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22/02/2010

L'ESTIME DE SOI.

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Le problème de l’estime de soi semble n’épargner personne et bon nombre de personnes ne s’en sortent pas. Regardons de plus près ce qu’est cette fameuse estime de soi et comment nous tentons d’y remédier.

 

Nous ressentons tous le besoin de voir notre valeur personnelle reconnue. Ce sentiment de valeur comporte deux éléments : le sentiment de sécurité et celui d’importance, ou d’utilité. Pour se sentir en sécurité, il faut se sentir aimé et accepté comme on est, quoi que l’on fasse ou dise. Pour se sentir important et utile, il faut savoir qu’elle est notre place dans ce monde, savoir ce pour quoi on est fait et se sentir compétent pour ça.

Malheureusement, nous nourrissons une série d’idées fausses sur les possibles réponses à ces besoins. Ces idées fausses sont généralement mises en place dans notre façon de penser pendant l’enfance. Un enfant qui ne bénéficie pas d’un amour inconditionnel sentira le besoin écrasant de le trouver plus tard. Et s’il doute de ses capacités, il faudra qu’il se le prouve d’une façon ou d’une autre plus tard. Ces deux besoins fondamentaux sont à la base de la majeure partie de nos comportements (notre façon d’être dans nos relations, notre attitude face à l’échec ou à la réussite...). C’est le fait qu’ils ne sont pas comblés qui nous fera réagir en période de stress.

Le sentiment de valeur « intrinsèque » d’un enfant peut être affecté pas plusieurs choses, entre autres par la maltraitance, verbale et physique. Être ridiculisé, rabaissé, rend l’enfant vulnérable et peu sûr de lui-même à l’âge adulte. Les mots, la façon de parler, peuvent le blesser et l’affecter au-delà de ce que l’on croit. Un enfant qui entend sans cesse des propos négatifs et un ton coléreux va « enregistrer » cette façon de communiquer et a de fortes chances de reproduire la même chose plus tard, quand bien même il se dirait de ne pas le faire. Certains parents mettent une pression énorme à leurs enfants pour qu’ils réussissent. Ces enfants deviennent souvent perfectionnistes ; ils gardent pour longtemps en mémoire le ton désapprobateur de leurs parents. D’autres parents au contraire donnent l’impression de beaucoup plus « aimer » leur enfant en étant moins sur son dos, en lui laissant faire beaucoup de choses. Mais paradoxalement le résultat est aussi une estime de soi peu construite, car nous avons besoin d’un cadre pour pousser harmonieusement.

As-tu l’impression de toujours chercher l’approbation des autres et de te dire qu’il faut que tu sois toujours prêt(e) à faire plaisir aux autres pour te faire accepter ? Est-ce qu’il t’arrive de changer de comportement ou d’opinion, en t’adaptant à la personne que tu as en face de toi ? Te semble-t-il qu’en étant en vue aux yeux des autres, ta valeur est reconnue ? As-tu déjà pensé qu’en faisant des choses comme ça, tu cherchais en fait ton estime de toi ? Nous sommes chacun trop préoccupés par notre besoin de reconnaissance pour pouvoir vraiment répondre sans arrière-pensées aux besoins des autres. Et ce qui pour moi peut m’aider à me sentir bien ne marche pas forcément pour mon voisin. La recherche de l’approbation des autres, de la reconnaissance de ce que l’on fait, est éphémère. Il faut toujours en faire plus, sans être satisfait de nous-mêmes.

Se sentir utile et compétent vient quand nous découvrons quelle est notre place dans ce monde, ce pour quoi nous sommes fait. Qu’est-ce que ça veut dire ? Comment y parvenir ?

C’est dans notre enfance que le sentiment d’être aimé inconditionnellement devait être construit en nous. Arrivé à l’âge adulte, c’est plus difficile de trouver autour de nous des personnes qui nous communiquent ce regard indulgent, même s’il reconnaît nos fautes. Certains trouvent une certaine « force » en s’aimant soi-même et cela les satisfait. C’est vrai que dans une certaine mesure il faut s’aimer soi-même, mais nous puisons les ressources nécessaires à cela dans un réservoir de notre personne où nous avons intériorisé l’amour des autres. Tout commence par notre mode de pensée. Notre façon de penser détermine largement notre conduite.

A vous de trouver votre chemin et surtout,le sens que vous donnez à votre Vie. On ne peut avoir d’estime de soi si l’on est vide ou mort de l’intérieur.Il faut alors tenter une guérison avec l’aide d’un psychothérapeute afin de mieux déterminer ce qui nous blesse de façon déraisonnée et aussi, retrouver une juste relation avec autrui dont on attend trop, parfois jusqu’à la pathologie. Les autres ne sont guère parfaits et ne peuvent en aucun cas combler nos manques...même en Amour !

Bruno LEROY.

18:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

21/02/2010

LES CHEMINS DE LA PRIÈRE par Bruno Leroy.

Contrairement à ce que nous pourrions croire. Il ne s'agit nullement d'une prière empreinte de doutes. Au contraire, cette prière nous restaure dans une spiritualité incarnée. La vie est souvent pesante et son visage manque d'Espérance. Ce texte nous invite à combattre les prophètes de malheurs. Il faut s'épanouir pleinement au soleil de la Vie, même si celle-ci est dans la nuit. La lumière intérieure vient de Dieu marchant à nos côtés tout en habitant notre cœur. Il s'agit d'une prière qui espère en l'humain, en demain car elle nous parle aujourd'hui. Merci à Josiane Arambel, poète des images, d'avoir donné tant de force à ces mots issus du tréfonds de l'âme.
Bruno LEROY.
Éducateur Social.

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19/02/2010

CAR...AIME A TOUT CASSER !

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Le carême est un temps pour s’ouvrir à la vie. Les jours bien chargés peuvent endormir nos sens. Mais Dieu est présent à chaque instant, et le carême peut être le moment d’aiguiser notre conscience, à travers la prière, le jeûne et le partage. Voici 40 invitations personnelles pour s’éveiller au mystère de l’amour de Dieu et à sa présence dans nos vies au cours de ce carême-ci.

1. Jeûner de Télévision. Le mercredi des Cendres est le signal d’un changement fondamental dans nos vies. Aujourd’hui, abstiens-toi de regarder la télévision, comme un signe que le changement commence.

2. Porte la croix de quelqu’un. Tout comme Simon de Cyrène a aidé Jésus à porter sa croix, propose à un voisin, à un membre de ta famille ou à une personne se débattant avec un problème en particulier, de l’aider.

3. Renonce à un plaisir. Juste pour aujourd’hui, renonce à quelque chose que tu aimes particulièrement manger. Cette faim physique t’introduira plus profondément dans la faim de Dieu.

4. Demande à ton âme de t’aider. Au fur et à mesure que les 40 jours passent, demande à ton coeur et à ton âme de te guider vers Dieu. Ecoute ton coeur qui te « souffle » sur le chemin.

5. Prie avec ta famille. A l’Eglise, sois attentif aux paroles des chants, lectures et prières. Après la messe, parlez ensemble du sermon. Ne proposerais-tu pas une prière en famille ?

6. Observe la nature. Dieu nous a donné un monde merveilleux à habiter. Même en ville il y a des arbres, le ciel, et des nuages. Remercie Dieu pour la générosité de la nature.

7. Prie ton saint Patron. La vie peut paraître si solitaire quand on a des soucis. Mais ton saint patron veut et peut t’aider. Parle à tes enfants de leur saint patron.

8. Jeûne de peur. Si la peur apparaît dans la journée, remplace-la par une prière de foi et de confiance en Dieu. Remarque combien plus facile est la vie lorsque la foi, plutôt que la peur, remplit ton coeur.

9. Pardonne. Dans la prière du Seigneur, nous demandons à Dieu de nous pardonner comme nous-même pardonnons. Aujourd’hui, recherche des opportunités de pardonner aux autres gratuitement et avec amour.

10. Ecoute, écoute, écoute. Une des meilleures façons de montrer à nos enfants, nos amis que nous les aimons, est d’écouter leurs soucis. Aujourd’hui, sois attentif à écouter attentivement ce que ton enfant, ton ami a à te dire.

11. Passe du temps avec Marie. Marie, notre mère, ne cherche qu’à nous aider sur notre chemin de foi. Ouvre-lui ton coeur aujourd’hui et écoute quel est son message pour toi.

12. Mets de l’ordre. Le désordre dans notre maison ou notre lieu de travail peut refléter un désordre dans notre âme. Range un tiroir encombré ou une armoire en désordre et demande au Seigneur quelle est sa façon d’organiser ta vie, Il est le Créateur, Il s’y connaît…

13. Jeûne de radio. Nous laissons parfois nos vies se remplir de tellement de bruit que nous n’entendons plus ce que nous murmure notre coeur. Aujourd’hui goûte au silence et voit quel message de Dieu tu as pu manquer.

14. Sois un samaritain en secret. Fais une bonne action envers un membre de ta famille sans que personne ne le remarque. Dieu le verra et s’en réjouira.

15. Souviens toi d’un saint ancêtre. Nous avons reçu le don de la foi grâce à la fidélité de ceux qui nous ont précédés. Pense à un proche parent ou ami de famille, vivant ou décédé, qui a été une inspiration pour ta propre foi.

16. Offre quelque chose. Renonce à un festin, des cigarettes, des bonbons, ou à la location d’une vidéo pour la journée et donne cet argent économisé aux pauvres.

17. Jeûne de violence. Mets de côté aujourd’hui, toute action ou mots agressifs et reçois tous ceux que tu rencontreras avec bienveillance et patience.

18. Prends du temps pour jouer. Un des signes de la foi en Dieu est la joie. Prends le temps de jouer avec tes enfants – chanter, jeux de société, raconter des histoires…

19. Bénis tes enfants. Prends un temps avec chaque enfant. Regarde son visage avec amour, dis lui une raison pour laquelle tu l’aimes, puis bénis-le (ou la) sur le front.

20. Demande la bénédiction de tes enfants. Commence ou finis la journée en demandant à tes enfants de te bénir.

21. Lis la Bible ou un autre livre saint. Dieu utilise plusieurs moyens pour nous dire son amour pour nous. La Bible est un moyen privilégié pour apprendre à mieux Le connaître. Lis un passage des Evangiles, par exemple, endors-toi sur le verset d’un psaume qui te parle.

22. Cherche à voir ce qui est bien. Prends le temps de voir ce qui est bon dans ta vie : famille, amis, collègues, voisins. Dis à quelqu’un aujourd’hui comment il te montre la bonté de Dieu.

23. Partage ta foi. Trouve une opportunité pour partager à tes enfants ou d’autres, ta foi et toutes les merveilles que Dieu a faites pour toi.

24. Jeûne de sucreries. Evite de manger des sucreries aujourd’hui, et fais attention au goût de tout ce que tu manges d’autre. Demande à Dieu de remplir la faim en toi.

25. Examine ta conscience. Prends quelques minutes aujourd’hui pour voir l’état de ton âme. Demande à Dieu la force et la volonté d’abandonner des habitudes qui t’empêchent d’aimer Dieu et ta famille.

26. Prie pour la Paix. Notre monde est rempli de souffrances et de troubles. Prie pour que Dieu envoie sa Paix dans toutes ces situations dont nous entendons parler.

27. Essuie le visage de Jésus. Jésus a dit : « Ce que tu fais au plus petit, c’est à moi que tu le fais. » Aujourd’hui, prends conscience que lorsque tu t’occupes de jeunes enfants, c’est de Jésus que tu prends soin.

28. Jeûne de commérage. Il est facile de répandre des informations à propos d’autrui. Aujourd’hui, évite d’écouter des commérages et de les colporter.

29. Accorde toi à une station. Choisi une des stations du chemin de Croix, penses-y et prie avec toute la journée. Imagine toi dans la scène, offrant à Jésus tout ce que tu peux pour l’aider.

30. Envoie un message. Ecris une lettre ou passe un coup de fil à une personne qui est seule et isolée. Invite tes enfants à aider en dessinant ou en écrivant des petits mots que tu peux envoyer.

31. Prends courage. Si tu passes par un moment difficile au travail ou en famille, rappelle-toi que Dieu est avec toi. Imagine Jésus à tes côtés durant cette épreuve.

32. Demande la force de la volonté. Il arrive que nous résistions alors que nous savons très bien ce qui doit être fait… Demande à Dieu aujourd’hui la volonté de faire ce qui doit être fait, et la grâce de bien le faire.

33. Prie pour un membre de ta famille. Ecris le prénom de chacun sur un petit bout de papier. Puis, que chaque personne en prenne un et prie pour celui ou celle dont le nom est écrit sur le papier. Ce soir, vous pourrez vous dire pour qui vous avez prié.

34. Jeûne de critiques. Aujourd’hui remplace toute tentation de critiquer un membre de ta famille par des mots de gentillesse ou tout simplement de silence. Trouve comment encourager tes enfants et affermis par là leur bonté intérieure.

35. Sois un instrument de paix. Souviens-toi de la prière de St François et demande à Dieu de t’aider à être un instrument de paix dans ta famille.

36. Partage ton histoire. Prends un temps aujourd’hui pour raconter à tes enfants une des fois où Dieu a été bon pour toi. De telles histoires fortifient ta propre foi et seront un élément moteur pour tes enfants.

37. Demande pardon. Va vers une personne que tu as pu blesser et demande-lui pardon. Nous pouvons tous blesser des personnes que nous chérissons tendrement, alors le pardon répare les déchirures dans l’édifice familial.

38. Jeûne d’autocritique. Il arrive bien souvent que le pire obstacle dans l’avancée spirituelle soit la dureté avec laquelle nous nous traitons nous-même. Prends le temps aujourd’hui de prendre conscience combien tu es l’enfant bien-aimé de Dieu. Parle-toi avec douceur.

39. Remercie Dieu. Etablis une liste rapide de 10 choses pour lesquelles tu es reconnaissant dans ta vie. Etre reconnaissant est le début de la véritable sainteté.

40. Ne t’arrête pas. Pense aux 40 derniers jours et choisis un point que tu souhaites poursuivre. Engage-toi à pratiquer cette discipline spirituelle dans les jours à venir.



Tu as passé ton carême à t’éveiller à la présence de Dieu. Conforte ce que tu as appris en participant aux offices des jours saints (Jeudi Saint, Vendredi Saint, Samedi Saint). En ces jours-là, nous entrevoyons de façon spéciale la vérité que Jésus est venue nous montrer : c’est en mourant que nous renaissons, que nous renaissons à la vie éternelle. Ton carême doit embaumer tes jours de ses subtils parfums d'amour. Même lorsque la période s'achévera, n'oublie pas que tu es sur cette terre pour réjouir le coeur des autres et surtout des plus meurtris. Toute ta vie sera louange à Dieu et à autrui. En tant que chrétien, il te faut aimer ton prochain sans retour. Dieu te murmurera souvent, quand tu n'auras plus la force d'avancer :Aime-moi, aime-toi, aime tes voisins, tes amis, tes ennemis. Car aime à tout casser durant ton existence terrestre.

Bruno LEROY.

19:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/02/2010

L'HUMOUR EST UNE FORME D'AMOUR.

On considère généralement l’humour comme un jeu de l’esprit qui consiste à exposer la réalité sous un aspect inattendu et singulier. Il y a, de ce fait, autant de formes d’humour que d’“états d’esprit”. Car même si l’on parle communément d’humour tendre, débridé ou cinglant, ne dit-on pas souvent « j’aime son humour », autrement dit, « j’aime sa propre vision des choses et sa propre façon de les exposer » ?

Il y a donc dans l’humour une forme d’élan créateur, une manœuvre habile de l’âme désireuse de se faire connaître pour interagir avec autrui. Un “instinct” spirituel manifestement lié à la présence de Dieu en nous. Car tous les mystiques en témoignent : si le Divin cherche à se faire connaître par son Esprit d’Amour, c’est pour nous permettre d’accéder avec Lui et par Lui à la Suprême Communion. En fait, si la présence de Dieu en nous est la pure expression de Son Amour, l’humour est le langage de l’esprit qui recherche, dans l’échange, sa propre divinité. Voilà pourquoi il est indispensable de promouvoir l’humour dans ce qu’il a de plus élevé.

Dans la réalité, c’est la reconnaissance et la compassion que nous recherchons à travers l’allégresse d’autrui. Ce faisant, nous courrons immanquablement le risque de ne pas être compris, suivis et en fin de compte aimés. De même, si nous redoutons de ne pas saisir l’humour d’autrui, ce n’est pas seulement par fierté mais par crainte de ne pas satisfaire une demande des plus légitimes.

Aussi, peut-on affirmer que l’humour est à la fois une forme d’appel et de don, tous deux empreints d’une certaine abnégation. D’autant que celui qui en use s’applique instinctivement, devant son public, à ne pas se délecter lui-même de son “génie”, un peu à l’image d’un chef cuisinier qui se fait connaître à travers ses préparations et s’efface pour laisser aux autres la liberté d’aimer ou de ne pas aimer… Un peu à l’image de Dieu qui, par respect de notre libre arbitre, s’est logé en nous de la façon la plus discrète qui soit. C’est sans doute, en partie, cette pudeur indicible que l’on ressent dans l’humour d’autrui qui nous attire et crée en nous une ouverture propice au rapprochement.

Il convient donc de savoir déceler dans toute forme d’humour une humble démarche, dissimulée certes, mais pour le moins authentique. Une démarche qui consiste à négocier une proximité avec l’autre que l’on érige, en outre, en témoin de nos besoins et parfois même de nos angoisses…

Mais l’humour est avant tout un signe d’ouverture à une autre dimension de la réalité, un signe d’éveil spirituel et de désir d’illimitation. Ce faisant, le plaisir qu’il induit est beaucoup plus lié à une détente spirituelle unificatrice qu’à un relâchement psychique. C’est ainsi qu’utilisé avec finesse et compassion, il permet parfois de désamorcer la négativité d’autrui favorisant ainsi son ouverture. Aussi, ce n’est pas seulement le rire qui est thérapeutique mais le fait même de faire de l’humour et d’y être sensible. Et c’est sans doute ce qui poussait Freud à dire que « l’humour a non seulement quelque chose de libérateur mais encore quelque chose de sublime et d’élevé ».

Cela dit, comme pour tout langage, un humour vide d’Amour n’est souvent qu’un support à l’ego ou, pire encore, aux jugements et à la négativité. Autrement dit, il y a des limites au-delà desquelles on ne peut répondre à l’appel lancé au risque d’enfermer l’autre dans son ego ou de participer à un manque d’Amour à l’égard d’autrui.

Car s’il y a dans l’humour une quête de vrai, un besoin de sortir de soi pour accéder à une autre facette du Divin, autrement dit, si l’humour peut servir l’union, il peut aussi la desservir : subtil dosage pour un enjeu Divin…


Bruno LEROY.

21:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/02/2010

Tout ce monde inconnu que tu nous révèles.

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Merci, Seigneur, de nous avoir fait connaître ces êtres de paix et de lumière que sont les vieillards.

Merci de nous avoir fait découvrir leur sagesse accumulée au fil des expériences de la vie.

Merci de goûter la tendresse des hommes et des femmes que la souffrance a adoucis.

Merci de nous permettre de rassurer les personnes angoissées ou rongées par le scrupule.

Merci d’apporter un peu de joie à ces hommes et ces femmes que l’âge a un peu rejetés dans l’ombre.

Merci de soigner les corps accablés de rhumatisme ou affaiblis par la maladie.

Merci de nous procurer la chance de donner le meilleur de nous-mêmes et peut-être de recevoir encore plus.

Merci, Seigneur, pour tout ce monde inconnu que tu nous révèles et qui nous transmet ton Amour.

Amen !

Bruno LEROY.

20:13 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/02/2010

L'AMOUR DOIT NOUS PORTER.

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Souviens-toi, c'était un Jeudi. Nous avions bu un café lorsque tu me présentas ta carte de visite. Une identité nouvelle venait d'entrer subrepticement dans ma chair. Puis dans ma conscience. Par la voie téléphonique, je tentais de rejoindre ma conscience. Ta voix, le tempo, le son , le vibrato de ta voix comme une musique nouvelle aux rythmes féeriques. Combien de temps aura-t-il fallu pour que je vole un baiser à tes lèvres distraites. Je ne sais...Le temps marche avec l'intensité des souvenirs ou il trébuche, peu importe.
Tout cela était bien, presque un état new âge à domicile. Et pourtant, l'amour doit nous porter plus loin que cette béatification béate. Il me fallait monter vers les sommets des sentiments domptés.Il me fallait voir dans ton corps autre chose qu'un assouvissement de désirs. Sans négliger pour autant la fulgurance de la sexualité. L'art sacré des corps qui s'épousent. Je savais que tu possédais un autre visage enfoui dans tes entrailles. Une sorte de marée nocturne cachée dans les flots silencieux. Un océan de cristal délicat et précieux. Les années te dévoilent tel un ciel qui se déchire ou se défait de ses nuages pour donner son soleil.
Et l'amour se construit, se tisse au fil du temps. Ton sourire est devenu mon printemps. Il faut de la patience pour aimer vraiment. Et non se satisfaire d'une présence dont les mystères renforcent l'absence.
Aimer est un art, j'en suis certain. Pardonne-moi, je ne suis pas encore devenu ce grand artiste de tes rêves. Je tente de parvenir à satisfaire ce que tu attends de moi. Vivre d'amour ce n'est pas s'enfouir dans les sables fusionnels et mouvants de l'autre. Vivre d'amour, c'est découvrir peu à peu avec respect, délicatesse la beauté de tes attraits. Et ne pas vouloir absolument pénétrer dans ton jardin secret. Tes fleurs cachées demeurent les parures de ton cœur. T'aimer, c'est à la fois entretenir des souvenirs vécus ensemble et marcher de façon à ce que les habitudes ne nous figent pas dans des rites immuables.
T'aimer, c'est t'écouter vivre à la grâce de tes pas. C'est te faire confiance même quand tu n'es pas là. Aimer souvent, c'est dire je t'aime puis se taire. Pour laisser à demain la création d'un nouvel Univers. Aimer, c'est regarder toutes les deux dans la même direction à condition que ce ne soit pas la télévision. T'aimer, c'est construire notre histoire dont nous sommes les acteurs actifs. Le synopsis doit être écrit avec la force des mots. Car aimer ce n'est pas bâtir sa maison sur de l'eau. Aimer c'est entendre le murmure du vent dans tes cheveux te dire que nos corps sont prêts pour le départ. T'aimer c'est te contempler tel un chef d'œuvre d'une peinture inventée, par nous. T'aimer c'est te le dire sans cesse sans me lasser. Et profiter de la St Valentin pour te le redire et te le prouver. Souviens-toi de ce Jeudi ensoleillé où nos destins se sont définitivement croisés.
Je t'Aime mon Tendre Amour pour la Vie !!!
 
Bruno LEROY.

18:31 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

12/02/2010

Les petits frères des Pauvres sont riches d'Humanité.

 
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Dans un monde où seul le rendement compte, où les humains sont réduits à leur capacité de produire. Contrairement, à ce que instinctivement, nous pensons, ce ne sont pas les jeunes les plus exclus de nos systèmes de production. La productivité demeure encore dans les possibles de leurs facultés au regard de leur âge. Ils ont l'énergie suffisante pour assumer notre société de marchandisation. Hélas ou heureusement, bien souvent ils ne veulent pas participer et se rendre complices des rouages capitalistes. Ce sont des prophètes sans le savoir. Mais, il est une autre dimension de notre société qui semble être de plus en plus ignorée, sauf le temps des élections. Ce sont les personnes âgées, que l'on nomme ainsi par fausse compassion pour ne point les heurter. Autrefois, nos disions les vieux, les vieilles avec un respect sans mesure.
 
Aujourd'hui, une Association à caractère exceptionnel décide de leur donner une seconde vie. Depuis, leur fondateur chrétien, Armand Marquiset, lucide au point de s'insurger contre la misère de nos vieux amis. Les petits frères des Pauvres, réfléchissent, agissent pour que leur devise, des fleurs avec du pain, prennent figure d'une renaissance. Des milliers de Bénévoles sont au service des seniors, mémoire vivante de notre humanité. Ces bénévoles sont formés par l'association mieux que des éducateurs. La bonne volonté est bien en soi mais la volonté de compétence est préférable. Le cœur voit ce que la raison ignore. La raison voit ce que le cœur obscurcit parfois. Il faut une juste mesure, un détachement aimant pour accompagner les plus pauvres et les plus meurtris sur le chemin der la vie.
 
Les petits frères possèdent une imagination débordante pour mettre de la chaleur humaine chez nos vieux amis. Des vacances sont organisées pour les valides et les moins mobiles. Des activités artistiques et culturelles sont mises en place toute l'année. Des repas conviviaux redonnent le sourire aux visages les plus sombres. Tuer cette solitude qui tue nos anciens, voilà l'objectif premier des petits frères.
 
Même si le fondateur était chrétien, le prosélytisme est proscrit par respect pour l'être souffrant. Chaque personne accompagnée est unique et indissoluble. Il faut honorer dans la confidentialité la plus absolue, l'histoire de chacun.
 
Les petits frères des Pauvres ont besoin d'accompagnateurs bénévoles qui offriront leur dynamisme éclatant pour semer la Joie dans l'âme de nos anciens. Et les aider aussi lorsque les Administrations veulent leur chagrin. Depuis des années, je suis admiratif du travail que les petits frères effectuent même au niveau souvent insalubres des logements dans lesquels survivent nos vieux.
 
Alors, plutôt que vous insurger dans votre propre solitude, si vous mettiez les valeurs de Fraternité en actes. Plutôt, que vomir sans cesse sur une société qui ne répond pas aux besoins de tous. Vous engager pour changer l'aspect de notre Humanité serait un acte hautement spirituel. Concrétiser cet esprit fraternel qui fait la richesse des petits des Pauvres.
 
Assez de ces personnes qui ne sentent plus le parfum premier de l'évangile. Celui de devenir révolutionnaire en vivant avec le Christ une fraternité authentique. Assez de ces jeunes devenus vieux et laissent crever dans les hôpitaux nos anciens dans une déréliction sans nom. Engagez-vous, plutôt que vous victimiser sur vos propres problèmes souvent imaginaires. Devenez libres de vous donner aux autres et de préférence aux plus souffrants. Je n'écoute désormais que les cris de ceux ou celles qui s'impliquent vraiment pour que notre société soit plus respirable.
 
Les petits frères des Pauvres sont riches de Fraternité. Ils cultivent cette fleur chaque jour que Dieu fait. Devenir bénévole auprès des salariés des petits frères, c'est donner à sa vie le soleil qui lui manquait en se donnant totalement aux plus âgés de nos frères en humanité. Demain, il sera trop tard pour vous engager. L'engagement est un " oui " pour améliorer le destin d'autrui. Et c'est un " non " profondément révolutionnaire face à notre monde déshumanisé.
 
 
Bruno LEROY.
 
Éducateur Social.
 

18:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

VALENTIN LE SAINT DE L'AMOUR.

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Un prêtre de Rome


Valentin était un médecin devenu prêtre à Rome au IIIème siècle. En 268, l'empereur Claude II le Gothique fit abolir le sacrement du mariage. Il trouvait que les fiancés faisaient de mauvais soldats à cause de leur dépendance à leur famille. Saint Valentin, qui mariait les couples en secret, fut démasqué et arrêté. Pendant sa captivité, il se lia d'amitié avec la fille aveugle d'Astérius, son geôlier, qui retrouva miraculeusement la vue. Il fut décapité à Rome le 14 février 268 ou 270, puis enterré sur la voie Flaminienne où on lui rendit un culte. Depuis le XVème siècle, il est considéré comme le saint patron des amoureux. Ce personnage est souvent confondu avec l'évêque de Terni qui connu le même sort.

Un évêque de Terni


Ce Valentin fut sacré évêque de Terni, près de Rome dans l'Ombrie, en 203. Célèbre pour ses vertus et ses miracles, il fut appelé à Rome par un philosophe païen nommé Craton, dont le fils était atteint d'une maladie incurable. Valentin le guérit en échange de la conversion de toute sa famille au christianisme. A la suite de ce miracle, plusieurs conversions eurent lieu. Un préfet du nom de Placide fit décapiter Valentin pour avoir troublé le culte impérial. Il fut décapité à Rome vers 273.

Un évêque itinérant de Rhétie


En Allemagne, Saint Valentin fait plutôt référence à l'évêque missionnaire de Rhétie, dans les Alpes centrales. D'abord moine dans un monastère, il fit bâtir une église à Maïs où il vécut. Il fut représenté comme le protecteur des enfants épileptiques. Il meurt vers 440.

La fête des Lupercales


Célébrée le 15 février, le jour du Printemps dans l'Antiquité, en l'honneur de Lupercus, dieu de la fertilité et de la fécondité, cette fête païenne est liée aux origines de la ville de Rome. Son nom signifie "loup" en latin et vient du Lupercal, la grotte au flanc du Mont Palatin dans laquelle la Louve aurait allaité les jumeaux Romulus et Rémus qui fondèrent la ville. Les Lupercales deviennent la grande fête du printemps et de la fertilité.

Le déroulement des festivités


Trois étapes rythmaient la fête : le sacrifice d'un bouc, la course des prêtres luperques pendant laquelle ils fouettaient les femmes avec des lambeaux de peau de l'animal et le banquet. Les Romains aimaient les jeux de hasard. Ils organisaient une sorte de loterie conduisant les jeunes hommes à tirer au sort dans une urne le nom d'une jeune fille qui devait rester en leur compagnie durant tout le banquet. Parfois les couples tombaient véritablement amoureux et se mariaient. Cette tradition était dédiée à Junon, la déesse du mariage.

La naissance de la Saint Valentin


Le pape Gélase Ier obtint l'abolition des Lupercales en 495, jugeant cette fête religieuse trop décadente. Les Lupercales furent ainsi un des derniers rites païens à disparaître de la Rome devenue progressivement chrétienne. Pour en effacer le souvenir, l'Eglise aurait choisit d'honorer la mémoire de Saint Valentin le 14 février à titre de protecteur des couples.

Cupidon, enfant du désir


En latin, "Cupido" signifie désir. Dans la mythologie gréco-romaine, il est appelé Eros en Grèce et est le fils de Vénus, déesse de l'amour. La légende raconte qu'il rendait les hommes amoureux en transperçant leur cœur de ses flèches d'argent. Il est surtout connu pour être le jeune dieu qui tomba sous le charme de Psyché, la plus belle des trois filles d'un roi, dont l'histoire est racontée dans le roman de l'écrivain romain Apulée. Dans l'art il est représenté par un enfant nu, parfois ailé, muni d'un arc et de ses flèches. Ses yeux sont parfois bandés ce qui traduit l'aveuglement lié à l'amour.

Le cœur, rouge passion


La représentation du cœur est depuis longtemps liée aux sentiments amoureux. Les Romains croyaient qu'il contenait l'âme et le foie était l'organe de l'amour. Leur couleur rouge est le symbole d'un amour fidèle depuis l'Antiquité. Aujourd'hui, les cœurs prêtent leur forme à des objets de décoration conçus spécialement pour l'occasion.

Le billet doux, des baisers par milliers


L'échange du billet doux remonte à l'époque de Saint Valentin de Rome au IIIème siècle. Avant sa lapidation, la légende raconte qu'il adressa un message à la fille de son geôlier à l'intérieur duquel il signa "Ton Valentin". De là naît la coutume d'échanger des vœux, appelés "valentins", pour l'occasion. Aujourd'hui les billets doux sont devenus la correspondance la plus abondante après Noël.

Les croix en guise de signature

La tradition d'achever un billet de trois petites croix remonte au début du catholicisme et symbolise la foi chrétienne. Elles font référence au martyr Saint-André, premier apôtre de Jésus-Christ. Il aurait été crucifié à Patras sur une croix en forme de X, d'où son nom de croix de Saint-André. Au Moyen Age, la croix fut également une signature pour les personnes ne sachant pas écrire. Lorsque l'on signait d'un X, il fallait l'embrasser devant des témoins. Cette coutume avait valeur de serment et donna naissance à la tradition du baiser.

Les oiseaux, messagers du coeur


La mi-février marque le début de la saison des amours pour certains oiseaux. Au Moyen Age, une croyance se répandit en France et en Angleterre selon laquelle les oiseaux étaient considérés comme des messagers du printemps et de l'amour. Cette légende est racontée dans les écrits de l'auteur anglais Geoffrey Chaucer au XIVème siècle. Si une jeune fille voyait un rouge-gorge, elle épouserait un marin, un moineau, elle ferait un mariage heureux avec un homme peu fortuné et un chardonneret, elle épouserait un homme riche.

12:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SOCIOLOGIE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

09/02/2010

TÉMOINS DE LA LUMIÈRE.

Le Seigneur demande à ses auditeurs d’ouvrir leur intelligence et leur cœur : « Écoutez-moi tous, et comprenez bien. Rien de ce qui est extérieur à l’homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur ».

En conséquence, la priorité n’est pas aux gestes et aux rites qui sacralisent notre quotidien mais à la lutte contre les souillures intérieures. Le chrétien ne cherche pas à être reconnu comme tel par ses pratiques, mais il doit se révéler en étant le sel de la terre. Il est le grain de sel intimement uni aux aliments pour en relever la saveur. Consentant aux mouvements de la grâce en lui, il enseigne à vivre en enfant de Dieu en vivant pleinement de l’Esprit filial. Ce qu’il nous faut craindre est le mouvement intérieur qui nous rend complice du Tentateur et nous conduit à la séparation d’avec Dieu, au péché. « Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses (…).Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »

Seigneur, montre-nous l’importance de la prière : elle nous rend docile aux sollicitations de ton Esprit ; apprends-nous la vigilance du cœur : nous serons des témoins de ta lumière.



Frère Dominique.

22:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

08/02/2010

JE VOUS SALUE MARIE PAR SERGE LAMA.


Serge Lama - Je vous salue Marie

Écoutez bien la courte interview en fin de chanson. Les propos tenus par Serge Lama sont à la fois interrogeants et surprenant.

Moi, qui suis passionné par ce chanteur-poète, j'avoue n'avoir jamais entendu cette sublime chanson.

Sa vérité me fait dire que cet homme est un immense artiste ( de Dieu, qui sais ? ).

Bien Fraternellement, Bruno.

14:08 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |