08/06/2010
Un peu de flexibilité !
“Soyez les premiers à honorer les autres.” Romains 12.10
Avant de considérer ce que signifie accepter un compromis honnête, soyons clairs sur ce que nous devons refuser ! Nous ne devons jamais compromettre notre foi, notre personnalité, ni nous accommoder de la médiocrité sous prétexte que nous avons peur des critiques ou parce que nous sommes trop impatients. Accepter un compromis honnête c’est apprendre à négocier un résultat heureux pour chacun d’entre nous. Il est beaucoup plus facile de rejeter l’autre en disant qu’il a tort, et sans prendre le temps d’essayer de comprendre son point de vue. Pourtant il est essentiel de mettre de côté son amour propre et d’essayer de se mettre à sa place pour ressentir les sentiments qui peuvent être les siens. Si notre personnalité et nos opinions sont trop fortes, nous risquons de nous aliéner ceux que nous voulons toucher ou dont nous avons le plus besoin. Et nous risquons d’en souffrir longtemps.
David écouta l’appel d’Abigaïl à la clémence et, ce faisant, évita de tomber dans le piège de sa propre colère et de tuer le mari de celle-ci qui l’avait gravement insulté. Paul n’acceptait aucun compromis en ce qui concernait sa foi et la vérité de l’Evangile. Par contre il changea d’opinion vis-à-vis de Jean-Marc et lui donna une seconde chance. Prêtez attention aux deux versets suivants, surtout si vous avez tendance à vous montrer dur envers les autres :
1- “Quant à l'affection fraternelle, soyez pleins de tendresse les uns pour les autres. Soyez les premiers à honorer les autres” (Romains 12.10).
2- “Soyez en paix entre vous... réconfortez ceux qui sont abattus, soutenez les faibles, soyez patients envers tous” (1 Thessaloniciens 5.13-15). En d’autres termes, faites preuve d’un peu plus de flexibilité et de compréhension envers vos frères et vos soeurs !
Bob Gass.
11:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer |
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UN CHEMIN VERS LA LIBERTÉ...
10:57 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite | Imprimer |
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UN PEUPLE DE PROPHÈTES.

Et puis, se taire aussi pour écouter l’autre, lui permettre d’exister et d’occuper sa place. Silence qui favorise le dialogue et rend possible l’échange, cette mutuelle fécondation des idées, indispensable aliment de la réflexion, du progrès de la pensée et du comportement, si étrangers pour ceux qui se contentent de vivre par procuration au rythme de musiques, de chants, de bruits sans contenu, étourdissants comme une drogue.
Mais tout silence n’est pas d’or. Peu s’en faut. Il est même des silences coupables. Celui des chiens muets, du veilleur enfermé dans sa tour d’ivoire, qui se tait et ne dénonce pas, des pleutres qui n’ont rien entendu parce qu’ils ne veulent pas d’histoires. Courtisans serviles, carriéristes alignés, pharisiens légalistes, responsables timorés, pantins dans la cour des grands, à chacun son silence. Silence diplomatique des chancelleries, silence combinard des politiciens, silence dévot de Tartuffe, silence conformiste des médias, silences troublés par le cri des pauvres et des petits, les gémissements de la nature dévastée, la détresse des victimes des modes et de l’argent facile, la supplication de ceux et celles qui plient sous des jougs intolérables.
Si certains silences du passé rattrapent l’Église, si des clercs, plus friands de promotion que de justice, se taisent, il ne manque pas, aujourd’hui, d’hommes et de femmes qui, inspirés par leur foi, parlent haut et fort pour protester et condamner l’injustice et le mensonge, à l’extérieur comme à l’intérieur des Églises, sans se laisser intimider par le dogmatisme et les menaces de ceux qui détiennent le pouvoir. On cite volontiers les plus célèbres, Mgr Romero, Helder Camara, Martin Luther King, Dorothee Sölle, Pedro Arrupe, Samuel Ruiz, l’abbé Pierre, Desmond Tutu, Pius Ncube, l’âme de la résistance contre le président Mugabe, les théologiens de la libération, les moines de Tibhirine, les 47 jésuites assassinés entre 1973 et 2006. Derrière eux, se dressent un peu partout des chrétiens, évêques, prêtres, laïques, tous grades confondus, qui, avec courage et liberté, parlent au nom des sans-voix. La guerre en Irak, les dictatures de droite et de gauche, le néolibéralisme, l’économie de marché, la folie consumériste, les structures d’injustice, l’exclusion sociale, les réfugiés, la situation de la femme, l’exploitation des enfants, les magouilles des chefs d’États véreux sont dénoncés sans répit et portés devant Dieu par la prière des contemplatifs.
Face au raidissement dogmatique qui les inquiète et au retour d’un cléricalisme plus prompt à brandir le droit canon que l’Évangile, nombreux sont ceux et celles qui se demandent où se cache aujourd’hui l’Église de Jésus-Christ. Qu’ils regardent au-delà des murs des sacristies vers le vaste monde ! Ils découvriront un peuple de prophètes, qui sauvent l’honneur du christianisme en recueillant avec courage et liberté l’héritage du prophète de Nazareth. Ils trouveront la vraie Église et ils ne désespéreront plus de l’Évangile.
10:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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PASSEURS DE SENS.

10:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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06/06/2010
C’est pour nous inviter au bonheur.
Imaginez que vous arriviez à un carrefour, où vous attendent une multitude de panneaux indicateurs : « richesse », « gloire », « honneur », « pouvoir », etc. Puis vous découvrez un tout petit panneau indiquant la direction du « bonheur ». Lequel suivez-vous ? Je suis sûr que sans l’ombre d’une hésitation nous choisissons tous ce dernier, car à travers toutes les autres propositions, c’est bien le bonheur que nous cherchons. Nous voilà donc partis sur la route du bonheur ; comme nous pressentons que le chemin sera long, nous avons pris un sac à dos et deux valises bien remplies. Seulement comme la montée est raide, nous nous voyons bientôt obligés de sacrifier une partie de notre bagage, puis une autre : nos richesses, notre soif de jouissance, notre volonté de puissance, notre vaine gloire, nos jalousies, nos rancœurs, … Arrivés à ce point, nous hésitons : ne nous sommes-nous pas trompés de r oute ? Où donc ce dépouillement va-t-il nous conduire ? Et d’abord : qui donc a établi cet itinéraire ? Il est signé « Jésus de Nazareth » : est-il digne de confiance ? Qui d’entre nous ne s’est pas posé ces questions devant les exigences de l’Evangile et en particulier du Sermon sur la montagne ? Jésus ne nous en fera pas le reproche lui qui nous invite à nous assoir pour évaluer si nous sommes capables d’aller jusqu’au bout du voyage (Lc 14, 28-32). Le seul motif qui nous encourage à persévérer, est que Notre-Seigneur est passé par ce chemin avant nous : il a ouvert la voie, et au matin de Pâques il a atteint ce pays du bonheur auquel nous aspirons. Si nous croyons vraiment en lui, nous devons logiquement faire confiance à sa Parole et prendre avec courage la route sur laquelle il nous précède.
Il n’est pas indifférent que la première parole du premier Psaume, comme la parole qui revient neuf fois dans le Sermon sur la montagne, soit « Heureux ». Lorsque Dieu s’adresse à nous, c’est pour nous inviter au bonheur. Mais depuis que nous avons fait notre propre malheur en écoutant la voix du Serpent, le bonheur n’est plus accessible qu’au terme d’un parcours paradoxal qui passe par le dépouillement des fausses richesses et des plaisirs aliénants. Cet itinéraire est à ce point contraire à nos aspirations « naturelles », que nous ne pourrons le parcourir qu’en gardant les yeux fixés sur le terme : Jésus ressuscité qui nous attend sur l’autre rivage. Il faut en effet ajouter – comme si cela ne suffisait pas ! – qu’au bout de cette traversée du désert, nous aurons encore, comme ultime épreuve, à franchir la mer, c'est-à-dire à accepter de mourir à nous-mêmes, pour pouvoir vivre de la vie de l’Esprit. C’est de cet ultime passage que nous parle la dernière béatitude, qui vu so n importance, est répétée avec une insistance particulière, pour nous rappeler que nous avons bien besoin des mille petites persécutions quotidiennes que nous réserve notre entourage, pour nous aider à mourir à nous-mêmes et à accéder à l’autre rivage, celui de la vraie vie.
« Seigneur je suis vraiment trop faible et trop attaché à ce monde pour prétendre m’engager sur un tel chemin ! Je ne peux que "lever les yeux vers les montagnes et attendre de toi le secours : tiens-toi près de moi comme mon ombrage ; empêche mon pied de glisser, garde moi de tout mal" (cf. Ps 120), et conduis-moi sur ton chemin d’éternité. »
Père Joseph-Marie.
20:19 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer |
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C’est pour nous inviter au bonheur.
Imaginez que vous arriviez à un carrefour, où vous attendent une multitude de panneaux indicateurs : « richesse », « gloire », « honneur », « pouvoir », etc. Puis vous découvrez un tout petit panneau indiquant la direction du « bonheur ». Lequel suivez-vous ? Je suis sûr que sans l’ombre d’une hésitation nous choisissons tous ce dernier, car à travers toutes les autres propositions, c’est bien le bonheur que nous cherchons. Nous voilà donc partis sur la route du bonheur ; comme nous pressentons que le chemin sera long, nous avons pris un sac à dos et deux valises bien remplies. Seulement comme la montée est raide, nous nous voyons bientôt obligés de sacrifier une partie de notre bagage, puis une autre : nos richesses, notre soif de jouissance, notre volonté de puissance, notre vaine gloire, nos jalousies, nos rancœurs, … Arrivés à ce point, nous hésitons : ne nous sommes-nous pas trompés de r oute ? Où donc ce dépouillement va-t-il nous conduire ? Et d’abord : qui donc a établi cet itinéraire ? Il est signé « Jésus de Nazareth » : est-il digne de confiance ? Qui d’entre nous ne s’est pas posé ces questions devant les exigences de l’Evangile et en particulier du Sermon sur la montagne ? Jésus ne nous en fera pas le reproche lui qui nous invite à nous assoir pour évaluer si nous sommes capables d’aller jusqu’au bout du voyage (Lc 14, 28-32). Le seul motif qui nous encourage à persévérer, est que Notre-Seigneur est passé par ce chemin avant nous : il a ouvert la voie, et au matin de Pâques il a atteint ce pays du bonheur auquel nous aspirons. Si nous croyons vraiment en lui, nous devons logiquement faire confiance à sa Parole et prendre avec courage la route sur laquelle il nous précède.
Il n’est pas indifférent que la première parole du premier Psaume, comme la parole qui revient neuf fois dans le Sermon sur la montagne, soit « Heureux ». Lorsque Dieu s’adresse à nous, c’est pour nous inviter au bonheur. Mais depuis que nous avons fait notre propre malheur en écoutant la voix du Serpent, le bonheur n’est plus accessible qu’au terme d’un parcours paradoxal qui passe par le dépouillement des fausses richesses et des plaisirs aliénants. Cet itinéraire est à ce point contraire à nos aspirations « naturelles », que nous ne pourrons le parcourir qu’en gardant les yeux fixés sur le terme : Jésus ressuscité qui nous attend sur l’autre rivage. Il faut en effet ajouter – comme si cela ne suffisait pas ! – qu’au bout de cette traversée du désert, nous aurons encore, comme ultime épreuve, à franchir la mer, c'est-à-dire à accepter de mourir à nous-mêmes, pour pouvoir vivre de la vie de l’Esprit. C’est de cet ultime passage que nous parle la dernière béatitude, qui vu so n importance, est répétée avec une insistance particulière, pour nous rappeler que nous avons bien besoin des mille petites persécutions quotidiennes que nous réserve notre entourage, pour nous aider à mourir à nous-mêmes et à accéder à l’autre rivage, celui de la vraie vie.
« Seigneur je suis vraiment trop faible et trop attaché à ce monde pour prétendre m’engager sur un tel chemin ! Je ne peux que "lever les yeux vers les montagnes et attendre de toi le secours : tiens-toi près de moi comme mon ombrage ; empêche mon pied de glisser, garde moi de tout mal" (cf. Ps 120), et conduis-moi sur ton chemin d’éternité. »
Père Joseph-Marie.
20:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer |
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05/06/2010
La beauté amoureuse de Dieu.
![]() ©F&L D. Lefèvre |
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11:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer |
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Gagnez des âmes !
“Celui qui gagne des âmes est un homme sage.” Proverbes 11.30 TP
Louis Pasteur vivait à une époque où des milliers de personnes mouraient chaque année de la rage, aussi travailla-t-il nuit et jour pendant longtemps pour trouver un vaccin susceptible de sauver beaucoup de vies humaines. Il était sur le point de tester sur lui-même le fruit de ses recherches quand on lui amena un garçon de neuf ans, dénommé Joseph Meister, qui venait d’être mordu par un chien enragé. La mère de l’enfant supplia Pasteur de tester le nouveau vaccin sur son fils. Le savant injecta son produit pendant une dizaine de jours dans le corps du petit garçon qui survécut. Des décennies plus tard, alors qu’il aurait pu s’enorgueillir de maintes découvertes scientifiques spectaculaires, Pasteur demanda seulement à ce que soient gravés sur sa tombe les mots suivants : “Joseph Meister a survécu”.
La Bible dit : “Les actes du juste sont comme un arbre de vie et celui qui gagne des âmes est un homme sage” (Proverbes 11.30 TP). Que penseriez-vous d’un homme qui aurait découvert un moyen de guérir tous les cancers et qui refuserait de dévoiler son secret sous prétexte qu’il aurait mieux à faire ? L’Evangile ne devient une “Bonne Nouvelle” que si nous acceptons de le partager avec ceux qui ne le connaissent pas encore et qui en ont besoin, et cela sans attendre qu’il soit trop tard. Beaucoup de chrétiens sont tellement préoccupés par leur confort matériel qu’ils font confiance à Dieu quand il s’agit de Lui demander une nouvelle voiture, une belle maison et des vacances agréables, mais ils oublient de Lui demander de sauver leurs proches et leurs amis ! Nous citons peut-être le verset des Ecritures qui dit : “La foi, c'est une manière de posséder déjà les biens qu'on espère...” (Hébreux 11.1), tout en pensant que les “biens” en question doivent être matériels et temporels plutôt qu’éternels et situés dans “une patrie supérieure, c'est-à-dire céleste” (Hébreux 11.16) !
Nous sommes censés rechercher avant tout le royaume de Dieu et “toutes ces autres choses nous seront accordées”. En fait, il n’est nul besoin de les demander, elles nous seront données automatiquement, lorsque nous donnons la priorité au Royaume de Dieu dans notre vie, plutôt qu’à notre propre “royaume” (Lisez Matthieu 6.33). Faites preuve donc de sagesse et devenez “gagneur d’âmes” !
Bob Gass.
11:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer |
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Dans l’humilité et le silence.
Vient une pauvre veuve. Elle donne trois fois rien, c’est-à-dire rien. Il n’y a rien en elle qui attire le regard : si Jésus n’avait pas attiré l’attention des disciples, qui l’aurait remarquée ? Jésus est capable de voir que cette pauvre femme donne tout ce qu’elle a pour vivre. Si on voulait donner une traduction littérale du dernier verset, nous dirions « elle a donné toute sa vie » ! La formule fait frémir. Dans l’humilité et le silence, une femme a donné plus que ceux qui paradent, honorés de nos regards et de nos discours de remerciements, eux qui n’ont pas mis leur vie en danger. Cette femme nous est donnée en exemple par Jésus, elle devient un modèle pour tout disciple : ce qui importe est de se donner soi-même, sans rien retenir.
Dans cette femme, Jésus voit également le chemin qui l’attend, la mort qu’il a choisie. Par le don de sa vie, complètement déraisonnable puisqu’elle se sépare de ses ressources vitales pour construire un temple dont il ne restera bientôt plus pierre sur pierre, la vieille femme est l’image du don que fera Jésus de sa vie, que Pierre juge complètement déraisonnable. Mais par sa situation scandaleuse – les riches ne donnent que leur superflu et les scribes qui devraient la protéger vivent à ses dépends – la vieille femme montre aussi à quelle absurdité un mauvais usage des préceptes religieux peut conduire. Ainsi, ce sont les chefs religieux qui discerneront que Jésus doit mourir pour le bien du peuple. L’exemple de la veuve est donc complexe, beau et tragique à la fois.
Que l’Esprit de Pentecôte, venu nous enseigner toute chose nouvelle, ouvre nos yeux à la réalité du monde, qu’il nous apprendre à connaître Jésus pour le reconnaître en toute circonstance et nous donne la force de le suivre fidèlement où il nous entraîne, sûrs que là est la vraie vie, confiants dans la promesse du Père.
Frère Dominique.
11:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer |
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02/06/2010
Méditations sur notre amour.

Dans le silence intérieur se forme notre conscience
La certitude des mots prononcés avec Amour
Et nos secrètes pensées veulent vivre toujours
Cette éternité de l'instant quand nos regards
Attendent un geste de tendresse sans hasard
Mais tracé dans une harmonieuse présence
De nos âmes enlacées et qui savourent
Le bonheur d'être deux en cette humanité
Où la solitude est le souffle de l'homme
Une habitude inventée par des cœurs dispersés
La beauté de notre Vie nous engendre à nous-mêmes
Comme un poème éclaté chaque jour
Au soleil de nos saisons que nous conservons
Jalousement avec une volupté aux yeux d'enfants
Purs et innocents dans sa fraîcheur renouvelée
Au quotidien de nos rencontres
Comme des envolées dans le destin illimité
Et le vent de nos sentiments amoureux
Fait chanter ses accords heureux
Dans nos corps chaleureux et démesurés
Quand le temps nous appartient
L'avenir nous vient tel un navire sans chagrins
Sur les flots de la mer sereine et parle pour demain
De nos matins réinventés au Bonheur
De s'aimer malgré toutes les lames
Que les vagues imaginent pour nous couper
De nos radieux moments médités au fond de notre être
Pour donner une signifiance à notre existence
Plus je m'enfonce dans les profondeurs
Plus je sens la chaleur torride de t'Aimer.
Bruno LEROY.
11:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite | Imprimer |
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