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29/01/2007

Esclavage domestique, bonnes à rien...

Esclavage domestique, bonnes à rien
L'esclavage domestique, l'un des multiples visages de l'esclavage contemporain, persiste en France. Des centaines de femmes-enfants, généralement "importées" à cet effet, se retrouvent asservies par des employeurs peu scrupuleux. Les associations spécialisées qui accompagnent ces "petites bonnes" exploitées, maltraitées, humiliées, peinent à faire reconnaître les faits d'esclavage devant les tribunaux, faute d'une réglementation française explicite.

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   Identité à reconstruire
   Lutte contre la traite des êtres humains
   Carences juridiques
   Présentation du Comité contre l'esclavage moderne (CCEM)
   Les chaînes contemporaines de l'esclavage

21:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MILITANTISME. | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Commentaires

Oui, c'est atroce... Et nombre de ces esclaves le sont dans la société huppée des VIP intouchables, hélas.

Écrit par : Samuel | 30/01/2007

Hé oui, Cher Samuel, beaucoup de Bourgeois friqués profitent de la conjoncture actuelle et notamment de la précarité du travail pour exploiter les autres.
Sans pour autant rouler pour un parti politique déterminé, il faut inlassablement dénoncer tout ce qui dégrade l'Humain. Dénoncer puis agir avec d'autres pour que cela soit endigué.
Je vous remercie pour votre intervention de révolte qui prouve bien que vous n'êtes pas insensible aux souffrances des autres. Mais de cela, je n'en ai jamais douté depuis que je connais les combats que vous menez !
Cordialement, Bruno.

Écrit par : BRUNO LEROY. | 30/01/2007

Oh cher ami, je ne roule pas pour un parti... J'y ai gouté à la politique : ça va merci, j'ai vu... Je suis ma vision intérieure et mon coeur d'artichaut, et avec les deux j'essaie de faire un petit en-cas pasque je me dis que vaut mieux mourir debout avec ses idées que coucher en léchant les bottes. Aprés tout j'suis le petit fils d'un gars qui refusait la guerre et les armes et a quand même trouver le moyen d'engueuler une patrouille allemande (1943) la mitraillette sur le ventre ! Les risques que je prends à coté, c'est du petit lait !
Bien cordialement

Écrit par : Samuel | 30/01/2007

Cher Samuel,
Je ne me souviens pas avoir écrit que vous rouliez pour un parti. Simplement, parce que je ne l'ai jamais pensé.
Moi-même, je ne suis pas encarté et cela ne m'empêche guère de mener des combats. Je fréquente beaucoup de travailleurs et des militants sociaux qui ne sont pas politisés mais, qui mènent des combats acharnés contre toutes formes d'injustices. C'est en ce sens que je parlais de combats que vous meniez à votre propre échelle. Je préfère les personnes qui veulent rester debout que les gens soumis (es). Comme disait Léo Ferré : Un Homme debout ne se couche que pour mourir.
Je fais partie aussi de cette trempe là !
Cordialement, Bruno.

Écrit par : BRUNO LEROY. | 30/01/2007

J'avais bien pigé... Et je me doute qu'on a quelques point commun côté cabochard face à l'injustice sinon je viendrai pas, et j'aurai pas fait un lien sur mon blog (rubrique "spirituel"). Quelqu'un sans intérêt n'a pas sa place dans mon espace... Ceux qui y sont, ont, par un coté ou un autre, touché à quelque chose de juste, ou que j'estime tel ou alors sont là à titre documentaire, mais dans ce cas ce ne sont pas des PERSONNES, juste des organisations ; pas la même chose.
Bien cordialement.
Samuel

Écrit par : Samuel | 30/01/2007

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