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17/11/2010

J'AI DEMANDÉ....

J'ai demandé au ciel de t'accorder bonne santé et Bonheur,

J'ai remercié de ta Vie, je t'ai souhaité tout ce qu'il y avait de mieux,

Je t'ai adressé de bonnes pensées, de l'espoir, de la foi et de l'amour.

J'ai demandé à tes anges gardiens de te protéger et de te mettre à l'abri de tout danger et de t'entourer de joie et de satisfaction, de paix et de prospérité...

J'ai demandé qu'il te soit accordé la sagesse pour te guider vers des choix qui améliorent encore ta Vie.

Je t'ai souhaité une mine d'opportunités, la capacité d'atteindre tes objectifs et la joie de ton approbation et de ton acceptation de toi-même.

Je t'ai souhaité tout ce que ton coeur désire, qu'il soit répondu à tes souhaits, que toutes tes prières soient exhaussées et que chacun de tes rêves se réalise.

J'ai demandé que ton esprit soit fort et qu'il te mène et te guide à chaque pas sur le chemin que tu prends.

J'ai demandé à l'Univers de t'assurer que Tu es quelqu'un de très exceptionnel.

J'ai demandé à la terre d'être bonne pour toi et j'ai demandé à Dieu de te montrer sa voie parfaite.

J'ai demandé que notre Amour ne meurt jamais puisqu'il fait partie de notre Vie et qu'il est la quintessence même de notre existence.

J'ai demandé tout cela et plus encore car je t'Aime plus que tout au monde.

 

 

POÉSIE DE BRUNO 
LEROY.
écrite à 2 heures du matin dans un bar.
                                                                    
BRUNO LEROY.

20:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (3) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'idolâtrie une religion d'État.

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De façon plus large, la problématique est là, acceptons-nous d’être de simples spectateurs passifs, subissant les contraintes de la vie sociale, consommateurs amorphes et dociles de la pièce que d’autres jouent pour nous, ou bien désirons nous réaliser nos vies, en tant qu’acteurs et maîtres de nous-mêmes ?

Voilà un mal, une morphine, qui nous endort, aujourd’hui comme hier. On entend résonner au loin les klaxons de ces supporters qui hier pourtant décriaient l’équipe qu’ils acclament aujourd’hui. Incapables de victoire dans leur vie de tous les jours, ils se montent la tête derrière leurs écrans de télévision, vénérant les couleurs de l’État qui les oppresse quotidiennement.

Même si je ne suis pas fanatique de football, car c’est bien de cela qu’il s’agit, je peux comprendre qu’on puisse prendre plaisir à regarder, comme un spectacle, ces enchaînements de « prouesses » techniques et sportives. Mais là ou le bat blesse, c’est dans l’exultation frénétique et exubérante dont témoignent certains individus. A quoi riment ces manifestations de « liesse populaire » ? Est-ce une victoire construite en commun ou une réalisation collective, une avancée sociale ? Non, rien de tout cela. On est dans l’auto-congratulation relevant plus du fantasme que d’une réalité concrète.

Présentement, les vedettes -ici des sportifs- sont élevés au rang de symboles, d’objets de culte ou de totems, et participent -peut-être bien malgré eux- a l’édification du mythe de la Nation comme groupe homogène ayant une existence réelle.

De façon plus large, la problématique est là, acceptons-nous d’être de simples spectateurs passifs, subissant les contraintes de la vie sociale, consommateurs amorphes et dociles de la pièce que d’autres jouent pour nous, ou bien désirons nous réaliser nos vies, en tant qu’acteurs et maîtres de nous-mêmes ? Faut-il projeter ses appétits et ses envies dans une sphère inconsciente et irréelle, ou bien décidons-nous d’aller chercher de façon concrète les objets de nos désirs ? Resterons-nous prostrés dans la contemplation asservie, ou vivrons nous notre vie de façon pleine et intense ?

Seule cette dernière démarche permet de s’accorder avec soi-même, et, si elle n’évite pas les regrets, elle annihile les remords. Elle permet de mieux comprendre que la notion de Nation ne recouvre pour nous qu’un mythe que certains essayent de maintenir et de faire perdurer. Ceux là, nous les connaissons : bien conscients de leur supercherie, ils donnent fréquemment des représentations à l’Élysée, à l’Assemblée nationale et dans d’autres lieux de pouvoir.

Jouissant de leurs positions dominantes, ces esclavagistes préservent leurs privilèges grâce a cette légende fallacieuse d’un groupe homogène partageant les mêmes valeurs et désireux de vivre ensemble. Foutaises ! Les gouvernants d’ici ont plus d’affinités avec les patrons de l’autre bout de l’hémisphère qu’avec n’importe lequel d’entre nous. Quant a nous, nos revendications trouvent plus d’échos chez nos compagnons disperses à travers le monde que dans les dires des représentants de tous les pouvoirs que nous subissons.

Les frontières ne servent qu’à segmenter et opposer les exploités. Mais que l’on parle sport ou travail par exemple ; il y a bien longtemps que les capitaux qui gèrent tout ça et que ceux qui les détiennent ne s’embarrassent plus de ces considérations !

Elles n’ont pour usage que de créer une diversion entre les gens du peuple, de nous éloigner de nos préoccupations réelles, de nous faire adorer une icône sportive, ou de nous faire pleurer pour une autre : bref, de nous faire oublier que vivre pleinement est bien plus fascinant que tous les spectacles médiatiques du monde. Alors, donnons-nous en la peine !

Bruno LEROY.

13:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONSEILS SPIRITUELS., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/11/2010

ÉCOUTER BATTRE LE COEUR DES JEUNES.

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Le grand drame de notre société est de ne plus comprendre ses jeunes. Je ne peux m’empêcher de me remémorer une histoire survenue. Un père de famille étant Directeur dans une multinationale, avait un Fils auquel il faisait de nombreux cadeaux. C’était une façon pour lui de montrer sa Tendresse.

Le fiston, je l’ai vu arriver un jour dans mon bureau et m’occupant essentiellement de délinquants, je ne comprenais pas sa présence en ces lieux. Il resta une après-midi avec moi sans parler. Puis vint la fin de la journée et je lui demandais ce qu’il voulait. Il me répondit qu’il désirait simplement parler car son père, pris par ses affaires ne l’écoutait pas. Je l’écoutais jusque tard dans la nuit.

Le lendemain, Je décidais d’inviter le père pour lui dire que son Fils manquait d’écoute en dehors de tous les cadeaux offerts. Ce fameux Directeur prit son agenda et tous les arguments pour me convaincre et justifier ses absences. Je lui répondis que ce n’était pas à moi d’évaluer sa présence auprès de son fils mais, qu’il serait bon qu’il lui en parla. Le père ne fit rien de ce que j’avais conseillé et continua sa vie tumultueuse d’homme d’affaires.

Je le revis plusieurs mois après, en larmes. Il venait d’enterrer son fils qui s’était suicidé en laissant ce mot  :" tu m’as toujours acheté mais jamais écouté. Je ne suis pas un compte en banque. Je ne peux plus vivre sans ton amour. Adieu papa, moi je t’aimais." Et je pourrais vous en donner de cruelles expériences de ce type que je vis au quotidien. Les écouter, les comprendre, les aimer. Voilà le grand combat que nous devons mener auprès de nos Jeunes.

Nous pensons souvent, à tort que ce sont les familles défavorisées les plus atteintes par ce manque affectif. La blessure du manque d’Amour se montre plus discrète dans les familles riches. Je vous prie de croire que ce père le regrette encore et cela s’est passé, il y a plus de dix ans. Les ados ou enfants sont des personnes et nous n’avons pas le droit d’ignorer leur Humanité.

Nous croyons Aimer et nous n’écoutons pas assez, ou ne comprenons pas ou dévalorisons leurs moindres prétentions à réaliser leurs rêves. Aidons les jeunes à construire leurs rêves, cela leur évitera de détruire par la violence, tout et n’importe quoi. Soyons à leur écoute dans une totale compréhension de leur être en devenir. Certains ( nes ) ne se sentent ni compris, ni aimés.

Brisons ces murs de mutisme et d’indifférence. Je vous laisse,il me faut rejoindre les Jeunes blessés de la Vie pour écouter leurs violences, leurs cris, leurs angoisses face à une société qui les considère, juste comme de potentiels consommateurs, pas encore des êtres humains à part entière. Si les éducateurs de rue n’existaient pas, Frères et Soeurs, la police ne suffirait pas à temporiser leurs colères. Il nous faudrait une panoplie de guerrier pour sortir dans la rue. Aimons-les, tels qu’ils sont, et essayons ensemble de comprendre leurs incivilités, non pour les excuser.

Mais, pour agir sur le racines du mal, plutôt que nous lamenter sur leurs violences. Essayons de les Aimer en gestes avec la distance nécessaire qui leur permettra de grandir pour devenir des hommes et des femmes matures. Notre prière nous aidera à trouver les justes attitudes.

Bruno LEROY.

12:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

FAIRE ENTRER L'ÉTERNITÉ PAR CHRISTIAN BOBIN.

12:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, spiritualite, foi, spiritualite de la liberation |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

IL EST MORT SANS FAIRE DE BRUIT.

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Il est mort un matin de pluie,
Dans les mains de ses nuits,
Il est mort sans faire de bruit,
Sans l'ombre d'un geste, d'un cri,
Il est mort les yeux tournés vers demain,
Embrassant les couleurs de son destin,
Il est mort dans un sourire soulagé,
Avec cette face illuminée,
D'un feu intérieur qui le brûlait,
Il est mort entièrement enchanté,
Laissant sur ses lèvres des chants,
Des poèmes et d'étranges rêves,
Il est mort plus lumineux que les cieux,
Oui, il est bien mort l'homme que j'étais,
Ce vieil homme aura tout pardonné,
Par amour de la vie il s'est donné,
Aux plus petits aux plus blessés,
Il mort pour renaître dans une dimension de l'être,
Où la Tendresse envers soi éclabousse les autres,
Il est mort cet égoïste qui ne pensait qu'à ses pensées,
Il est bien mort cet homme d'autrefois que je n'aimais,
Il me fait chavirer cet homme d'aujourd'hui,
Que j'aimerai toute ma vie s'il demeure à mes côtés,
Par souci de fidélité aimante à propager dans l'Humanité.
Bruno LEROY.

15/11/2010

Le Chapelet de libération.



d26 Le chapelet de la libération !


Une manière de prier la Parole de Dieu avec foi, en utilisant les grains du chapelet, apporte de nombreuses guérisons et libérations.

«Si donc le Fils vous libère, vous serez réellement libres.» (Jn 8,36)

* TEMOIGNAGE

«Un jour, après que j’eus confessé mes péchés, le prêtre garda silence quelques instants, puis il me regarda un bout de temps et il me dit: «Tu as besoin de quelqu’un qui te libère!»J’ai compris que par ces paroles le prêtre voulait me dire: «Tes bons désirs de réparation ne suffisent pas. Afin de ne pas répéter ces péchés, tu as besoin de quelqu’un qui te libère. Par toi-même, tu n’as pas la force de les vaincre et, quand tu énuméreras tes fautes la prochaine fois, tu répéteras sûrement tout ce que tu viens de confesser.»

Les paroles du prêtre se sont imprégnées dans mon coeur en lettres de feu — le feu de l’Esprit Saint: «Tu as besoin de quelqu’un qui te libère!»
Je me suis immédiatement rappelé le Chapelet de libération... «Si Jésus me libère, je serai vraiment libre ! Jésus, aie pitié de moi ! Jésus, guéris-moi ! Jésus, sauve-moi ! Jésus, libère-moi !»
Et, à partir de ce jour, je me suis mis à le prier avec plus d’intensité et, quand je me sentais faible, je priais avec beaucoup de foi: «Si Jésus me libère, je serai vraiment libre ! Jésus, aie pitié de moi ! Jésus, guéris-moi ! Jésus, sauve-moi ! Jésus, libère-moi !»
Mes amis, je prends des forces! Jésus me délivre de plus en plus de mes péchés. «Le Seigneur, force pour son peuple.» (Ps 28,8a)

* C'EST MAINTENANT VOTRE TOUR !

Vous aussi êtes un pécheur: «Si nous disons: “Nous n’avons pas de péché”, nous nous abusons, la vérité n’est pas en nous.» 1 Jn 1,8
Si vous avez le désir d’être délivré de vos fautes et d’arrêter de toujours accuser les mêmes péchés ou, peut-être, d’autres pires encore, suivez mon exemple: trouvez, par la foi, une personne qui vous libérera ; pas n’importe qui, mais le Seul qui puisse vous délivrer de tout ce qui vous attache au péché : Jésus, le Christ, notre Sauveur !
«Car il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés.» (Ac 4,12) et «Puisqu’il s’attache à moi, je l’affranchis, [...] Il m’appelle et je lui réponds: [...] je le délivre et je le glorifie.» (Ps 91,14a-15ac) «En effet, quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.» (Rm 10,13)
Accueillez votre libération dans la puissance du Nom et du Sang de Jésus, en priant souvent et avec beaucoup de foi le Chapelet de libération !
C’est avec une grande joie que je viens partager avec vous l’expérience de puissance que le Seigneur est en train de réaliser parmi nous grâce au Chapelet de libération.
Ce Chapelet fondé sur la Parole de Dieu doit être récité avec foi, pour glorifier le Nom puissant de notre Seigneur Jésus-Christ et pour obtenir de Lui guérison, salut et libération.
Nous pouvons aussi prier le Chapelet de libération pour les personnes que le Seigneur a mises dans notre coeur. Nous devrions toutefois prier d’abord pour nous-mêmes, afin d’être purifiés dans le Sang de Jésus, en répétant Jésus, aie pitié de moi! Seulement de cette façon pourrons-nous devenir des canaux dégagés qui laissent passer la grâce divine.

Le Chapelet de libération ne devrait être récité que pour une intention à la fois: conversion, mariage, famille, santé, travail, parenté, amis, ennemis, etc…
Chaque intention prendra un Chapelet. Quand elle est récitée du fond du coeur avec foi dans la puissance libératrice et guérissante de la Parole de Dieu et du Nom de Jésus, cette intercession touche le coeur de Dieu, car elle est dite au Nom de Jésus, et vous en ressentirez les effets avec promptitude et puissance.
«De même que la pluie et la neige descendent des cieux et n’y retournent pas sans avoir arrosé la terre, sans l’avoir fécondée et l’avoir fait germer pour fournir la semence au semeur et le pain à manger, ainsi en est-il de la parole qui sort de ma bouche, elle ne revient pas vers moi sans effet, sans avoir accompli ce que j’ai voulu et réalisé l’objet de sa mission.» (Is 55, 10-11)
«C’est pourquoi je vous dis: tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez déjà reçu, et cela vous sera accordé.» (Mc 11,24)

* Avertissement:

Le Chapelet de libération ne veut en aucune façon nuire ou se substituer à la dévotion au Très Saint Rosaire de la Vierge Marie qui a la priorité sur toutes les autres dévotions.



* PRIER LE CHAPELET DE LA LIBERATION

1) Début : Credo : symbole des Apôtres

Je crois en Dieu, le Père tout-puissant,
Créateur du ciel et de la terre.
Et en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur;
qui a été conçu du Saint Esprit,
est né de la Vierge Marie,
a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié,
est mort et a été enseveli,
est descendu aux enfers ;
le troisième jour est ressuscité des morts,
est monté aux cieux,
est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant,
d'où il viendra juger les vivants et les morts.
Je crois en l'Esprit Saint, à la sainte Église catholique,
à la communion des saints, à la rémission des péchés,
à la résurrection de la chair, à la vie éternelle.
Amen.

2) Sur les GROS GRAINS : on proclame la Parole de Dieu ; (Jn 8,36) :

“Si Jésus-Christ libère, alors je serai réellement libre”
- Si je prie pour ma famille, je dirais :
“Si Jésus-Christ libère sa famille, sa famille sera réellement libre”
- Si je prie pour une personne, je dirais :
- “Si Jésus-Christ libère Jacques, Jacques sera réellement libre”

3) Sur chaque PETIT GRAIN (Ave + par grain):

Jésus-Christ, aie pitié de moi ! ou “Jésus-Christ, aie pitié de ma famille / de X, etc.

Jésus-Christ, guéris-moi ! " guéris " "

Jésus-Christ, sauve-moi ! " sauve " "

Jésus-Christ, libère-moi ! " libère " "

* SALVE REGINA

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Seigneur Jésus, nous demandons pardon pour tous nos péchés. Nous demandons, en Ton Nom, que le Père envoie Son Saint Esprit déverser dans nos cœurs le don de proclamer Ta Parole avec foi et confiance, par le Chapelet de Libération. Nous demandons, Jésus, que Ton pouvoir se manifeste dans nos vies et que Tu réalises miracles et merveilles par cette puissante prière de foi qui n’est autre que la proclamation de Ta Parole. Amen.

Après avoir terminé la prière du Chapelet de libération, rendez grâce à Jésus pour les bénédictions qu’Il déverse sur vous et sur ceux pour qui vous avez intercédé.
C’est vraiment simple !
Vous constaterez à la fin du Chapelet de libération les effets de la grâce de Dieu sur vous, sur votre famille, dans la vie des personnes pour qui vous priez. Le Père du ciel vous enverra guérison, salut et libération.

* Jésus entendra votre prière.

Soyez assurés que le Seigneur Jésus entendra votre supplication et qu’il répondra à votre demande, parce que la Bible affirme que la Parole ne revient pas à Dieu sans avoir produit son fruit. (Cf. Is 55,11) Quand vous proclamez la Parole de Dieu avec foi et repentir de vos péchés, en disant «Jésus, aie pitié de moi !» il est certain que la grande Victoire de Jésus, de son Sang rédempteur et de sa Parole se manifestera dans votre vie et dans celle de ceux pour qui vous priez. Jésus Vivant vous guérira, vous sauvera et vous libérera !
Nous croyons cela fermement, car Dieu est fidèle à tenir ses promesses, à garder sa Parole.

* L’histoire de cette prière

Nous croyons aussi pour avoir expérimenté dans notre propre vie les effets extraordinaires de la prière merveilleuse du Chapelet de libération. Nous recevons des centaines de lettres de témoignage qui nous parviennent quotidiennement depuis que nous avons commencé à répandre ce Chapelet par l’émission de radio «Jesus te ama» (Jésus t’aime) ainsi que par les ministères de la Comunidade de Aliança Jesus te ama (Communauté d’Alliance Jésus t’aime) au Brésil.
Si vous désirez retrouver le texte dont nous nous servons pour prier sur les petits grains qui correspondent aux Je vous salue, Marie, ouvrez votre Bible à saint Marc 10,47, où l’aveugle Bartimée dit:
«Fils de David, Jésus, aie pitié de moi !» Quand Jésus l’entendit, Il s’arrêta.

Vous devez croire fermement que quand vous direz cette prière avec une pleine confiance «Jésus-Christ, aie pitié de moi !» Jésus s’arrêtera et vous écoutera.

«Alors Jésus s’arrêta et lui adressa la parole: “Que veux-tu que je fasse pour toi ?” L’aveugle lui répondit: “Rabbouni, que je recouvre la vue!” Jésus lui dit: “Va, ta foi t’a sauvé.” Et aussitôt il recouvra la vue et il cheminait à sa suite.» (Mc 10, 51-52)

* Saisissez-vous maintenant la puissance du Chapelet de libération !

C’est la Puissance de la Parole de Dieu qui agit.

Quand nous prions «Jésus-Christ, aie pitié de moi!» avec une foi pleine, en demandant le pardon de nos péchés, nous (ou la personne pour laquelle nous prions) sommes lavés dans le Sang de Jésus. C’est la puissance de la foi dans le Nom et le Sang de Jésus-Christ, notre Sauveur, que vous mettez en action.
Enseignez aux autres comment prier le Chapelet de libération et vous constaterez les fruits de Jésus, non seulement dans votre coeur, mais dans les coeurs des autres!
Quelle joie de savoir que Jésus agit avec puissance dans notre vie grâce au Chapelet de libération! Alléluia!
Ne pensez-vous pas qu’il y a beaucoup de puissance dans le Chapelet de libération? Quand vous priez ce Chapelet, vous proclamez le Nom de Jésus 205 fois!




Regis Castro Campinas
Extrait de la revue Stella Maris N° 429



mariereine.com

 

20:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL., LA PRIÈRE DU JOUR., LES BLOGS AMIS., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

De l’esclavage au Negro Spiritual.

Au début, était l'Afrique.

En 1492, Christophe Colomb découvre l’Amérique et donne au monde, que l’on dit civilisé, la possibilité de l'un des plus gros carnages de tous les temps. Le monde africain va connaître un immense exode. Le "Noir" est alors considéré comme une marchandise non humaine. Sur le continent américain, ce peuple va tenter de survivre. La culture africaine a suivi cette immigration et le soir, pour oublier les coups de fouets, on chante, on raconte. Le Negro Spiritual de l’époque n’a rien à voir avec celui qui est chanté aujourd’hui. Les premiers étaient avant tout des mélopées africaines qui avaient peu de rapport avec les harmonies que nous connaissons aujourd’hui. En voici donc l’histoire ...

De l’Afrique à l’Occident.

Le peuple qui sera exilé sur le nouveau continent est un peuple de musique, de chant et de danse. C’est surtout cela qui frappa les explorateurs de l’époque comme, entre autres, Jobson et bien d’autres. La musique accompagne chaque moment de la vie d’un village : elle fait partie de la vie du village.

Les instruments sont très variés car, outre les tambours et instruments à percussions (dont la diversité n’est plus à montrer), nous trouvons à cette époque toutes sortes d’instruments à vent (flûtes en roseau, trompettes en corne, ...), des instruments à cordes souvent accordés par improvisation, etc.

 

Des contrats à temps à l’esclavage.

Les premiers noirs arrivés aux Amériques avaient un statut de serviteurs sous contrat -comme les indiens ou même certains blancs-, ce statut permettant assez facilement à moyen terme d’être affranchis. Mais très vite, ces contrats à "temps" se transformèrent en contrat à vie.

A partir de 1660, les codes assurant un statut légal à l’esclavage se multiplièrent.

Durant le XVII° siècle, la question de l’évangélisation des esclaves ne se posait même pas et le statut de l’africain se dégradait de jour en jour.

De l’esclavage au Negro Spiritual.

Au Nord, les noirs avaient le droit d’assister aux offices. Simplement, ils ne pouvaient se placer à coté des blancs. Leurs places étaient réservées au fond de l’église.
Appris par coeur et sans ligne mélodique déterminée, les Psaumes chantés de la Réforme vont se prêter à de nombreuses modifications et altérations.

Au début, les églises catholiques assez pro-esclavage, n’ont pas la faveur du peuple noir. Le manque de participation de l’assemblée lors des offices et la difficulté de compréhension (utilisation du latin) n’ont fait qu’accentuer cette absence de participation des noirs aux messes.

1730-1750 : un réveil dans les églises (the great awaking) apparaît en Angleterre et se répand dans les colonies. Ce réveil s’accompagne de la création d’un nouveau répertoire de cantiques. Les psaumes font place aux hymnes (plus simples). Des recueils circulent et entre autres le très célèbre recueil du pasteur Isaac WATTS publié en 1707 "Hymns & Spirituals Songs". Suivra en 1737 le recueil "A collection of Psalms & Hymns" écrit par le fondateur des Églises Méthodistes (dénomination d’églises auxquelles de nombreux noirs affranchis se joindront) : John Wesley.

Dans le Sud, le noir n’était pas considéré comme un être humain mais seulement comme une marchandise.

"On n'évangélise pas de la marchandise".

Il faut attendre la pression de l’Église d’Angleterre, pour que l’on envoie enfin des évangélistes auprès de la population noire des Amériques.

 

Le soir, après le travail dans les maisons, mais aussi et de plus en plus au fond des bois, des traditionnels sont entonnés. Le principe est simple. Un leader, un preacher raconte une histoire de la Bible et lance le chœur sur un refrain. Une fois le chant et le pas de danse (le schuffle) lancés, les solistes se succèdent. Ces rassemblements étaient interdits et les esclaves risquaient leurs vies à venir louer Dieu ainsi. Mais les promesses de l'Ancien Testament devenaient de plus en plus une réalité qui valait bien ce risque-là.

Pourtant le negro spiritual ne va pas se définir seulement vis-à-vis de l’Eglise. En pleine période d’esclavage, plusieurs esclaves noirs veulent fuir vers le Nord. Il va alors se créer tout un réseau de passeurs que l’on appellera l’"Underground Rail Road". Pour pouvoir communiquer entre esclaves sans que les blancs comprennent, on va utiliser les traditionnels. Le langage spirituel et biblique va devenir alors un code pour les passeurs.
Lorsque le traditionnel chanté parle de l'Égypte, c'est au Sud qu'il fait allusion. Le Jourdain (le fleuve Oahio), lorsqu'il est profond et glacé, devient infranchissable. Il fallait alors attendre, car cela voulait signaler que le danger était présent. Le pharaon représentait le Général LEE, la terre promise le territoire du nord ...

Ce seront plus de 60.000 esclaves qui vont pouvoir, grâce à ces réseaux, fuir le Sud pour se retrouver libres dans le Nord !

 

Dans la tradition réformée, l'instrument de musique était très mal vu. Le chant, lors des cérémonies, posait assez souvent problème. En effet, le pasteur se trompait souvent de ton, d'air, faisant apparaître une certaine confusion dans le chant de l'assemblée.

Vers la fin du 18ème siècle, les premières églises noires voient le jour dans le nord de l'Amérique, suite au réveil de 1730.
Bien que pas encore émancipés, les esclaves noirs sont de plus en plus nombreux à l'office le dimanche matin et parfois même plus nombreux que les blancs.
Les églises baptistes poussent alors comme des champignons. Et en 1774, Georges Leile sera le premier esclave à avoir le droit de prêcher et à créer la première église noire d'Amérique.

Un mouvement se créa alors dans l'Église, afin d'améliorer la qualité du chant. On introduisit alors l'orgue, ainsi qu'une référence, la plus stricte possible, à des mélodies écrites. Il en découla l'arrivée de recueil de chants dans les églises.

La fin de la guerre de Sécession va complètement chambouler le paysage américain et donc, celui de l'Église. Les Noirs ont maintenant le droit de circuler et ils se dispersent dans tout le territoire américain, d'abord des campagnes vers les villes, mais très vite aussi du Sud vers le Nord, où l'avenir leur semble meilleur.

Cette relative liberté et émancipation dans le Sud sera de courte durée, mais toutefois suffisante pour que les lois ségrégationnistes, dites Jim CROW, votées en 1865, ne puissent effacer tout ce qui avait été fait.

19:57 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL., Musique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/11/2010

Peur des hommes ?

"Il est dangereux d'avoir peur des hommes." Proverbes 29.25www.saparole.com

On parle aujourd'hui de l'influence de l'entourage, de la pression exercée par ses proches ou du désir de plaire aux autres, mais la Parole de Dieu parle de “la peur des hommes” et nous dit que c'est un piège à éviter. Ce danger peut prendre deux formes : soit vous vous changez en caméléon pour rendre tout le monde heureux, vous adaptant au souhait de chacun, soit chaque décision de votre vie est prise en fonction de l'approbation que vous espérez recevoir.

Peut-être avez-vous décidé, dès votre plus jeune âge, de plaire aux autres parce que vous cherchiez à attirer leur attention, ou parce que vous n'avez pas été encouragé à juger quoi que ce soit par vous-même. Mais quelle qu'en soit la raison, ce désir de plaire à tout prix n'aboutit qu'à des échecs. Les autres finissent par en avoir assez de vos efforts pour plaire à tout prix et vous finissez par vous détester vous-même dès que les choses tournent mal. Alors, pourquoi agir ainsi ? Parce que nous trouvons toujours plus facile de plaire à des gens que nous voyons en chair et en os devant nous, plutôt qu'à un Dieu invisible.


Pierre trouva difficile de lutter contre cette tendance naturelle à se disculper devant les hommes : un
soir, une jeune fille lui demanda s'il était ami de Jésus et il répondit : “Je ne connais même pas cet homme !” (Matthieu 26.72). Le jour où le prophète Samuel confronta le roi Saül avec sa désobéissance envers Dieu pour n'avoir pas anéanti le peuple d'Amalek, Saül reconnut qu'il “avait eu peur des soldats et qu'il avait fait ce qu'ils avaient demandé” (1 Samuel 15. 24).

Par contre Paul a dit : “Est-ce que je cherche à plaire aux hommes ? Si je cherchais à leur plaire je ne serais pas serviteur du Christ” (Galates 1.10). Dieu n'apprécie pas beaucoup ceux qui cherchent à plaire aux hommes plutôt qu'à Lui ! La Bible nous affirme qu'Il  “ne nous a pas donné un Esprit de timidité, mais au contraire un Esprit de force...” (2 Timothée 1.7). Si vous avez peur des autres et de leur opinion, vous devenez leur serviteur au lieu de servir Dieu seul. Si vous devez servir les autres, Dieu veut que vous le fassiez par amour pour eux et pour Lui, pas par peur.      

Bob Gass.

10:13 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

10/11/2010

LA PEUR, LE DÉSESPOIR ENGENDRENT LE TERRORISME.

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Lorsque nous avons peur, nous n'absorbons pas les informations, nous sommes incapables de voir ou d'évaluer clairement une situation et nous prenons de mauvaises décisions.

Nous devons admettre l'existence de puissances forces de chaos et d'incertitudes et pourtant affirmer que du chaos peut venir la destruction, mais aussi la créativité. Seule la poésie peut parler au chagrin. Pour cela, nous devons élaborer un nouveau langage du mot et de l'action.

Le désespoir engendre le fondamentalisme, le fanatisme et le terrorisme. Un monde d'abondance réellement partagée serait un monde plus sûr. Les politiques des multinationales capitalistes n'ont pas donné vie à ce monde. Elles ont été éprouvées et ont démontré leurs insuffisances. Nous devons les remplacer par notre vision à nous.

Nous devons nourrir nos échanges les uns avec les autres, ne pas offrir seulement une solidarité politique, mais aussi de la chaleur humaine et de l'attention.

Pour les militants qui ont une pratique spirituelle recensée comme telle, c'est le moment maintenant de la pratiquer réellement !

La nouvelle route n'est ni balisée ni répertoriée. Elle est inconnue, exaltante, dangereuse mais libre. Nous sommes nés pour nous frayer ce chemin, et les grandes puissances de la vie et de la créativité marcheront à nos côtés à la rencontre de cet avenir viable. La peur remplit notre espace mental et émotionnel de rage, d'impuissance qui nous coupent des sources de vie et d'espoir.

En nous ouvrant en conscience à la beauté du monde, en choisissant d'aimer un autre être ténu et fragile, nous commettons un acte de libération.

Bruno LEROY.

21:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., MILITANTISME., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

08/11/2010

Non, “il ne brisera pas le roseau cassé” !

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A notre époque, de nombreuses familles ont troqué l’amour, la sécurité et l’harmonie contre divers problèmes entraînant la violence au sein de leur foyer : alcoolisme, coups, disputes, adultère, divorce, abus sexuels, peur, drogue, dépression, troubles psychiques, suicide, occultisme, etc..

“Papa a frappé Maman, Raphaël l’a défendue, il frappe mon père… Une soirée banale, une scène coutumière.” Mes parents sont trop absorbés par leurs disputes, trop pris par leurs soucis.

Maman est toujours occupée, et personne n’a le temps de prêter attention à ce qui me fait peur.” Que de vies et de familles brisées, de comportements et de caractères marqués par les séquelles de ces traumatismes, des angoisses, des vies difficiles à gérer, à maîtriser. “Les soucis me submergent, les épreuves m’ont fragilisée, et j’ai hâte d’être libérée de mon stress… Je refuse aussi de subir une autorité, je ne veux recevoir d’ordre de personne… Je reste rebelle… Je suis le résultat d’années de violence.” “Les regards m’effraient et je ne peux les affronter. Je refuse de dire, de raconter ma souffrance, alors je fuis la société, l’école, les camarades… Je redoute d’être questionnée. Je vis mon drame dans la peur, la confusion. A la maison, je ne fais plus grand-chose. Je survis.”

L’histoire de Marie est authentique. Elle reflète la vie de beaucoup de foyers actuels, malheureusement. De quoi sombrer… “J’étais perdue. La vie me dégoûtait. J’aspirais à ne plus vivre, ne plus subir mes malheurs, mes pensées sombres, l’emprise de la destruction.”

Mais Dieu n’est pas indifférent à ces situations, aux cris, aux pleurs de ceux qui souffrent. Il cherche ces cœurs brisés, et quand il les trouve, il y apporte espérance, réparation, joie, pardon. Il guérit du passé et offre une vie nouvelle avec lui. Non, “il ne brisera pas le roseau cassé” ! (Mat 12:20), car il est “le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions” (2 Cor 1:3).

“Mon cœur s’ouvre à lui, je crois. Mes larmes s’arrêtent de couler. Je le comprends, il est venu pour me sauver. Il est là, à mes côtés, je ne suis plus seule, il m’aime vraiment. C’est vrai, mes problèmes demeurent, mais un incommensurable espoir jaillit et le terrible poids qui pesait sur mon cœur disparaît. Mes pensées sont métamorphosées, je goûte une paix profonde. La peur ne m’atteint plus, elle n’exerce plus son pouvoir sur moi. Je découvre un Père proche de moi. Il m’offre une vie nouvelle et équilibrée, totalement différente de celle que j’ai menée jusqu’ici.” “Jésus n’est aucunement venu pour achever ceux qui sont déjà accablés ".

Loin de là, il est venu pour les relever, leur apporter son appui et son secours et leur offrir un avenir fait d’espérance.” Sur terre, “il allait vers ceux qui étaient rejetés et méprisés des hommes, leur manifestant attention, bonté, douceur, pardon et guérison.” Le témoignage de Marie est la preuve qu’il agit encore aujourd’hui dans la vie de ceux et celles qui se confient avec foi en lui. Depuis, Marie est venue se confier à notre service éducatif. Elle désire mettre un terme définitif à cette ambiance violente qu’elle et ses enfants subissent depuis des années.

Elle retrouve progressivement confiance en elle. Nul n’a le droit d’être maltraité. C’est devenu une certitude désormais. Elle déposera plainte comme pour crier au monde, dit-t-elle en souriant, que lorsqu’une femme est battue par son mari, Dieu s’interpose. En fait, sa foi en Christ lui a redonnée pleinement confiance en Dieu, en elle et les autres. L’éducation harmonieuse de ses enfants devient maintenant son principal souci.

Femmes que vous soyez humiliées ou battues, l’acte est le même, il atteint votre personnalité profonde.

Pour vous sortir de ce mauvais pas qui pourrait vous faire glisser dans les ténèbres. La première démarche est de vous savoir unique aux yeux des autres. Reprenez confiance en vous. Bien-sûr, comme nous venons de le voir, la Foi, peut faire des miracles en ce domaine. Sinon, reposez vos soucis sur l’épaule d’une personne de confiance.

Elle sera là pour vous écouter et non vous juger.

Il demeure pourtant vrai, l’ayant constaté à plusieurs reprises, lorsqu’une femme est malmenée et battue Dieu s’interpose toujours ! Courage, les mauvais seront châtiés.

 

Bruno LEROY.

19:43 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CONSEILS ÉDUCATIFS., CONSEILS SPIRITUELS., RÉFLEXIONS ET PENSÉES, RÉFLEXIONS LITTÉRAIRES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |