12/12/2007
QUELLE IMAGE AVEZ-VOUS DE DIEU ?
10:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Balles de révolver ou graines de semence ?
05:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
11/12/2007
PAUVRES MAIS RICHES DE NOTRE FOI.
« Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples… » De telles paroles ne nous laissent pas indifférents. Avouons que lorsque nous entendons parler de prendre sur ses épaules un joug, notre première réaction est plutôt négative. Car comment comprendre cela autrement qu’en termes de poids et de charge que nous aurions à porter en plus d’une vie déjà bien remplie de maux et de peines.
Il est alors bon de revenir au début de la prise de parole du Seigneur dans notre péricope, sur laquelle nous passons peut-être souvent trop rapidement. Nous entendons que Jésus veut au contraire nous soulager du fardeau que nous portons pour venir nous reposer auprès de lui : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos ».
Il faudrait savoir… Nous inviter à prendre un joug sur nos épaules n’est-il pas en contradiction avec le fait de nous appeler à venir nous reposer près de lui ? Apparemment non, puisque Jésus ajoute lui-même : « car je suis doux et humble de cœur et vous trouverez le repos ».
Il s’agit en fait de bien comprendre ce que signifie prendre le joug de Jésus. Si l’on y regarde de plus près, un joug n’est pas un fardeau à proprement parler. En effet, le joug aide les bêtes attelées à tirer plus facilement leur charge. C’est bien là son but. Autrement dit, en nous proposant son joug, Jésus ne fait rien d’autre que nous offrir de l’aide pour porter notre fardeau.
A cela, il faut rajouter que cette assistance ne consiste pas seulement dans le joug mais dans le fait qu’un joug est toujours prévu pour deux. Et Jésus dit : « mon joug ». Il est donc celui qui y est attelé en premier et qui nous propose la place à son côté. Lorsque deux bêtes reliées par un joug tirent une charge, il y en a toujours une, plus robuste, qui marche légèrement en avant de l’autre. C’est précisément ce que fait Jésus avec chacun d’entre nous.
Jésus s’est lié à nous sous le joug de son humilité qui l’a conduit à prendre chair de notre chair, à se faire homme, pour nous sauver. Des hauteurs de son sanctuaire, le Seigneur s’est penché ; du ciel il a regardé la terre pour entendre la plainte des captifs et il s’est abaissé pour libérer ceux qui devaient mourir.
En échange du fardeau de la justification par les œuvres pour tenter de nous sauver par nous-mêmes, Jésus nous propose de prendre sur nous le joug de l’humilité, de la confiance en sa miséricorde, de l'abandon de tout notre être entre ses mains pour nous laisser sauver par lui : « Les jeunes gens se fatiguent, se lassent, et les athlètes s’effondrent, mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils prennent leur essor comme des aigles, ils courent sans se lasser, ils avancent sans se fatiguer » (Cf. 1ère lecture). C’est bien en accueillant au cœur de nos vies sa présence que nous trouverons le repos qu'il promet ; et la charge qui jusque là nous écrasait, nous paraîtra légère, car c'est lui qui la portera pour nous.
Mais on pourrait objecter : Pourquoi alors le Seigneur ne tire-t-il pas lui-même la charge à notre place, nous libérant une bonne fois pour toutes de notre fardeau ? Parce qu’il ne veut pas nous sauver sans nous. Son amour et son respect pour nous vont jusque là.
« Seigneur fais-nous la grâce d’oser nous présenter devant toi pauvres, misérables, nus, mais riches de notre seule foi et couverts de ta justice, toi en qui nous aurons mis toute notre espérance. »
Frère Elie.
20:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Découvrez les vidéos qui sont à la "Une" cette semaine.
Bonjour !
» Découvrez les vidéos qui sont à la "Une" cette semaine :
1) "Etes-vous prêt ?" c'est la question que nous pose le pasteur Christian Gagnieux dans ce nouvel enseignement.
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2) Son père est assassiné, il décide de pardonner le meurtrier ! Découvrez son histoire avec le Club 700.
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3) L'écrivain et oratrice Joyce Meyer nous encourage à changer dès aujourd'hui car il n'est jamais trop tard.
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4) Un entretien avec une mère qui parle de la toximanie de son fils.
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» Prochain événement diffusé en direct : Concert "spécial Noël" avec Antydot et Madison & Co, mardi 18 décembre 2007 à 20h.
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Ensemble pour découvrir et partager l'essentiel !
Sam pour l'équipe de Top TV
11:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Acceptez le nom que Dieu vous donne !
04:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
10/12/2007
ACTIONS DES PETITS FRÈRES DES PAUVRES.
« Ensemble vers les plus pauvres » est le projet associatif 2004-2009 qui définit les priorités que les petits frères des Pauvres se sont données pour aujourd’hui et pour demain. Il résulte d’une démarche participative et permet à tous les acteurs de s’interroger sur la pertinence des réponses qu’ils apportent.
L’allongement de la durée de la vie et l’individualisation de la société produisent des situations de plus en plus difficiles à vivre pour les personnes les plus pauvres, leurs familles et leurs entourages. Les détresses et les souffrances prennent des formes diverses selon les lieux et les moments.
Témoins de situations inacceptables qui appellent une réaction de toute la société, les petits frères des Pauvres veulent faire entendre ce que les personnes accompagnées, leurs entourages, les acteurs bénévoles et professionnels ont à dire. L’association veut promouvoir une société pour tous les âges et diffuser un message de fraternité. Les petits frères des Pauvres entendent donc plus que jamais stimuler l’action globale et locale, en France et en Europe, de chacun d’entre nous, individuellement mais aussi collectivement et ce, afin de :
- Lutter contre la paupérisation, la ghettoïsation, les discriminations
- Stimuler les liens entre générations, la citoyenneté des personnes âgées
- Développer les liens intra-générationnels
- Sensibiliser et mobiliser une société où le « poids » des aînés progresse
- Lutter contre les représentations négatives et stigmatisantes
- Développer un accompagnement qui se confronte aux multiples pauvretés rencontrées par les personnes les plus pauvres
- …
Pour en savoir plus : http://www.petitsfreres.asso.fr/Webmaster/savoirplus_historique.html
21:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
La communauté du salut.
« Que pensez-vous de ceci ? » Jésus nous invite à prendre position par rapport au comportement du propriétaire des brebis. Si nous répondons spontanément, nous nous étonnerons sans doute de la réaction impulsive de cet homme. Certes son souci de retrouver la brebis égarée est louable, mais sa décision n’expose-t-elle pas le reste du troupeau à tous les dangers qui rôdent « dans la montagne » où il l’abandonne ? La prudence élémentaire ne l’obligeait-elle pas à prendre le temps de rentrer le troupeau dans la bergerie avant de se lancer « à la recherche de la brebis égarée » ?
Après ce premier mouvement de surprise devant le comportement pour le moins paradoxal de cet homme, une lecture plus attentive nous aide cependant à entrer dans la logique de son choix.
Pour commencer, le récit ne dit pas qu’il est le « berger » du troupeau, mais son « propriétaire ». Nous sommes donc en droit de penser que lorsqu’il se met en quête de l’égarée, les quatre-vingt-dix-neuf autres brebis demeurent sous la vigilance attentive des bergers à qui le propriétaire a confié son troupeau. Cette interprétation cadre tout à fait avec le contexte du récit dans le premier Évangile. Alors que saint Luc propose cette parabole au chapitre 15 consacré à la miséricorde, saint Matthieu l’insert dans un enseignement portant sur la communauté des disciples (Mt 18, 1-35). Il vient d’insister sur la place centrale qui revient aux « petits » dans l’Église : « Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux » (Mt 18, 11). Suit immédiatement la péricope de ce jour. Le « petit » qui devient la « brebis égarée », représente donc le néophyte - le croyant « nouveau-né » - qu’il faut à tout prix préserver du « scandale » (Mt 18, 7), afin de ne pas provoquer sa chute (Mt 18, 6), ou son égarement. Et si par malheur « un de ces petits » était « entraîné au péché par le scandale » (Mt 18, 7), s’il s’égarait loin des chemins de l’Évangile en raison du contre-témoignage de ses aînés dans la foi, il faudrait sans tarder partir à sa recherche pour le retrouver et le ramener dans la communauté du salut. Car le Bon Berger s’est fait Agneau et s’est offert en sacrifice, pour racheter et « rassembler dans l’unité tous les enfants dispersés » de son Père (Jn 11, 52), « qui ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu ». Le verset qui suit immédiatement notre péricope confirme également cette interprétation, puisque Notre-Seigneur y explicite la procédure de réconciliation à mettre en œuvre pour ramener dans le droit chemin les frères égarés dans le péché.
Le propriétaire des brebis, c’est le Père, qui les confie à son Fils : « Elles étaient à toi, tu me les as données » (Jn 17, 6). Dès lors celui-ci peut agir comme si les brebis lui appartenaient ; en effet : « Ceux que tu m’as donnés sont à toi, et tout ce qui est à moi est à toi, comme tout ce qui est à toi est à moi » (Jn 17, 10). « L’homme qui possède les brebis » et qui, laissant son troupeau dans la montagne, part « à la recherche de la brebis égarée », c’est donc d’abord le Christ ; mais aussi tout disciple qui partage la préoccupation de Jésus pour les brebis que le Père lui confie. Le souci des « petits entraînés à la chute » ne se fait pas au détriment du reste de la communauté, pas plus que la recherche de la brebis égarée n’expose le troupeau à l’abandon : les responsables - les « bergers » - ont à assumer leur ministère au sein de leur communauté, tout en gardant le souci des brebis égarées. Tout responsable d’Église est en effet appelé à porter à la fois le souci personnel de l’Église locale qui lui est confiée, et la charge apostolique de l’annonce de la Bonne Nouvelle à tous les hommes - à commencer par ses frères dans la foi qui se sont éloignés des chemins de l’Évangile : « Allez donc ! De toutes les nations faites des disciples, baptisez-les au nom du Père, du Fils, et du Saint Esprit ; et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Mt 28, 20).
En raison de la solidarité qui unit les « membres de la famille de Dieu » (Ep 2, 20)), tous accompagnent par leur prière et leur supplication celui qui est allé chercher la brebis égarée ; ils partagent sa quête angoissée, et exultent avec lui lorsqu’elle s’est enfin laissée trouver, et consent à reprendre sa place parmi ses frères et sœurs dans la communauté du salut.
« Seigneur, “enlève mon cœur de pierre, et donne-moi un cœur de chair” (Ez 36, 26), compatissant et miséricordieux. Ne permets pas que je demeure indifférent devant les égarements de mes frères, mais que le désir brûlant de leur salut me fasse courir à leur recherche. Que l’Esprit Saint mette sur mes lèvres les paroles qui touchent leur cœur et leur permettent de découvrir que tu es un berger plein de tendresse, qui “cherche la brebis perdue et ramène l’égarée ; qui soigne celle qui est blessée et rend des forces à celle qui est faible ; qui garde et fais paître avec justice celle qui est grasse et vigoureuse” (Ez 34, 16-17). »
Père Joseph-Marie.
20:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Vous êtes le héros de quelqu'un !
04:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
09/12/2007
Dieu n'est jamais loin !
08:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
08/12/2007
L’esprit de Noël... partager la fête !
Depuis 1946 la tradition de Noël s’est ancrée dans l’action des petits frères des Pauvres, pour devenir aujourd’hui l’un des axes forts du travail mené tout au long de l’année.
Plus de 15 000 repas de réveillon, dont un tiers à domicile, sont servis par les petits frères des Pauvres. Tout est mis en œuvre pour ouvrir la fête au plus grand nombre, avec toujours cette recherche de fraternité, de convivialité et l’exigence de la qualité qui sont les « labels » de l’association.
Rien n’est laissé au hasard pour faire vivre la magie de Noël : recruter des centaines de bénévoles, ajuster les commandes pour les repas, veiller à ce que les réveillons organisés avec les partenaires soient animés de l’esprit « petits frères des Pauvres », solliciter et valoriser la participation des personnes accompagnées.
Si vous souhaitez vivre un Noël de partage avec les personnes isolées, devenez bénévole le temps d’un réveillon ! Et n’hésitez pas à inviter un ou plusieurs amis à partager cette expérience. Pour cela, vous pouvez leur envoyer gratuitement une vraie carte postale au dos de laquelle vous pourrez leur écrire un message personnel.
Attention cliquez sur la phrase soulignée plus haut. Merci. |
18:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SOLIDARITÉ. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |