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29/11/2007

Redécouvrir notre intériorité spirituelle

L’automne, et bientôt l’hiver, étendent leur manteau de brouillard et de bruines sur la terre. Les arbres se sont dépouillés de leurs feuilles ; la sève se retire des branches : la nature s’intériorise, se recueille. Le chant des oiseaux se fait plus discret comme pour ne pas interrompre le silence de la nuit qui se prolonge. Tout nous porte à entrer nous aussi en « retraite », comme nous y invite le temps liturgique de l’Avent. Le mot « retraite » est à prendre au sens étymologique : il s’agit de nous retirer autant que faire se peut de l’éparpillement dans nos activités débordantes, pour nous tourner vers l’intérieur, et nous mettre à l’écoute du silence.

Quelle est la lumière qui nous guide dans notre vie quotidienne ? Celle des spots publicitaires ? des flash-infos ? des bandes annonces du dernier film ? des devantures ruisselantes des magasins ? Réussissons-nous à prendre de la distance par rapport à ces multiples sollicitations extérieures ? Gardons-nous notre liberté intérieure ou sommes-nous prisonniers de notre société de consommation qui érige le bien-être et la jouissance en valeurs suprêmes ? 

 Nous ne sommes pas invités à nous soustraire au monde, mais à redécouvrir notre intériorité spirituelle, afin de nous conduire comme « des fils de la lumière, des fils du jour » ; car « nous n’appartenons pas à la nuit et aux ténèbres. Dès lors, ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres » (1 Th 5, 5-6).
Le message est clair : la sobriété a pour but de nous soustraire à la fascination des sollicitations extérieures ; la vigilance doit nous garder attentifs aux motions intérieures de l’Esprit.
Pour qu’une telle attitude devienne habituelle, il faut bien sûr s’y exercer en des temps privilégiés durant lesquels nous nous efforçons de nous recueillir, de nous intérioriser, de revenir à nous-mêmes. La difficulté est que nous avons perdu la clé de notre chambre intérieure ; lorsque nous essayons de faire silence, nous sommes bientôt submergés par le bruit de nos pensées en cavale et par le tintamarre de nos émotions débridées. Aussi risquons-nous de nous décourager : comment pourrions-nous revenir à nous-mêmes alors que nous ne savons plus qui nous sommes ?
 C’est bien pourquoi Paul nous invite à « revêtir le Seigneur Jésus Christ pour le combat de la lumière ». N’est-il pas le vrai visage de l’homme réconcilié avec Dieu et rétabli dans la lumière de la grâce ? N’est-il pas le chemin qui nous conduit à notre vérité profonde et à la source de la vie ? Revêtir le Seigneur Jésus Christ signifie épouser sa manière de voir les personnes, les événements ; évaluer les situations à la lumière de ses critères ; pour agir conformément à ce qu’il attend de nous. Autrement dit : pas d’oraison chrétienne qui ne soit enracinée dans la lectio divina, c’est-à-dire dans une « lecture savoureuse de la Parole », qui nous fasse entrer dans l’intimité du Seigneur Jésus, et nous donne de le connaître « en Esprit et vérité » (Jn 4, 23).

Tel est bien le cœur de la conversion à laquelle nous sommes invités en ce temps béni de l’Avent : nous laisser conduire jour après jour par les textes de la liturgie, afin de retrouver l’attitude de vigilance intérieure qui convient à un disciple en attente du retour de son Maître. Comme Noé, il nous faut « entrer dans l’arche » de l’Église - de notre « église intérieure », c’est-à-dire de notre cœur - pour nous y tenir prêts à « l’avènement du Fils de l’Homme ».
Mieux vaut ne pas faire étalage de notre démarche : ce serait contradictoire avec sa finalité. Saint Jean de la Croix conseillait d’éviter d’exposer trop tôt au vent du monde, la flamme encore vacillante de notre vie intérieure commençante, afin d’éviter qu’elle ne s’éteigne. L’important est de nous « tenir prêts » dans la discrétion d’un cœur vigilant et dans l’ardente espérance de la venue du « Maître de maison ».

« Deux hommes seront aux champs : l’un est pris, l’autre laissé. Deux femmes seront au moulin : l’une est prise, l’autre laissée ». Nous suggérons que les hommes représentent la dimension extérieure de notre humanité - l’être « charnel » dont parle Paul ; et que les femmes symbolisent notre intériorité psychique, c’est-à-dire notre dimension affective et nos facultés.
Chacune de ces polarités - masculine et féminine - est présentée en binôme, pour signifier que nous sommes « doubles » : notre être psychique et notre être charnel sont en partie autonomes, et en partie soumis à l’être spirituel, c’est-à-dire à l’homme nouveau, au Christ intérieur. « L’un(e) est pris(e), l’autre laissé(e) » : l’être naturel en nous ne subsistera que dans la mesure où il se sera soumis à l’Esprit, c’est-à-dire dans la mesure où il aura accueilli la grâce du salut. Peut-être pouvons-nous deviner, en filigrane des personnages masculins et féminins qui « sont pris », Joseph et Marie chez qui l’être charnel et psychique sont pleinement intégrés dans l’être spirituel, et mis au service du dessein de Dieu.
Tous deux vivent dans le monde, mais ne sont pas du monde : leurs pensées, leurs paroles, leurs actions sont entièrement finalisées sur l’accueil du Sauveur. Qui mieux que Marie et Joseph pourrait nous introduire dans ce temps de conversion à l’unique nécessaire ?

10:46 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans COMBAT SPIRITUEL. | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

28/11/2007

LES PAUVRES ABANDONNÉS...?!

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Veuillez cliquer sur la photographie et mettre le son pour participer à cette recherche.
Merci !
Votre Frère, Bruno.

20:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans ACTUALITÉS SOCIALES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

L'église est toujours un sujet d'actualité !


podcast

Excellente Méditation sur les messages que nous envoie l'Esprit !

Très Fraternellement, Bruno.

12:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

RADIO FRANCE ÉMERGENCE.

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Chers Amis ( es )
UNE NOUVELLE ÉMISSION  sur RADIO FRANCE ÉMERGENCE  intitulée :

"TÉMOIGNAGE D'UNE CONVERSION. "
est actuellement en ligne.

Porteurs de valeurs de spiritualité, d'écologie et de solidarité que nous voulons voir s'épanouir au coeur de notre société.
RADIO FRANCE ÉMERGENCE vise à ouvrir les horizons à tous ceux et celles qui souhaitent voir advenir un changement,
et à éveiller et nourrir la flamme de nos consciences.
Bruno LEROY.
RADIO FRANCE ÉMERGENCE.
***********************
http://radioemergencebrunoleroy.hautetfort.com/...

12:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RADIO FRANCE ÉMERGENCE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, action-sociale-chretienne, spiritualite, social, poesie |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

A CAUSE DE SON NOM.

« A cause de mon Nom » ; en d’autres passages de l’Évangile Jésus dira « à cause de moi ». Ainsi dans le sermon sur la montagne Jésus déclare : « Heureux si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous à cause de moi » (Mt 5, 11). Dans la tradition juive le « nom » appelle la présence spirituelle de celui qui est nommé. C’est donc parce que le Seigneur Jésus se rend effectivement présent lorsqu’ils l’appellent, que les disciples ont à subir le même sort que lui. Le Prince de ce monde se déchaîne contre ceux qui appartiennent au Seigneur : « Si le monde a de la haine contre vous, sachez qu’il en a eu d’abord contre moi. Si vous apparteniez au monde, le monde vous aimerait car vous seriez à lui ; mais vous n’appartenez pas au monde puisque je vous ai choisis en vous prenant dans le monde ; voilà pourquoi le monde a de la haine contre vous. Rappelez-vous la parole que je vous ai dite : le serviteur n’est pas plus grand que son maître. Si on m’a persécuté on vous persécutera vous aussi » (Jn 15, 18-20).
Le thème du « Nom » est particulièrement important sur l’horizon de l’espérance d’Israël. A l’Horeb, le Seigneur affirme : « Je suis celui qui suis » (Ex 3, 14) - littéralement : « Je suis celui qui était avec vous, qui demeure à vos côtés et qui marchera toujours avec vous ». Il ne s’agit pas du dévoilement du Nom de Dieu, mais plutôt d’un refus opposé par le Seigneur à Moïse, qui cherche à lui faire décliner son identité. Le nom sous lequel Dieu se fait connaître au désert nous est donné au verset suivant : « Le Seigneur Dieu de vos pères, Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob » (Ex 3, 16). Le Nom mystérieux qui nous donne accès à Dieu lui-même, ne nous est révélé qu’en Jésus. « En dehors de lui, proclame fièrement saint Pierre devant le Sanhédrin, il n’y a pas de salut. Et son Nom donné aux hommes est le seul qui puisse nous sauver » (Ac 4, 12). Le Nom par lequel Dieu s’est fait connaître et veut désormais être invoqué par les hommes, n’est plus le tétragramme sacré que le grand prêtre prononçait derrière le voile le jour de la fête du Yom Kippour pour la rémission des péchés du peuple, mais le Nom de « Jésus » en qui nous trouvons le pardon de nos péchés, la réconciliation avec Dieu, le salut.
Cependant appartenir au Christ n’est pas de tout repos, sa simple présence déchaîne la violence des forces du mal : « Que nous veux-tu Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais fort bien qui tu es : le Saint, le Saint de Dieu » (Mc 1, 24). Rien d’étonnant dès lors que le croyant qui reflète sur son visage la gloire de Jésus ressuscité, suscite lui aussi une telle opposition. Nous sommes toujours surpris d’entendre de la bouche de Jésus l’annonce d’une possible trahison par un de nos proches : « Vous serez livrés même par vos parents, vos frères, votre famille et vos amis ». N’oublions pas cependant que Jésus désigne comme « ses frères », et même comme « sa mère », ceux qui « écoutent la Parole de Dieu et la mettent en pratique » (Lc 8, 21). Il faut donc entendre ce réseau familial au sens de la nouvelle famille des croyants. Or c’est bien par un de ses disciples les plus proches, Judas, que Jésus a été trahi. L’avertissement de Notre-Seigneur ne doit cependant pas nous conduire à la défiance, car telle n’a pas été son attitude : jusqu’au bout il a cru en Judas et lui a offert son amitié. Le verbe « livrer » est ici significatif. Parlant de lui-même Jésus dit : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré aux mains des pécheurs, qu’il soit crucifié et que le troisième jour il ressuscite » (Lc 24, 7). Le « il faut que », ainsi que le passif « soit livré », soulignent que cette étape douloureuse fait partie du dessein de salut de Dieu. Jésus ne subit pas sa Passion : il garde l’initiative des événements qu’il anticipe dans l’institution eucharistique : « La nuit même où il était livré, le Seigneur prit du pain puis ayant rendu grâce il le rompit et dit : “Ceci est mon corps donné pour vous, faites cela en mémoire de moi” » (1 Co 11, 24). Jésus consent à sa passion, pour y triompher de la haine par l’amour : « “Vous serez détestés de tous à cause de mon Nom”, mais je vous ai dit “Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est dans les cieux” (Mt 5, 44-45) ».
Le Seigneur nous certifie « que nous n’avons pas à nous soucier de notre défense. Lui-même nous inspirera dans l’Esprit Saint un langage et une sagesse à laquelle tous nos adversaires ne pourront opposer ni résistance ni contradiction ». Cette prophétie se réalise de façon exemplaire au livre des Actes des Apôtres lorsque Pierre et Jean suscitent la perplexité du Sanhédrin : « Ils étaient surpris en voyant l’assurance de Pierre et de Jean et en constatant que c’était des hommes quelconque et sans instruction » (Ac 4, 13). C’est l’Esprit de Jésus qui vient au secours de ceux qui lui appartiennent, parlant à travers eux comme leur Paraclet, c'est-à-dire leur « avocat » (Jn 14, 16 ; 14, 26 ; 15, 26).
Impossible de se mettre à la suite du Christ sans lui appartenir totalement. Tôt ou tard survient l’épreuve qui nous oblige à un choix radical : ou bien nous « affirmons ouvertement de notre bouche que Jésus est Seigneur, nous croyons dans notre cœur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts » (cf. Rm 10, 9), et Jésus vient à notre aide pour se faire lui-même notre défenseur ; ou bien nous le renions devant les hommes par peur des représailles, et nous nous rangeons sous la bannière du Prince de ce monde.
Que l’Esprit Saint nous donne de croire « du fond du cœur », et d’« affirmer notre foi avec assurance pour obtenir le salut » (cf Rm 10, 10).

« Alors qu’il traversait les lignes musulmanes pour se rendre auprès du sultan Malek Al Kamil, Saint François d’Assise répétait intérieurement le verset du Psaume 22 : “Tu es mon berger je ne manque de rien. Sur de frais pâturages tu me fais reposer. Tu me mènes auprès des eaux tranquilles et me fais revivre” (Ps 22, 1-2). Accorde-nous Seigneur de puiser nous aussi dans cette Parole la force pour soutenir notre foi et dominer nos peurs, sûrs que tu es fidèle et que tu accomplis ce que tu dis. Nous oserons alors affronter dans la confiance et dans la paix, les contradictions, l’ironie, le mépris, auxquels tout témoin de l’Évangile est tôt ou tard confronté, dans notre monde de plus en plus sécularisé. »


Père Joseph-Marie.

12:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

LIVRE COLLECTIF DE BRUNO LEROY.

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Ce texte est l'aboutissement d'une longue démarche collective qui a mobilisé des centaines de personnes pendant plusieurs mois. A partir d'un " appel aux chrétiens ", un millier de questionnaires ont été envoyés puis dépouillés, analysés par un collectif qui a soumis ses conclusions aux signataires, personnes ou groupes. Pour la première fois sans doute depuis que le chômage est devenu un phénomène social central, chômeurs et travailleurs s'expriment directement sur les bouleversements que provoque le chômage, sur la façon d'envisager le travail, sur les solidarités à mettre en oeuvre, sur les solutions à apporter à la crise de l'emploi. Les chrétiens qui s'expriment ici n'ont pas de solutions toutes faites, peut-être seulement une lucidité et une espérance qui leur permettent d'envisager un vrai tournant social caractérisé par une société où le travail ne sera plus le seul intégrateur et où la solidarité ne sera plus une matière à option.

Toujours en vente dans les bonnes Librairies et sur Amazon.

Un ouvrage qui demeure, malheureusement, encore d'actualité.

Votre Frère Universel, Bruno.

11:37 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Pourquoi ?

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Pour répondre à une internaute qui me demande pour quelle raison en tant qu'éducateur, mon Blog évoque tant ma Foi :
Je ne conçois pas ma Vie sans Christ pour parfumer mes jours de Son Amour.
Je l'ai rencontré à l'âge de neuf ans ( j'en ai 49 ) alors, que mes parents étaient athées.
Cette rencontre demeura très peu de temps secrète car, paraît-il, ma Foi transpirait des moindres interstices de mon être.
Depuis, c'est une longue histoire d'Amitié avec Christ qui ne se terminera que dans l'éternité. Cette nouvelle naissance d'Amour...
Je souhaite à tous mes Frères et Sœurs de connaître le Bonheur d'être aimé de Dieu même, si parfois la Vie ne nous épargne pas ses blessures.
 Christ est présent pour nous accompagner et nous porter. Puisse sa Lumière vous éclairer également.
 Il n'est rien de plus sublime sur terre que d'être aimé inconditionnellement dans cette confiance absolue que Christ nous accorde pour toujours.
Cela me permet de transmettre sans prosélytisme ma Joie de Vivre auprès des plus pauvres.
C'est en faisant cette révolution intérieure que nous pouvons regarder les diamants qui brillent dans les yeux de ceux que la Société estime irrécupérables.
Personne n'est irrécupérable dans le sens où chaque individu possède des potentialités travaillées, même de façon insoupçonnée, par l'Esprit-Saint.
QDVB
Très Fraternellement,Bruno

10:58 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans RÉFLEXIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

OUVRE TON COEUR AU SEIGNEUR.

Un jour — je ne veux pas parler en termes généraux: ouvre ton cœur au Seigneur et raconte-Lui ton histoire — un ami peut-être, un chrétien ordinaire comme toi, t'a fait découvrir un panorama immense et nouveau, et pourtant vieux comme l'Évangile. Il t'a suggéré que tu pouvais t'engager sérieusement à la suite du Christ, en te faisant apôtre d'apôtres. Dès lors, tu as sans doute perdu la tranquillité, pour ne la retrouver, sous la forme d'une paix profonde, que lorsque, librement, parce que tu en avais envie — ce qui est la plus surnaturelle des raisons — tu as répondu  « oui » à Dieu. Alors est venue la joie, forte, constante, qui ne disparaît que si tu t'éloignes de Lui.

Je n'aime guère parler de personnes choisies ou privilégiées. C'est le Christ qui parle, c'est Lui qui choisit. Tel est le langage de l'Écriture: elegit nos in ipso ante mundi constitutionem — dit saint Paul — ut essemus sancti (Ep 1, 4). Il nous a élus des avant la création du monde, pour être saints. je sais que pour toi cela ne te remplit pas d'orgueil, ne t'incite pas à te considérer comme supérieur aux autres. Ce choix, qui est la racine de l'appel, doit être aussi le fondement de ton humilité. A-t-on jamais élevé un monument aux pinceaux d'un grand peintre ? Même s'ils ont servi à faire des chefs-d'œuvre, le mérite en revient à l'artiste. Or nous, chrétiens, nous sommes les instruments du Créateur du monde, du Rédempteur de tous les hommes.

05:50 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MÉDITATIONS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

27/11/2007

Fuyez l'immoralité !


podcast

Bonne écoute de la Parole de Dieu pour Aujourd'hui.

Fraternellement, Bruno.

Ps : Au fait qu'est-ce que l'immoralité ?

05:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

26/11/2007

Les avantages de l'humilité.


podcast

Apprenons à cultiver quotidiennement cette Humilité qui sourde au fond de nous. Pour nous réchauffer de plus en plus au soleil de Dieu.

Bonne écoute de la Parole journalière de Dieu dans nos vies !

Votre Frère, Bruno.

14:16 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |