21/04/2006
Suis-je un frère ou une soeur de ce monastère invisible ?
L'Abbé Paul Couturier écrivait en 1944 : "si chaque jeudi soir, commémoraison hebdomadaire du Grand Jeudi, une multitude toujours plus grande de chrétiens de toute confession formait comme un immense réseau (Net for God !) enserrant la terre, comme un vaste monastère invisible où tous seraient absorbés dans la prière du Christ pour l'Unité, ne serait ce pas l'aube de l'Unité chrétienne qui se lèverait sur le monde ? N'est-ce pas cette attitude d'Emulation spirituelle sincère, profonde, ardente, que le Père attend pour réaliser l'Unité visible ? "
Ce Monastère Invisible de l'Unité est "constitué par l'ensemble des âmes, à qui l'Esprit-Saint a pu faire connaître, d'une connaissance intime, parce qu'elles ont essayé de vraiment s'ouvrir à sa flamme et par elle à sa lumière, le douloureux état des séparations entre les chrétiens, et en lesquelles cette connaissance a engendré une permanente souffrance, génératrice d'une habituelle prière et pénitence Le nom de Monastère convient à cette totalité, puisque la même souffrance, les mêmes désirs, les mêmes préoccupations, la même activité spirituelle, le même but rassemblent dans le coeur du Christ cette multitude venue de toutes les nations. La clôture n'en est autre que l'inhabitation dans le Christ priant pour l'unité."
"Ces chrétiens se sont consacrés, sous l'attrait de l'Esprit-Saint, au grave labeur de l'Unité" Mus par le même désir, la même souffrance, la même flamme et la même ardente supplication, ils vivent unis dans le Christ, cachés dans le secret de Dieu Ils ont expérimenté que Dieu unis les chrétiens dans un même amour avant de les unir dans une même Foi".
Ai-je cette même expérience ?
Suis-je prêt à me " consacrer au grave labeur de l'Unité" ?
Ai-je envie de m'engager dans un travail et une prière pour l'Unité et la paix dans le monde ?
Source : Communauté du Chemin Neuf
Visiter le site : www.chemin-neuf.org |
21:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
10/04/2006
TOUT FAIRE POUR RATER TA VIE !
1. Ignore ta santé
Ne dors pas suffisamment ; ne prends pas le temps de faire de l’exercice ; ne mange pas équilibré ; reste en ville. Ta résistance diminuera et tu seras plus susceptible d’attraper tous les petits rhumes et autres virus qui traînent, qui te donneront – oh joie !- des tas d’occasions d’être en congé maladie. Surtout, tu réussiras moins tes études et te sentira au bout du compte moins épanoui(e). Notre rythme de vie stressant, rapide, nous fatigue et diminue nos forces et est responsable dans certains cas de maladies et de décès. As-tu remarqué que lorsque quelqu’un achète une nouvelle voiture, il l’amène à toutes les visites de maintenance, il met la quantité nécessaire d’essence dans le réservoir, il la garde (pour certains !) propre. Qu’en est-il des hommes ?
2. Ne prends pas le temps de voir tes amis et ta famille
Prenons l’exemple d’un écureuil, occupé à ramasser des noix et à les amasser d’un côté d’un tronc d’arbre, alors que de l’autre côté une personne fait un trou pour récupérer toutes les noix. L’écureuil est si occupé à travailler qu’il ne se rend même pas compte de la menace qui pèse sur lui. En moyenne, une personne en activité passe moins de deux minutes par jour à discuter de façon constructive avec son partenaire, et moins de trente secondes à parler avec un membre de sa famille ou des amis. Dans nos grandes villes, la moitié des mariages finit en divorce et la première des raisons est un manque de communication. Si tu es étudiant, tu as le temps de voir ta famille et d’être avec des amis. Mais le rythme des études fait que vite chacun est très occupé et voilà : la mauvaise habitude est prise, qui va durer dans la vie active. Surtout, si tu veux finir mal, ne prends pas le temps de vivre, cours sans cesse d’une activité à une autre, ne prends pas le temps de te poser ni de réfléchir à ta vie.
3. Ne t’occupe pas de tes finances
Si tu es étudiant, pourquoi se mettre à faire des économies ? Ta famille ou des bourses subviennent à tes besoins de toute façon. Le « hic », c’est que beaucoup trop de personnes se retrouvent dans leur vie avec un déficit financier ou dépendent d’une façon ou d’une autre des aides du gouvernement ou de leur famille. Les bonnes habitudes s’acquièrent le plus tôt possible. Il est très difficile de changer après. Et combien d’entre nous arriveront à vivre la vie qu’ils veulent ? Il est plus fréquent de vivre sa vie parce qu’il le faut (d’une certaine façon).
4. Garde-toi de te développer intellectuellement
Tu révises, tu travailles pour avoir ton diplôme ou ton année. Et après ? Tu n’auras peut-être plus envie de mettre les pieds dans une bibliothèque pour y chercher un livre. Tu auras à peine le temps de souffler si tu travailles (quoique les 35 H changent les choses). La télé est si facile à regarder ! Les trois-quarts des livres en librairie sont achetés par 5% de la population. Les autres les achètent pour les offrir ; ils ne les lisent pas. Contente-toi de ce que tu sais déjà, en espérant que tu as rempli suffisamment ton réservoir intellectuel pour garder tes connaissances toute ta vie : les responsables politiques et les médias t’en sauront gré. Il est plus facile de gouverner des ignares que des intellectuels.
5. Laisse le monde décider de tes choix
Suis les conseils des médias et de la masse, sur ce que tu devrais faire dans ta vie, même si tu n’es pas d’accord avec leur façon de vivre ou ce qu’ils font. Sois toujours conscient de ce que pourraient penser les autres de toi. Cherche toujours à avoir l’approbation des autres et agis en conséquence. Sois rassuré par le fait que s’il manque dans ta vie un « leader », une personne qui déciderait de la façon la plus facile pour toi de t’occuper, quelqu’un viendra vite prendre cette place et te dire ce qu’il y a à faire. Sais-tu que si les gens pardonnaient ou se savaient pardonnés, s’ils agissaient selon leur conscience au lieu de suivre le mouvement, les hôpitaux psychiatriques et les prisons se désempliraient à vue d’œil et les consommations d’anxiolytiques ou d’antidépresseurs chuteraient vertigineusement. Mais, chut, n’en parlons pas ; c’est mal vu !
6. Surtout ne cherche pas à t’améliorer
Ne cherche pas à changer les circonstances de ta vie, ne cherche pas ce qui ne t’est pas familier. Si tu as choisi de faire des études qui finalement ne te plaisent pas, ne pense pas à changer. Reste dans la même voie. Ne prends pas les occasions et ne cherche pas les possibilités offertes par la vie pour être mieux. Fais uniquement ce que tu veux, quand tu veux. La discipline, ça fait mal, c’est trop contraignant. Et comme dit Sartre : « l’enfer, c’est les autres » ; en quoi est-ce moi je me remettrais en question ? Finalement les plus heureux sur terre sont ceux qui ne pensent qu’à eux. Bon d’accord ils sont un peu seuls et pas si en paix que ça à l’intérieur…
7. Évite de consacrer du temps à ta spiritualité
Ne te pose pas de questions sur la vie après ta mort, ni quel est le sens de ta vie. Regarde tous les moutons autour de toi, ils vivent bien ; ça sert à quoi de se poser ce genre de questions ? Laisse les autres y réfléchir à ta place et laisse le système imposer sa vision des choses à la masse. Ne pense pas à Celui qui t’a créé. Existe-t-il seulement ? N’imagine surtout pas qu’il t’aime et veut te connaître…
19:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Les sectes aiment embrigader les enfants.
Les sectes aiment embrigader les enfants, par le biais généralement des parents, et un membre de groupe sectaire sur quatre a été recruté avant l'âge adulte, selon des estimations citées en marge d'un colloque du Groupe d'études sur les sectes de l'Assemblée nationale jeudi à Saint-Priest (Rhône). "Plusieurs milliers d'enfants et d'adolescents sont aujourd'hui dans des sectes. Ils représentent un investissement rentable: ils assurent la relève", a déclaré le député Philippe Vuilque (PS), président de ce Groupe, en présence de 120 personnes. L'assistance compte des députés comme Martine David (PS), Jean-Pierre Brard (app. PCF) ou Georges Fenech (UMP), des avocats et magistrats, des médecins et membres d'associations et... des adeptes de l'Eglise de scientologie qui tentent en vain de placer le débat sur le terrain de la liberté religieuse. Le Groupe d'études travaille à créer une commission d'enquête parlementaire sur les sectes et les enfants, victimes d'embrigadement et de sévices allant jusqu'à l'esclavagisme et aux abus sexuels. 50.000 enfants sont victimes d'emprise sectaire sur 700.000 adeptes
Anne Fournier, conseillère à la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a cité des exemples: un adolescent de 17 ans, privé d'études sauf pour l'informatique - il s'occupait du site internet de sa communauté -, une jeune fille partie des Témoins de Jéhovah désespérée, y laissant sa soeur. Elle a évoqué aussi deux "nomadisés" et déscolarisés dans le Grand Nord canadien avec Ecoovie, un garçonnet recevant "l'âme" de Jean Vilar dans un cercle Allan Kardec, un "enfant indigo" (Kryeon) retiré du circuit scolaire, d'autres abusés sexuellement pour "l'initiation au plaisir" (Raël). "On n'a pas d'exemple d'enfant qui s'en soit bien sorti, a-t-elle. Adultes, ils continuent à avoir des carences, des difficultés d'insertion". Les sectes investissent l'enseignement par correspondance, le soutien scolaire ou les loisirs, a souligné Daniel Groscolas, inspecteur général honoraire de l'Education nationale et président du Centre de documentation, d'éducation et d'action contre les manipulations mentales (CCMM). Selon les participants, l'arsenal législatif semble suffire, renforcé par la loi About-Picard (2001) qui permet d'inquiéter les "gourous" pour manipulation mentale ou la loi de 1998 sur le contrôle de la scolarité. Mais il devrait être appliqué plus strictement, avec une politique de prévention et une formation pour les juges qui tranchent sur des gardes d'enfants. Le président de la Miviludes Jean-Michel Roulet, qui s'apprête à remettre son rapport annuel, a admis "les insuffisances de l'action de l'Etat, pas suffisamment coordonnée et pas suffisamment efficace", ajoutant: "Nous avons le devoir de porter assistance aux personnes en péril". | |
Source : La Croix |
10:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |