de la vie ? Pensons-nous (comme une bonne partie des médecins, selon une recherche européenne de l’an 2000), que « la vie avec un grave handicap physique est pire que la mort » ? En réalité il est facile de répondre « oui » à ces questions si l’on a passé des années au contact de situations douloureuses, délaissées par la société, parfois même abandonnées des parents.
Mais même s’il est facile de répondre « oui », la réponse est erronée. Pour deux raisons : la première, parce que cela signifie que nous avons capitulé devant la capacité de solidarité de l’Etat. La deuxième raison est que nous avons peut-être tous très peur de perdre notre santé et nous répercutons cette peur sur les autres. Une récente enquête montre que les néonatologistes de Nouvelle Zélande et d’Australie les moins enclins à poursuivre les soins sont également ceux qui ont le plus… peur de la mort (Archives of Disease in Childhood, 2007). Il s’agit d’une enquête très sérieuse, menée auprès de 70 médecins, qui utilise une échelle d’évaluation psychologique précise, et qui devrait faire réfléchir : la première douleur à soigner n’est peut-être pas celle de l’enfant ou de la famille, mais celle des médecins, la solitude du médecin, l’excès de travail qui fait devenir cynique ou sentimental. Comment peut-on intervenir à ce niveau ? Peut-être par une aide réciproque d’éducation et de prise de conscience nouvelle. Il est évident qu’un enfant malade oblige à revoir la vie, engendre une souffrance, parfois insupportable ; mais la honte des hontes serait que quelqu’un légifère sur qui il convient de ne pas réanimer, sans avoir au préalable multiplié par mille les ressources en faveur des familles des malades, les services, la culture… combien de « sommes » gaspillées attendent-elles d’arriver entre les mains de ceux qui en ont le plus besoin ?
Il est évident que cela ne signifie pas s’acharner (mais qui le fait ?) sur des enfants que nous savons en fin de vie, en les soumettant à des soins inutiles pour prolonger un peu leur vie ; mais cela signifie répondre à la question que pose le handicap. Cela signifie que toute personne a le droit d’être soignée et bien soignée, d’autant plus si elle est porteuse de handicap… à moins que les soins soient inutiles. Mais que signifie « inutiles » ? Le cheval qui se casse une patte devient inutile pour le travail. J’ai la certitude que si je perdais l’usage de mes jambes, si l’un de nous était atteint d’une grave maladie neurologique, nous ne deviendrions pas « inutiles ». Un monde qui sépare les vies utiles des vies inutiles donne le frisson.
19:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, politique | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
14/09/2006
Des études scientifiques sur la prière.
Personne ne sait de science sûre comment agit la prière. Le fait est que de nombreuses recherches médicales montrent qu’elle a un effet. Un rapport de WebMD, un site Internet consacré à la médecine, indique différents résultats à ce sujet. En voici deux exemples.
Il est rapporté dans une étude récente que les patientes d’une clinique de fertilisation invitro avaient une proportion plus importante de grossesses lorsque des inconnus priaient pour elles.
L’étude fut dirigée par la faculté de médecine de l’université de New York dans un hôpital de Séoul, en Corée, et le rapport a été publié dans le numéro de septembre 2002 du Journal of Reproductive Medicine. On choisit pour cette étude 199 femmes d’âge et d’état de santé similaires.
Des groupes de prière d’Australie, du Canada et des Etats-Unis eurent la responsabilité de prier pour la moitié d’entre elles. Certains groupes reçurent une photo de la personne pour laquelle ils prieraient. D’autres prièrent à leur tour pour les groupes qui priaient directement en faveur des femmes. Ni les patientes ni les médecins n’étaient au courant de la recherche; ils ne savaient pas non plus qu’on priait pour les patientes. On éliminait ainsi l’influence que l’information aurait pu exercer.
Les résultats furent phénoménaux. Les femmes pour lesquelles on pria furent enceintes dans une double proportion de celles pour lesquelles on ne pria pas. Le résultat fut tellement inattendu que plusieurs chercheurs ont procédé à une seconde analyse des faits pour détecter un écart quelconque, mais ils ne purent en trouver aucun.
• Lors d’une autre recherche, on constata que les personnes devant subir une intervention cardiovasculaire souffrirent de moins de complications lorsque des groupes prièrent pour elles. Les 150 patients eurent une angioplastie, une intervention qui permet de rétablir un flux sanguin normal dans une artère obstruée.
Ceux pour lesquels on pria pendant l’opération eurent moins de complications, selon le rapport du centre médical de l’université Duke, à Durham, Caroline du Nord, paru dans le numéro de novembre dernier de l’American Heart Journal. Aucun des patients ne savait qu’on priait pour lui. Ces groupes de prière, dans plusieurs pays, appartenaient à différentes confessions.
Lors de cette étude, on compara l’effet de la prière et celui d’autres options l’imagination guidée, la relaxation, le toucher thérapeutique ou l’absence de toute thérapie. Les résultats de la prière furent supérieurs. Le directeur de la recherche entreprit immédiatement une seconde étude parmi un groupe de patients plus nombreux.
Les deux études furent menées selon des processus scientifiques rigoureux. Dans les deux cas, les résultats furent mesurés objectivement, selon les progrès des patients. " Il n’y a pas d’explication mécanique, dit le Dr Mitcheli Krucoff, directeur du laboratoire de Duke; mais l’avantage de ce genre d’étude est qu’il y a quelque chose à mesurer: ce qu’il en est du patient.
"Il y a quelque chose derrière tout cela ", signale Blair Justice, professeur de psychologie à l’université du Texas, à Houston, en faisant allusion à plusieurs études préliminaires au cours des vingt années écoulées, des études qui démontrent que ces résultats ne sont absolument pas le fruit de l’imagination. Le Fait est que le patient n’a même pas à croire en la prière pour en bénéficier .
QUE SE PASSE-T-IL?
La science est incapable d’expliquer comment la prière opère. S’agirait-il de lois naturelles qu’on n’a pas encore découvertes? se demandent certains. Où pouvons-nous trouver une réponse?
Celui qui a la foi trouvera plusieurs conseils dans la Bible. La prière qui a fait l’objet d’études est la prière d’intercession : une personne priant pour une autre. Un passage biblique est une promesse précise à ce sujet : " Priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière agissante du juste a une grande efficace. (Jacques 5.16)
Jésus enseigna plusieurs principes en rapport avec la prière. Il prononça ses paroles les plus directes sur le sujet dans son sermon sur la montagne.
" Demandez, et l’on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe. Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s’il lui demande du pain? Ou, s’il demande un poisson, lui donnera- t-il un serpent? Si donc, méchants comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui de mandent. " (Matthieu 7.7-11)
La prière est agissante parce qu’elle établit un contact avec le Créateur de l’univers. Elle nous permet d’avoir avec lui une connexion aussi réelle qu’une communication téléphonique ou la mise en marche d’un appareil électrique. Il y a plusieurs décennies, le médecin Alexis Cartel déclarait:
"La prière est la plus puissante forme d’énergie qu’il soit possible de produire. C’est une force aussi réelle que la pesanteur. En tant que médecin, j’ai vu des hommes qui après l’échec de tout traitement, ont surmonté la maladie et la mélancolie par le serein effort de la prière. "
COMMENT LA PRIÈRE PEUT-ELLE M’AIDER?
Dans quel but prions-nous ? Nous nous adressons à Dieu pour lui ouvrir notre coeur.
Prier est un acte de la volonté. Dieu connaît nos besoins, mais il tient à ce que nous les lui exprimions. Dans un certain sens, la prière nous transforme, de sorte que nous devenons réceptifs à l’influence divine. Celui qui ne demande pas ne reçoit pas tout ce que Dieu désire lui accorder.
La prière sous-entend la bienveillance et la générosité de Dieu. C’est de lui que viennent " toute grâce excellente et tout don parfait" (Jacques 1.17). De même qu’un père aime ses enfants, Dieu aime tous les êtres humains, à une échelle infiniment grande et profonde. Mais ce même amour le retient de nous accorder ce qui pourrait nous nuire. Dieu se réserve le droit de ré pondre à nos prières par " non ", ou "pas encore ". L’apôtre Paul lui-même pria à maintes reprises pour la guérison, mais il lui fut répondu que la grâce de Dieu lui suffirait (2 Corinthiens 12.8,9). Jésus pria trois fois pour que la coupe de douleur s’éloigne de lui, mais il fut crucifié (Matthieu 26.39-46).
La prière nous permet de faire part à Dieu de nos sentiments, souhaits, préoccupations et doutes. Nous pouvons lui adresser des suppliques pour nous-mêmes et pour nos semblables. Confesser nos péchés et demander pardon. Remercier Dieu pour ses bénédictions et lui demander de nous faire connaître sa volonté. Les conditions sont simples. Nous devons prier avec foi (Matthieu 21.22), selon la volonté divine (Luc 22.41,42). Manifester un esprit de pardon (Marc 11.25). Etre persévérants (Luc 18.1) et adopter une attitude d’obéissance envers les commandements (1 Jean 3.22).
"La prière est, dans la main de la foi, la clé qui ouvre les trésors du ciel où sont renfermées les ressources infinies de la toute puissance. " Lorsque le croyant prie selon les desseins de Dieu, il dispose d’un puissant recours. Il se rait difficile à la science de le mesurer, car il s’agit du domaine de la foi, mais il n’est pas rare de rencontrer des fidèles qui reçoivent à leurs prières des réponses objectives à plus de 90 pour cent. L’apôtre Paul nous recommande de prier " sans ‘cesse" (1 Thessaloniciens 5.17). Connaissant les résultats possibles, c’est un conseil qu’il vaut la peine de suivre, aujourd’hui plus que jamais.
19:43 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |