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14/02/2011

Le soleil peut bien fermer les yeux et pleurer de chaudes larmes.

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Les montagnes peuvent bien sombrer dans les entrailles de la terre. Les neiges éternelles peuvent bien devenir éphémères et ne vivre qu'un instant. Les oiseaux peuvent bien être muets par un sortilège atavique.
Le soleil peut bien fermer les yeux et pleurer de chaudes larmes. La pluie peut bien venir effacer les traces de nos pas sur le sable humide. Les vagues peuvent bien nous submerger de peines et de dérives.
La joie, je la sens là plantée comme un coup de couteau dans ma peau. Ta présence, je la sens là comme un souffle dans ma respiration. Allons, allons le monde peut bien s'amuser à faire semblant. Les hypocrites peuvent bien s'enflammer pour de multiples raisons illusoires. La mort peut bien venir nous faire savourer sa mémoire. L'Amour que nous avons l'un pour l'autre est une fleur immortelle dont le parfum embaume encore nos corps. Allons, rien ne peut mourir dans un inutile destin si l'amour conduit son chemin. C'est bien pour cela qu'elle est la seule valeur que je professe et confesse. C'est bien pour cela qu'aujourd'hui, je t'Aime davantage qu'hier et moins que demain. C'est bien parce que l'Amour envoie au paradis qu'il est divin de t'aimer au quotidien. La terre ne s'érodera pas si l'Amour guide ses pas. Pour toutes ses certitudes et plus encore...je t'Aime mon ange aux cheveux d'or et aux yeux d'océan où chavire mon navire. Je t'aime tout simplement comme on aime la brise quand le temps est pesant.
 
Bruno LEROY.

05/02/2011

TOUT SACRIFIER SAUF L'AMOUR.

  • Être capable d’accepter l’autre tel qu’il est
  • Être capable de s’accepter soi-même, tel qu’on est
  • Être capable de dire : moi, je pense différemment, mais ça ne m’empêche pas d’aimer, d’avoir un cœur
  • Être capable de traiter l’autre comme je voudrais qu’on me traite
  • Être capable de reconnaître que l’autre peut avoir raison
  • Être capable de reconnaître ses torts, en les reconnaissant, on se grandit
  • Être capable de réaliser l’autre tel qu’il est, et non tel que je voudrais qu’il soit
  • Être capable de dire : je te félicite !
  • Être capable de dire : excusez-moi !
  • Être capable de pardonner
  • Être capable d’écouter l’autre sans le répéter à d’autres
  • Être capable de retenir sa langue afin de ne pas offenser
  • Être capable d’encaisser des coups sans vouloir les remettre
  • Être capable d’accepter d’être dérangé par les autres
  • Être capable de sacrifier de son temps pour le dédier à l’autre
  • Être capable de dire Merci !
  • Être capable de dire ensemble : Notre Père que ta volonté soit faite, pardonne-nous
  • Être capable de tout sacrifier, sauf l’Amour !

 

Bruno LEROY.

15/01/2011

La saveur des incandescences du bonheur.

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Je voudrais mourir le corps face à la mer,
Entendre les gens rire de ce fait divers,
Je voudrais entrer dans cet autre univers,
Les yeux retournés au-dedans de moi-même,
Entendre le silence m'inspirer quelques vers,
Goûter à ta Présence une dernière fois,
Pleurer dans les bruits indigestes d'autrefois,
Comme si m'absenter devenait un problème,
Pour l'Humanité qui se fiche de ma peau,
L'amour ne meurt pas quand il est cultivé,
L'amour c'est toi c'est moi en cette éternité,
Je voudrais tant revivre tout ce que j'ai raté,
Et puis, je me dis qu'il est venu ce souffle,
S'arrêter au bon moment de ma vie,
Les combats sont finis terminés à jamais,
Les souffrances aussi sont en plein trépas,
Que reste-t-il désormais de moi et des années ?
Des joies exprimées au printemps de nos rêves,
Des fleurs parfumées qui n'en finissent pas de mourir,
Des illusions devenues réalités dans les bras du désir,
Je voudrais mourir les yeux ouverts face à l'enfer,
Et dire au diable que la Vie est belle, trop belle,
Au point d'en mourir...
Quand Dieu ne répond pas aux prières suppliantes,
Quand nos cris restent désert au pays de l'absente,
Je ne veux plus mourir car trop d'oiseaux chantent,
Leurs mélodies font rire et apaisent nos âmes,
Le soleil fait du charme aux nuages trop lourds,
Je ne veux que vivre dans l'Amour,
D'un Dieu poète ou troubadour aux tempos rock,
Comme un chanteur revenu sur la scène perdue,
Je veux revenir à la douceur de vivre,
Et ces cruels combats qui nous veulent libres,
Je veux revenir aux prières d'autrefois, aux cantiques,
A cette introspection qui met la vie en musique,
Je voudrais te revoir un instant dans mon miroir,
Et le briser au moment où tu apparais,
Pour tuer le temps et tuer la mort des souffrants,
Oh ! Satan ne vient pas mettre tes doigts dans les miens,
Je les briserai sans pitié pour tes supplices d'esclave,
Je suis à Dieu désormais et rien ne saurait me faire trembler,
Depuis ma tendre enfance je lui ai donné mon existence,
Et depuis mes journées même dans leurs noirceurs,
Ont la saveur des incandescences du bonheur,
J'ai donné sens à ma présence sur cette terre,
En laissant mon esprit glisser dans les doigts,
De la divine Providence qui me procure des joies,
Par-delà toutes souffrances perdues d'avance,
Je veux vivre sempiternellement dans ce regard,
D'Amour que Dieu Seul peut donner,
Et faire de ma mort une immense farce,
Qui fera partir ma chair en fumée,
Juste pour impressionner les spectateurs,
Qui verront sur mes lèvres ce sourire,
Narquois de l'homme qui s'en va,
Vers d'autres chemins et d'autres destinées,
Rien à craindre quand on se sent aimé,
Jusqu'au bout de soi-même,
Suprême sagesse d'une pensée réfléchie,
Aux profondeurs d'une nouvelle philosophie
Celle de Jésus-Christ et de son message de vie,
Tu sais la Foi est une expérience dont on ne revient,
Si tu fais cette rencontre même la mort ne sera rien.



Bruno LEROY.

10/01/2011

Demain sera plus magnifique qu'aujourd'hui.

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Dans la pureté de tes yeux j'ai découvert la source,
Où baigner mon Bonheur au sein de notre Amour,
Fleurs épanouies qui parfument les jours,
Tels des rêves enfouis au regard de velours,
Nos sentiments chaque jour se ressourcent.

Demain sera plus magnifique qu'aujourd'hui,
Puisque nos mains ne lâcheront jamais le destin,
Construit dans la tendresse de nos nuits,
Invincible par ce respect à jamais déposé,
Sur nos corps aimants sans ressentiments,
Comme les vagues puissantes et nacrées,
Qui au long du chemin portent ses fruits.

Les jours et les nuits ensoleillent ma Vie,
Depuis des années que tu existes à mes côtés,
Je sais que le printemps est toujours de saison,
Puisque l'Amour est un art qui sans cesse se crée,
Dans le jardin des magiciens et des fées. 

 Sans toi je ne serai que la moitié de moi.
Triste vie que ce vide à vivre de toute éternité.
Je t'Aime plus que mes mots ne sauraient,
Dire sans éprouver quelques sanglots de leurs limites,
Pauvres phrases qui valent moins que le silence,
Puisque l'Amour se vit avant de se dire,
Et les gestes parlent plus que tous mes délires,

Demain n'aura pas l'aspect d'un navire qui chavire,
Mais l'étoile scintillante de notre joie sempiternelle,
Qui chaque jour s'étire pour retrouver la clarté intérieure.

Bruno LEROY.

08/01/2011

Comme une étoile dans mon ciel d'enfant.

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Il me souvient des lumières d'antan,
Où Noël venait en scintillant,
Comme une étoile dans mon ciel d'enfant,
Il me souvient des présents élémentaires,
Des petites voitures qui roulaient nos rêves,
 
Le sourire de mes Parents qui marquaient la trêve,
Celle de mes pressions aux noirceurs scolaires,
Il me souvient de ne croire qu'en Dieu,
Plus au père Noël,
Ce vieux barbu voleur de l'argent de mes parents,
 
Il me souvient des prières inventées au frais matin,
Pour que la soirée dure une éternité,
Un sempiternel refrain de joies partagées,
Il me souvient d'aimer le monde et ses chagrins,
Déjà cette blessure jamais cicatrisée,
 
Il me souvient de la messe à minuit,
Quand les lumières parlaient de Tendresse sur Terre,
Il me souvient de toutes les méditations sans réponses,
Il me souvient de mon désir d'entrer au séminaire,
Pour chanter l'Amour toute ma Vie durant,
 
Il me souvient de mes oncles et mes tantes,
Désormais sous la terre pour se cacher,
Et m'inventer de nouveaux mystères,
Il me souvient ce soir là que jésus parlait,
Dans mon cœur d'enfant où ruisselaient,
 
Les éclats de sa naissance de nouveau bébé,
Qui viendrait changer le monde et ses plaies,
Et je sentais déjà qu'Il avait besoin de nos bras,
Il me souvient de ce silence intérieur,
Qui faisait naître des mots issus du cœur,
 
Il me souvient du Paradis dans l'aujourd'hui,
Celui que je vis maintenant au milieu des blessés,
Il me souvient de cette Espérance jamais abandonnée,
Tous les souvenirs construisent le présent,
Et vos souvenirs reflètent ce que vous êtes maintenant,
 
Vous souvenez-vous de ces journées,
Où l'avenir nous imaginait,
Noël ce n'était pas hier c'est le présent,
Qui renaît chaque instant,
Pour nous faire vivre l'aridité du vent,
 
Ce souffle qui invente notre vie,
Simplement en le suivant et en l'aimant,
T'en souviens-tu maintenant de cet enfant,
Qui pensait devenir grand,
Et qui n'est qu'une étoile dans le firmament,
 
Parmi tant d'autres pour créer une société Humaine,
Vraiment...
T'en souviens-tu de tes rêves d'enfant,
Et les vis-tu dans le regard du Temps ?
 
Bruno LEROY.

07/01/2011

Le vague à l'âme.

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Tu es le rivage de mon âme,
Sur lequel viennent mourir les vagues,
Qui ont du vague à l'âme.
 
Tu es ma substance, mon cri, mon espérance,
Tu es ma vie qui cherche sans cesse l'Infini,
Cet absolu rencontré au détour d'un profond silence.
 
Ah ! Que les mots m'ennuient parfois,
Toi que je peux rejoindre dans un battement,
Dans une respiration sans verbalisation.
 
Les mots sont de trop pour exprimer,
La Foi que je ressens pour ton être parfait,
Ils viennent amorcer des images que je ne voulais.
 
Dans le silence de mon cœur pleure une fleur,
Une charmante rose aux idées moroses,
Pour laisser place à la joie indicible de te savoir là,
Une Présence d'amour qui accompagne mes pas.
 
Bruno LEROY.

02/01/2011

TU ES NOTRE LIBERTÉ D'AIMER.

Notre conscience humaine ne peut ignorer, négliger cet espace de liberté dont nous disposons pour nous unifier au monde en échappant à toutes formes d'aliénations pathologiques.Le véritable artiste est celui qui reste lui-même en provocant la société par une insurrection de la beauté dont son âme ne cesse de s'inspirer. C'est un homme de partage et d'amour dans la contestation de l'ordre établi, puisqu'il ne supporte pas les embrigadements de l'esprit.
Je remercie Josiane Arambel pour cette splendide et poétique vidéo élaborée avec le sang de son âme.
Bruno LEROY.

12/12/2010

Il demeure tant de bonheurs à inventer.

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Juste au centre de moi-même,

Pour vivre les instants qui se souviennent,

Au milieu des hommes comme une semence,

D'Amour dans le cœur des histoires monotones,

Donner de l'Espérance aux âmes qui frissonnent,

Vivre dans le silence de la Beauté des choses,

Être au centre de moi-même,

Au milieu d'une place que j'aime,

Avec ce Feu intérieur qui brûle mon regard,

De multiples splendeurs des paysages d'Art,

Des yeux d'artiste pour contempler,

Sans jamais se lasser de voir les secrets,

Que renferment les hommes et le monde,

Mais Admirer,

Oui, Admirer !

Ce qu'il reste à chercher,

Au fond de l'humanité,

Tel un diamant aux mille éclats,

Dont les couleurs me sont ignorées,

Mais marcher vers demain sans regrets,

D'un passé qui semble avoir tout dévoilé,

Je ne suis point de ces hommes,

Qui vivent en arrière pour mieux reculer,

Il demeure tant de bonheurs à inventer,

Sur cette Terre où la Vie doit palpiter.
 

Bruno LEROY.

11/12/2010

Joyeux Anniversaire en sachant que le temps ne fait rien à l'affaire.

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Pourquoi le ciel prend-t-il des airs crépusculaires,
Ne sait-il pas encore que ce jour éclate de lumière,
Que les oiseaux chantent des refrains de gospel,
Que les couleurs vives de leur plumage est un appel.
  
Un jaillissement de joie aux tréfonds de nous-mêmes,
Une éclaircie dans le sommeil de la vie qu'on aime,
Malgré les pénombres et parfois les divers problèmes,
Un immense sourire vient rajeunir le matin blême.
  
Le bonheur est debout en nos cœurs palpitant,
Qu'importe les années si l'Amour garde son charme,
Cette éternelle jeunesse d'âme comme fleur d'antan,
C'est votre Anniversaire que fête le firmament.
 
Soixante quatre soleils devenus si brûlants,
Que la terre s'émerveille tout en les bénissant,
Un bel Anniversaire où la tendresse des mots,
Ne pourra retranscrire ces instants si beaux.
 
Purs, magnifiques moments d'amour pour une Maman,
Que la famille et les amis aimeront encore longtemps,
Et souhaiteront sans se lasser un Heureux Anniversaire,
Mamy, Maman puissent nos présents vous satisfaire.
 
Ils sont les vagues reflets de nos sentiments aimants,
Ils viennent agrémenter nos souhaits sincères,
De vous espérer le plus merveilleux Anniversaire,
Et que ce jour soit pour vous le plus resplendissant.
 
"Joyeux Anniversaire en sachant que le temps ne fait rien à l'affaire,
L'amour sincère seul compte dans ce monde en misère de tendresse !"
 
Bruno LEROY.

19:24 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, MÉDITATIONS., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

04/12/2010

L’or de Noël, il est en toi.

 

Noël, Noël !

Jésus naît à notre monde

Savourons la joie de ce cadeau inouï,

Dans cette vie nouvelle donnée à notre Terre

S‘accomplit la promesse de Dieu.

 

Jésus, enfant de gens ordinaires,

Devant eux, toutes les portes se ferment.

Sans doute ne valent-ils pas la peine

Qu’on leur fasse de la place.

 

Jésus, si fragile, vulnérable,

Dès le départ menacé,

Emmené hors d’Israël pour fuir la violence d’Hérode,

Que peut-on attendre d’un sauveur que l’on cache ?

 

Que peut-on attendre d’un monde injuste et dur,

Où des enfants, des jeunes,

Des femmes et des hommes

Sont fragilisés, exploités,

Rejetés,

Trop souvent découragés,

Résignés jusqu’au bout du silence ?

Ils ne font pas partie des « gagnants »,

Des « bien nés ».

 

En ce jour de Noël,

Quel chamboulement !

Les gens les plus petits,

Ont du prix,

Ils sont même hors de prix !

C’est ça que nous révèle l’Enfant de Noël !

T’es pas comme moi, et alors ?

Les derniers sont les premiers,

Les étrangers, les bienvenus,

Les jeunes des cités attendus

Les filles, les femmes ont toute leur place,

Tous les êtres humains sont aimés :

Les vieux, les malades,

Tous également dignes,

Tous sacrés,

Ils sont à l’image de Dieu.

 

Jésus met à notre portée

Un Royaume nouveau,

Révolutionnaire,

Un avenir donné à notre Terre,

En pièces détachées.

Pour l’assembler, tous les Hommes sont embauchés !

 

Chaque geste de fraternité,

Chaque combat pour la dignité,

Le respect, le vivre ensemble,

L’accès pour tous à une culture de qualité

Le maintien des systèmes de solidarité : chômage, santé, retraites,

Chaque action contre la fermeture des écoles, des entreprises,

Des services publics,

Chaque acte de résistance à la maltraitance des enfants,

Des jeunes, des travailleurs

Qu’ils soient français ou étrangers sans papiers,

Chaque lutte en faveur de la justice sociale,

Ici et partout dans le monde,

Réalise la promesse d’alliance faite par Dieu aux Hommes :

L’amour l’emportera sur la haine et la violence

La vie vaincra la mort.

 

En ce temps de Noël,

Laissons-nous embaucher,

Laissons Jésus nous rappeler l’exigence d’aimer,

Comme lui, jusqu’au bout.

 

Alors, apôtres de l’Amour,

Engagés auprès de ceux qui bousculent la fatalité

D’un monde voué à l’inégalité,

Habités d’une formidable Espérance,

Remplis de la joie de Noël,

Nous pouvons TOUT !

 

Message proposé par les membres de la Mission ouvrière.

18:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LA PRIÈRE DU JOUR., LES BLOGS AMIS., POÉSIE, POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |