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25/03/2015

Il fuit votre regard comme il fuit la Vie.

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D'abord le regard, ce miroir de l'âme où se reflètent les joies, les angoisses et les blessures. Dans ces deux perles vous pouvez découvrir des centaines d'émotions exprimées ou non. Vous pouvez savoir également si la personne emploie un langage de vérité ou se noie dans ses propres mensonges. Les regards qui vous évitent en fait, évitent de montrer leurs fragilités. Ce sont des personnalités peu structurées intérieurement qui refusent de vous regarder dans les yeux. Il ne s'agit nullement de juger mais, de comprendre. Ne point vous fixer, c'est désirer vous échapper. L'individu refuse de s'agripper au rocher vivant des réalités.
Il fuit votre regard comme il fuit la Vie.
 
Les lèvres peuvent se pincer aux événements qui surviennent. Ces deux fruits de velours peuvent exprimer l'approbation, l'inquiétude, l'incertitude, le mépris... Ce sont des lèvres muettes qui parlent sans bruit.
Elles balbutient avec un mutisme révélateur les sentiments que le corps transmet. A nous de contempler leurs moindres frissonnements.
Les joues s'empourprent de timidité, de honte, de mal-être, d'incertitudes d'être soi. Souvent, nous les voyons écarlates et lorsqu'elles deviennent neigeuses, la peur les envahit d'une froideur insoupçonnée.
 
Le front laisse loger les doutes, les colères rentrées ou nous fait découvrir l'immense relaxation de la personne. Le front relâché abandonne ses tensions internes au temps ensoleillé. Lorsqu'il est froissé, c'est que le cœur en est tout autant.
Le visage et notamment les yeux sont les premiers organes avec lesquels nous entrons en relation. Imaginez une personne entièrement silencieuse qui vous demanderait d'interpréter ses ressentis.
Travail de longue haleine et pourtant, de l'ordre de la possibilité pour qui sait observer, sans juger.
En effet, quels sont ces critères à la con qui nous font estimer l'esthétisme d'un visage. Nos esprits sont formatés par les médias qui se permettent de penser pour nous.
Or, en tant que chrétien, je refuse qu'un organisme quelqu'il soit, même vénérable, puisse émettre quelques jugements sur la façon d'appréhender mes Frères et Sœurs en Humanité.
Je suis suffisamment adulte et responsable pour aimer même le plus vil individu qui habite sur cette terre-mère, qui est également la sienne.
Je ne laisserai jamais conduire mes estimations, mes amitiés, mes fraternités par des médias de presse, de télévision ou de radio qui tentent de me mouler dans la cire des conformismes ambiants.
 
Le visage humain est un paysage sur lequel nous pouvons demander à l'Esprit-Saint de nous révéler toutes les aspérités ou luminosités.
Ceci peut sembler futile au prime abord. Mais, sachez qu'une rencontre avec une autre personne devrait ouvrir notre cœur au feu de la prière. Prière silencieuse qui submerge d'Amour l'individu rencontré.
Et vous constaterez que vos relations s'en trouveront étrangement modifiées. Que vous soyez Directeur, ouvrier, chômeur ou retraité ; la découverte d'une nouvelle personne est souvent source d'inquiétude.
Mais, si vous savez lire dans le regard d'autrui. Il faut savoir que votre interlocuteur fait exactement la même chose.
Les lectures sont différentes, c'est tout.
 
La prière permet de pénétrer dans un regard sans le violer. Toute la Tendresse de Dieu se dépose doucement en vous pour éclabousser les autres. Je persiste à dire qu'une rencontre doit inciter à prier.
Mettre Dieu ruisselant d'amour au sein de nos relations même les plus conflictuelles. Voilà, le secret que le chrétien détient de son expérience spirituelle.
 
Cela donne une intensité nous faisant plonger dans les murmures de l'âme de notre prochain.
Nous sommes ainsi, plus attentifs davantage à l'écoute. Nous pouvons constater les yeux s'humidifier de larmes d'un ami qui laisse tomber son masque. Le sourire éclairer soudainement un visage éteint.
 
Nous pouvons gravir tous les sommets de l'humanité, en la contemplant avec les yeux de Dieu.
Mais, pour visiter tous ces paysages, il nous faut une allure apaisée. Soyez en vous-même un lac calme qu'une brise légère vient caresser. Soyez un médicament, une sorte de benzodiazépine, d'anti-dépresseur pour vos Frères. Je puis affirmer que cela est nécessaire lorsque notre Ministère s'exerce au milieu des plus blessés, des plus meurtris de la Vie.
Retrouvez la gracieuse lenteur du geste sûr et affirmé. Quant à vos réponses et vos attitudes, seule l'authenticité donnent pureté et fraîcheur dans les rapports humains.
 
Quant à ce que vous devez répondre, les grâces de l'Esprit-Saint vous insuffleront ce qu'il faut dire. Ne vous inquiétez point.
Contentez vous d'admirer la beauté du paysage. Ces visages que Dieu dans son indicible Amour vous donne pour que vous décryptiez derrière les non-dits, les blessures qui s'ouvrent au grand jour.
 
Nous sommes des animaux sociaux qui vivons sur la planète Terre pour nous comprendre, nous aider, nous aimer mutuellement.
Un jour sans amour est un jour perdu pour toujours. Ne l'oublions jamais !
 
Bruno LEROY.

09:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

24/03/2015

Hymne à la Vie dans l’Esprit.

 

 

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L’Amour est cette sève qui nous vient de l’Esprit-Saint. Christ est là pour nous rappeler l’importance de Son action dans nos vies si misérables, sans dimension spirituelle. Les charismes de l’Esprit sont essentiellement de mettre notre confiance en Dieu et, en Lui seul. Le manque de confiance génère l’angoisse, la peur, l’indifférence et l’insoupçonnable individualisme consistant à se penser indispensable. L’Esprit est ce Souffle qui nous mène sur les chemins divers de l’imprévu. Tant que notre mystique reste basée sur l’Amour Universel, nos craintes n’ont aucune prises sur les pauvres hères que nous sommes. Souffle qui donne une respiration nouvelle à notre Existence. L’Esprit, nul ne sait où Il va et pourtant, notre devoir de chrétiens ( nes ) est de Le suivre dans ses moindres pas.

 

Il reste notre soleil intérieur, lorsque la tempête veut bouleverser nos horizons paisibles. Il nous bouscule telle une flamme qui nous consume dans la joie de sa présence. Il renverse les tables des marchands pour faire table rase de nos superficialités. Il nous inculque les valeurs existentielles qui nous permettent d’avancer contre vents et marées. Tous les jours que Dieu fait, Son Esprit nous invite au festin de Ses desseins. Bien-sûr, tout cela en fonction de nos dons et de notre intensité de prière.

 

 

Oui, c’est un Hymne à la vie dans l’Esprit, une existence vécue à l’infini de nous-mêmes. Celle qui nous fait dépasser toutes frontières, tous formalismes pour entrer dans la pâte Humaine et donner la Lumière qui habite nos âmes. Mon Dieu, grâce à Ta présence d’Amour et la persévérance de nos prières, dans cette contemplation-action, nous donnerons un visage habité d’Espérance dans ce monde qui en manque tragiquement. Ce combat spirituel est devenu plus que nécessaire en nos sociétés de culture de mort, Frères et Soeurs, prions afin que Dieu nous ravive de sa fraîcheur aimante.

 

 

 

Bruno LEROY.

11:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

18/03/2015

Les soins palliatifs pour s'éteindre dignement au crépuscule de la Vie.

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La philosophie des soins palliatifs se base sur une équipe de soins formée de médecins, infirmières, aides de soins, agents de pastorale, psychologue et de très nombreux bénévoles, tous en interaction les uns avec les autres et tous en relation directe pour et avec le malade. Assister et compléter la présence et l'action de la famille et du personnel soignant sans se substituer à l'équipe de soins et sans s'identifier à la famille. Ce rôle vise, essentiellement à assurer le bien-être du malade et de ses proches au sein de la maison qui se veut avant tout accueillante.

 

Ce rôle peut être tenu soit directement auprès du malade et de ses proches soit plus indirectement - ce qui ne signifie pas une approche moindre, ou moins riche - en contribuant ou en apportant un « plus » au fonctionnement des divers secteurs de la maison. le malade et son entourage sont au centre des préoccupations de toute l'équipe du foyer. - Le malade est une personne qui a une valeur incalculable et dont la dignité est inaliénable. Sa vie possède un caractère sacré, précieux, voire mystérieux.

 

C'est en raison de ces caractères que le recours à l'euthanasie est étranger à nos pratiques de soins. - Même en fin de vie, le malade reste une personne qui peut faire face à ses besoins sur le plan physique, psychologique, social, affectif et spirituel. - La mort est une étape naturelle de l'existence, étape dure et confrontante, pendant laquelle le malade et sa famille ont droit de bénéficier du soutien approprié de tout le personnel et des bénévoles. - Le malade en fin de vie est une personne vulnérable qui doit être protégée dans tout ce qui peut porter atteinte à ses droits et à ses besoins. - Le malade a le droit d'être aidé à améliorer la qualité de vie qui lui reste par le soulagement de la douleur et de la souffrance globale et par un accompagnement le meilleur possible pour lui-même et ses proches. - Le malade a le droit d'être respecté dans toutes ses décisions, ses choix, ses modes d'expression et dans son cheminement personnel, philosophique et religieux.

 

Partant de cette philosophie, le bénévole réalisera sa mission en collaboration étroite avec le personnel professionnel pour répondre au mieux aux besoins multiples du malade et de sa famille. L'attitude du chrétien (comme celle des autres personnes, d'ailleurs) sera primordiale pour créer le climat d'accueil, d'écoute, de respect et de chaleur humaine. Une attitude prévenante, discrète, en veillant à se présenter au malade et à sa famille, en respectant leur intimité, sont autant de qualités qui marqueront un esprit de service et un climat de vérité et d'authenticité pour le plus grand bien des malades et des proches. La réponse aux besoins directs du malade ou de sa famille : - besoin de présence ou d'intimité, - besoin d'aide matérielle exprimé, perçu ou deviné, - besoin de comprendre plus profondément une détresse cachée derrière des demandes répétées, - besoin de confidence, demande une grande part d'attention, de sensibilité et de tact et cela est d'autant plus important et exigent avec les malades confus ou apparemment absents.

 

 

Tous les membres de l'équipe interdisciplinaire travaillent dans un climat basé sur : - l'information - l'ouverture d'esprit - la confiance et le respect réciproque - la participation active - la discrétion et le secret professionnel Enfin, au sein de l'équipe, la confiance, le respect réciproque, la sympathie et la disponibilité assureront la cohésion de l'équipe et la motivation de chacun. Accepter d'accompagner des malades en fin de vie est une décision engageante vis à vis du projet de la maison, vis à vis de tous les membres de l'équipe et vis à vis des malades.

 

 

Bruno LEROY.

20:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Savourer les petits bonheurs de la Vie.

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Il est des jours emplis de douceur où la paix vient habiter le cœur. Puis, la joie indicible jaillit de chaque extrémités du corps. C'est en cela que nous savons la présence ontologique de l'Esprit-Saint en nous. Tout ce qui paraissait terne devient lumineux dans un enchantement venu des tréfonds de l'âme.
Tout cela explique cette allégresse débordante sans être hystérique, que nous vivons chaque jour à chaque instant.
Écouter de la musique est un ravissement pour l'esprit.
Lire un livre est un enrichissement pour l'esprit.
Marcher sur l'herbe mouillée est une grâce pour le corps.
Courir dans les caresses du vent est une splendeur pour l'esprit et le corps.
Tous les problèmes insurmontables semblent s'éteindre soudainement.
Ce n'est guère une illusion, ils sont morts au profond de la mémoire.
Notre attention est fixée et non figée sur les beautés de la vie. Et sur l'amour que Dieu dépose en nous.
Nous devons cultiver notre regard pour en extraire la quintessence de l'espérance chrétienne.
Être heureux ne signifie pas que nous oublions ceux et celles qui souffrent, au contraire.
Nous voici aptes aux plus âpres combats contre les injustices criantes et les oppressions des peuples muselés.
Essayons de chercher le bonheur dans le cœur de Dieu pour réchauffer les victimes de la crise.
Ceux qui sont tombés du train rapide, trop violent de nos sociétés mercantiles.
Puissions-nous chaque instant de notre humble existence, ne jamais oublier que ces autres sont prioritairement nos frères et nos sœurs en Christ.
Nous avons trop tendance à l'ignorer souvent de peur d'être ramenés à la triste réalité.
Celle que nous pouvons assumer par la prière, la foi et l'espérance en un avenir meilleur.
Dieu a besoin de nos bras, nos mains, notre cerveau pour bâtir le monde de demain.
Il peut compter sur moi et sur nous, porteurs d'une spiritualité incarnée.
 
Bruno LEROY.

09:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

11/03/2015

A la recherche de la paix intérieure.

 

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Autrefois, lorsque j’étais à l’école, nous faisions le pacte du sang, entre amis. Nous échangions quelques gouttes de notre sang pour nous promettre une amitié à vie.

Puis, le temps passe, laissant derrière lui des souvenirs que l’on estime infantiles, et les promesses s’effacent. Notre existence et parfois ses tracas, tout au moins ses turpitudes, nous fait marcher au rythme de l’oubli. Nous oublions les relations passées entre amis vrais, comme étant dépassées. Jusqu’au jour où celui-ci vous rattrape,quand vous apprenez, ce qui m’est arrivé il y a quelques jours, qu’un de vos meilleurs amis d’enfance est en train de mourir sur un lit d’hôpital. Alors, le passé revient comme une douce nostalgie avec ses bons et mauvais moments.

Puis, le regret de ne pas être suffisamment présent à ceux et celles qui nous entourent. Aimons-nous vivants avant que la mort nous trouve du talent. Bien-sûr, il y eût des insultes et des gens peu fréquentables. Avaient-ils leurs raisons ou est-ce un comportement de leur déraison. Inutile de juger un passé qui est mort et enterré. Allons de l’avant en aimant chaque être rencontré, comme étant un reflet de Dieu.

Bien-sûr, il nous faut cautériser ces blessures qui nous empêchent de respirer et surtout, d’ouvrir grand nos bras à ceux qui viennent. Nous ne pouvons vivre paralysés dans nos sentiments, nos rancœurs et nos peurs ; par de pâles visages du passé. Pourrons-nous pardonner et nous pardonner. Seul, Dieu peut nous redonner ce soleil intérieur qui nous rend brûlants d’Amour dans toutes nos relations. Cessons de voir les autres comme des ennemis potentiels. Les autres vivent sur le même bateau que nous avec des valeurs différentes.

Mais est-ce à nous de juger ? Entrons dans la prière qui nous donnera le discernement de l’Esprit-Saint. Dieu est Amour et ne saurait nous conseiller des relations haineuses, celles-là viennent de Satan le diviseur. Nos relations harmonieuses nous les devons à Dieu. Même s’il nous arrive de vouloir dire certaines vérités aux personnes qui se comportent mal à notre égard ; puissent-elles être inspirées par la prière. Dieu nous guérit de tout et notre passé est mort à ses yeux. Donnons cette chance aux autres également. Toujours guidés par la prière nous serons à l’écoute des autres et à même de les aider s’ils souffrent. Demandons à Christ des relations authentiques, comme Il savait si bien le faire. Le monde est basé sur le relationnel et non sur des jugements hâtifs. Que Dieu nous aide à cheminer avec les autres en toute amitié. Qu’Il nous aide aussi à dépasser cette amitié pour nous sentir Frères et Sœurs en Christ. Alors, le monde deviendra meilleur et les hommes fraternels. Demandons à Dieu l’impossible, Lui le maître de l’Impossible. Demandons Lui par de ferventes prières que notre monde ne sombre point dans une haine sans nom. Que notre prière éclaire nos relations pour leur donner toute la densité de la Fraternité. Ce regard fraternel, lorsque nous abordons les gens doit être clair et plein de Vérité. Frères et Sœurs, commençons aujourd’hui, demain il sera peut-être trop tard.

N’attendons pas que la terre devienne un immense brasier de guerres pour commencer à nous Aimer. Oui, demain, ce sera déjà trop tard et peut-être perdu à jamais. Amen !

Bruno LEROY.

12:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

09/03/2015

Cette Joie profonde que Tu fécondes.

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Tu es présent dans mon cœur d’enfant même lorsque ton absence aléatoire fait comme un cratère de volcan en éruption. Le feu est alors confiné dans mon corps telle une vive chaleur qui me brûle de toi.

Je me consume en Toi car, tu es moi dans mon espace intérieur. Tu te consumes au bout de mes lèvres ta brume obscure me remplit de fièvre. Tu es l’Amour dont le visage rayonne chaque jour que tu construits. Vivre sans toi serait pure illusion chimérique.

Tu es le battement de mon âme quand mon âme te rejoint. Quand mon sang cessera dans mes veines, Ton âme infiniment deviendra mienne. Dès que le soleil se lève ton regard illumine mes jours.

Je sais que tu seras là pour nourrir plus en avant notre Amour. Tu es l’expression quintessencielle de la tendresse, celle donnée sans retour. Gracieusement par Amour.

Tu incarnes pour moi l’Amour pur, parfait, exemplaire imitable à l’infini. Je t’Aime pour ces superbes roses que tu cultives au jardin de mon être. Leur parfum embaume mes gestes les plus simples ou les plus insipides. Tu es la senteur du printemps qui fait germer les fruits à venir. Tu viens dans mon présent pour détruire mon passé et projeter un nouvel avenir. Je t’Adore pour le bonheur que tu m’offres quotidiennement tel un cadeau illimité dans le temps. Cette Joie profonde qui féconde ma vie trop souvent vagabonde. Tu es la Force qui me tient debout telle une flamme que le vent ne fait pas vaciller.

Je vis l’instant présent grâce à ta radieuse présence de chaque instant. Tu habites en moi comme un prolongement de mon humanité. Je t’Adore pour cette conscience plus sereine que tu m’offres. Moi, l’enfant fougueux aux mille colères tu apaises mes guerres. Je t’Aime tellement que le ciel n’est plus assez grand pour loger mon Amour. Voilà pourquoi je te porte toujours en moi comme pour me rassuré de voir l’éternité avec tes yeux. Ton regard est devenu le regard que je porte sur notre Humanité. Tu me fais découvrir tant de merveilles nouvelles, chaque jour, chaque seconde.

Ma vie sans toi serait une erreur, un malheur indicible. Ton Amour abreuve mes désirs de boire à la source de ta Vérité. Je ne saurai vivre sans t’aimer, sans te contempler, sans t’admirer. Tu es l’habitant unique de mon paysage intérieur et extérieur. Tu es le Souffle qui m’emporte vers des rivages insoupçonnés. Tu es l’Amour je suis la porte qui te laisse entrer en moi à jamais. De toutes éternités...

Bruno LEROY.

08/03/2015

La foi est refus de ce monde abîmé.

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Jésus a communié à notre souffrance jusque sur la Croix. Mais sans résignation. Il n'est pas venu nous dire de tout supporter patiemment avec pour seule consolation sa présence. Nul compromis ni demi-mesure dans l'histoire de Jésus, mais une ardeur de vivre et un élan irrésistible. La foi chrétienne n'est pas dolorisme mais volonté de prendre la vie à bras-le-corps pour que la joie éclate en une symphonie toujours nouvelle.

Jésus ne pouvait admettre la misère de ces pauvres hères qui traînent leurs infirmités depuis des années. Il ne pouvait tolérer que la mort déchire le tissu de tendresse tissé au fil des jours entre une veuve et son fils unique. Comment se réjouir du soleil qui inonde les champs de blé et les vignes tandis qu'un aveugle jamais n'a vu la lumière ? Ses nuits de prière étaient peuplées par tant de boiteux que la musique ne peut faire danser et tant de sourds que le chant de l'oiseau n'égaye pas. Il a arraché les barreaux qui enfermaient la pécheresse dans un cachot de jugements. Il a rejoint le lépreux que la loi et les coutumes avaient mis au ban de la société. Il s'est tressé un fouet de cordes pour balayer tous les marchandages dont nous badigeonnons Dieu et purifier nos ambiguïtés.

Jésus était un révolté et, comme tant d'autres, il l'a payé de sa vie.

 

Rien n'a éteint le feu qui brûlait en lui. Il a été jusqu'au bout de sa révolte...à la face de Dieu : " Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? ".

Écoutez son cri qui ne fait qu'un avec toutes les misères du monde, avec toutes les angoisses et les déceptions humaines. Écoutez-le qui expire au coeur de toutes nos détresses, dans notre nuit de solitude. Entendez le cri de cet homme aux prises avec le mal et la mort.

 

Mais dans ce cri jeté à la face de son Père, il y a la Foi, la vraie ! Ne faut-il pas beaucoup de confiance pour crier à quelqu'un sa révolte ? Peut-on mettre à nu sa douleur devant n'importe qui ? Jésus savait bien que Dieu ne peut pas nous abandonner, même si toutes les apparences sont contre nous, car il est un Dieu de fidélité. Déjà une lumière s'annonce à l'aurore de l'horizon. Et le matin de Pâques ne l'a pas déçu.

 

Jésus a eu raison de crier vers Celui-là. Car Il écoute la colère de l'homme et Il n'est pas insensible. Jésus savait ce qu'il faisait en soupirant vers son Père. La foi est un refus de ce monde abîmé, refus plein d'une confiance parfois douloureuse, toujours mystérieuse. Et Dieu répond. Souvent il semble n'y avoir que le silence, un silence long comme un samedi-saint coincé entre la douleur de la Croix et la joie de Pâques. Mais Dieu répond toujours. Notre révolte est celle même de Dieu. " La foi, disait Karl Barth, est un désespoir confiant ". C'est l'amitié pour les exclus qui nous fait prendre le chemin de l'Espérance...

 

 

Bruno LEROY.

11:29 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/03/2015

S'INDIGNER POUR SAUVER NOTRE DIGNITÉ.

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Le bonheur vient frapper à ta porte. Mais tout était fermé en toi et tu n’as pu l’accueillir. Pour savourer la douceur de la joie profonde, il faut être intrinsèquement libre. Libre de quoi, de qui ?

Libre de toutes ces extériorités qui nous engendrent dans le paraître et non dans l’être. Libre de toutes les lois humaines en les assimilant, les intériorisant pour mieux le vivre. Sans avoir cette tentation constante de les transgresser sous prétexte qu’elles ne font pas partie intégrante de notre être. Il faut en goûter l’amertume puis l’accepter intérieurement pour ne pas recracher immédiatement. Vous allez me dire, à juste titre, qu’il s’agit d’une soumission à une société qui nous formate. Et je vous répondrai que je vous propose la recette pour ne pas sombrer dans ce formatage de l’esprit. Celui qui atrophie tout discernement raisonnable. Sinon, vous ne pourrez jamais vous prétendre libres et debout. Vous demeurerez dans l’irrationalité de codes sociaux qui ne vous parlent plus, parce qu’ils ne vous ont jamais parlés. Parce qu’ils vous sont totalement étrangers.

Le rebelle qui veut défendre ses convictions. Des Lois inhumaines qui tuent toute Dignité. Ce rebelle dont Dieu et les Hommes ont besoin pour établir une civilisation de l’Amour doit savoir sur quel terrain ses pas avancent. Il ne doit pas être dans la brume de l’ignorance. Sinon, il deviendra vite un mauvais serviteur. Un exécrable Apôtre du Christ qui ne sait pas même où il va. Non, la révolte nécessairement spirituelle porte l’étincelle d’un feu d’amour et de compréhension pour l’Humanité souffrante. Il nous faut cultiver notre jardin intérieur. Par la prière, communiquer, parler, s’exprimer avec le Christ qui nous écoute avec certitude.

Mais, qui souvent demeure silencieux pour nous laisser libres de nos propres pensées, parfois actives. Pour changer le visage enlaidi de cette société atteinte du néoplasme du consumérisme. Il faut au prime abord en détecter la suprême Beauté. Nous devons avec nos mains malhabiles creuser et toujours creuser au tréfonds de l’être pour en extraire la quintessence. La divine lumière qui jaillit de son âme blessée. Et l’Esprit-Saint nous aidera dans cette démarche démesurée. La Vierge Marie nous donnera les roses sans épines de la douceur d’appréhender les autres. Et notre ange gardien nous protègera des tentatives de conflits du Malin.

Alors, nous avancerons doucement mais fermement sur le chemin du destin à vivre ensemble. Sinon, nous passerons notre vie à gémir face aux fleuves impassibles. Le rebelle chrétien n’est point un rebellocrate qui se contente de dénoncer en vain. Comme le font certains artistes ou chanteurs médiocres en mal d’inspiration. Non, le rebelle de Dieu est celui ou celle qui ouvre les mains et contemple les tranchées des combats creusés dans ses paumes. C’est celui qui ouvre les bras avec un sourire au bout des lèvres pour affirmer que rien n’est perdu. Aujourd’hui tout commence ou recommence grâce à l’Espérance qui habite les cœurs.

Puissiez-vous acquérir cette force d’aimer envers et contre tout. Et vous deviendrez des combattants de l’Amour et de la Justice. Un véritable rebelle de Dieu qui, chaque jour remet ses heures entre Ses mains. Rassurez-vous, cela est aussi difficile pour moi que pour vous. Notre société nous apprend tellement à humer la facilité. Le combat spirituel en devient une contre-culture que le monde endormi n’apprécie pas. Même si vous n’avez guère conscience de votre rébellion pour le Royaume. D’autres se chargeront de vous le rappeler, parfois violemment. Mais la paix profonde du Christ sera en vous et rien ne vous troublera.

Je vous souhaite cette Force que seul l’Esprit peut donner dans le silence cultivé de l’Adoration où la pensée flotte par-delà le temps sociétal. N’oubliez jamais que les pauvres hères que nous sommes possèdent l’heure. Et Dieu possède le temps. Voilà, pourquoi souvent nous avons souvent cette sensation malsaine, qu’Il ne nous écoute pas et donc ne nous répond pas. Ce qui est faux. Il répond toujours par divers sourires. A nous de les contempler pour en saisir le sens, celui que nous donnerons quotidiennement à notre existence. Dans Sa présence et par Sa présence.

Courage, marchons ensemble, pour devenir des rebelles de Dieu avec, dans l’esprit des flammes de tendresse pour faire de notre planète un chant brûlant d’Amour. Et nous vivrons le Bonheur des rebelles de Dieu.

  

Bruno LEROY.

02/03/2015

Je n'ai plus envie de t'écrire.

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Parfois, je n’ai pas envie de t’écrire. Les mots sont trop lourds pour exprimer des pensées de félicité. Cela prend l’aspect de futiles puérilités. A quoi sert donc de t’écrire mon amour alors, que tu sais les moindres frémissements de mon âme. A quoi sert de me répéter sans cesse en te louant sur la beauté de tes paysages.

Dis-moi, comment permets-tu que des jeunes hommes, voire des enfants meurent en ton nom ? Je sais, je blasphème presque par provocation et sûrement pour attendre une réponse.

Mais tant de misères humaines m’interpellent en ces temps ombragés.

Tu me dis qu’il faut prier, prier et toujours prier pour comprendre le sens des barbaries imposées. C’est ce que je fais mais, ta réponse n’est qu’un lourd silence qui éteint mon ardeur, ma ferveur…

Ô, je pourrais comme certains, ne pas me préoccuper du sort de mon prochain.

Ainsi, je ne vivrais que pour ma gueule tout en ressassant des soi-disant prières qui ne s’adressent qu’à mon Ego flatté.

Je te demande pourquoi le sang coule dans les ruisseaux de nos larmes et nos ressentiments ?

Pourquoi les humains sont-ils devenus des loups qui s’entre-tuent. ?

Tu me dis que cela a toujours existé et que je dois me lever plutôt que me coucher dans mes certitudes.

L’Humain est humain avec ses limites, ses imperfections et ses haines et parfois son amour lorsqu’il transcende une réalité opaque, brumeuse…Quand son brouillard intérieur devient trop pesant, il cherche la signification profonde de son existence.

Soudain, tu te reprends et me murmures doucement sont-ils morts pour rien ceux qui m’adorent au point de ne point craindre la camarde. Celle qui témoigne de la force de ta présence dans l’histoire.

Oui, tu as raison, les fleurs continuent de pousser et de s’épanouir aux endroits des barbaries fomentées.

Le vent continue de souffler malgré les interdits que nous lui infligeons. Et le soleil danse entre les montagnes de nos inconnaissances. Le terrorisme est le fruit pourri d’un manque cruel de culture et de compréhension des textes. Il est absence de spiritualité mais volontarisme d'établir une culture de mort.

Alors, prie, aime et réfléchi sur la construction possible de relations innovantes.

Cela est la mission de ton existence de faire en sorte que le monde tourne rond.

Je t’ai confié la terre et qu’en as-tu fait avec tes égoïsmes accumulés au quotidien.

Ne regarde pas les blessures que d’autres infligent mais, observes tes comportements blessants.

Je te sais responsable avec tous les chrétiens de cette terre aux kyrielles d’inégalités.

Si je te laisse à cet endroit précis, c’est pour témoigner pour mon amour et de ma volonté de paix. Cesse de te plaindre de mes silences quand ton cœur ne trouve pas de réponse. N’oublie pas que je t’ai fait libre pour que tu trouves des solutions avec d’autres, face aux malheurs qui vous assaillent et me blessent aussi.

Je n’ai plus prononcé un seul mot. Je me suis mis à genoux et j’ai prié dans la froideur de la nuit.

Au matin, j’ai compris que je n’avais point rêvé mais, que Dieu me parlait en vérité.

J’ai décidé de continuer ma mission d’apôtre au sein de l’humanité blessée sans négliger les blessures des autres.

Amen !

 

Bruno LEROY.

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01/03/2015

Comment combattre l’exclusion ?

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A travers la Vie du Christ, nous percevons l’attitude à acquérir face à toutes ces situations critiques et inacceptables.

 

Comment combattre l’exclusion ? On ne peut changer la réalité ou lutter contre l’exclusion à partir d’une quelconque disposition intérieure. À ce propos, il serait bon de se rappeler cette phrase si pertinente de Friederich Engels (philosophe économiste), une phrase qui est devenue un maxime populaire avec le temps : « On ne pense pas la même chose selon que l’on vit dans une cabane ou dans un palais ».

 

La simplicité d’une telle affirmation constitue, nous n’en doutons pas, une des expressions les plus lumineuses de la pensée contemporaine. Bien que la vérité soit absolue, l’accès que nous pouvons en avoir ne l’est pas. En d’autres mots, bien qu’un accès à la vérité nous soit possible, il sera toujours conditionné par la réalité elle-même, et aura toujours un caractère relatif. Jamais cet accès ne sera neutre et inconditionnel, et cela malgré les meilleures intentions et capacités intellectuelles dont on peut être animé.

 

Comment pouvons nous trouver une solution ? Il faut changer de couche sociale. La couche sociale est le point à partir duquel on perçoit, on comprend la réalité et on essaie d’agir sur elle. Il nous faut donc passer de la couche sociale des élites à celle des exclu(e)s. C’est à partir du monde des pauvres que nous devons lire la réalité de la violence, si nous voulons nous engager pour sa transformation. La vision qu’ont les pauvres et les opprimé(e)s de la violence économique, doit être le point de départ et le premier critère pour lire et comprendre la violence qu’il provoque.

 

Où est-ce que je me situe ? Où sont mes pieds et ma praxis en matière de solidarité ? Car la question est de savoir si je suis au bon endroit pour accomplir ma tâche. Un tel processus ne peut être mis en marche que par ceux et celles qui sentent dans leur chair la brûlure de l’injustice et de l’exclusion sociale. La tâche d’éduquer implique d’abord le lieu social pour lequel on a opté, puis le lieu à partir duquel et pour lequel on fait des interprétations théoriques et des projets pratiques.

 

À la racine du choix de cette couche sociale, il y a l’indignation éthique que nous ressentons devant la réalité de l’exclusion. Le sentiment de l’injustice dont sont victimes la grande majorité des êtres humains exige une attention incontournable, car la vie même perdrait son sens si elle tournait le dos à cette réalité.

 

Personne ne peut prétendre voir ou sentir les problèmes humains, la douleur et la souffrance des autres à partir d’une position « neutre », absolue et immuable, dont l’optique garantirait une totale impartialité et objectivité. Il est donc extrêmement urgent de provoquer une rupture épistémologique. La clé pour comprendre ceci est dans la réponse que chacun(e) de nous donnera à la question : « d’où » est-ce que j’agis ? C’est-à-dire quel est le lieu que je choisis pour voir le monde ou la réalité ? Quel est le lieu pour interpréter l’histoire et pour situer mes actes transformateurs ?

 

Mieux que n’importe quel autre moyen particulier, la manière d’exprimer sa sensibilité et son intérêt à rendre la société plus humaine, réside dans une pratique active de la solidarité, notamment envers les démuni(e)s qui font l’objet de discriminations et de marginalisations intolérables. Tout ce qui signifie une violation de l’intégrité de la personne humaine, comme la torture morale ou physique, tout ce qui est une offense à la dignité de la personne, comme les conditions de vie inhumaines a l’instar de l’esclavage, de la prostitution, du commerce des femmes et des enfants, ou encore pour ceux et celles qui bénéficient d’un emploi avec des conditions de travail dégradantes, tout cela constitue des pratiques infâmes qui nous engagent toutes et tous à nous impliquer dans les solidarités sociales.

 

Dieu nous inspirera toujours les gestes constructifs pour que la société retrouve son vrai visage.

 

Il nous faut prier sans cesse pour trouver cette compassion qui ne blessera pas les plus petits. Notre prière aura la splendeur des lendemains meilleurs, c’est la Foi de l’Espérance évangélique. Notre Amour pour Dieu nous conduit souvent sur des chemins imprévus. Il nous suffit de décrypter les signes que Christ nous envoie pour humaniser notre monde. A travers la Vie du Christ, nous percevons l’attitude à acquérir face à toutes ces situations critiques et inacceptables. La foi est une arme contre toute injustice, et l’exclusion est une injustice sociale contre laquelle nous devons lutter avec ardeur !

 

 

Bruno LEROY.

11:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA PENSÉE DU JOUR., LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |