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17/09/2007

OPUS DEI PRÉLATURE INCOMPRISE...

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En journaliste avisé, en catholique convaincu et en chercheur minutieux, Patrice de Plunkett a poussé l’enquête sur l’Opus Dei jusqu’aux fondements de sa structure et jusqu’aux racines de son histoire. Plongeur en eaux profondes, il en revient avec des trésors, mais qui ne sont pas ceux que le naïf attend. L’oeuvre de Dieu fondée par un jeune prêtre espagnol devenu Monseigneur Escriva, c'est donc tout cela mais seulement cela ? Ainsi se désolera l’amateur de révélations scabreuses. Mais, quant au simple mendiant de vérité, quant au chrétien amoureux des mille éclats divers dont se pare le peuple de Dieu, il y trouvera, pour lui, puissante matière à réflexion, à méditation et à espérance. Patrice de Plunkett a réussi, comme il engage le lecteur à le tenter après lui, à porter un regard le plus objectif possible, loin des passions de tout ordre, sur cette prélature dont le succès n’en finit pas de nourrir d’extravagants fantasmes. Pied à pied, il démonte les légendes qui tentent d’en pourrir les fruits : non, l’Opus Dei n’a rien à voir avec le franquisme, explique-t-il.
Il en a même au contraire souffert la persécution ; non, l’Opus Dei ne dirige pas Rome ; non, l’Opus Dei n'est pas une « sainte maffia » ; non, l’Opus Dei n’est pas une menaçante puissance économique. Etc. Et, ne se bornant pas à écarter d’un revers de main toutes ces accusations et combien d’autres, plus mesquines et plus injustifiées encore, le journaliste descend véritablement dans les bas-fonds, fouille les poubelles – celles de la fameuse « affaire Calvi »notamment – et prouve, que si machination il y a, elle serait plutôt ourdie contre l’Opus Dei. Mais la machination n’est que celle des imbéciles, celle des envieux, celle des fous, celle des paranoïaques, celle des concierges et des affabulateurs de tout poil qui, depuis les Jésuites, n’en finissent pas de faire porter à l’Église le fardeau de leur besoin de sens insatisfait. Ce sont aussi des destins lumineux que Plunkett nous présente ici. Tous ces hommes et toutes ces femmes qu’il a rencontrés, numéraires et surnuméraires, engagés dans une sanctification quotidienne de leurs travaux et activités témoignent d’abord, par leur ardeur et leur ténacité, dans leurs oeuvres sociales, charitables et enseignantes, de l’effectivité immédiate du « levain dans la pâte ».

Jacques de Guillebon dans La Nef, n°171, mai 2006


Journaliste, essayiste, membre du comité éditorial de la revue de prospective catholique "Kephas", Patrice de Plunkett a écrit entre autres une biographie remarquée de "Benoît XVI et le plan de Dieu".

C'est dans un climat social et politique très tendu et peu favorable que le jeune abbé José-Maria Escriva se sent appelé à une mission spirituelle d'envergure. L'Opus Dei naîtra en 1928 à Madrid des longues méditations de son fondateur, soucieux de venir en aide à un monde en désarroi, moralement en déroute. Projet audacieux auquel il consacrera toute son existence parsemée de multiples épreuves.
Le premier centre de l'œuvre est créé avec de très modestes moyens dans la capitale madrilène en 1928. Y adhère une poignée d'étudiants espagnols séduits par l'idée du Père Escriva. Le but poursuivi est d'amener les laïcs à se sanctifier dans leur vie quotidienne personnelle, familiale, professionnelle et sociale. En dépit du climat de tension et des difficultés en tous genres, de nombreux centres de formation éducative et d'activités caritatives se développent. Ils seront de plus en plus performants avec l'unique souci de servir au sein de l'Eglise, sous les couleurs du Vatican.
Grâce à cette impulsion au fil des années, des écoles, des universités, des hôpitaux, des centres culturels, des ateliers s'organiseront sur tous les continents sous l'aile spirituelle de l'Opus Dei. Aides et dons privés viendront souvent au secours de situations apparemment insurmontables. Au plus creux des vagues, ni le Père Escriva, ni ses collaborateurs ne perdront confiance. L'expansion de l'œuvre se veut sans frontières, apolitique et pour tous sans distinction d'origine et de race.
Chaque vocation est individuelle et libre. Les membres sont reliés entre eux par des normes de prières, une formation doctrinale en parfait accord avec l'enseignement de l'Eglise catholique, un même esprit d'amitié et d'entraide, dans le respect de l'autre, quels que soient ses engagements par ailleurs. Le travail se fait dans son milieu de vie, sans tapage et sans recherche de vedettariat. Quels mystères cache cette discrétion ? Comme tout mouvement en extension, plus l'œuvre grandit, plus elle est vulnérable et intrigue.
Quelques zèles trop intempestifs, quelques vocations incomprises, du milieu familial surtout, des engagements avortés, malencontreux, suffisent à éveiller des soupçons. Les accusations, souvent les mêmes, sont reprises, montées en épingle par certains médias (Planète, Golias pour ne citer qu'eux).
Dans une société devenue égalitariste, hédoniste, laïcisée, en plein éparpillement, la transparence est de rigueur. Or, la discrétion de l'Opus Dei est mal vue. Sur quelques mécomptes, les imaginations s'échauffent, amplifiées par des articles venimeux de ci de là. Les termes de pénitence, de sacrifice, de mortification, d'approfondissement intérieur sont tournés en dérision et cloués au pilori de l'obscurantisme de nos pères. En réponse, les portes des divers centres sont largement ouvertes. Les enquêteurs s'obstinent, agacés de ne rien découvrir en dehors de l'harmonie de la paix et de la bonne humeur qui règnent partout.
La Prélature personnelle accordée à l'Opus Dei par Jean-Paul II "qui connaît le travail et la mystique des disciples d'Escriva" relance les polémiques. La béatification du fondateur en 1991, peu d'années après sa mort en 1975 à Rome, puis la proclamation de sa sainteté, déchaînent les médias : l'Ouvre est classée "Sainte Mafia"… Doù viennent ses ressources financières ? Quels sont ses modes de recrutement ? ses exigences ? ses appartenances ? etc, etc…

C'est à tout cela que répond Plunkett, sans complaisances , sans ménager rien ni personne. Son enquête est menée tambour battant. Dès le départ, il déclare qu'il n'est pas de l'Opus Dei et n'a nulle intention d'y entrer. C'est clair et net. Il écrit en vérité et liberté totales.
Avec de nombreux écrivains et journalistes, il répond à ce nouveau flot d'attaques ciblées contre la personne du Christ et son Eglise, dont fait partie l'Opus Dei, prise en otage. "Pour 30 deniers Judas trahit son maître, pour des millions de dollars, Dan Brown trompe son monde" tablant avec astuce sur l'ignorance des foules, le goût d'un public déchristianisé pour l'ésotérisme et l'air pollué du temps… Une minorité agissante se mobilise : prélats, prêtres, religieux, laïcs protestent vigoureusement. Tous prouvent que depuis 2000 ans, le vrai Christ, celui des Evangiles, n'a cessé d'attirer à lui des foules innombrables d'hommes et de femmes qui ont consacré leurs vies à propager Sa doctrine d'Amour.

Gisèle Bazin pour

12:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

16/09/2007

La relation mère-enfant.

PDF]

La relation mère-enfant entre le manque d'affects et l'empiètement

Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Version HTML
Source : Article de Bruno Leroy : http://blog.france2.fr/ecriture/index.
php/2005/07/29/3742-ces-enfants-maltraites. Les enfants maltraités ...
www.akadem.org/photos/contextuels/980_enfants_maltraites_Doc6.pdf -

17:38 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/09/2007

GUY GILBERT TRANSMETTEUR DU MYSTÈRE.

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JOURNAL CHRETIEN
http://www.journalchretien.net/spip.php?article4448
Guy Gilbert transmetteur du Mystère.
Guy est un intellectuel, voire un théologien sans le savoir ou sans le vouloir. Ses approches des problématiques sociétales même si elles sont enrobées d’un certain humour sont toujours d’une grande rigueur analytique.
/ BRUNO LEROY /

Intervenant-éducatif auprès de Jeunes et de Familles en difficultés.

Diplômé de Théologie Pratique et Politique.

Directeur du Service Éducatif et Action Sociale Nord/Pas de Calais.

Guy est éducateur, certes mais également prêtre. Voilà, la source de sa Force. Cette Foi indicible dont transpire toute sa personne. Le Témoignage sans prosélytisme est pour lui essentiel. C’est la preuve certaine que Dieu travaille aussi dans le coeur des plus petits. Son secret, la prière celle qui donne ce souffle de liberté pour mieux s’épanouir. Transmettre cette puissance de vie inoculée par l’Esprit est capital dans sa mission d’éducateur.

Guy Gilbert s’exprime toujours avec cet espace de liberté de langage qui le caractérise. Ses mots issus des blessures béantes de la rue, ont la saveur des profondeurs. En effet, Guy est un intellectuel, voire un théologien sans le savoir ou sans le vouloir. Ses approches des problématiques sociétales même si elles sont enrobées d’un certain humour sont toujours d’une grande rigueur analytique.

Cela peut surprendre chez ce prêtre que l’on qualifie souvent de rockeur des rues. Et pourtant, son expérience parle pour lui. Lorsqu’il évoque l’inculturation prônée par Vatican II, comprend-t-on réellement sa démarche d’éducateur ? Parfois, j’en doute. Tant de reproches lui furent jetés en pleine figure à cause de son look et de ses mots ; qu’il lui fallut un courage indestructible pour affronter les critiques stériles. Guy est toujours debout avec les mêmes convictions chevillées au corps. Ces valeurs qui donnent sens à son existence et qu’il s’oblige, en tant que Témoin du Christ, à transmettre.

Ces convictions qui génèrent un sens à toutes vies. Rien n’est inaccessible chez lui. Rien non plus n’est facile. S’il est bien un domaine dans lequel Guy ne transige pas c’est l’éducation inculquée avec laxisme. Chaque parent ou éducateur doit être en capacité de refus. Au risque de voir tomber sur sa pauvre tête les foudres injurieuses des adolescents en révolte. L’adulte doit poser des repères afin que les jeunes ne se perdent point. Ces Ados dont on a tout accepté par peur du conflit.

Voyez les dégâts dont notre société refuse de comprendre les causes. Les violences sans nom provoquées par le malaise des jeunes qui ne savent plus pour quelles raisons obscures ils respirent dans ce monde qui les ignore allègrement. Ils n’ont plus rien à perdre pas même la vie. Les adultes que nous sommes devenons chaque jour indifférents aux problèmes qui les habitent.

Guy Gilbert veut tracer de nouveau les balises qui nous ont fait grandir et que nous refusons de transmettre volontairement aux ados. Volontairement, pas tout à fait, je dirai plutôt involontairement par lâcheté, par peur. Oui, nos sociétés ont peur de leurs jeunes et surtout de leurs réactions. Aurions-nous oubliés que nous avons été enfants avant de prétendre tout savoir ? Un Homme qui sait tout est un être arrêté et figé pour l’éternité. Il est un mort-vivant croyant comprendre les autres tout en les ignorant. Il nous faut des vivants, nous martèle Guy Gilbert. Il nous faut des êtres de Lumière. N’est-il pas vrai que la Lumière peut éclairer le chemin rocailleux des meurtris de la vie.

Guy est éducateur, certes mais également prêtre. Voilà, la source de sa Force. Cette Foi indicible dont transpire toute sa personne. Le Témoignage sans prosélytisme est pour lui essentiel. C’est la preuve certaine que Dieu travaille aussi dans le coeur des plus petits. Son secret, la prière celle qui donne ce souffle de liberté pour mieux s’épanouir. Transmettre cette puissance de vie inoculée par l’Esprit est capital dans sa mission d’éducateur. Puissent chaque chrétien et chrétienne, comprendre cette puissance invincible d’une osmose permanente avec Dieu. Ce Dieu des combats pour une culture où l’oppression ne serait que mauvais souvenir. Ce Dieu qui nous fait vivre les authentiques valeurs pour une liberté responsable aux yeux de l’Humanité. Ce Dieu qui nous pousse à parler pour dire aux Jeunes les convictions joyeuses de notre vie.

