28/11/2008
L'esprit de l'automne en 40 photos.
En forêt, à la campagne ou en montagne, c'est à cette période que la nature offre le plus beau et le plus coloré des spectacles. En images |
10:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
24/11/2008
J'AI DEMANDÉ...
21:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans POÉSIE DE L'INSTANT. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
La dimension intérieure doit être protégée.
Le porte-parole du Saint-Siège sur l’importance de la prière à l’heure d’Internet
ROME, Lundi 24 novembre 2008 (ZENIT.org) - A l'heure des téléphones portables et d'Internet, le porte-parole du Saint-Siège explique qu'une vie de prière et de contemplation est encore nécessaire.
Le père Federico Lombardi, S.J., directeur du Bureau de presse du Saint-Siège, le souligne dans son éditorial du dernier numéro d'Octava Dies, l'hebdomadaire du Centro Televisivo Vaticano, dont il est aussi le directeur.
« Il existe une dimension intérieure et spirituelle qui doit être protégée et nourrie, si l'on ne veut pas devenir stérile, finir par se dessécher, voire même mourir », prévient le père Lombardi.
« La réflexion, la méditation, la contemplation, sont nécessaires comme l'air que l'on respire. Les espaces de silence, extérieurs mais surtout intérieurs, en sont la prémisse et une condition indispensable ».
La réflexion du père Lombardi coïncide avec la Journée « Pro Orantibus », pour les religieux et religieuses qui consacrent leur vie à la vie contemplative et à la prière, célébrée vendredi dernier.
« A l'époque du téléphone portable et d'Internet il est probablement plus difficile qu'avant de protéger le silence et de nourrir cette dimension intérieure de la vie, admet-il. Nous en sentons la forte nostalgie, mais c'est difficile... difficile mais nécessaire ».
« Pour les croyants, cette dimension permet de développer la prière, le dialogue avec Dieu, la vie spirituelle, qui est même plus importante que la vie physique. Jésus nous a dit d'avoir beaucoup plus peur de celui qui nous ferait perdre notre âme que de celui qui pourrait tuer notre corps ».
« Ce qui vaut pour chaque individu, vaut pour la communauté de l'Eglise, et cela vaut aussi pour l'humanité. Si pour chacun de nous il est essentiel de savoir conserver le dialogue avec Dieu dans la vie quotidienne, pour l'Eglise il est fondamental d'avoir en son sein le signe et la réalité de la vie consacrée à la contemplation et à la prière ; et il est fondamental pour l'humanité de savoir qu'il existe des ‘phares' de référence, sous les traits de sages et maîtres de l'esprit ».
Dans le cas contraire, déclare-t-il « on risque de perdre son âme. Un risque grave que l'on court aujourd'hui, et qui serait une disgrâce irréparable, la pire des disgrâces ».
La Journée Pro Orantibus « nous invite à redoubler d'efforts pour que cela n'arrive pas » a conclu le père Lombardi.
21:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
L’ARTISTE SUBLIME SA VIE.
19:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
21/11/2008
Le véritable ennemi de la santé est le désespoir.
Entretien avec C. Bellieni, médecin et membre de l'Académie pontificale pour la vie
ROME, Vendredi 21 novembre 2008 (ZENIT.org) - Qu'est-ce que la santé ? Pourquoi une personne invalide ou atteinte de maladie incurable a parfois des réactions plus positives qu'une personne en bonne santé ? Comment le médecin doit-il se comporter face à la maladie ?
C'est à ces questions et à d'autres encore que le professeur Carlo Bellieni, directeur du Département de thérapie intensive néonatale à la Polyclinique universitaire « Le Scotte » de Sienne (Italie), et membre de l'Académie pontificale pour la vie, a tenté de répondre dans un entretien à ZENIT.
Le 19 novembre dernier, dans un éditorial publié par « L'Osservatore Romano », Carlo Bellieni estimait que la définition donnée au mot ‘santé' par l'Organisation Mondiale de la Santé, à savoir que « la santé est un état de bien-être total, physique, mental et social », a fini par devenir bancale et insatisfaisante.
« Comme on le comprend bien, expliquait-il, cette définition risque de glisser dans une pure utopie, étant donné que personne ne peut se targuer d'avoir un tel niveau de bien-être, mais on risque aussi que tout état de bien-être non total finisse par être considéré comme une maladie. Cette définition porte à une série de conséquences dont nous payons encore aujourd'hui le prix ».
Parmi ces conséquences, Carlo Bellini cite l'apparition d'un marché des maladies, « la course à une véritable création de ‘nouvelles maladies' pour vendre de nouveaux médicaments » ; la médicalisation du désir - selon laquelle « si tout peut devenir maladie, le médecin peut être appelé à satisfaire des demandes qu'il ne partage pas mais qui peuvent en plus nuire à la santé » ; et le découragement de tant de malades en quête d'une ‘vraie santé', vu que la vraie santé est un « bien-être qui doit être total ».
ZENIT - Quelle approche positive et constructive peut-on donner au mot « santé » ?
C. Bellieni - Pour répondre essayons de penser à ce que nous éprouvons quand nous ne jouissons pas d'une bonne santé, que nous n'allons pas bien. Nous répondrions probablement que nous ne nous sentons pas bien quand nous sommes malades ; or nous savons tous que certaines maladies peuvent être présentes sans que nous le sachions, ou qu'il y a des personnes, porteuses d'un grave handicap qui sont d'excellents ténors ou jazzistes, ou de grands sportifs. Il faut donc chercher une autre manière de définir la santé.
Le plus simple serait peut-être d'essayer de comprendre que nous ne nous sentons « pas bien » dès l'instant où nous n'arrivons pas à faire ce que d'autres comme nous (même âge, même sexe, par exemple), parviennent à faire, ou alors quand nous ne parvenons plus à faire ce que nous n'avions aucun mal à faire jusqu'ici. En somme : le mot santé est lié au mot désir. La santé, c'est la possibilité que nos désirs se réalisent.
ZENIT - Tous nos désirs ?
C. Bellieni - Bien entendu pas les désirs qui sortent de l'ordinaire comme par exemple aller sur la lune (à moins que nous ne soyons des astronautes), ou courir un 100 mètres en 10 secondes (à moins que nous ne soyons en compétition pour une médaille olympique), mais les désirs quotidiens, ordinaires, de justice, de beauté et de paix ; et les désirs personnels, de faire ce que nous aimons faire. Bien sûr les désirs d'un enfant ne sont pas les mêmes que ceux d'une personne âgée, ceux d'un malade grave seront différents de celui qui n'a pas sa maladie ; mais la substance ne varie pas : la santé est la réalisation des désirs « propres » à l'âge ou à l'état de chaque individu. Autrement, on tomberait dans cette « médecine des désirs », qu'il serait d'ailleurs plus juste d'appeler « médecine des prétentions ».
ZENIT - Et pour un malade ?
C. Bellieni - Le malade, comme tout un chacun, a ses désirs. Le problème naît quand sa pathologie (parfois sans solution) l'empêche de voir ce qui est extérieur à son état. Là on assiste à un réel manque de santé : la perte du désir, assombrie par la pathologie. C'est pourquoi tout doit être fait pour conjurer la maladie, pour que le désir de la personne ne soit pas assombri. Comment nier que les athlètes invalides, par exemple ceux que nous avons vus aux Jeux paralympiques, accomplissent des gestes sportifs d'une qualité extraordinaire, signe, paradoxalement, d'une parfaite santé, d'un désir sain ? Ou que certains artistes très célèbres, malgré leurs handicaps, composent et chantent d'une manière si enviable aux yeux de tant de personnes dites « saines » ?
ZENIT - Mais certaines maladies sont extrêmement graves...
C. Bellieni - C'est vrai, mais c'est vrai aussi que tant de personnes très malades sont de beaux exemples d'espérance et de sérénité. Comment est-ce possible ? En pensant peut-être que la pire maladie ne peut avoir le dernier mot . Ce qui ne signifie pas sous-estimer les soins (que nous sommes encore plus tenus à fournir), mais valoriser la personne.
ZENIT - Donc la maladie ne peut être un obstacle absolu à la santé ?
C. Bellieni - Le penser serait ôter l'espérance à tant de malades. Au fond, le contraire de « santé » n'est pas la maladie, mais le désespoir, la perte du désir. La maladie est un obstacle à la santé dans la mesure où elle bloque la voie à la réalisation des désirs. C'est pourquoi elle doit être conjurée avec toutes les armes de la médecine et de la volonté. Mais le véritable ennemi de la santé est la perte du désir, la perte de l'espérance, le désespoir.
C'est ça le véritable ennemi dont les maladies ne sont que des antichambres. C'est pourquoi le mot d'ordre est « ne jamais abandonner » le malade, que ce soit au plan humain pour valoriser toutes ses capacités, qu'au plan médical (tant que la médecine a une possibilité d'être utile) : la médecine doit progresser et la société doit faire tous les efforts en son pouvoir pour rendre ce progrès accessible à tous et le plus rapidement possible.
Antonio Gaspari.
21:42 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Si Dieu existe vraiment, le non croyant a tout perdu.
Si Dieu existe vraiment, le non croyant a tout perdu, déclare le P. Cantalamessa
Commentaire de l’évangile du 23 novembre, sur le jugement dernier
ROME, Vendredi 21 novembre 2008 (ZENIT.org) - Nous publions ci-dessous le commentaire de l'Evangile du dimanche 23 novembre proposé par le père Raniero Cantalamessa OFM Cap, prédicateur de la Maison pontificale.
Evangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (25, 31-46)
Jésus parlait à ses disciples de sa venue : « Quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres : il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche.
Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : 'Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde. Car j'avais faim, et vous m'avez donné à manger ; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli ; j'étais nu, et vous m'avez habillé ; j'étais malade, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi !'
Alors les justes lui répondront : 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu...? tu avais donc faim, et nous t'avons nourri ? tu avais soif, et nous t'avons donné à boire ? tu étais un étranger, et nous t'avons accueilli ? tu étais nu, et nous t'avons habillé ? tu étais malade ou en prison... Quand sommes-nous venus jusqu'à toi ?'
Et le Roi leur répondra : 'Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces petits qui sont mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait.'
Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche : 'Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges. Car j'avais faim, et vous ne m'avez pas donné à manger ; j'avais soif, et vous ne m'avez pas donné à boire ; j'étais un étranger, et vous ne m'avez pas accueilli ; j'étais nu, et vous ne m'avez pas habillé ; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité.'
Alors ils répondront, eux aussi : 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?'
Il leur répondra : 'Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l'avez pas fait à l'un de ces petits, à moi non plus vous ne l'avez pas fait.'
Et ils s'en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »
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Toutes les nations seront rassemblées devant lui
L'Evangile du dernier dimanche de l'année liturgique, solennité du Christ Roi, nous fait assister à l'acte conclusif de l'histoire humaine : le jugement dernier. « Quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres : il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche ».
Le premier message contenu dans cet évangile n'est pas la manière dont se déroule le jugement ou son résultat, mais le fait qu'il y aura un jugement, que le monde ne vient pas du hasard et ne finira pas au hasard. Il a commencé par une parole : « Que la lumière... Faisons l'homme » et finira par une parole : « Venez, les bénis...Allez-vous-en loin de moi, maudits ». Au début et à la fin du monde, il y a la décision d'un esprit intelligent et d'une volonté souveraine.
Ce début du millénaire est caractérisé par une discussion animée sur l'évolutionnisme et le créationnisme. En résumé, la dispute oppose ceux qui, se réclamant - parfois à tort - de Darwin, croient que le monde est le fruit d'une évolution aveugle, dominée par la sélection des espèces et ceux qui, tout en admettant une évolution, voient Dieu à l'œuvre dans le processus évolutif.
Il y a quelques jours s'est déroulée une session plénière de l'Académie pontificale des sciences, sur le thème : « Vues scientifiques autour de l'évolution de l'univers et de la vie », avec la participation des plus grands scientifiques mondiaux, croyants et non croyants, dont quelques Prix Nobel. Pour l'émission que j'anime sur Rai Uno j'ai interviewé l'un des scientifiques présents, le professeur Francis Collins, chef de l'équipe des chercheurs qui a conduit à la découverte du génome humain. Je lui ai demandé : « Si l'évolution est vraie, reste-t-il encore une place pour Dieu ? » Voici sa réponse : « Darwin avait raison lorsqu'il a formulé sa théorie selon laquelle nous descendons d'un ancêtre commun et selon laquelle il y a eu des changements progressifs sur de longues périodes, mais ceci est l'aspect mécanique expliquant comment la vie est arrivée à former cet extraordinaire panorama de diversité. Ce n'est pas une réponse à pourquoi il y a la vie. Il y a des aspects de l'humanité qui ne sont pas faciles à expliquer tels que notre sens moral, la connaissance du bien et du mal qui nous conduit parfois à faire des sacrifices qui ne sont pas dictés par les lois de l'évolution qui nous inciteraient à nous préserver à tout prix. Ceci n'est pas une preuve, mais n'est-ce pas une indication que Dieu existe ? »
J'ai aussi demandé au professeur Collins s'il avait d'abord cru en Dieu ou à Jésus Christ. Il m'a répondu : « Jusqu'à l'âge de 25 ans, j'étais athée. Je n'avais aucune préparation religieuse. J'étais un scientifique qui réduisait presque tout à des équations et des lois de physique. Mais en tant que médecin, j'ai commencé à voir les gens qui devaient affronter le problème de la vie et de la mort, et cela m'a fait pensé que mon athéisme n'était pas une idée enracinée. J'ai commencé à lire des textes sur les argumentations rationnelles de la foi que je ne connaissais pas. Je suis tout d'abord arrivé à la conviction que l'athéisme était l'alternative la moins acceptable et je suis progressivement arrivé à la conclusion qu'il devait exister un Dieu qui avait créé tout cela, mais je ne savais pas comment était ce Dieu. Cela m'a conduit à mener des recherches pour découvrir la nature de Dieu et je l'ai trouvée dans la Bible et dans la personne de Jésus. Au bout de deux ans de recherches j'ai compris que ce n'était plus raisonnable de continuer à résister et je suis devenu un disciple de Jésus ».
Un des grands défenseurs de l'évolutionnisme athée aujourd'hui est l'Anglais Richard Dawkins, auteur du libre « God Delusion » (L'illusion de Dieu). Il fait la promotion d'une campagne publicitaire qui se propose de mettre sur les bus des villes l'inscription suivante : « Dieu n'existe probablement pas : cesse de t'en faire et profite de la vie » (There's probably no God. Now stop worrying and enjoy life). « Probablement ». Il n'est donc pas complètement exclu qu'il puisse exister ! Si Dieu n'existe pas, le croyant n'a pratiquement rien perdu. En revanche, s'il existe, le non croyant a tout perdu.
Je me mets à la place d'un parent qui a un enfant porteur de handicap, autiste ou gravement malade, d'un immigré qui a fui la faim ou les horreurs de la guerre, d'un ouvrier qui a perdu son travail, d'un agriculteur expulsé de ses terres... Je me demande comment il réagirait devant cette annonce : « Dieu n'existe probablement pas : cesse de t'en faire et profite de la vie ! ».
L'existence du mal et de l'injustice dans le monde est certes un mystère et un scandale mais sans la foi et sans un jugement dernier, le mal et l'injustice apparaissent infiniment plus absurdes et plus tragiques encore. Au fil des millénaires de vie sur la terre l'homme s'est habitué à tout ; il s'est adapté à tous les climats, il s'est immunisé contre toutes les maladies. Il y a une chose à laquelle il ne s'est jamais habitué : l'injustice. Il continue à la ressentir comme une chose intolérable. Et c'est à cette soif de justice que répondra le jugement dernier.
Ce jugement ne sera pas voulu seulement par Dieu mais, paradoxalement, par les hommes aussi, même par les impies. Le poète Paul Claudel a écrit qu'au jour du jugement dernier il n'y aura pas seulement le Juge qui descendra du ciel mais toute la terre qui se précipitera à sa rencontre.
La fête du Christ Roi, avec l'évangile du jugement dernier, répond à l'espérance humaine la plus universelle. Elle nous assure que l'injustice et le mal n'auront pas le dernier mot et en même temps elle nous exhorte à vivre de telle manière que le jugement ne soit pas pour nous un jugement de condamnation mais de salut et que nous puissions être de ceux à qui le Christ dira : « Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde ».
21:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
DIEU EST AMOUR.
21:22 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans TEXTES FONDATEURS DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
COMPENDIUM DE LA DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE.
COMPENDIUM DE LA DOCTRINE SOCIALE.pdf
Grâce à sa spiritualité, l'homme dépasse la totalité des choses et pénètre dans la structure la plus profonde de la réalité.
21:22 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans TEXTES FONDATEURS DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Profil de personnalité du fondamentaliste.
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PRIÈRES POUR LA PAIX.
20:04 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |