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28/01/2011

Un enfant de 11 ans se suicide.

Un garçon de 11 ans, décrit comme "très solitaire", s'est suicidé par pendaison mercredi soir alors qu'il était seul chez lui à Saint-Laurent-en-Grandvaux, petit village du Jura, selon le parquet de Lons-le-Saunier.

Le corps de l'enfant a été retrouvé par sa mère au moment où elle rentrait du travail, vers 21h30, a précisé Stéphane Larcat, substitut du procureur, confirmant ainsi une information du quotidien Le Progrès.

"Quand la mère est arrivée à la maison, le loquet était fermé de l'intérieur, si bien qu'elle a dû faire appel à son compagnon pour qu'il défonce la porte". L'enfant était décrit comme souffrant d'une "très grande solitude" et faisait d'ailleurs l'objet d'un suivi psychologique, selon M. Larcat.

Ce drame survient neuf jours après le suicide près de Lyon d'une fillette de 9 ans, qui s'était défenestrée du 5e étage après avoir laissé un mot dans lequel elle faisait part de son mal-être, notamment face au diabète dont elle souffrait.

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Nelson Mandela est très malade.

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Le premier président noir d'Afrique du Sud, hospitalisé depuis mercredi à Johannesburg, devait subir vendredi des examens liés à des problèmes respiratoires. Son entourage se veut malgré tout rassurant.

«Médicalement, il n'y a aucune raison de paniquer». Le propos se veut rassurant. Alors que l'ancien président sud-africain Nelson Mandela, a entamé vendredi sa troisième journée dans un hôpital de Johannesburg, le vice-président du pays a apporté dans un communiqué, des précisions sur les ennuis de santé dont souffre le héros de la lutte anti-apartheid.

Il subit «des examens spécialisés» liés à des problèmes respiratoires, selon Kgalema Motlanthe. Le vice-président sud-africain doit tenir une conférence de presse à 12h30 locales (11h30 à Paris) à la clinique Milpark où premier président noir d'Afrique du Sud est hospitalisé. Nelson Mandela souffre «de maux courants à son âge (92 ans) et d'un problème qui s'est développé avec les années: il a eu la tuberculose à Robben Island (la prison où il a passé 18 de ses 27 ans de détention) et a déjà souffert d'infections respiratoires», a poursuivi le vice-président.

«Le vieil homme est très malade mais il n'est pas en danger» de mort, annonçait jeudi soir une source proche de Nelson Mandela, sous le couvert de l'anonymat. Cette même source disait s'attendre à ce qu'il sorte de l'hôpital vendredi. Mandela avait d'abord été admis à l'hôpital pour des «examens de routine», selon sa fondation qui a depuis gardé le silence sur son état de santé.

Selon une source proche de «Madiba» - son nom de clan utilisé affectueusement en Afrique du Sud - il se remet d'un collapsus, qui se manifeste par un affaissement du poumon. Selon la radio Talk Radio 702, l'icône de la lutte anti-apartheid a vu un pneumologue de l'hôpital Milpark. Le quotidien The Times explique pour sa part que Mandela est sous respirateur depuis la nuit de mercredi à jeudi.

 

«Ne pas penser au pire»

 

Cette hospitalisation a suscité à travers le pays une vague de rumeurs alarmistes qui a conduit le président Jacob Zuma et le parti au pouvoir, le Congrès national africain (ANC), à lancer un appel au calme. «Le président Mandela est bien installé et pris en charge par une bonne équipe de spécialistes médicaux», a déclaré Jacob Zuma dans un communiqué. En déplacement au forum économique de Davos, le chef de l'Etat a été informé de l'état de son illustre prédécesseur. Décision a été prise qu'il demeure à la réunion des décideurs économiques et politiques de la planète, afin de ne pas générer de spéculations.

«Mandela a 92 ans et tous les maux associés à ce grand âge. Le fait qu'il ait passé la nuit à l'hôpital ne doit pas faire penser au pire», a dit le porte-parole de l'ANC, Jackson Mthembu. «Nous demandons aux gens de ne pas faire de déclarations inconsidérées, il faut rester calme et ne pas céder à la panique car il n'y a aucune raison de le faire.»

Plusieurs membres de la famille, dont son épouse Graca Machel, lui ont rendu visite après son admission à l'hôpital, où reporters et équipes de télévision ont afflué. Son ancienne épouse Winnie Madikizela-Mandela a manifesté son émotion à la sortie de l'hôpital, selon l'agence sud-africaine Sapa. Nelson Mandela n'a pas paru en public depuis la finale de la Coupe du monde de football le 11 juillet dernier. Il s'est retiré de la vie publique en juin 2004, avant ses 86 ans. Il avait été soigné pour la tuberculose dans les années 1980 et a été traité pour un cancer de la prostate en 2001.

(Avec AFP)

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Record d'alcoolémie à Sainte-Soulle.

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Précisons d'emblée qu'il ne s'agissait pas là de procéder à une reconstitution a priori fatale au commun même des cirrhosés. Pour autant, et au lendemain de la révélation d'une alcoolémie himalayesque dans la campagne rochelaise, la nécessité d'une tournée de ses bistrots s'imposait. Ainsi à l'heure de l'apéro, le triste exploit de l'agriculteur aux 5,12 g était hier sur toutes les lèvres plus ou moins imbibées du trop bien nommé bourg de Sainte-Soulle.

Contrôlé ici même l'avant-veille au soir pour n'avoir pas allumé le gyrophare orange de son tracteur, l'assoiffé s'était vite révélé aussi rond que ce ballon gendarmesque qu'il ne réussira pas, d'ailleurs, à gonfler. Devant la patrouille soufflée, un record venait de tomber. Son détenteur aussi. « Le pire, c'est qu'il ne zigzaguait même pas sur la route mais il a fallu le porter tellement il était ivre. Nous avions déjà coincé des 4 grammes, mais là, c'est du jamais- vu », n'en revient toujours pas un gradé.

Une dose a priori mortelle

Au jeu de l'homme qu'a vu l'homme qui a pris la cuite du siècle, le patron du PMU de Sainte-Soulle était assurément hier le mieux renseigné. Cartes d'état-major disposées sur le zinc, Pascal arborait ainsi le sourire entendu de celui qui sait mais ne dira rien : « Le problème, c'est que je ferme mon bar le jeudi après-midi, alors certains vont penser que je suis victime d'une sanction administrative à cause de lui. Sauf que le gars ne coure jamais les bistrots, il se débrouille autrement. » Rompu à la réhydratation solitaire, l'homme semble en fait d'autant plus organisé que la cabine de son tracteur se rapprocherait plus du wagon bar que de l'engin agricole.

« Ceux qui le connaissent savent qu'il a toujours à bord deux grandes bouteilles d'eau minérale déjà mélangée au pastis, quitte parfois à se tromper de portail quand il rentre dans sa ferme », lâche un informateur anonyme. Au sortir d'une longue nuit de dégrisement, le chauffard a pourtant affirmé n'avoir étanché qu'un malheureux demi-flacon de jaune, se flattant au passage de ne jamais téter de vin. « Impossible, un tel taux correspond à 20 ou 25 verres, à se demander d'ailleurs comment il n'en est pas mort », démentent en cœur les spécialistes de la chose.

Loin de ne susciter qu'admiration ou fou rire, malgré quelques circonstanciées brèves de comptoirs (« On sait qu'il labourait, mais qui l'a bourré ? » sic), les habitants de Sainte-Soulle se partageaient hier entre l'envie de lui ériger une statue ou bien à l'inverse une potence.

« Ce type, c'est d'abord un débile et un fou dangereux, il aurait pu tuer un gosse », frissonnait une mère de famille. Une sévérité un peu plus loin relayée par la patronne du routier Poivre et Selle. « Lorsque j'ai découvert ça sur Facebook, j'ai cru à une plaisanterie. J'espère qu'il ne vient pas picoler chez moi. De toute façon, j'ai supprimé depuis un an la formule vin à volonté. »

Au risque enfin de surprendre l'inavouable fan-club naissant, rappelons que le petit village ne détient pas le record de l'ivrognerie mondiale. En 2005, près de Bourg-en-Bresse, un extraterrestre de 37 ans avait flirté avec la barre des 10 grammes. De quoi au moins détendre le maire de Sainte-Soulle, si chagriné hier qu'il réclama que l'on mette fissa les affichettes des journaux hors de sa vue.

09:31 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

27/01/2011

ALPHA BLONDY : PSAUME 23.

21:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Le Gospel à 4 c'est mieux !


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NICOLETTA SE CONFIE POUR NOTRE PLUS GRAND PLAISIR.


Nicoletta & le jazz "Ce soir ou Jamais"

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L’intégrité est plus importante que la popularité !

“L'intégrité guide les hommes droits...” Proverbes 11.3 www.saparole.com

Joseph refusa les avances de la femme de Potiphar non pas parce qu’il pensait se faire prendre s’il succombait à la tentation, mais parce qu’il savait qu’il ne pourrait vivre ensuite avec lui-même s’il les acceptait. Ted Engstrom a écrit :“Le monde a vraiment besoin d’hommes que rien ne peut acheter, qui tiennent leurs promesses, qui considèrent leur intégrité plus importante que l’acquisition de richesse, qui ont des opinions fortes et une volonté inébranlable, qui n’hésitent pas à saisir les opportunités qui passent à portée de leurs mains, qui maintiennent leur individualité même lorsqu’étouffés par la foule des autres, qui font preuve d’honnêteté en toutes choses, importantes ou pas, qui refusent tout compromis avec la malhonnêteté, dont l’ambition ne se limite pas à leurs désirs personnels, qui n’acceptent pas d’agir comme les autres parce que la majorité le veut ainsi, qui respectent leurs amis dans les mauvais jours comme dans les bons, restant insensibles aux critiques comme aux louanges excessives, qui ne croient pas devoir faire preuve d’insensibilité, de cruauté et d’intelligence froide pour réussir dans la vie, qui n’ont pas peur de proclamer la vérité même si cette dernière est vilipendée par tous, qui osent crier “non” alors que le reste du monde veut les forcer à dire “oui”.

Décrivant leur attitude comme “un compromis d’intégrité”, le psychologue Leo Randall a analysé les relations qui liaient l’ex-président Nixon à certains de ses plus fidèles conseillers, au cours du scandale du Watergate. Il se souvient d’une conversation qu’il a entendue entre le sénateur Howard Baker et Herbert Porter, l’assistant personnel de Nixon. Baker : “Ne vous êtes vous jamais posé de questions sur le bien-fondé de ce que vous faisiez à ce moment-là ?” Porter : “Non, absolument pas !” Baker : “Pourquoi non ?” Porter : “A cause des autres... J’avais peur d’être considéré comme ne faisant plus partie de l’équipe...” Souvenez-vous de ces paroles ! Recherchez l’intégrité, pas la popularité !  

 Bob Gass.


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26/01/2011

Mgr Samuel Ruiz est mort.

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Mgr Samuel Ruiz, évêque émérite de San Cristobal de Las Casas (Mexique), qui fut le médiateur entre le gouvernement et la guérilla zapatiste, est mort lundi 24 janvier

Les Indiens l’appelaient « Tatic (père) Ruiz ». Il faut dire que, pendant les quarante années (1959-2000) où Mgr Samuel Ruiz fut l’évêque de San Cristobal de Las Casas, dans l’État du Chiapas, au Mexique, il contribua puissamment à conscientiser les Indiens.

Après ses études à l’Université grégorienne de Rome et son arrivée au Chiapas, le jeune évêque, né en 1924, participa à la conférence de Medellin en 1968 et devint le responsable du Département des missions du Conseil épiscopal latino-américain (Celam).

Partisan de l’option préférentielle pour les pauvres et fervent défenseur de la théologie de la libération – il publia Théologie biblique de la libération (1975) –, Mgr Ruiz mit en place un vaste réseau de 7 800 catéchistes indigènes et 2 600 communautés de base, ce qui permit, par un patient travail pastoral d’éducation populaire, d’aider les Mayas du Chiapas et d’ailleurs à s’organiser pour défendre leurs droits.

Une campagne sera lancée pour obtenir le renvoi de l’« évêque rouge »

En 1974, à l’occasion du 500e anniversaire de la naissance de Bartolomé de Las Casas, il organisa le premier congrès indigène du Chiapas. Autant d’activités qui provoquèrent la colère des grands propriétaires et du gouvernement mexicain : lors de la visite de Jean-Paul II au Mexique en 1993, une campagne sera lancée pour obtenir le renvoi de l’« évêque rouge »…

Peu après, en janvier 1994, éclate le soulèvement indigène appuyé par l’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN). En décembre 1994, il met en place la Commission nationale d’intermédiation, chargée de maintenir le dialogue avec elle. Les négociations s’interrompent pourtant en janvier 1997, permettant au gouvernement mexicain de durcir sa politique d’extermination des populations indigènes et de persécutions de l’Église catholique.

En juin 1998, l’évêque préféra démissionner de la commission, tout en continuant de travailler à la pacification du Chiapas. Après son décès lundi 24 janvier à Mexico, où il était hospitalisé depuis deux semaines, les obsèques de Mgr Ruiz doivent avoir lieu mercredi 26 janvier dans la cathédrale de San Cristobal, au lendemain du 50e anniversaire de son ordination épiscopale, le 25 janvier 1960.
  
Source : La Croix.


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25/01/2011

LA PUISSANCE DE VOIX ET D'AMOUR DE MARCEL BOUNGOU.

20:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Les bénévoles sont des transmetteurs de convictions.

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Lorsque nous exerçons une fonction au cœur d’une association en tant que bénévole, il me paraît évident que la reconnaissance ne peut guère s’effectuer de façon similaire à celle d’un salarié.

En effet, souvent le salaire est le symbole d’une valeur accordée aux prestations de l’employé. Alors, le bénévole ne serait-il jamais inclus dans une dynamique de reconnaissance ? Répondre négativement serait méconnaître la nature Humaine et la signification de ses expressions affectives.

Un sourire, un regard, un geste posés peuvent provoquer l’atmosphère sereine ou conflictuelle de relations internes entre individus.

La relation de confiance est primordiale, base constitutive de toute relation qui permet aux autres de progresser.

La reconnaissance de l’autre est une façon de vivre en acceptant et surtout, en intégrant ses différences. Apprendre à négocier ces différences est la source essentielle de toutes relations saines.

Par contre, le refus catégorique de découvrir l’autre dans son individualité propre, relève de la pathologie. Les associations, qu’elles soient humanitaires ou autres, sont les reflets intrinsèques de nos comportements sociétaux.

Donnons davantage de lumière dans notre reconnaissance envers autrui. C’est-à-dire, une flamme de vérité respectueuse qui fait grandir intérieurement. L’éclat de nos ententes relationnelles et donc, de la reconnaissance inconditionnelle de l’autre, rejaillira sur la société tout entière.

Une association caritative doit montrer l’exemple qu’une humanité rayonnante et bien vivante est encore possible. La reconnaissance de l’autre peut se caractériser aussi par la sanction car, elle est négation de l’indifférence. L’équipe de bénévoles devient alors un microcosme pouvant s’ouvrir vers d’autres paradigmes de façon plus limpide en fragmentant mieux ses limites. La reconnaissance que les autres éprouvent à notre endroit est la preuve même que nous existons au sein d’une association.

Nous sommes responsables des relations que nous entretenons avec autrui. Lorsque nous aurons compris cela, nous aurons tout compris !

Demain, sera la société du rejet ou de l’acceptation inconditionnelle de l’autre à la seule condition que cette relation soit basée sur le Respect. Accepter ne signifie pas tout accepter mais, se mobiliser pour que la tolérance ne demeure point un vain mot dans un vieux dictionnaire.

C’est l’affaire de tous et toutes, là où nous vivons, de porter un autre regard sur les réalités afin de mieux nous intégrer. Si le bénévolat permet une intégration du bénévole dans un groupe, cette intégration doit être également sociale. Et plus le bénévole aura à cœur de se former pour mieux s’épanouir au profond de son individualité, plus il sera en communion avec les autres pour vivre une démarche authentique en faveur des plus exclus de notre société.

Tout cela en fait, est une question de regard que les autres nous portent ou que nous portons sur nos actions. Cette reconnaissance est porteuse de gratuité, d’approfondissement des valeurs personnelles et du sens que nous posons sur le Bénévolat. Les bénévoles sont les transmetteurs des convictions qui les animent. Et celles-ci sont toujours porteuses de gratuité. Il ne pourrait en être autrement... Oui, re-connaissance, naître de nouveau à soi-même pour se reconnaître et être reconnu.

L’importance fondamentale de vivre une certaine empathie avec autrui, nous fait découvrir d’autres horizons que nous-mêmes. Nous entrons alors, dans la co-naissance de l’autre, une position qui donne vie à sa représentativité existentielle. Car être reconnu inconditionnellement, c’est commencer à exister !

Et faire exister les autres pour qu’ils puissent prendre leur destin en main avec une conscience responsable et adulte.

Bruno LEROY.