Ce Dieu qui nous offre le courage d’affronter toutes les peurs pour exprimer ce qui nous tient debout envers et contre tout. Ce Dieu qui fait sourire les enfants par son humour sur les événements. Ce Dieu qui suinte d’Espérance et dont le feu se reflète sur notre visage. Ce Dieu qui sait nous dire « Non » pour nous faire pénétrer dans la maturité spirituelle. Cette maturité dont les Jeunes attendent quelques signes des adultes souvent, en vain. Aimer, c’est savoir dire « Non » quand les garde-fous ont délimités le terrain. Aimer, c’est être constamment présent avec distance pour que fleurisse la liberté individuelle. Guy Gilbert, comme bon nombre de chrétiens, a trouvé depuis sa tendre enfance sens à son existence. Il se fait un devoir de dévoiler ce bonheur qui fomente aux tréfonds de son être. En fait, ce que nous admirons chez lui, c’est ce que nous ne sommes pas capables de dire ou de faire. Et pourtant, ayez confiance Frères et Soeurs bien aimés, l’Esprit-Saint vous donnera le comportement et les mots selon vos charismes pour devenir à votre tour des successeurs de Guy Gilbert.

Des Témoins de l’Amour et de l’Espérance. Des Témoins du Christ vivant dans ce monde aux senteurs de culture de mort. Des ressuscités face à cette terre déprimée de ne plus saisir le sens, l’essence même d’une transcendance voulue par un Dieu d’Amour. Répandre l’Amour dans les moindres gestes quotidiens devient contagieux pour ceux et celles qui nous entourent et nous regardent vivre. De plus, l’amour est inventif à l’infini et permet de trouver des solutions face à la misère humaine dont les jeunes sont les premières victimes. Guy Gilbert ne fait rien d’autre que suivre les pas de la Providence. Suivons-le, sur les sentes où notre destin est donné en offrande à chacun, comme le Christ par Amour désintéressé pour l’Humanité.

Bruno LEROY.

Éducateur de rue.


13:06 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans GUIDE DE VIE SPIRITUELLE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/09/2007

JACQUES MARTIN N'EST PLUS...

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Jacques Martin est né le 22 juin 1933 à Lyon. Il passe son enfance chez les Jésuites puis débute sa carrière à Télé-Strasbourg en tant qu'animateur dans les années 1950. Repéré par Pierre Tchernia, Jacques Martin monte alors à Paris pour rejoindre l'ORTF. Il crée avec Jean Yanne l'émission 1 = 3 où il joue au pitre débridé. En 1969, il anime quelques temps Midi-Magazine avec Danièle Gilbert. Mais Jacques Martin a plusieurs cordes à son arc : il se produit en parallèle de la télévision comme chanteur en première partie de Jacques Brel à l'Olympia, il compose des chansons et fait aussi l'acteur dans Erotissimo (1968), Sex-shop (1972) et La Passante du Sans-Souci (1982). Multi-talent, cet homme est aussi un découvreur de talents et un cuisinier hors pair.

Quand en 1975, TF1 lui propose un créneau, il lance le Petit Rapporteur, une émission satirique en diable qu'il anime avec Pierre Desproges, Stéphane Collaro et Daniel Prévost. Le ton trop acide fait des vagues et au bout d'un an, il doit migrer vers Antenne 2 pour une nouvelle émission La Lorgnette (1976 - 1977). Il enchaîne en parallèle sur des émission de variété qui le hissent progressivement comme l'animateur vedette de la télévision publique. Il restera dans le coeur des téléspectateurs avec son émission Dimanche Martin, enregistré en public chaque samedi au théâtre de l'Empire et surtout sa fameuse École des fans.

Victime d'un accident cérébral en 1998 Jacques Martin vivait retiré depuis plusieurs années à Biarritz à moitié paralysé.

11:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ARTISTES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/09/2007

Bonne et sainte fête de la Croix Glorieuse !
















































* "C'est par ces blessures que nous sommes guéris" (Isaïe)

"Quand je serai élevé de terre, j'attirerai tout à moi."
Qui pourrait désormais craindre la croix ?
Je peux, Seigneur, faire le tour du ciel et de la terre, de la mer et des steppes, jamais je ne te trouverai sinon sur la croix. Là tu dors, là tu pais ton troupeau, là tu te reposes à l'heure de midi. Sur cette croix celui qui est uni à son Seigneur chante avec douceur : « Toi Seigneur, bouclier qui m'entoures, ma gloire, tu me relèves la tête. » Ô Croix de gloire, enracine-toi en moi, pour que je sois trouvé en toi.
Saint Bernard de Clairvaux


* Historique

Chacun se souvient comment la vraie croix avait été retrouvée par sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin. En 335, l'empereur Constantin, invite pour le trentième anniversaire de son avènement, les Pères réunis à Tyr à la dédicace des deux basiliques qui doit avoir lieu le 13 septembre à Jérusalem.

Le lendemain de la dédicace, le dimanche 14 septembre, l'évêque de Jérusalem montre pour la première fois à la foule le bois sacré de la Croix (l'hyposis) et, sur ordre de Constantin, les Pères décrètent la célébration annuelle de la dédicace et de l'exaltation, au 14 septembre. Un morceau de la Croix étant apporté à Constantinople, on y célèbre la même fête avec l'hyposis. Cette fête est répandue dans tout l'Orient dès le VII° siècle, et on la trouve à Rome au plus tard au temps du pape Serge I° (687-701) à la notice duquel, dans le Liber pontificalis, on trouve la mention suivante : En la sacristie du bienheureux apôtre Pierre, se trouve un reliquaire où est renfermée un précieuse et considérable portion du bois salutaire de la croix du Sauveur ... Au jour de l'Exaltation de la sainte croix, le peuple chrétien baise et adore cette relique dans la basilique constantinienne du Saint-Sauveur.



LE RESEAU DES ENFANTS DE MARIE


Chers tous,
aujourd’hui nous sommes 6854 enfants de Marie.
S’inscrire pour faire grandir les enfants de Marie sur directement sur le site : www.mariereine.com


* Petit témoignage :
- Merci car tous ensemble nous nous sentons plus forts et surpris en même temps d'être nombreux et notre prière du coup s'en trouve enrichie car nous formons une chaîne d'amour dans le Coeur de Marie . Christine M.

* Découvrez le livre Chemin de Croix et de guérison
Illustrations à partir des photos du films de Mel Gisbon "la Passion du Christ". A chaque station, un passage de la Parole de Dieu et une méditation pour recevoir la guérison car " c'est par blessures nous sommes guéris" (Isaïe).
Photo du livre en cliquant sur : Chemin de Croix et de guérison à partir du site : www.mariereine.com

* Découvrez aussi la nouvelle revue : carte de Marie + Voici ta Mère !

* Prochaines retraites à la Cité de l’Immaculée (Mayenne - France)
- du 17 au 22 septembre 2007.
Avec Marie, se livrer a l'Esprit d'Amour par le Pere Joël Guibert (il reste quelques places)
- du 08 au 13 octobre 2007
"Je serai guéri !" par Thierry et Myriam Fourchaud (complet, mais prochaine retraite sur le même thème du 14 au 19 janvier 2008)
** Exceptionnel : week-end école de prophétie avec Debbie Kendriks et un prêtre catholique du 23 au 25 novembre 2007

Un grand MERCI pour tout à vous tous !

* Que Dieu vous bénisse !

Thierry Fourchaud

Cité de l'Immaculée
BP24 - 53170 Saint Denis du Maine (France)
Tel : 02.43.64.23.25.
site : www.mariereine.com
Nouveau site : www.labonnenouvelle.fr
(prochaine Bonne Nouvelle sur Jean-Paul II)

19:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

La Parabole du fils retrouvé.

Je vois que ce peuple est

un peuple à la tête dure." Ex 32, 7-14
"Je suis plein de reconnaissance pour

 celui qui me donne la force, Jésus-Christ." 1 Tm 1, 12-17
"Il fallait bien festoyer et se réjouir." Lc 15, 1-32

.

L’évangile invite à comprendre quelle est la vraie joie de Dieu : voir ses enfants se convertir et revenir vers lui. Pour décrire ce bonheur divin, Jésus prend trois images. Celle d’un berger qui retrouve sa brebis égarée et la porte sur ses épaules comme un bon pasteur : « Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue. » Celle d’une femme qui a perdu son bien et le retrouve lors d’un grand ménage : « Réjouissez-vous avec moi, dit-elle à ses amies, car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue. » Finalement, celle du père de l’enfant prodigue qui, après avoir préféré dépenser son argent futilement avec des filles, revient à la maison : « Il fallait bien festoyer et se réjouir, dit le père à son fils aîné en colère devant de telles festivités, car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie. » Dieu se réjouit de la conversion de ses enfants pécheurs lorsqu’ils comprennent que la vraie vie n’est pas dans les plaisirs sensibles, ni dans les infidélités ou les désirs passagers, mais dans un cœur qui se laisse, en profondeur, toucher et aimer par l’amour gratuit, surabondant de Dieu.

Dieu nous aime, voilà la première réalité de la vie. Considérons attentivement le mystère de Dieu pour lui-même et demandons au Seigneur la grâce d’accueillir sa miséricorde, afin de nous laisser aimer, embrasser par lui : gratuitement, par pur amour.

 

 

 

Père Tanguy Marie
Père Tanguy-Marie
Prêtre de la Cté des Béatitudes
Auteur du livre : La parole, don de Vie, EDB, 2006

18:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

12/09/2007

ON NE SAIT RIEN SANS APPRENDRE.

Tout ce qui est de l'ordre de la connaissance, de la culture, de l'épanouisssement de la personne, nous avons à l'acquérir. Nous nous en emparons de façon personnelle, mais il y a à la base un accueil fondamental. Toutes les grandes valeurs qui apportent à l'homme son épanouissement et son bonheur doivent être apprises. Elles ne sont pas innées : que ce doit la vérité, la liberté, la justice¸la paix ou l'amour. Par ailleurs, nous ne pouvons pas penser que nous les gagnons de façon définitive. La vérité, certes, nous ne la possédons pas automatiquement, elle s'acquiert laborieusement, inlassablement ; on n'a jamais perçu toutes les épaisseurs des réalités, des êtres…

La liberté, il faut l'apprendre, la dégager de ses ambiguïtés toujours renaissantes. Les hommes libres sont des êtres en incessant travail de libération pour devenir eux-mêmes, des êtres pour qui la liberté va s'identifier avec la contrainte du meilleur. La justice et la paix, elles aussi, sont des réalités en " à venir " ; elles sont une conquête incessante sur l'égoïsme ou la peur de l'autre.


De même, sait-on jamais ce que c'est que l'amour, jusqu'où il nous mènera, jusqu'à quel point il nous sort de nous-même, quel " plus " il va réclamer ? Comme le chante un poète : " Y a-t-il un seul amour qui n'ait besoin d'amour ? "…

Mais, à un certain moment, cette lune de miel prend fin et chacun doit faire son deuil d'un partenaire idéal répondant à toutes les demandes…
Mais on ne peut tout attendre de l'autre ; il est limité, et moi, je ne suis pas dispensé d'exister, d'être, même si j'attends de lui qu'il m'amène un " plus-être "…

On s'aime les yeux grands ouverts, avec lucidité sur les pauvretés, les manques réciproques, mais en sachant aussi que l'amour, s'il n'abolira jamais la différence, ne cessera pas de chercher la communion.

11:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

GARDER LES YEUX OUVERTS...

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Garder les yeux ouverts, observer les hommes et condamner les blessures infligées. Se dresser devant l'outrage. Ne pas baisser la garde.
Douter. Ne jamais être trop réaliste. Semer l'émotion, cultiver la sensibilité.
Apprendre la délicatesse, le courage, la dignité.
Professer l'amour, la fraternité, le don de soi.
N'y a-t-il d'autre issue que la faim et la misère?
Comment rire ou s'assoupir quand d'autres s'indignent?
La haine et l'indifférence seront-elles demain mères nourricières?
A quoi croire encore?
Il faut vivre plus fort, espérer mieux.
Des mots nous portent nous rendent plus mûrs et nous tiennent chaud.
Sa voix est toujours là, en nous, et si par hasard notre attention se détournait elle suffirait, seule, à maintenir nos yeux grands ouverts.
Bruno LEROY.

09:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ADOS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

11/09/2007

LA VIE SELON DIEU EST LIBÉRATION.

JOURNAL CHRETIEN
http://www.journalchretien.net/spip.php?article3639
LA VIE SELON DIEU EST LIBÉRATION.
Une liberté responsable où la course au profit laissera place à une terre d’Amour.
/ BRUNO LEROY /

Intervenant-éducatif auprès de Jeunes et de Familles en difficultés.

Diplômé de Théologie Pratique et Politique.

Directeur du Service Éducatif et Action Sociale Nord/Pas de Calais.

Ce Dieu Libérateur qui est venu pour les plus petits d’entre nos Frères et Soeurs, ne saurait être contre nos rêves de liberté.

Prendre le Temps en ce monde bousculé. Prendre le temps de rêver les splendides horizons d’Espérance que Dieu a déposé en notre âme. Répondre ainsi aux Talents que Christ nous demande de cultiver. Quel merveilleux programme de Vie, n’est-ce pas ?

Frères et Soeurs, il est temps que notre société et notamment, nos Jeunes prennent du temps pour méditer et accomplir leurs rêves. Pour cela, il faut dépasser certains obstacles. Ensemble, chrétiens et chrétiennes que nous sommes, partageons nos rêves et aidons les autres à les vivre. Notre vocation est de transmettre tout ce que Dieu en Son Infini Amour nous a donné en pleine libéralité. Ne conservons pas nos rêves pour nous. Ils deviendraient cauchemars. Offrons au monde les rêves solaires et éclatant de Lumière afin de donner un autre visage à notre Humanité. Une société de violence et de manque de repères spirituels est une société qui a tué ses rêves les plus beaux. Puisse l’Esprit-Saint nous accompagner dans ce rêve d’une Humanité nouvelle !

Pourquoi parler des rêves avec tant d’insistance ? Simplement, je m’aperçois que notre société prend de moins en moins en considération les rêves humains. La compétitivité, la performance et bien d’autres paradigmes ont fait de nous les esclaves modernes d’un monde de consommation. Qu’importe alors, si les jeunes et moins jeunes se mettent à rêver de leur avenir pour créer des projets. Les projets sont imposés pour faire face à la concurrence. Laissons nos rêves de côté où nous finirons tous et toutes dans la rue à tendre la main en espérant quelques Euros.

A me lire, peut-être pensez-vous que je décris bien ce qui risquerait de nous arriver si nous suivions nos rêves. Hé bien, cette description est entièrement fausse et véhiculée par les médias à tel point qu’on semble sentir sa réalité. Non, ceux ou celles qui ont des rêves mettent tout en place, jusqu’au bout, pour que ceux-ci se réalisent. Le chrétien doit être le premier à faire confiance en un Dieu d’Amour qui est à l’écoute de nos rêves pour combler Ses desseins. Nous devons tout mettre en place pour acquérir cet esprit critique qui nous réalise en tant qu’Hommes.

Ne pas sombrer dans le matérialisme le plus bas afin de satisfaire les lobbys industriels. Ce matérialisme dépourvu de sens, sinon celui de s’enrichir, détruit nos rêves les plus nobles. Nous sommes au service de Christ, pas des patrons qui nous considèrent tels des numéros. Nous pouvons connaître le chemin que Dieu nous destine, uniquement dans la prière des profondeurs de l’âme. Il sait que nos rêves de chrétiens désirent un monde où la Haine, l’égoïsme, l’individualisme forcené, le profit soient éradiqués de notre société. Sinon, à quoi nous servirait-il de nous dire chrétiens en lisant la Bible tout en ne la vivant pas ?

Voilà notre combat spirituel. Remettre sur terre les rêves que Dieu Amour nous donne. Avoir confiance en nos qualités et capacités. Trouver la force dans la prière de chaque instant. Ne plus être les esclaves d’un monde moderne qui tue nos rêves. Et peu importe les conséquences, nous aurons oeuvrés pour Christ et la mise en application de Ses rêves. Nous espérons que d’autres générations se lèveront en disant qu’ils veulent une existence autonome dans les bras de Dieu.

Ce Dieu Libérateur qui est venu pour les plus petits d’entre nos Frères et Soeurs, ne saurait être contre nos rêves de liberté. Une liberté responsable où la course au profit laissera place à une terre d’Amour.

Bien-sûr, il nous faut de l’argent pour vivre mais non vivre pour l’argent. L’Esprit-Saint pourvoira à l’accomplissement de notre destin, pourvu qu’il soit vécu dans la prière afin que nous ne confondions point nos propres rêves avec ceux de Dieu.

Réaliser nos rêves, c’est toujours grandir en Humanité selon la Volonté de Christ.

Bruno LEROY.

19:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LES BÉATITUDES.

Les Béatitudes sont la charte de ceux qui sont « morts avec le Christ » et « ressuscités avec lui » (1ère lect.) à la vie nouvelle de l’Esprit : « Par le baptême vous avez été mis au tombeau avec lui. Avec lui vous avez été ressuscités parce que vous avez cru en la force de Dieu qui a ressuscité le Christ d’entre les morts » (Col 2, 12). Si nous avons été mis au tombeau c’est que nous étions morts ; non pas physiquement mais spirituellement : « Vous étiez des morts parce que vous aviez péché ». Si nous sommes ressuscités c’est donc que « Dieu nous a donné la vie avec le Christ : il nous a pardonné tous nos péchés » (Col 2, 13). D’où l’invitation insistante de Paul à entrer dans le combat spirituel afin de ne pas déchoir de la grâce et retomber dans le péché : « Recherchez donc les réalités d’en haut : c’est là qu’est le Christ, assis à la droite de Dieu. Tendez vers les réalités d’en haut et non pas vers celles de la terre » (1ère lect.).
Nous retrouvons la même tension dans les Béatitudes, que nous pouvons fort bien articuler avec la première lecture : « Malheureux vous les riches, vous qui êtes repus et qui riez » ; vous qui vous complaisez dans « la débauche, l’impureté, les passions, les désirs mauvais » ; vous qui vous laissez dominer par votre « appétit de jouissances » terrestres jusqu’à en oublier le respect, l’obéissance, et l’honneur qui reviennent à Dieu. Oui, malheureux les hommes charnels : « leur dieu c’est leur ventre et ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte ; ils ne tendent que vers les choses de la terre et ils vivent en ennemis de la croix du Christ. Ils vont tous à leur perte, je le redis en pleurant » (Ph 3, 18-19).
Mais malheureux aussi les hommes psychiques qui mettent tous leurs efforts à entretenir leur vaine gloire et cherchent à tout prix les louanges des hommes, fût-ce au prix de mensonges. Ils n’hésitent pas à recourir à la « méchanceté, aux insultes, aux propos grossiers » ; à la médisance et à la calomnie pour asseoir leur suprématie et obtenir que « tous les hommes disent du bien d’eux ». Leur douceur et leur humilité apparentes ne sont que de façade : il suffit de les contredire ou de leur résister pour qu’ils s’emportent et laissent éclater leur colère. Pas plus que les hommes charnels, qui s’adonnent à « la débauche, l’impureté, l’obscénité, l’idolâtrie, la sorcellerie, les beuveries, la gloutonnerie », les hommes psychiques n’entreront pas dans le Royaume : « haine, querelles, jalousie, colère, envies, divisions, sectarisme, rivalités et autres choses du même genre : ceux qui agissent de cette manière ne recevront pas en héritage le Royaume de Dieu » (Ga 5, 19-21).
Nous sommes avertis : « voilà ce qui provoque la colère de Dieu » et qu’il nous faut « faire mourir » ; car une vie dans le désordre trahit que nous appartenons encore à la terre alors que par le baptême « notre vie devrait rester cachée avec le Christ en Dieu » (1ère lect.). En attendant que « paraisse le Christ », et en attendant de « paraître avec lui en pleine gloire », ceux qui veulent demeurer « enracinés en lui et construire leur vie sur lui » (Col 2, 7), auront à séjourner en étrangers sur cette terre. Si Jésus les déclare bienheureux ce n’est pas parce qu’ils sont pauvres, affamés et qu’ils pleurent ; mais parce que cette détresse, qui témoigne de leur aspiration à une autre patrie, se transformera en joie. De même, ce n’est pas la haine, l’exclusion, l’insulte, le mépris, que subissent les croyants, qui honorent le Seigneur, mais la fidélité à son Nom - « à cause du Fils de l’homme » - et la communion à son sort. Car la constance dans les persécutions témoignent que le croyant s’est « débarrassé des agissements de l’homme ancien et a revêtu l’homme nouveau, celui que le Créateur refait toujours neuf à son image pour le conduire à la vraie connaissance » (1ère lect.).

« Seigneur, au milieu des multiples sollicitations de ce monde, apprends-nous à garder les yeux fixés sur toi. Donne-nous ton Esprit, que nous puissions reconnaître les pièges de l’Ennemi et renoncer à nos complicités avec ses séductions. Accorde-nous ta patience, ton humilité et ta douceur pour traverser les épreuves de la vie dans la paix, les yeux fixés sur toi qui es la source et le terme de notre appel (cf. Ep 4, 4). »


Père Joseph-Marie.

18:55 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |