13/12/2008
LES ENFANTS MALTRAITÉS.
11:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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04/12/2008
Imposons la redistribution des richesses !
Le froid tue ? Non, c’est encore et toujours la pauvreté !
Comme chaque année avec l'arrivée de l'hiver, on assiste au retour d'un drame : les SDF meurent de froid. Le gouvernement verse des larmes de crocodiles et les ministres rivalisent en fausses compassions dans leurs déclarations. Il est plus qu’écoeurant de constater à quel point cette information est devenue un tel « marronnier ».
Le froid tue en hiver, certes, mais il ne tue que ceux qui dorment et vivent déjà dehors, dans des abris de fortune ou sans abris du tout, dans la rue, dans leur voiture ou une caravane, ou dans les bois, comme de récents reportages l’ont fait remarquer. Ces personnes vivent dans de telles conditions toute l’année et on fait semblant de le découvrir chaque hiver.
Ces gens sont pour certains des « exclus », ils n’ont pas de travail ou de logement depuis des années. Mais ce ne sont pas les seuls. Nombre d’entre eux sont des travailleurs pauvres, salariés à temps partiel, mais aussi à temps plein, du privé comme de la fonction publique, comme quoi les privilèges...
Maintenant le gouvernement veut nous faire croire, comme chaque année, qu'il essaie de régler le problème des sans logis. Il en est pourtant en grande partie responsable. Les gouvernements ces dernières années n'ont fait que renforcer ces situations en réduisant les impôts des plus riches, en précarisant les travailleurs, en multipliant le temps partiels et les heures supplémentaires contre des CDI à temps plein, en refusant d’augmenter significativement le SMIC et en entreprenant une politique de démantèlement des services publics.
Sans oublier la question même du logement. Car si certains n'ont pas de toit pour dormir, c'est bien parce que d'autres cumulent les résidences secondaires, spéculent sur des logements laissés vides ou se goinfrent de dividendes obtenus sur le dos de travailleurs exploités.
Le gouvernement trouve des milliards pour ses amis les banquiers et patrons, mais n'a que des miettes pour l'urgence et le logement social. Il laisse se développer la misère dans un monde qui n'a jamais autant produit.
Contre l’exploitation et la régression sociale, imposons la redistribution des richesses !
23:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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29/11/2008
La naissance de Jésus et notre nouvelle naissance, d'en-haut.
La vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. Esaïe 7, v. 14.
La naissance de Jésus dans l'histoire : "C'est pourquoi le Saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu" (Luc 1, v. 35). Jésus est né dans ce monde, mais il n'est pas du monde. Il n'est pas non plus une émanation de l'histoire; il est entré dans l'histoire, venant d'ailleurs. Jésus-Christ n'est pas l'homme le plus parfait, il est d'origine supérieure à la race humaine. Il n'est pas un homme qui devient Dieu, il est Dieu incarné, Dieu venant dans une chair semblable à celle des hommes. Sa vie est la vie la plus haute et la plus sainte, commençant de la façon la plus humble. La naissance de Jésus fut un avènement.
Sa naissance en moi : "Mes enfants, pour qui j'éprouve de nouveau les douleurs de l'enfantement, jusqu'à ce que Christ soit formé en vous..." (Galates 4, v. 19). De même que le Christ a surgi dans l'histoire humaine, venant d'ailleurs, de même il doit venir en moi du dehors. Ma vie peut-elle servir de crèche à l'enfant de Bethléem ? Je ne peux entrer dans le Royaume de Dieu à moins d'être né d'en-haut, d'une naissance qui n'a rien de commun avec la naissance ordinaire. "Il faut que vous naissiez d'en-haut." Ce n'est pas un commandement, c'est un fait fondamental. Ce qui caractérise la nouvelle naissance c'est l'abandon total à Dieu qui permet à Christ de se former en moi. Sa nature se manifeste alors en moi et je peux vivre de Sa Vie.
La manifestation de Dieu dans notre chair est devenue possible pour vous et pour moi par la Rédemption.
12:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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24/11/2008
L’ARTISTE SUBLIME SA VIE.
19:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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14/11/2008
LE TEMPS EST SOURCE DE CRÉATIVITÉ...
09:32 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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04/11/2008
LA PRIÈRE SUBTIL PARFUM DE DIEU.
Sans la prière, notre vie n’aurait aucune saveur, elle n’aurait point le parfum subtil de Dieu à nos côtés. Les premiers chrétiens, tel que Paul, l’avaient bien compris. Frères et Soeurs que nos vies soient un hymne de prières et de grâces.
Paul allait puiser sa force intérieure à la source divine. La prière est cette rencontre mystérieuse avec Dieu qui nous répond par des signes quotidiens. La prière est cette certitude que l’Amour détruit toutes les forces de mort qui nous habitent. Cette respiration de l’âme est aussi nécessaire que le besoin de manger. L’Esprit ne peut apporter Ses fruits que si, nous Lui demandons dans un total abandon. La prière est effectivement la part importante de la personnalité du chrétien. C’est ce qui le différencie du païen qui ne croit qu’en ses propres forces.
Regardons autour de nous, certaines personnes semblent habitées par un rayonnement dont nous savons la provenance et que nous envions secrètement. La joie est le fruit délicieux de leur présence. Une joie que nul ne pourrait ravir tant elle demeure ancrée dans les tréfonds de leur âme. Prier, n’est pas anodin, c’est la recharge en énergie divine de l’individu fatigué. A condition de remettre son destin entre les mains de Dieu-Amour. Cela, ne veut pas dire ne plus rien faire et attendre que Dieu agisse à notre place. Cela veut dire que Dieu nous donne Tout Son Amour et Sa force pour que nous transformions le monde.
Cependant, il est des situations, je pense aux terribles maladies, où notre action demeure vaine, Dieu intervient alors silencieusement pour nous dicter les gestes et attitudes à faire. Je fus confronté à cette terrible situation, ma mère étant très malade, je priais pour demander à Dieu la Force de tenir pour l’accompagner vers la demeure du Père. Sa mort à 50 ans fut ressentie par la plupart des membres de la famille, telle une défaite. Je l’ai accompagnée durant un mois, jour et nuit, et j’ai répondu qu’elle était entrée dans la Paix.
Cette sérénité que nous cherchons tant sur terre, elle l’a retrouvée dans cette communion avec Dieu. Souvent, nous en voulons à Dieu de nous enlever des êtres chers. Et pourtant, Dieu-Amour nous accompagne dans nos détresses. Notre aveuglement face à la souffrance est compréhensible mais, le chrétien sait que Dieu Lui tend la main. Chaque jour, dès que le soleil se lève, je dis à Christ : Je t’Aime et cette journée est la tienne pour te servir !. Quelle joie m’envahit lorsque je lis la Bible et tombe sur un passage qui me fait entrer en prière.
Sans la prière, notre vie n’aurait aucune saveur, elle n’aurait point le parfum subtil de Dieu à nos côtés. Les premiers chrétiens, tel que Paul, l’avaient bien compris. Frères et Soeurs que nos vies soient un hymne de prières et de grâces.
Un indicible Témoignage de Joie et de Force vécues dans le coeur de Christ. L’Amour doit toujours guider nos pas vers l’Éternel, ainsi notre existence aura la beauté d’une symphonie dont on ne peut se lasser d’écouter les harmonies. Oui ! s’abîmer dans la prière c’est se construire, chaque jour dans l’Amour. Amen !
Bruno LEROY.
19:59 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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01/11/2008
AU MOMENT DE NOTRE MORT.

En nous invitant aujourd’hui à prier pour nos frères défunts, l’Eglise nous appelle aussi à lever notre regard au-delà de la réalité douloureuse de la mort vers les réalités d’en haut, à nous laisser renouveler dans l’espérance de ressusciter un jour dans le Christ pour vivre de la vie même de Dieu.
Aujourd'hui, il est devenu difficile de parler de la mort car notre société marquée par le bien-être et l’hédonisme a tendance à occulter cette réalité. La seule pensée de devoir mourir un jour angoisse et beaucoup préfèrent l’éliminer de leur champ de conscience. Il est vrai qu’« en face de la mort, comme le rappelle le Concile Vatican II, l'énigme de la condition humaine atteint son sommet» (Gaudium et spes, n. 18).
A ce titre, les textes de la liturgie de ce jour sont particulièrement significatifs. Le livre de la Sagesse nous dit que ce qui fait la valeur d’une vie, ce ne sont pas le nombre des années, « c’est une vie sans tâche », fut-elle courte car « la sagesse surpasse les cheveux blancs ». Face à la révolte et l’incompréhension qui peuvent habiter le cœur de l’homme devant la mort de quelqu’un de jeune, l’Ecriture déclare que c’est « Dieu qui l’a repris pour que le mensonge n’égare pas son âme ». Non pas pour nous dire que Dieu aurait provoqué la mort mais pour nous révéler qu’il veille sur nous et ne nous abandonne pas jusque dans notre mort : « Les gens voient cela sans comprendre ; il ne leur vient pas à l’esprit que Dieu accorde à ses élus grâce et miséricorde, et qu’il veille sur ses amis ».
« Même s’il meurt avant l’âge, le juste trouvera le repos » : Non seulement, Dieu ne lâche la main à personne au moment de la mort mais il promet à chacun le repos et la vie éternelle dans la mesure où il nous trouvera juste. Attention à bien interpréter ici ce que signifie « être trouvé juste ». Nous devons nous rappeler que dans la Bible est déclaré juste celui qui est ajusté à la volonté de Dieu c’est-à-dire orienté vers lui par toute sa vie.
Au moment de notre mort, il y a donc bien un jugement qui nous attend. Mais ce jugement particulier c’est finalement nous qui en serons les responsables. Il ne s’agira pas d’un moment où Dieu nous rétribuera en fonction du poids de nos bonnes actions. Non, car la volonté du Père c’est que le Fils ne perde aucun ceux qu’il lui a donnés et qu’il les ressuscite tous au dernier jour . Il s’agira d’un moment où nous aurons rendez-vous avec la miséricorde divine, aussi pécheur que nous soyons, et où nous serons appelés à l’accueillir mais cette fois-ci d’une façon définitive car nous ne nous trouverons plus sous le régime de la foi. C’est ici que se scellera d’une façon définitive l’orientation de fond que nous aurons voulu donner à toute notre vie. Même si nous ne pouvons douter de la puissance de Dieu qui se déploie jusque dans sa miséricorde envers le pécheur le plus endurci, nous devons quand même nous rendre compte que les choix que nous posons durant notre vie terrestre orientent déjà le choix définitif que nous poserons au moment de notre mort. C’est dans ce sens qu’il nous faut lire la deuxième lecture de ce jour et particulièrement sa finale qui déclare : « Chacun de nous devra rendre compte à Dieu pour soi-même. »
Alors selon que nous aurons accueilli la lumière ou préféré les ténèbres nous nous retrouverons lumière ou ténèbres. Nous percevons donc ici toute l’importance de prier pour nos frères défunts afin qu’ils puissent accueillir dans la définitivité la miséricorde infinie de notre Père céleste qu’il nous a rendue accessible en son Fils unique, lui en dehors de qui personne ne peut aller vers le Père.
Forts de notre foi en la victoire de Jésus ressuscité sur la mort et le péché, et unis à eux dans une même espérance de ressusciter en Christ pour vivre éternellement de l’Amour de Dieu nous voulons prier avec eux ces paroles du Psaume 24 : « Rappelle-toi Seigneur, ta tendresse, ton amour qui est de toujours. Oublie les révoltes, les péchés de ma jeunesse ; dans ton amour de m’oublie pas… Vois ma misère et ma peine, enlève tous mes péchés. Garde mon âme délivre-moi ; je m’abrite en toi : épargne-moi la honte. »
Bruno LEROY.
18:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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29/10/2008
LE DIMANCHE UN JOUR COMME LES AUTRES ?
11:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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27/10/2008
SOEUR EMMANUELLE OU LA RÉVOLTE DE L'AMOUR.
19:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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10/10/2008
BRUNO LEROY REBELLE DE L'AMOUR.
Les adultes doivent redevenir des militants de la Vie, des humains qui refusent de se taire face à toutes injustices. Nous devons être des révoltés permanents, des rebelles et des révolutionnaires qui ne laissent pas les autres décider à notre place de notre positionnement dans la société. Notre exemple du refus de la pensée unique ne sera que profitable aux jeunes qui trouveront des modèles identificatoires. Par esprit révolutionnaire, je n'entends pas celui qui use d'un comportement irresponsable, c'est le contraire que j'affirme. Il est temps que nous retrouvions les sources vives qui nous animent et alimentent notre conscience pour acquérir cette autonomie qui fait fleurir l'Amour au fond de nos cœurs. Ainsi, nous serons des êtres de lumière vers lesquels les autres viendront éclairer leurs propres pensées. Soyons des rebelles qui refusent l'argent comme ultime raison de vivre et des révolutionnaires de l'Amour qui transpirent d'une spiritualité invincible et contagieuse. C'est une question de survie et d'avenir pour les jeunes et notre société tout entière.
Bruno LEROY.
22:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer |
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