22/07/2012
BONNES VACANCES VÉCUES DANS L’ESPRIT DE JOIE ET D’AMOUR !
Le repos est le bouquet de roses que la vie nous offre, en échange de nos activités parfois à la limite de l’extrême. Dans tout ce que nous faisons, notre rôle premier et prioritaire est de chercher, conquérir notre liberté, notre dignité Humaine. C’est ainsi que Christ veut regarder le chrétien vivre pleinement. Il le contemple alors et voit que ses actions ne sont pas inutiles.
Dans son incommensurable Amour, il aimerait constater une réelle liberté chez tout Homme.
Hélas, nous demeurons enchaînés par nos déterminismes qui décomposent notre vraie liberté christique.
Alors, il nous reste, le fond du récipient, pouvant méditer et prier pour que vienne le vent de l’Esprit. Et par des injonctions étoilées, l’Esprit répond à notre esprit.
Les fleurs aux senteurs de bonheur étalent leurs visages accueillants, l’eau des ruisseaux laisse courir sa rivière de diamants et les oiseaux chantent au soleil un chant nouveau.
Les vacances doivent nous donner le sens de l’émerveillement. Sinon, à quoi nous servirait-il de nous évader dans les champs où les blés tendent leurs bras, sans obtenir de réponse de notre part ? La nature est un temple sacrée mis à notre disposition par Dieu. Nous n’en sommes aucunement propriétaires, mais locataires. Veuillez laisser les lieux dans la même splendeur que vous les avez trouvé en arrivant. Et si vous considérez que ceux-ci sont pollués, veuillez nettoyer, s’il vous plaît.
Ah ! comme la conscience, ce sanctuaire où Dieu se trouve, peut nous parler tant de fois. Et nous feignons de ne point entendre de peur de devoir agir ou par manque de silence.
Voilà, ce que je vais chercher en Vacances, ce silence intérieur avec lequel j’écris des mots qui me parviennent d’un ailleurs et scintillent parfois comme le diamant.
Je pars en Vacances pour mieux me retrouver et retrouver ceux et celles que j’aime.
Je m’aperçois que le Seigneur m’a donné un trop petit cœur pour y loger tout l’amour demandé. Et de ce fait, je ne puis que faire mal sans le vouloir vraiment…
Il me souvient d’un Monsieur que j’avais rencontré dans une gare, il y a quelques années, qui m’interpella en me disant : « Monsieur, je vous connais, vous êtes Bruno L., l’éducateur qui m’a tiré de la m...de, il y a plusieurs années ». Cela ne me rajeunissait pas ! En effet, cet homme bien vêtu et de bonne mise était un ancien délinquant dont j’avais évité l’emprisonnement pour plusieurs années. Il m’expliqua avec allant qu’il était désormais Directeur mais, que malheureusement, il divorçait. Il me dit avec insistance, je ne comprends ma femme et moi, nous nous entendions si bien. De plus, elle dit m’aimer encore et n’avoir pas d’amant, qu’en penses-tu, Bruno ?
Je lui répondis que dans un couple il ne suffit pas de s’entendre pour être heureux ensemble, mais de s’écouter. Il me regarda fixement dans les yeux et me rétorqua brutalement : j’ai une idée ! Je ne le revis jamais puisqu’il partit promptement, sans doute vers son épouse…
Hé bien, la Vie, les Vacances, la pluie, le vent, le soleil, les abeilles, les papillons…tout cela doit être écouté dans un silence profond. J’allais écrire, qu’il faut boire, en quelques sortes, le paysage. Ce paysage est le visage de Dieu.
Ne passons pas nos temps de délassement comme des touristes assoiffés de sensationnel.
Cela ne nourrirait nullement notre existence. Au contraire, savourons chaque instant, afin qu’il s’incruste dans notre mémoire, tel un Eden toujours présent.
Sinon, nous ne pouvons pas avoir une démarche spirituelle mais, au contraire vulgairement banale, sans résonance intérieure.
N’oublions pas que nous restons, où que nous soyons des témoins joyeux de l’amour de Dieu.
Témoigner de Dieu par sa vie est plus puissant que de Le donner tout cuit à certains, comme une marchandise.
Donner cette liberté d’aimer par notre témoignage d’Homme libre et debout, vaut tous les discours religieux du Monde.
Dans la Vie tout se respecte et surtout la vie elle-même quand nous la considérons à travers autrui.
Les Vacances sont peut-être dans votre jardin, chez votre voisin ou dans les relations que vous aurez avec les commerçants et d’autres personnes.
Alors, Bonnes Vacances à Toutes et Tous !
Demain, je prends la route avec mon épouse extra-ordinaire pour couler sur le chemin des flots d’une France qui n’a pas encore dévoilée tous ses charmes.
BONNES VACANCES VÉCUES DANS L’ESPRIT DE JOIE ET D’AMOUR !
Je vous retrouve en début Septembre avec de somptueuses photographies qui seront les écrits de la lumière de mon cœur, que je vous partagerais.
Bruno LEROY.
09:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Ce précieux cahier où ma vie s'écrit.
C'est un cahier où je note une rencontre, un événement vécu ; une situation, une action que j'ai vécue avec d'autres. Je note ce que les personnes ont dit et aussi mes réactions.
05:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
20/07/2012
Ils regardent les autres partir.
Ils regardent les autres partir pour des rivages qu'ils ne connaîtront point. Les mois défilent comme d'immondes secondes interminables. Ils ont travaillés toute leur vie pour en arriver là. Ne jamais partir ou attendre le départ définitif sans broncher. Peu importe, les voisins leurs raconteront bien leurs vacances tel un film inédit. Ils voyageront dans leur imaginaire et s'inventeront des paysages magiques. Même s'ils ont les moyens, leur santé ne permet plus qu'ils bougent. Les enfants sont partis, les commerçants aussi dans ce désert caniculaire. Ils ne parlent qu'au silence qui semble ne rien comprendre.
Et puis, ils se taisent vaincus par tant d'indifférences. Pourvu que le soleil ne soit pas trop ardent, il risquerait en plus de leur donner un aller sans retour. Il dérangerait la Famille si joviale de prendre un repos bien mérité... Ils attendent leurs cartes postales qui les feront rêver, quelques instants. Parfois, ils se sentent de trop en cette société individualiste. Ils ont lu dans le journal que des amis étaient morts lors, d'un certain été. Maintenant, même le facteur prend de leurs nouvelles quand ils ont du courrier.
Malheureusement, en cette période particulière, les lettres se font rares. Autrefois, trop pauvres pour vivre des jours heureux. Aujourd'hui, trop vieux pour s'en aller vers des rivages mystérieux. Quel dilemme leur offre cette existence. Et pourtant, leurs enfants et amis, les aiment mais ces mois sont vides de leurs présences. Les journaux écrivent que l'égoïsme tue les personnes âgées. Les journalistes mentent toujours, c'est bien connu. Les enfants et petits enfants les aiment mais, ils ont leur vie. Comme nous avons eu la nôtre. Alors, que faire face au néant ? Retrouver plus intensément encore celui qui nous aime plus que tout. Oui, prier Dieu pour vivre nos Vacances avec Lui. Dans le coeur de Sa Présence. Ah ! comme nous plaignons ses générations sans spiritualité. Nous serons tellement dans la joie de l'Esprit que nos enfants nous trouverons transfigurés.
Non, la solitude n'est pas si lourde, lorsqu'elle est habitée. Bonnes et mirifiques Vacances à Tous et Toutes. Dieu en Son suprême Amour est à nos côtés. Quand vous rentrerez, notre sourire sera l'expression du bonheur de nous sentir aimés inconditionnellement. Alors, partez tranquilles et de simples gestes de tendresse nous feront plaisir. En attendant votre retour...
Bruno LEROY.
19:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
18/07/2012
L'espérance est capacité de vivre dans le temps, de vieillir et même de mourir sans nostalgie.
La vie dans l'alliance est une manière de marcher et de se frayer un chemin dans l'existence. Il est le chemin qui conduit à faire la vérité, à perdre sa vie et à la recevoir en retour comme lui-même a perdu la sienne et l'a reçue en retour luxueusement de son Père. La vie dans l'alliance imprime donc à l'existence un mouvement qui la porte constamment vers l'avant, de commencement en commencement, sans fixation ni nostalgie. Elle est donc passage, traversée, exode : travail de la vie à travers la mort, car il n'est pas de traversée sans abandon.
Aussi bien la vie dans l'alliance permet-elle d'affronter la mort sans dépit car, il y a identité entre l'amour et le mystère pascal. Étant donné la charité, la mort n'est plus vécue comme ce qui entraîne à la désespérance, mais comme l'occasion de donner sa vie comme on l'a reçue, gratuitement, ou, en d'autres termes, de se rendre dans un geste d'abandon. L'espérance chrétienne est la capacité de vivre dans le temps, de vieillir et même de mourir sans nostalgie. Car le Dieu auquel on accorde sa Foi grâce au témoignage de ceux qui nous ont précédés est aussi le Dieu qui vient, que l'on cherche et que l'on attend ; Dieu vient aussi de l'avenir La Foi en Dieu qui aime et que l'on aime, est ainsi inséparable de l'espérance.
Cette espérance est sans mesure. Car le monde qui vient, même si Jésus nous le laisse entrevoir dans ses paraboles du Royaume, excède toutes nos représentations. Le don de Dieu à venir dépasse tout ce que nous pouvons imaginer à partir de notre expérience présente. Aussi l'espérance est-elle l'acte même d'espérer sans autre assurance que la relation à Dieu qui donne la Vie et auquel on se rend sans réserve.
Foi, espérance, charité sont les attitudes fondamentales qui articulent la vie des chrétiens, leurs relations à Dieu et aux autres hommes. Elles sont la marque de la nouvelle alliance au nom du Dieu de Jésus-Christ, instaurée le jour de la Pâque. Chacun et chacune s'y trouve convié gratuitement. La crucifixion du Christ est également cette puissante libération de l'esclavage de la peur de la mort que peuvent éprouver les hommes. Car la résurrection est la seule conclusion face au monde clos de notre finitude, elle ouvre la porte vers une vie nouvelle, une Alliance nouvelle, celle d'un amour vécu en actes au quotidien dans une Joie parfaite. La Joie des ressuscités en Christ et qui propagent à travers le monde cette conviction que même la mort n'a jamais le dernier mot, lorsque nous sommes des hommes d'espérance et de confiance en cette Pâque qui est la preuve que l'amour consiste à donner sa vie pour ceux qu'on aime car, l'amour bannit toutes craintes et nous rend audacieux par-delà la pure raison. Cette pseudo-raison qui masque subtilement la peur qui n'est que lâcheté de ne jamais risquer sa vie au nom d'un absolu.
Bruno LEROY.
09:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
17/07/2012
.
Mes Amis ( es ),
Certains liens ont disparus comme par magie. Je me passerais bien de ce genre de féérie.
Mes services font tout ce qu'il leur est possible pour rétablir la situation antérieure.
Je vous remercie infiniment pour votre compréhension.
Bonne semaine à Toutes et tous dans le coeur de l'Amour !
Bien Fraternellement, Bruno.
QDVB UDP.
21:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
15/07/2012
Tu es ma joie dans les jours froids.
Cette qualité suave que tu portes en Toi comme un éclatant sourire sur la Vie. Cette fleur qui s'épanouit au cœur de tes pensées et qui embaume les autres de ses odeurs torrentielles.
Le chant de l'oiseau n'est jamais silencieux dans le tréfonds de tes yeux.
Le soleil s'invente d'autres lumières sur les chevaux des marées. Reflets discrets de couleurs presque inventées.
Teintes teintées de tendres baisers. Les arcs-en-ciel peuvent bien aller se coucher derrière les collines des certitudes.
Tu ne toucheras jamais à l'horizon qui te porte à foison. Trop respectueux du moindre clin d'œil de la lune sauvage dans les draps déchirés de la nuit.
Tu honores les moindres horizon que cette Terre installe pour tes rêves sans illusions. Ta grâce enlace les faces et surfaces de cette planète malhonnête pour certains.
Toi, tu vois le cristal au fond d'un simple morceau de verre et tu crées un splendide Univers. Celui qui existe en son essence et que seul le regard du poète sait voir.
Ta gentillesse met de la douceur dans nos journées parfois rudes à cause des imbéciles malheureux. Malheureux de ne pas posséder les autres.
Il faut souvent se battre contre les fausses impulsions des gens sans raison. Ceux qui se pensent indispensables et qui ne sont pas même pensables.
La gentillesse ouvre ses bras dans le désert qui boit des oasis illusoires. Peu importe ce qu'elle donne, ses mains sont toujours de chaleur humaine.
Un rire qui fend l'espoir du temps. Une véritable quintessence de cette fausse existence basée sur l'argent. Cet argent qui tue morbidement nos sentiments. Insidieusement, il franchit nos veines pour empoisonner notre sang d'enfant aimant.
La gentillesse est noble même dans la détresse, car elle met dans les larmes des scintillements de diamant.
Ne la refusez-pas, Hommes de peu de Foi.
Ne la rejetez pas dans les oubliettes de l'ennui.
La gentillesse est une philosophie que tu pratiques chaque matin.
Je me ressource en elle. Je me ressource en Toi en buvant l'écume de tes flancs.
Tu es la gentillesse incarnée dans ma propre chair.
Ensemble, nous dansons sur les sentes du Bonheur naissant indéfiniment.
Tu es cette gentillesse que je chercherais dans mes cavernes, mes forêts intérieures.
Que je trouverais peut-être dans le dernier soupir qui tardera à m'écouter.
Je trouverai dans le battement de mon âme cette gentillesse qui rend intelligent, tolérant.
Tout comme toi, mon amour aux subtiles idées de vivre en harmonie avec une musique inventée.
Que tu as juste trouvée dans le chant d'une brise subtile que tu appelles spiritualité.
Je te promets de suivre tes pas dans les traces de ton cœur amoureux de la vie. De cette vie qui danse vraiment l'espérance de jours heureux. De projets merveilleux et de câlins savoureux.
Cette joie que tu apportes autour de toi vient de loin, de très loin. Elle parle en ton corps tel un rire sur la mort.
Rien ne fait peur à celui ou celle dont la gentillesse est devenue substance de vie.
Tu fais partie de ses êtres que j'aime et j'aimerais jusqu'à l'infini de moi-même.
Ne serais-tu point envoyé par Dieu, es-tu un ange flamboyant qui rend les jours heureux de ce Feu intérieur que nous cherchons tant et tant.
Tu ne réponds pas, mais je sais la réponse dans tes yeux de cristal.
Tu es ma joie dans les jours froids.
Bruno LEROY.
13:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Prendre le temps de rêver pour se réaliser et réaliser ses rêves.
Prendre le Temps en ce monde bousculé. Prendre le temps de rêver les splendides horizons d’Espérance que Dieu a déposé en notre âme. Répondre ainsi aux Talents que Christ nous demande de cultiver. Quel merveilleux programme de Vie, n’est-ce pas ?
Frères et Soeurs, il est temps que notre société et notamment, nos Jeunes prennent du temps pour méditer et accomplir leurs rêves. Pour cela, il faut dépasser certains obstacles. Ensemble, chrétiens et chrétiennes que nous sommes, partageons nos rêves et aidons les autres à les vivre. Notre vocation est de transmettre tout ce que Dieu en Son Infini Amour nous a donné en pleine libéralité. Ne conservons pas nos rêves pour nous. Ils deviendraient cauchemars. Offrons au monde les rêves solaires et éclatant de Lumière afin de donner un autre visage à notre Humanité. Une société de violence et de manque de repères spirituels est une société qui a tué ses rêves les plus beaux. Puisse l’Esprit-Saint nous accompagner dans ce rêve d’une Humanité nouvelle !
Pourquoi parler des rêves avec tant d’insistance ? Simplement, je m’aperçois que notre société prend de moins en moins en considération les rêves humains. La compétitivité, la performance et bien d’autres paradigmes ont fait de nous les esclaves modernes d’un monde de consommation. Qu’importe alors, si les jeunes et moins jeunes se mettent à rêver de leur avenir pour créer des projets. Les projets sont imposés pour faire face à la concurrence. Laissons nos rêves de côté où nous finirons tous et toutes dans la rue à tendre la main en espérant quelques Euros.
A me lire, peut-être pensez-vous que je décris bien ce qui risquerait de nous arriver si nous suivions nos rêves. Hé bien, cette description est entièrement fausse et véhiculée par les médias à tel point qu’on semble sentir sa réalité. Non, ceux ou celles qui ont des rêves mettent tout en place, jusqu’au bout, pour que ceux-ci se réalisent. Le chrétien doit être le premier à faire confiance en un Dieu d’Amour qui est à l’écoute de nos rêves pour combler Ses desseins. Nous devons tout mettre en place pour acquérir cet esprit critique qui nous réalise en tant qu’Hommes.
Ne pas sombrer dans le matérialisme le plus bas afin de satisfaire les lobbys industriels. Ce matérialisme dépourvu de sens, sinon celui de s’enrichir, détruit nos rêves les plus nobles. Nous sommes au service de Christ, pas des patrons qui nous considèrent tels des numéros. Nous pouvons connaître le chemin que Dieu nous destine, uniquement dans la prière des profondeurs de l’âme. Il sait que nos rêves de chrétiens désirent un monde où la Haine, l’égoïsme, l’individualisme forcené, le profit soient éradiqués de notre société. Sinon, à quoi nous servirait-il de nous dire chrétiens en lisant la Bible tout en ne la vivant pas ?
Voilà notre combat spirituel. Remettre sur terre les rêves que Dieu Amour nous donne. Avoir confiance en nos qualités et capacités. Trouver la force dans la prière de chaque instant. Ne plus être les esclaves d’un monde moderne qui tue nos rêves. Et peu importe les conséquences, nous aurons oeuvrés pour Christ et la mise en application de Ses rêves. Nous espérons que d’autres générations se lèveront en disant qu’ils veulent une existence autonome dans les bras de Dieu.
Ce Dieu Libérateur qui est venu pour les plus petits d’entre nos Frères et Soeurs, ne saurait être contre nos rêves de liberté. Une liberté responsable où la course au profit laissera place à une terre d’Amour.
Bien-sûr, il nous faut de l’argent pour vivre mais non vivre pour l’argent. L’Esprit-Saint pourvoira à l’accomplissement de notre destin, pourvu qu’il soit vécu dans la prière afin que nous ne confondions point nos propres rêves avec ceux de Dieu.
Réaliser nos rêves, c’est toujours grandir en Humanité selon la Volonté de Christ.
Bruno LEROY.
11:11 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
14/07/2012
Puisque ce jour qui viendra, commence Aujourd'hui.
Un jour viendra le monde sera Lumière,
Amour du Christ sur cette terre,
Répandu en nos âmes offertes,
De cette offrande viendra la Paix,
Et le sourire des enfants apaisés,
Ce jour viendra je le sens en mon coeur,
Où les hommes parleront sans peur,
Ils auront dans leur conscience,
La voix de Dieu telle une Présence,
Ce jour viendra où le temps s'écoulera,
Comme une rivière de miel dans notre ciel,
Ce jour sera la réponse du grand Appel,
Et le soleil soudain s'ouvrira sur nous,
Cette brûlure incandescente d'Amour,
Fera monter notre joie pour toujours,
Dans la substance de l'éternel Amour,
Que Dieu en Son Esprit donnera au matin,
Si nous continuons à vivre cette flamme,
Qui consume les guerres infâmes,
Nos prières auront la saveur du Bonheur,
La Foi de la joie sans égale et partagée,
Le rire est contagieux pour qui se sent aimé,
Un jour viendra notre monde aura la Face
Du Christ qui demeure l'Ami de la Vie,
Et tous les hommes seront frères sans races,
Des amoureux de l'Univers et de l'espace,
Et si nos prières commençaient,
A donner quelques bienfaits...
Puisque ce jour qui viendra,
Commence aujourd'hui par la Puissance,
De Notre Amour pour Jésus-Christ.
Nous sommes faits à Sa ressemblance,
C'est à jamais notre chemin d'Espérance.
Amen !
Bruno LEROY.
10:43 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
13/07/2012
Cette joie nécessaire à tout être Humain.
Vous savez que tous les quinze jours, je m’en vais retrouver ce silence intérieur qui me parle tant.
Ce silence est une respiration vitale, un viatique dans le bruit des jours qui hurlent leurs détresses. Une vitamine me permettant de conserver cette joie qui fait traverser les pires enfers. Cette joie nécessaire à tout être humain quand coulent les larmes du destin sur son chemin.
Une relation s’établit dans le moindre bruissement de feuilles, sur les reflets multicolores de la rosée matinale. Quand le soleil s’amuse avec les nuages. Et que les oiseaux chantent leurs symphonies sacrées.
La relation à Dieu devient alors, relation évidente avec les autres, voire l’humanité tout entière.
Le silence chante dans le cœur ses ultimes prières qui donnent un parfum d’émerveillement aux simples événements. Tout prend l’aspect d’une rose qui tend les bras pour se faire cueillir, pour se faire aimer.
Et la réflexion vient s’écrire sur un cahier secret.
Des mots se transforment en phrases, en poèmes, en prières et chants selon, que la plume chante, trottine ou chante sous la muse amusée.
Tendres Abbayes aux murs implacables face aux tempêtes et intempéries. Vous êtes ma forteresse et une partie de ma Vie. Tant de fois, grâce à vous, j’ai rencontré Jésus-Christ et suis reparti avec la puissance de l’Esprit.
Ce week-end, je vous retrouve donc, comme d’impérissables dynasties qui sont les coffres de mes oraisons.
Je sais que dès l’ouverture de la porte principale avec le sourire du Moine accueillant, une nouvelle aventure commence sans que je puisse en savoir la conclusion.
Alors, dès ce soir, je vais rejoindre les moines dans la prière et nos invocations spirituelles communes seront mannes pour la terre entière.
Bruno LEROY.
19:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Quand la beauté de la vie se résume en musique.
Moi qui suis Lisztien jusqu'au profond de l''âme. De plus, j''ai une vénération sans pareille pour la musique de Messiaen. Les deux réunis pour rendre hommage à saint François, c''est un rêve secret qui se réalise.
Les musiciens s''épousent parfaitement. Et l''on entend le chant des oiseaux, les murmures des ruisseaux de cristal, qui dansent sur le clavier du piano.
Ô Mille Beautés exprimées,
Tant de notes pour chanter,
L'infini,l''Absolu en sa Divinité .
Liszt, ce franciscain-musicien qui savait mieux que quiconque relater la densité de sa foi, par son art. Les flots de son baptême coulent comme une conversion sur les pas de François de Paule.
Et Messiaen, ce théologien-musicien amoureux des chants des oiseaux du monde entier, dont il savait sacraliser une force nouvelle à travers son art.
Il faut écouter, savourer les yeux fermés cette musique qui joue sur l''archer de notre âme toute la spiritualité franciscaine et son ultime beauté. Cette élégante simplicité fait, de cet enregistrement, toute la richesse subtile de recherches musicales.
Il faut également l''acheter les yeux fermés pour demeurer dans la pureté franciscaine, loin du matérialisme avilissant.
De plus, le prix modique proposé ici, vous fera d''autant mieux aimer les splendeurs de la vie selon l''esprit mystique de Liszt et de Messiaen.
Vraiment, ce mariage est exceptionnel de volupté.
Ne point l''acquérir, c''est s''amputer d''un plaisir exceptionnel pour mieux découvrir le talent de nos deux artistes qui se répondent hors du temps. Mais pour longtemps encore par-delà le miroir de la mort.
Le parfum de la Vie jaillit à chaque note effleurée, à chaque instant dans son éternité, comme un ravissement qui ne s'éteindra jamais.
Bruno LEROY.
17:27 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., Livres et saveurs musicales de Bruno LEROY. | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |