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06/05/2008

LE CAHIER DE VIE.

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C'est un cahier où je note une rencontre, un événement vécu ; une situation, une action que j'ai vécue avec d'autres. Je note ce que les personnes ont dit et aussi mes réactions.
Faire ce cahier de vie oblige à s'arrêter, à prendre un peu de recul pour regarder ma vie, la vie des amis, et aussi à situer les personnes dans une durée, une histoire, et à me situer, moi aussi comme acteur d'une " histoire sainte".
Relire ma vie, celle de ma famille, des collègues de travail, du quartier, c'est découvrir les richesses dont cette vie est porteuse, c'est souligner les avancées de tel ou tel pour s'en réjouir, c'est engranger des convictions, discerner des appels, adopter des repères pour des choix à venir, mesurer le chemin parcouru.
C'est aussi y reconnaître la trace de Dieu et donc prendre le temps de Lui exprimer un profond merci.
Pour cela, il est important que ce temps où nous recueillons la vie, comme un trésor que Dieu nous donne de vivre, soit un temps de recueillement.
Nous croyons que c'est dans la vie des hommes que Dieu continue de venir et qu'il est de notre mission de vous ouvrir à sa présence, de le rejoindre là où Il est pour collaborer à l'aujourd'hui du Salut.
Le cahier de vie nous permet de grandir devant Dieu.
Pour les autres, comme pour nous, ce qui nous rend heureux, c'est de savoir qui on est, d'être situé dans un monde, d'y avoir ses repères et donc d'y prendre place. Savoir qu'on a une place, qu'on peut compter sur d'autres pour nous aider à la tenir, savoir que les autres attendent quelque chose de moi et chercher à ne pas les décevoir. Avoir besoin des autres pour être soi-même, être utile aux autres pour qu'ils grandissent.
Dans cette expérience profonde, Dieu se rend présent ; il est au cœur de cette joie et de ce bonheur qui m'habite. Il croit en moi, et je crois en lui. Il me fait confiance, et je lui fais confiance : cela s'appelle l'Amour.
Son regard me fait exister et trouver ma place et je lui fais confiance pour un avenir que j'ignore encore, mais je sais que Lui me tient par la main.
Le cahier de vie est un des lieux et des moyens par lequel l'Esprit forme en moi Jésus Christ. Je suis invité à entrer dans le regard du Christ qui voit le Père agir et qui fait ce que fait le Père. C'est un lieu de conversion de ma vie d'apôtre. C'est l'évangile qui continue à s'écrire.
Je note dans mon cahier ce qui marque les amis, mon entourage, les événements. Ce qui se vit, ce qui est dit. Les actions menées, les réactions, les transformations.
Écrire ce que l'on pense. Essayer de regarder la vie de ceux qui m'entourent, la famille, les amis, leurs joies, leurs peines, comme jésus regardait la vie des hommes. Il faut entrer dans Son regard.
Un texte d'évangile peut nous aider à entrer dans le regard du Christ : son attention aux hommes, sa souffrance, sa peine, sa joie, son amour...
Notre cœur et notre prière seront comme un creuset où l'Évangile et la vie des hommes, longuement médités, se rencontrent et s'éclairent mutuellement.
Nous pouvons écrire une prière où nous parlons à Dieu de nos proches. Ce peut être une prière de demande de pardon, un appel au secours, un remerciement...
Même si le cahier de vie n'est pas un journal intime, ce cahier est précieux. Il est porteur de ce qui est Essentiel dans ma vie : ma famille, mes amis, ma relation à Dieu, ma prière...
Je ne le partage pas à tout le monde !
Il peut servir éventuellement en révision de vie.
Au fait, si tu n'aimes pas écrire ou si tu es fatigué.
Essaie quand même d'écrire deux ou trois lignes. Et peut-être de prendre un temps plus long durant le week-end. Ta vie y gagnera en profondeur.
Bruno LEROY.

18:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

TÉMOIGNAGES...

Trois questions à Sophie
Sophie, 32 ans, est professeur d'histoire



Bruno Leroy, éducateur de rue
Éducateur de rue, écrivain. Bruno Leroy, qui n’est pas membre de l’Opus Dei, nous explique comment saint Josemaria l’aide dans son travail quotidien au service des plus démunis.

Trois questions à Virginie 
Virginie, 34 ans, est professeur d'anglais dans un lycée parisien
 

Un Pasteur hors du commun
A l'occasion des funérailles du Cardinal Jean-Marie Lustiger à Notre Dame de Paris, Mgr Augustin Roméro nous a livré ses souvenirs. Il a été un proche collaborateur du Cardinal pendant dix ans.

Comment réussir ses vacances ?

Trois mamans présentent leur projet : découvrir un nouveau lieu ou retrouver ses racines ? Comment profiter de ce temps de retrouvailles ? Quelle place donner à Dieu ? 

- Apolline et Olivier, cinq enfants de 8 ans à 4 mois.

- Laure et Laurent, sept enfants de 11 ans à 7 mois. 

-  Catherine et Xavier, six enfants de 15 ans à 3 ans et demi.

Rendre la société plus solidaire
Ex-militants du Parti Communiste, Anna et son frère Fabio sont aujourd'hui membres de l'Opus Dei. À quelques jours de l'ordination sacerdotale de Fabio, Anna nous livre ses impressions.

 De la cellule communiste « Ho Chi Min » au diaconat
Fabio Quartulli est l’un des 38 fidèles de l’Opus Dei à être ordonné diacre à Rome le 25 novembre prochain. Six mois plus tard, il recevra l’ordination sacerdotale. Né en France il y a 37 ans, il est fils d’un maçon italien émigré à Paris pour y trouver du travail.

 A 20 ans, j’ai décidé de faire partie de l’Opus Dei 
Arnaud est surnuméraire, étudiant en droit. Un entretien sur sa vocation à l’Opus Dei, l’Église, les jeunes…


 J'ai découvert "Les Écoles" par Internet 
« Chacune est prise comme elle est, et reçoit ce dont elle a besoin », raconte Helena qui habite Les Ecoles, à Paris, une résidence pour jeunes filles dont les activités de formation chrétienne ont été confiées à l’Opus Dei.

 Vivre le Carême en famille
Charlotte et Hervé ont 5 enfants, âgés de 17 à 5 ans. Nous leur avons demandé comment ils vivent, au quotidien, le temps du Carême.

 Concilier vie de famille et vie professionnelle  

Entretien avec Apolline, mère de 5 enfants et chargée de communication dans une mairie de la région parisienne. 

Une résidence d’étudiants à Paris.
  

11:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SAINT JOSÉMARIA. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L’ESPRIT FESTIF DE MAI 68.

On ne désire pas quelque chose sans en avoir un avant-goût, on accueille difficilement l’avenir si on n’a pas trouvé un peu de grâce du présent, la gratuité d’une présence. Il suffit parfois du sourire d’un enfant, de la saveur d’un fruit, de la couleur du ciel, de la tendresse d’une étreinte pour que la domination n’apparaisse plus un destin inéluctable, le bonheur devienne possible et que les dominés prennent l’initiative. La dynamique du refus jaillit souvent d’un lieu où un monde désirable a été expérimenté, un autre monde, où l’homme n’est plus un loup pour l’homme, où les rapports gratuits apparaissent malgré et à travers les rapports d’utilité et d’intérêts. Ces éclairs qui lézardent le ciel de plomb nous font voir, dans la fugacité d’une présence comblante, la discrétion d’une tendresse inattendue, que la vie peut être changée en la prenant autrement : comme un don gratuit qui a la saveur d’une nouveauté.

Si mai 68, par exemple, nous a marqués plus que beaucoup d’événements politiques, c’est qu’il fut d’abord cette fête symbolique qui ouvrait à des relations plus gratuites, moins déterminées par le simple échange économique, le calcul ou l’intérêt. Face à tout système fondé sur l’avoir, jaillissait un désir d’être autre avec les autres. L’événement arrivait comme une surprise, déchirant la grisaille d’une quotidienneté trop prévisible et dévoilait, tout à coup, la grâce de visages hier inconnus ou absents. Comment se fait-il que ces visages soient ceux des mêmes hommes et femmes que nous rencontrions dans le métro ou au boulot ?

Moment fugitif où les choses de la vie et les êtres se transfigurent, où les lois se transgressent, où le paraître laisse l’éclat d’une beauté imprévue, car la beauté est toujours donnée de surcroît. Sans doute, l’éclair ne fait que passer, mais la fête terminée reste une trace brûlante, une blessure au cœur, le goût d’une présence sans prix au cœur même de l’absence.

Alors la fête est symbolique, elle dit que la Vie ne se réduit pas à ce qu’on en voit, que ce qui compte le plus ne se comptabilise pas, ce qui vaut le plus est sans prix, cela ne s’achète ni se vend. Elle est subversive dans une économie de profit, elle consume au lieu de consommer, elle pousse à perdre, à sacrifier ses réserves plutôt que les capitaliser. Elle est prodigalité joyeuse et enfantine, son excès et sa démesure subvertissent les normes habituelles de la société et de la raison raisonnante. Quand les pauvres font la fête, ils ne calculent pas la dépense et sortent des prévisions de l’assurance-vie ; aussi ils apparaissent excessifs pour le bourgeois épargnant ; ils gaspillent à fond perdu pour célébrer une vie qui n’a pas de prix. N’est-ce point là, une attitude de Vie libératrice ou qui mène vers une libération de la conscience, lorsque l’existence est vue sous l’angle de la gratuité, de l’émerveillement et de la découverte quotidienne, tel le regard de l’enfant qui découvre les mystères fascinants de la beauté des choses et des événements ? La souffrance se trouve ainsi assimilée et relativisée car, il nous faut admettre que nous ajoutons du poids à nos propres blessures pour nous donner l’illusion d’exister.

Mais, vivre réellement dans une dimension libératrice, n’est-ce point se ressourcer aux racines festives de la société, même si la lourdeur des contraintes sociétales assombrit le paysage ?

Il est dans l’âme de tout artiste de retrouver cet esprit d’enfance tant prôné par Baudelaire, sans toutefois sombrer dans l’infantilisme ( ce qui serait pire ! ), mais trouver des raisons de s’émerveiller d’exister pour enrichir son intériorité. Cependant, cette façon de se positionner face à la Vie ne devrait pas être le seul fait des artistes mais de tout individu qui est en droit de trouver une respiration, une libération, un épanouissement personnels. Notre culture favorise-t-elle cette recherche de l’intériorité humaine ? C’est une question que je pose et dont je sais pertinemment que vous détenez déjà la réponse. Ne devons-nous point devenir les véritables acteurs de notre destin et non des personnages passifs qui se victimisent en laissant toujours le choix aux autres de notre bonheur ou de notre malheur sur terre ? La libération ne viendra que de nous et non de forces extérieures.

Nous devons regarder la Vie autrement pour la Vivre autrement !

Puisse-t-il en être ainsi pour vous afin que vous puissiez atteindre les aspects lumineux que nous offre la terre-mère.

Bruno LEROY.

09:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

05/05/2008

LES VISAGES SONT DES PAYSAGES.

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D'abord le regard, ce miroir de l'âme où se reflètent les joies, les angoisses et les blessures. Dans ces deux perles vous pouvez découvrir des centaines d'émotions exprimées ou non. Vous pouvez savoir également si la personne emploie un langage de vérité ou se noie dans ses propres mensonges. Les regards qui vous évitent en fait, évitent de montrer leurs fragilités. Ce sont des personnalités peu structurées intérieurement qui refusent de vous regarder dans les yeux. Il ne s'agit nullement de juger mais, de comprendre. Ne point vous fixer, c'est désirer vous échapper. L'individu refuse de s'agripper au rocher vivant des réalités.
Il fuit votre regard comme il fuit la Vie.
Les lèvres peuvent se pincer aux événements qui surviennent. Ces deux fruits de velours peuvent exprimer l'approbation, l'inquiétude, l'incertitude, le mépris... Ce sont des lèvres muettes qui parlent sans bruit.
Elles balbutient avec un mutisme révélateur les sentiments que le corps transmet. A nous de contempler leurs moindres frissonnements.
Les joues s'empourprent de timidité, de honte, de mal-être, d'incertitudes d'être soi. Souvent, nous les voyons écarlates et lorsqu'elles deviennent neigeuses, la peur les envahit d'une froideur insoupçonnée.
Le front laisse loger les doutes, les colères rentrées ou nous fait découvrir l'immense relaxation de la personne. Le front relâché abandonne ses tensions internes au temps ensoleillé. Lorsqu'il est froissé, c'est que le cœur en est tout autant.
Le visage et notamment les yeux sont les premiers organes avec lesquels nous entrons en relation. Imaginez une personne entièrement silencieuse qui vous demanderait d'interpréter ses ressentis.
Travail de longue haleine et pourtant, de l'ordre de la possibilité pour qui sait observer, sans juger.
En effet, quels sont ces critères à la con qui nous font estimer l'esthétisme d'un visage. Nos esprits sont formatés par les médias qui se permettent de penser pour nous.
Or, en tant que chrétien, je refuse qu'un organisme quelqu'il soit, même vénérable, puisse émettre quelques jugements sur la façon d'appréhender mes Frères et Sœurs en Humanité.
Je suis suffisamment adulte et responsable pour aimer même le plus vil individu qui habite sur cette terre-mère, qui est également la sienne.
Je ne laisserai jamais conduire mes estimations, mes amitiés, mes fraternités par des médias de presse, de télévision ou de radio qui tentent de me mouler dans la cire des conformismes ambiants.
Le visage humain est un paysage sur lequel nous pouvons demander à l'Esprit-Saint de nous révéler toutes les aspérités ou luminosités.
Ceci peut sembler futile au prime abord. Mais, sachez qu'une rencontre avec une autre personne devrait ouvrir notre cœur au feu de la prière. Prière silencieuse qui submerge d'Amour l'individu rencontré.
Et vous constaterez que vos relations s'en trouveront étrangement modifiées. Que vous soyez Directeur, ouvrier, chômeur ou retraité ; la découverte d'une nouvelle personne est souvent source d'inquiétude.
Mais, si vous savez lire dans le regard d'autrui. Il faut savoir que votre interlocuteur fait exactement la même chose.
Les lectures sont différentes, c'est tout.
La prière permet de pénétrer dans un regard sans le violer. Toute la Tendresse de Dieu se dépose doucement en vous pour éclabousser les autres. Je persiste à dire qu'une rencontre doit inciter à prier.
Mettre Dieu ruisselant d'amour au sein de nos relations même les plus conflictuelles. Voilà, le secret que le chrétien détient de son expérience spirituelle.
Cela donne une intensité nous faisant plonger dans les murmures de l'âme de notre prochain.
Nous sommes ainsi, plus attentifs davantage à l'écoute. Nous pouvons constater les yeux s'humidifier de larmes d'un ami qui laisse tomber son masque. Le sourire éclairer soudainement un visage éteint.
Nous pouvons gravir tous les sommets de l'humanité, en la contemplant avec les yeux de Dieu.
Mais, pour visiter tous ces paysages, il nous faut une allure apaisée. Soyez en vous-même un lac calme qu'une brise légère vient caresser. Soyez un médicament, une sorte de benzodiazépine, d'anti-dépresseur pour vos Frères. Je puis affirmer que cela est nécessaire lorsque notre Ministère s'exerce au milieu des plus blessés, des plus meurtris de la Vie.
Retrouvez la gracieuse lenteur du geste sûr et affirmé. Quant à vos réponses et vos attitudes, seule l'authenticité donnent pureté et fraîcheur dans les rapports humains.
Quant à ce que vous devez répondre, les grâces de l'Esprit-Saint vous insuffleront ce qu'il faut dire. Ne vous inquiétez point.
Contentez vous d'admirer la beauté du paysage. Ces visages que Dieu dans son indicible Amour vous donne pour que vous décryptiez derrière les non-dits, les blessures qui s'ouvrent au grand jour.
Nous sommes des animaux sociaux qui vivons sur la planète Terre pour nous comprendre, nous aider, nous aimer mutuellement.
Un jour sans amour est un jour perdu pour toujours. Ne l'oublions jamais !
Bruno LEROY.

19:13 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Le principe de Rebecca !


podcast

Suivez le principe établi par Rebecca : faites toujours davantage que le strict nécessaire et faites-le avec joie et enthousiasme !

Bien Fraternellement, Bruno.

08:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/05/2008

L’ange au sourire.

Il suffit d’un sourire
Tel qu’il éclôt sur les lèvres d’un ange
Et la vie recommence, lave la tristesse de nos yeux
Comme un peu de soleil glisse entre deux nuages.

Il suffit d’un sourire
Tel qu’il éclôt sur les lèvres d’un homme
Et la terre s’allège, saisit son courage à deux ailes ;
Le soleil tombe sur ses larmes et les transforme en perles.

Il suffit d’un sourire
Tel qu’il éclôt sur les lèvres d’un enfant,
Et s’illumine en lui le sourire d’un Dieu,
Heureux d’avoir un fils qui lui ressemble.

Il suffit de chercher son ange au fond de ta mémoire.
Tu y trouveras des ailes pour soulever le monde.
Et sur ses lèvres closes le silence d’un Dieu qui te fait sourire.

Gilbert ZUFFEREY.

20:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

R.V fait trembler le Gouvernement en réécrivant la Marseillaise.

Dans un rapport adressé à Mme Roselyne Bachelot (la ministre de la santé et des sports), les dirigeants de la FFF (Fédération Française de Football) signalent qu'au cours de plusieurs rencontres de la coupe de la ligue 2008, des supporters de divers clubs ont entonné une version "revisitée" de l'hymne national français. Cette nouvelle version, qui se veut plus "spirituelle" que la précédente, porte gravement atteinte au principe de la laïcité. En effet, il y est question de la vocation de "Fille aînée de l'Eglise" de la France. Certaines paroles appellent même notre pays à se mettre debout et à évangéliser le monde. Après enquête de la FFF, il s'est avéré que les paroles de cet hymne avaient été diffusées par le site internet "Chère Gospa" (voir le texte complet : ICI).

 

Le webmaster, RV, n'en est pas à son premier coup d'éclat. Il y a quelques semaines, une célèbre maison de haute couture avait déjà déposé une plainte contre lui suite à des propos "choquants" concernant les top-models. Mme Bachelot s'est dite profondément attristée par cette nouvelle affaire. Certains ministres demandent même que l'on fasse appel au Conseil Constitutionnel pour interdire définitivement la diffusion de cette version de "La Marseillaise" dans les lieux publics. Nous vous ferons connaître la décision des sages quand elle sera prise.

RV.

 

http://chere-gospa.over-blog.com/article-14911494.html

 

 

Affaire à suivre...

Ps : Il est évident que ce message est pure plaisanterie. Ceci est de l'humour que nous qualifierons de spirituel.

C'est le sourire de Dieu dont mon Ami R.V est le transmetteur.

Merci pour votre compréhension !

Très Fraternellement,

Bruno.

20:24 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'odyssée de la vie en images.

L'odyssée de la vie en images


Fécondation


Embryon

Tirées du célèbre documentaire "L'odyssée de la vie",

ces images de synthèse retracent les étapes

de la gestation d'un fœtus. 14 images

14:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Comment prier, si vous êtes rongé de soucis !


podcast

Bonne prière libératrice et salvatrice !

Votre Frère, Bruno.

13:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LE VIEIL OISEAU.

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Je suis déjà un vieil oiseau,
Avec un demi-siècle dans les ailes,
Je chante pourtant mes ritournelles,
Il est vrai que mes chants ne sonnent pas faux,
Je suis cet oiseau aux plumes d'arc-en-ciel,
Toutes les couleurs des hommes m'émerveillent,
Je déteste l'argent et préfère le vent,
Je suis un drôle d'oiseau au milieu des gens,
Je n'aime pas ce qu'ils aiment,
Eux détestent ce que j'aime,
Je vole toujours au-dessus des pensées,
Et souvent je me laisse planer,
Pour contempler les paysages,
Pour admirer tous les visages,
J'aime la vie qui murmure dans mon corps,
J'entends parfois les murmures de la mort,
Alors, j'écris je marche et je prie,
Pour oublier les cieux superficiels,
Pour ignorer vos existences irréelles,
Basées sur l'apparence et le pouvoir,
Les révérences et l'avoir,
Je suis un oiseau quinquagénaire,
Qui siffle toujours dans la Lumière,
Qui cherche sans cesse le Mystère,
Celui qu'il cherchait déjà à vingt ans,
Non pour passer le temps,
Mais vivre au cœur du firmament,
Et trouver l'Harmonie originelle,
Qui fleurit dans les êtres de Sagesse,
Et meurt dans d'illusoires sentiments,
Quand la raison cherche la Vérité frêle,
Et pourtant si pure et si belle,
Si douce et velouté comme une caresse,
Celle de Dieu qui ouvre les yeux,
Je suis un jeune oiseau de cinquante piges,
Qui saisit la négation de vos tristes valeurs,
Celles qui n'apportent que désespoir et pleurs,
Je suis un oiseau qui veut un chant nouveau,
Celui du Bonheur qui germe dans nos âmes,
Telle une lame d'Amour qui ne connaît point d'adieux,
Mais vit avec ferveur chaque jour dans l'Absolu de Dieu,
L'oraison, la contemplation, l'intimité ne peuvent être creuses,
Je suis un oiseau du Seigneur venu éclairer l'Humanité malheureuse.
Pour la rendre à jamais heureuse et savoureuse,
Telle est la mission qui me fut donnée pour vous enchanter,
Mettre de l'or dans vos existences boueuses,
Pour que vous connaissiez l'Amour parfait.
Celui qui embaumera vos années,
Et vous fera découvrir la joie d'être aimé,
Selon les desseins de l'Esprit qui répand son parfum sur nos Vies.
Bruno LEROY.

13:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |