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23/11/2010

Sommes-nous dans une réalité qui nous échappe ?

Sommes-nous dans une réalité qui nous échappe ? Un manteau porté sur les épaules de nos illusions. Des sentiments qui mentent tout en évoquant cette vérité contemplée. Le monde est-il palpable comme nous le souhaiterions ? Ces questions gravitent en nos cerveaux parfois soucieux de découvrir la blessure cachée de l'Humanité.
 
Nous sommes des photos inventées à la vie. Nos images circulent autour des galaxies éteintes. Pourquoi éteintes ? Parce que notre existence est peut-être factice et que nous, dans notre corps, notre peau d'homme, ne sommes plus capables de définir la vérité vraie. Celle qui parle du fond des entrailles de ces océans spumeux dont l'écume nacrée se serait esquivée depuis un certain temps. Oh ! lumière des tes yeux. Charmes de tes pourtours radieux. Je ne crois qu'en toi, seule réalité que je puis étreindre sans me renier et sans mot dire. Silence d'un amour profond qui se réinvente chaque jour aux solstices miroitant sur les vagues de tes charmes. Je t'aime ange éternel de mes sensuels désirs d'exister. Je t'aime dans cette Vérité vraie de vivre à tes côtés pour l'éternité.
 
Bruno LEROY.

QUAND TU ME TENDS LES BRAS VERS TA LUMIÈRE.

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Cet arbre qui vieillit au gré des saisons,
C'est ton ami qui se façonne à sa façon,
Un jour plus jeune pourtant malgré le temps,
Passant avec sa froidure sacrifiée au vent.
 
Dans ton regard levant je deviens adolescent,
En tes rêves d'enfant je deviens jeune éternellement,
Et je grandis en ton souffle respiration de mon âme,
Braise qui s'embrase pour devenir brûlante flamme.
 
Sans toi je ne suis qu'un arbre solitaire,
Les bras tendus vers le ciel qui attend,
Le suprême miracle de ton cœur palpitant,
Quand tu me tends les bras vers ta lumière.
 
Bruno LEROY.

20:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

SANS AMOUR LES JOURS NE FONT QUE PASSER.

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Toi et moi contre le monde entier,
Toi et moi pour l'éternité,
Une façon absolue de nous aimer,
Malgré les adversités et les tempêtes,
Qui pourraient nous briser,
Sans amour les jours ne font que passer,
Dans les yeux des autres,
Sans jamais devenir nôtres,
Sans Amour je ne pourrais pas même t'imaginer,
Dans mes je t'aime...!
 
Bruno LEROY

20:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'AMOUR S'EXPRIME SANS MOT DIRE.

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Des corps qui puisent la force à la source,
Les plus délicieuses nuits mourant dans un cri,
Un gémissement qui atteint les sommets,
Les plus élevés de la conscience humaine.
 
Amour, amour quel chant rythme ta chanson,
Ce paradis en musique psychédélique,
Mais garde sa raison dans sa façon,
D'aimer sans illusions en vérité.
 
 
Nos corps ne sont pas figés, fixés, sculptés,
Dans la glaise de la mort,
Ils coulent le long des flots tels des bateaux,
Pour changer le décor,
Dans nos veines ruissellent mille merveilles.
 
L'amour est notre puits ouvert sur la vie,
Nous cherchons en ses flancs nos passions,
Ô splendeurs d'un océan qui s'ouvre dans le cœur,
Profond de ce que nous pensions être illusions,
La mer déborde loin des idées convenues.
 
Convenances de pensées immuables,
Les sentiments sont les réflexions des corps,
Lorsque le soleil vient brûler leur chair amitié,
Pour en extraire le feu d'un amour consumé.
 
Vagues jaillissantes de nos rêves tremblants,
L'amour est un cadeau offert par le firmament,
Une sorte d'étoile solitaire mais aimante,
Qui scintille sur la voie lactée des amantes.
 
Que nous sommes quand nos fièvres donnent,
A nos mains des secousses tremblantes,
Non de peur mais d'extase dans cet ultime instant,
Où l'amour s'exprime sans mot dire et pourtant,
Tout est dit dans un cri de volupté sans effroi.
 
Bruno LEROY.
 

20:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/11/2010

J'AI DEMANDÉ....

J'ai demandé au ciel de t'accorder bonne santé et Bonheur,

J'ai remercié de ta Vie, je t'ai souhaité tout ce qu'il y avait de mieux,

Je t'ai adressé de bonnes pensées, de l'espoir, de la foi et de l'amour.

J'ai demandé à tes anges gardiens de te protéger et de te mettre à l'abri de tout danger et de t'entourer de joie et de satisfaction, de paix et de prospérité...

J'ai demandé qu'il te soit accordé la sagesse pour te guider vers des choix qui améliorent encore ta Vie.

Je t'ai souhaité une mine d'opportunités, la capacité d'atteindre tes objectifs et la joie de ton approbation et de ton acceptation de toi-même.

Je t'ai souhaité tout ce que ton coeur désire, qu'il soit répondu à tes souhaits, que toutes tes prières soient exhaussées et que chacun de tes rêves se réalise.

J'ai demandé que ton esprit soit fort et qu'il te mène et te guide à chaque pas sur le chemin que tu prends.

J'ai demandé à l'Univers de t'assurer que Tu es quelqu'un de très exceptionnel.

J'ai demandé à la terre d'être bonne pour toi et j'ai demandé à Dieu de te montrer sa voie parfaite.

J'ai demandé que notre Amour ne meurt jamais puisqu'il fait partie de notre Vie et qu'il est la quintessence même de notre existence.

J'ai demandé tout cela et plus encore car je t'Aime plus que tout au monde.

 

 

POÉSIE DE BRUNO 
LEROY.
écrite à 2 heures du matin dans un bar.
                                                                    
BRUNO LEROY.

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16/11/2010

IL EST MORT SANS FAIRE DE BRUIT.

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Il est mort un matin de pluie,
Dans les mains de ses nuits,
Il est mort sans faire de bruit,
Sans l'ombre d'un geste, d'un cri,
Il est mort les yeux tournés vers demain,
Embrassant les couleurs de son destin,
Il est mort dans un sourire soulagé,
Avec cette face illuminée,
D'un feu intérieur qui le brûlait,
Il est mort entièrement enchanté,
Laissant sur ses lèvres des chants,
Des poèmes et d'étranges rêves,
Il est mort plus lumineux que les cieux,
Oui, il est bien mort l'homme que j'étais,
Ce vieil homme aura tout pardonné,
Par amour de la vie il s'est donné,
Aux plus petits aux plus blessés,
Il mort pour renaître dans une dimension de l'être,
Où la Tendresse envers soi éclabousse les autres,
Il est mort cet égoïste qui ne pensait qu'à ses pensées,
Il est bien mort cet homme d'autrefois que je n'aimais,
Il me fait chavirer cet homme d'aujourd'hui,
Que j'aimerai toute ma vie s'il demeure à mes côtés,
Par souci de fidélité aimante à propager dans l'Humanité.
Bruno LEROY.

03/11/2010

Pardon mon Amour !

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Les mots s'expriment à votre place,
Et vous révélez des pensées insensées,
Des situations qui dérapent dans l'escalier,
De vos valeurs que vous défendez tenace,
Depuis des années...
 
 
Le froid vient glacer vos idées soudainement,
Le sang coule dans vos veines mais vous ment,
Et vous savez subrepticement que le menteur,
C'est vous avec votre faux sourire de rancœurs.
 
Vous n'imaginiez point en arriver,
A cette extrémité de vous-même,
Une parole s'envole au vent mauvais,
Et vous ramène sur le sable de la réalité.
 
Tout ce que vous avez dit avec calme,
N'était que mensonge pour vous faire aimer,
Aimer de toi comme un ru qui se noie,
Aimer de la vie tel un océan infini.
 
Les mots dits sont maudits,
Et rien ne saurait les effacer,
De la mémoire de l'aimée,
Celle pour laquelle tout s'enflammait.
 
Même les neiges ne pouvaient résister,
A cet amour qui faisait face aux éternels glaciers,
Pardon de m'être emporté trop loin de toi,
Dans le désert aride d'un monde trop froid.
 
Oui, le désert peut devenir froid comme la mort,
Lorsque d'un langage mal discerné on tue le corps,
D'un baiser de tendresse jailli de l'amour,
Nous refusons de le faire vivre à l'entour.
 
Ah ! ces arrières pensées qui jamais ne pensent,
N'ont-elles point d'autres secrets que d'inventer,
Des phrases blessantes telles des lames indécentes,
Pardon pour ces sonorités sans harmonie,
Le temps les a chassées sans un déni.
 
Et de mes pleurs de sang je ne puis dire,
Dans un sourire d'enfant pur à mourir,
Que je t'aime plus que ma vie en désire,
Que tu es l'humaine présence sans laquelle,
Je ne serais qu'une ombre sombrant dans l'absence.
 
Je t'aime ma fleur d'oranger aux multiples parfums,
Je t'aime ma goutte de rosée aux formes inachevées,
Je t'aime plus que tu ne puis l'imaginer selon mes faits,
Tu es la sculpture da mes nuits quand les nuages parlent,
De notre Amour qui ne saurait finir pour quelques réflexions,
Qui ne sont désormais que stricte illusion et vraie demande de pardon.
 
 
Bruno LEROY

21:15 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

24/10/2010

CE BONHEUR D'AIMER.

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Pour te donner le Bonheur j'inventerai des horizons,
Des superlatifs pour enrober de fleurs tes passions,
Des mots réalistes pour rendre au présent tes projets,
Et donner vivants aux ciels tes rêves emmurés,
Je donnerai mon âme aux sourires de ton coeur,
Et le feu de mes flammes pour détruire tes malheurs,
J'entrerai en prières et invoquerai les anges,
Pour qu'ils gardent à jamais ta joie d'exister,
Que tes éclats de rire enchantent et dérangent,
Les Hommes dont le regard fait souvent pleurer,
Je passerai toutes les mers oubliées,
Dans les cimetières de nos pensées,
Et j'inventerai des couchers de soleils,
Où les scintillements deviendront réels,
A force de vouloir t'inventer des histoires,
Je te ferai princesse ou fée selon les bribes,
Qu'il reste en mon domaine de mémoire,
Je te donnerai ce souffle de l'être libre,
Qui vient du profond de moi-même,
Comme une semence qui germe,
Dans cette vérité de notre Amitié,
Rien ne saurait nous séparer pas même,
Les routes et les ruissellements des années,
Non rien ne saurait interdire de s'aimer,
Dans cette pureté cristalline de l'Amour,
Celle qui commet les plus intenses audaces,
Que le temps de sa main jamais ne menace,
Le présent de l'amitié, l'amour, la respiration,
Est l'instant vécu dans l'éternité,
Là où les mots perdent leur réalité,
Pour devenir des hymnes de tendresse,
Que l'espace seul imagine en caresses,
Pour donner du Bonheur à profusion,
Dans les corps consistants de la raison,
J'inventerai un paysage paradisiaque,
Pour te redire à quel point je ne puis mentir,
Les sentiments sont des ombres maniaques,
Qui veulent servir la Vérité sans la trahir,
Cette certitude d'aimer et d'oser le dire,
C'est toujours la Joie réciproque qui entre,
Et ne ferme jamais la porte pour laisser le Vent,
S'imprégner de cette ultime mystique du chantre,
L'Amour est une allégresse qui progressivement,
Enchante le monde en lui offrant tel un Hommage,
La certitude que la vie vaut la peine d'être vécue,
Mais pas sans Toi ma douce et splendide inconnue,
Dont je connais pourtant les plus divins secrets,
Ceux qui font que tu demeures toujours dans la dignité,
Cette force de voir le jour et de regarder ses aspérités,
Ne jamais baisser les bras face aux multiples adversités,
Toi seule est capable de t'inventer un Bonheur,
J'avais imaginé moult desseins pour ton coeur,
Et je sais que ta puissance d'Aimer tout être rencontré,
Donnera à ta Vie tant de Joies que j'avais espérées,
Et qui sont déjà en toi de toute éternité...
je savais que l'Amour te donnerait des ailes,
Tu t'envoles désormais vers les merveilles,
Le tréfonds des bruissements de tes convictions,
Donnent à ton amour oblatif toutes raisons,
Elles font partie de toi comme un battement,
Permanent et harmonieux cependant,
Elles étaient cachées pour ce monde matériel,
Elles se révèlent en ta dimension spirituelle,
Mystiques de l'Amour nous resterons toujours,
Pour Témoigner qu'il existe une Présence d'Amour,
Le Bonheur ne se trouve qu'en Soi au creux des vagues,
Nacrées par les rosées où les pensées semblent divaguer,
L'équilibre d'être en possession de soi-même,
Se trouve dans l'amitié, l'amour , la Vérité,
De s'aimer et se savoir aimé sans intérêt,
Par gratuité savoir que nous sommes précieux,
Nous rend étrangement et invinciblement Heureux.


Bruno LEROY.

21:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

19/10/2010

ARRÊTEZ-VOUS !

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Si vous êtes dans la peine, arrêtez-vous. Si vous êtes dans la Joie, arrêtez-vous. Si votre ciel intérieur est assombri par la mort d'un proche, arrêtez-vous. Si vote cerveau explose de questions sur la souffrance, arrêtez-vous. Si vous êtes émerveillé face à un paysage qui dévoile ses mystères, arrêtez-vous. Si le parfum d'une fleur vous fait contempler, arrêtez-vous. Si vous pleurez sur l'indifférence des autres et la bêtise souvent, arrêtez-vous. Si vous désirez vous révolter contre cette société injuste, arrêtez-vous. Si vous aimez la vie au-delà de tout, arrêtez-vous.
 
 
 Si vous voyez dans les yeux des enfants de la tristesse et de la joie et toujours de la pureté, arrêtez-vous. Si vous voyez dans ces mêmes enfants des cadavres, arrêtez-vous. Si l'argent semble ne pas vous aimer, arrêtez-vous. Si l'amour déborde de votre âme, arrêtez-vous. Si vos blessures de couple, de santé, de relations embrase votre cœur, arrêtez-vous. Si du sang coule de vos larmes, arrêtez-vous. Si un sourire de tendresse vous bouleverse, arrêtez-vous. Mettez vos mains entre votre visage et dans l'introspection de la prière. Dans l'élan vital du souffle qui va vers Dieu. Vous entendrez murmurer les réponses à vos diverses questions. Mais, je vous en prie, arrêtez-vous, le temps qu'il faudra.
 
 
Et vous écouterez la voix douce et autoritaire du Christ qui vous répond. Mais attendez la réponse avant de repartir sur les chemins de l'existence. Arrêtez-vous, pour nourrir d'une sève spirituelle votre Vie. Et surtout, vivre debout et libres. Mais surtout arrêtez-vous au lieu de passer votre destin sans rien comprendre à la signification des événements qui vous arrivent. Arrêtez-vous pour vous retrouver dans le silence de Dieu, celui qui parle aux profondeurs de l'être.
 
 
Bruno LEROY.

11/10/2010

Dans les profondeurs de Ton silence.

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( Photo : Bruno LEROY )

Dans le silence des forêts,

Les arbres me regardent marcher,

Sur leurs feuilles peintes d'Espérance,

J'ai senti le sourire de Ta présence.

 

 

Dans le miroir de l'ondée,

Où les batraciens viennent chanter,

Des oraisons, des prières, des chants d'adoration,

J'ai senti ton sourire se blottir dans mon imagination.

 

 

Dans l'herbe fraîche,

Où mon corps se délaisse,

Emporté par des parfums de Tendresse,

J'ai senti ton sourire telle une brise de caresses.

 

 

Dans la nuit qui tombe,

Sans faire de bruit dans sa pénombre,

Les étoiles s'allument et s'éveillent,

J'ai senti ton sourire telle une merveille.

 

 Dans l'aube matutinale,

Aux couleurs bleutées et idéales,

Le soleil enlève son pyjama  de nuit pour être debout,

J'ai senti ton sourire m'emporter loin de ce monde fou.

 

Et depuis ce temps précis,

C'est dans les profondeurs de Ton silence,

Que je confie ma Vie,

Et celle de mes Amis,

Aux battements de  cœur de Ta divine Providence.

 

Bruno LEROY.