22/01/2008
L'ABBÉ PIERRE NOUS PARLE ENCORE...!
Il me souvient de ce Prophète de Dieu. Cet Humain au service des plus meurtris avec cette spiritualité Franciscaine qui le tenait debout et Libre.
Contemplation-action étaient ses diptyques fondamentaux.
Il était l'Homme de l'Homme et surtout de Dieu dans l'éclatant éblouissement de Son Amour !
J'avais écrit cet article que la Revue PÈLERIN-MAGAZINE avait publié.
Bruno LEROY.
À la fin de sa vie, il aspirait pourtant profondément au repos : " Je vis dans l'impatience de la mort. Récemment, le médecin m'a dit : 'Il n'y a pas de raison que vous ne viviez pas encore plus vieux que M. Pinay.' Je suis reparti avec un cafard monstre : sans blague, il faut encore tirer la charrette pendant tout ce temps ! [...] Nombreux sont ceux qui vivent la mort comme une séparation. Oui, c'est une séparation pour nous, qui restons. Mais pour celui qui vient de mourir, il va connaître la rencontre la plus fantastique que l'on puisse imaginer : la rencontre avec Dieu ". C'est fait depuis un an : le rendez-vous était pour le 22 janvier 2007...
10:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
21/01/2008
LE SABBAT EST-IL FAIT POUR L'HOMME ?
« Le sabbat a été fait pour l’homme », pour qu’il puisse s’arracher au moins un jour par semaine, à la fascination du « faire », de l’efficacité, pour retrouver la joie simple de la relation gratuite aux autres, sous le regard du Dieu d’amour. Paradoxalement, c’est en se reposant que l’homme rejoint le comportement de Dieu : « Le septième jour, en effet, Dieu avait achevé l’œuvre qu’il avait faite. Il se reposa, le septième jour de toute l’œuvre qu’il avait faite. Et Dieu bénit le septième jour : il en fit un jour sacré parce que, ce jour-là, il s’était reposé de toute l’œuvre de la création qu’il avait faite » (Gn 2, 2-3). Un jour « sacré » c'est-à-dire un jour consacré à Dieu et au service de la charité ; un jour de réconciliation, de restauration de la communion dans l’amour. Et par le fait même : un jour de partage des biens de la terre, dans la joie et la paix.
La commensalité est par excellence le lieu de la célébration de l’amitié ; c’est pourquoi le repas familial a une place toute particulière au cœur du sabbat. La prière sur les offrandes prononcée par le prêtre au cours de l’Eucharistie, s’inspire de la bénédiction prononcée sur les aliments par le père de la famille juive : « Tu es béni, Seigneur, Dieu de l’univers, toi qui nous donne ce pain, fruit de la terre et du travail des hommes ». Nous rendons grâce à Dieu pour les dons qu’il nous fait à travers la fécondité de la nature et de nos efforts, et ainsi nous réorientons toute notre activité productrice de la semaine vers sa finalité véritable : le service de Dieu et sa louange.
Le sabbat atteint son but lorsqu’il débouche sur la communion de l’homme avec Dieu, qui l’a créé uniquement afin qu’il puisse entrer dans son repos, dans sa paix, sa joie et sa lumière. On comprend la mise au point de Jésus : « le sabbat est fait pour l’homme », pour que l’homme puisse atteindre sa finalité en Dieu. L’énoncé inverse - « l’homme est fait pour le sabbat » - trahit une religiosité formelle qui étouffe l’âme du précepte. Les « pains de l’offrande » n’étaient pas mangés par Dieu, mais par les prêtres qui les avaient offerts. Ce geste symbolique qui consistait à déposer des pains devant Dieu dans le Temple, était particulièrement significatif : l’homme reçoit du Seigneur ce dont il a besoin pour vivre ; les prêtres offrent à Dieu ces pains en signe de reconnaissance, après quoi ce sont eux qui les mangent, en tant que représentants du peuple - destinataire du don de Dieu.
Jésus cependant va plus loin encore lorsqu’il ajoute : « Le Fils de l’Homme est maître du sabbat ». L’Eucharistie révèle pleinement le sens de cette affirmation. Le prêtre offre le pain de l’offrande qui est pris sur les largesses de Dieu ; mais celui-ci ne nous le rend qu’après l’avoir transformé dans le Corps de son Fils : « Tu es bénis, Seigneur, Dieu de l’univers, toi qui nous donne ce pain, fruit de la terre et du travail des hommes ; nous te le présentons : il deviendra pour nous le Pain de la Vie ». Ce n’est plus simplement du pain que nous partageons dans l’action de grâce, au cours du repas convivial eucharistique dominical. Par notre communion à l’autel, nous devenons le Corps du Christ mort et ressuscité pour nous. Ce repas n’est plus simplement la préfiguration de la commensalité divine comme l’était le sabbat de la première Alliance. Il est actualisation du mystère pascal qui nous introduit réellement au « Festin de noces de l’Agneau », célébrées le premier jour de la semaine qui n’aura pas de fin.
Arrivé à ce point, nous devrions poursuivre notre méditation en relisant l’événement du jeudi saint. Au cours du seder - le repas du grand sabbat pascal - que Jésus célèbre avec ses disciples, nous découvrons que ce n’est pas l’homme qui offre à Dieu l’agneau de la Pâque, mais Dieu qui dans la personne de son Fils, nous offre « l’Agneau qui enlève le péché du monde » (Jn 1, 29) : « Prenez et mangez en tous : ceci est mon Corps, livré pour vous » (cf. 1 Co 11, 24). C’est ultimement dans la célébration de ce sabbat au cours duquel Jésus anticipe sa Passion, que Notre-Seigneur se révèle « Maître du sabbat », celui qui en révèle le sens et qui l’accomplit pour nous. C’est en effet par son sacrifice que nous sommes réconciliés avec Dieu et que nous pouvons entrer dans son repos.
« Seigneur Jésus, chaque fois que nous communions à ton Corps et à ton Sang, tu nous fais entrer dans le mystère de l’accomplissement du sabbat. Lorsque nous te mangeons, nous sommes incorporés en toi, notre Terre promise ; et tout en demeurant dans ce monde et dans ce temps qui passent, nous entrons déjà dans le repos éternel qui est notre patrie. Que cette perspective nourrisse notre espérance et nous donne de discerner les événements de notre vie présente à la lumière de cette Réalité à venir que nous pouvons déjà anticiper dans ce Banquet où toi, le Maître, tu te faits serviteur pour nous nourrir de ta vie. »
Père Joseph-Marie.
17:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Sous les pavés, la Gloire…
Sous les pavés, la Gloire… | |
Le samedi soir, avec les autres séminaristes, j’allais rencontrer les jeunes et évangéliser dans les rues des quartiers chauds de la grande ville voisine. |
14:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans TÉMOIGNAGES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Neuvaine à Notre-Dame de Lourdes.
Neuvaine du 3 au 11 février 2008
* Comment dire cette neuvaine ?
Chaque jour : une dizaine de chapelet et trois fois les invocations "Notre-Dame de Lourdes, priez pour nous", "Sainte Bernadette, priez pour nous".
- Lire ensuite la prière ci-dessous.
- Messe et communion de préférence le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes
* PRIONS :
Notre-Dame de Lourdes le coeur plein de confiance nous nous tournons vers toi.
Notre prière en ce jour rejoint celle de tous les pèlerins qui de jour et de nuit marchent vers toi. Ils contemplent ton visage de lumière, près des eaux vives de la source de Massabielle.
Ils te chantent dans le grand fleuve de lumière qui le soir se répand dans la nuit. Mère de toute grâce, femme de l'espérance, aube de l'Evangile, guide-nous à la suite de ton fils sur le chemin de l'Evangile !
Tu connais nos marches de nuit, le poids de nos peines, et ce trésor d'espérance qui veille en nous, attendant l'aurore. Garde-nous comme toi disponibles à Dieu chaque jour de notre vie ! Amen !
* Que Dieu vous bénisse !
Thierry Fourchaud
Cité de l'Immaculée
BP24 - 53170 Saint Denis du Maine (France)
- Sur le site : www.labonnenouvelle.fr écoutez le témoignage en ligne !
* Si vous aimez la Vierge Marie et que vous souhaitez nous encourager, vous pouvez adresser vos offrandes à : www.mariereine.com puis allez dans la case en bas à droite "faire une offrande"
* Rejoignez le réseau des enfants de Marie
Abonnez-vous à la lettre (gratuit) :
- Site : www.mariereine.com
14:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Êtes-vous en train de laver vos filets ?
13:53 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
20/01/2008
NI PAUVRE NI SOUMIS !
13:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Semaine de prière pour l'unité des chrétiens (centième anniversaire).
« Priez sans cesse » - cet appel de l’apôtre Paul dans sa première épître aux Thessaloniciens est le thème de la Semaine de 2008, qui souligne que « la prière fait partie intégrante de la vie des chrétiens, notamment lorsqu’ils cherchent à manifester l’unité qui leur est donnée en Christ ».
Toi qui en tout temps et à tout heure,
au ciel et sur la terre,
es adoré et glorifié,
ô Christ Dieu, le longanime,
plein de miséricorde et de compassion,
Toi qui aimes les justes et qui as pitié des pécheurs,
Toi qui appelles tous les êtres au salut
par la promesse des biens à venir,
Toi Seigneur, reçois aussi nos prières en cette heure
et dirige nos vies selon tes commandements.
Sanctifie nos âmes,
purifie nos corps,
redresse nos raisonnements,
purifie nos pensées,
et délivre-nous de toute affliction, malheur et tourment.
Entoure-nous de tes saints anges comme d'un rempart
afin que, gardés et conduits par eux,
nous parvenions à l'unité de la foi
et à la connaissance de ta gloire inaccessible,
car Tu es béni dans les siècles des siècles. Amen
(Liturgie quotidienne orthodoxe)
13:08 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans VIVRE L'ÉVANGILE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Grâce/faveur divine.
10:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
18/01/2008
Ce que le pape n'a pas pu dire.
Une vague de désapprobation a traversé l'Italie à l'annonce du refus de recevoir le pape. Le monde politique et culturel, de droite comme de gauche, a condamné ce geste. Le Cardinal Ruini expliquait aujourd'hui dans le Corriere della Sera ce que ce geste impliquait : refuser de donner la parole à une personne parce qu'elle ne pense pas comme ses censeurs.
Le texte du Pape étudie la distinction entre foi et raison, soulignant sa propre mission « de maintenir haut le goût de la vérité, d'inviter la raison à se remettre à la recherche du vrai, du bien et de Dieu, de l'encourager à suivre les éclairages qui scandent l'histoire de la foi chrétienne ».
Hier le Cardinal Secrétaire d'Etat a fait parvenir une lettre au Recteur de l'Université La Sapienza de Rome, exposant les raisons pour lesquelles le Saint-Père a renoncé à présider aujourd'hui la cérémonie d'ouverture de l'année académique: "Les conditions pour son déroulement serein n'étant plus réunies par la faute d'un groupe restreint d'enseignants et d'étudiants, nous avons considéré opportun de renoncer à la visite du Saint-Père, effaçant ainsi tout prétexte à de déplorables désordres... Vue l'attente manifestée par une large majorité universitaire face à une intervention de haute tenue culturelle, pouvant encourager en chacun la recherche de la vérité, le Pape a décidé de communiquer le texte" qu'il devait prononcer.
Pourquoi le pape parle dans une Université
Dans ce texte, lu ce matin à par le président de l'université, Benoît XVI évoque son intervention à l'Université de Ratisbonne, lors de son voyage de septembre 2006 en Allemagne: "Certes, je me suis exprimé en tant que Pape, mais c'est d'abord l'ancien professeur qui a parlé dans son ancienne université. Aujourd'hui, j'ai été invité en tant qu'Evêque de Rome à La Sapienza, jadis université pontificale. C'est donc en Evêque de Rome que je m'exprimerai... dans une université publique, jouissant d'une autonomie qui est en est la base, d'un principe fondateur qui constitue la nature même universitaire, exclusivement liée à l'autorité de la vérité".
Rappelant que le Pape est avant tout l'évêque de Rome, Benoît XVI explique "qu'en vertu de la succession apostolique depuis Pierre" il assume "une responsabilité épiscopale étendue à l'Eglise catholique toute entière... Or, grande ou petite qu'elle soit, la communauté dont a charge l'évêque vit dans le monde, partage ses conditions et ses péripéties. Son cheminement propre et son discours ont inévitablement un impact sur le reste de la communauté humaine".
Le Pape s'exprime en "représentant d'une communauté porteuse de savoir et d'expérience éthique, qui sont importantes pour l'humanité toute entière. Ainsi s'exprime-t-il comme représentant qu'une raison morale".
Ensuite le Pape pose la question de savoir ce qu'est l'université, sa mission.
« Son origine réelle et profonde réside dans l'appétit de connaissance caractérisant l'homme, qui veut tout savoir de ce qui l'entoure, qui cherche la vérité en tout... Mais la vérité n'est pas seulement théorie... Elle est beaucoup plus que le savoir. La finalité de cette connaissance de la vérité est de connaître le bien... Mais quel est ce bien qui nous rend vrais? La vérité nous rend bons et la bonté est vraie. C'est cet optimisme qui vit dans la foi chrétienne car elle a reçu la vision du Logos, de la Raison créatrice qui, par l'Incarnation, s'est manifestée comme Bien et Bonté à la fois ». Le Saint-Père a alors cité les universités médiévales où agissaient côte à côte la philosophie et la théologie, dans la recherche de l'homme total, sans déroger au primat de la vérité. Benoît XVI a cité ici le Concile de Chalcédoine qui affirma que "la philosophie et la théologie doivent inter-agir sans confusion ni divorce".
Philosophie et théologie : le rapport entre Raison et Foi.
"Sans confusion signifie que chaque discipline doit conserver son identité, la philosophie demeurant une recherche libre et responsable de la Raison", tandis que "la Théologie doit continuer à s'en tenir à un trésor de connaissance qu'elle n'a pas elle-même élaboré...et qui n'étant pas exploitable par la seule réflexion, alimente sans cesse la pensée qui progresse". Quant à sans séparation, cela signifie, a dit le Pape, que "la philosophie ne recommence jamais de manière isolée chaque fois qu'un philosophe se trouve à son propre point zéro. Elle prend place dans le grand dialogue de la sagesse historique...sans devoir se fermer à ce que les religions, et la foi chrétienne en particulier, ont reçu et donné à l'humanité en matière de clefs".
"De fait, une grande part de ce que dit théologie ne peut être assimilé que dans la foi, ne pouvant donc apparaître comme une obligation pour qui reste inaccessible à la foi". Il est également vrai "que le message de la foi chrétienne est...une force purificatrice de la raison...un encouragement à persévérer dans la vérité, avec une force qui s'oppose à toute pression de pouvoir comme à tout intérêt".
Puis le Saint-Père a évoqué notre société dans laquelle "se sont ouvertes de nouvelles dimensions du savoir", mises en valeur par l'université dans le champ des sciences naturelles et des sciences humaines. Parallèlement, on a heureusement assisté "à la reconnaissance des droits et de la dignité de l'homme", sans que le chemin de l'homme puisse se considérer accompli. On se trouve "devant le danger de tomber dans une déshumanisation qui n'est jamais vraiment écarté... Pour ne parler que de lui, le danger pour le monde occidental est que l'ampleur de son savoir et de son pouvoir l'emporte sur la question de la vérité. Cela signifierait aussi que la raison succombe à la fin à la pression des intérêts, à l'attraction de l'utilité, considérés comme critères ultimes".
"Il y a le danger de voir une philosophie, démissionnant de ses responsabilités réelles, se transformer en positivisme. Et celui pour la théologie et sa mission d'éclairage de la raison de se réduire à la sphère privée de tel ou tel groupe quantitatif".
Pour conclure, Benoît XVI s'est demandé ce que le Pape devrait dire ou faire dans une université : "Il est certain qu'il ne doit pas chercher à imposer autoritairement la foi à autrui. La foi ne peut être proposée que dans la liberté. Au-delà de son ministère de Pasteur de l'Église, et en vertu de la nature spécifique de ce ministère, sa mission est de maintenir haute le goût de la vérité, d'inviter la raison à se remettre à la recherche du vrai, du bien et de Dieu, d'encourager la raison à suivre les éclairages qui scandent l'histoire de la foi chrétienne".
http://www.opusdei.fr/art.php?p=26171
16:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Prière d'une mère.
13:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |