14/11/2007
Continuez à courir !
07:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
13/11/2007
Tout s’est dit dans l’échange d’un regard.
Dix lépreux, compagnons de misère, viennent à la rencontre de Jésus. Ils s’arrêtent à la distance que leur impureté impose de respecter, et crient vers Jésus. Ils ne se prosternent pas devant lui, la face contre terre, comme on a déjà vu d’autres lépreux le faire dans l’évangile ; ils ne font pas non plus de longs discours expliquant leurs années de malheur. Ils appellent simplement Jésus « maître », comme le font les disciples. Ils ne lui demandent rien d’autre que sa pitié, ils veulent être regardés par Jésus et pris en pitié.
Cette attitude manifeste une foi digne d’éloges. Ils ont une telle confiance qu’ils n’exigent rien. Ils ne demandent pas à être guéris ou purifiés. Ils désirent seulement être regardés par leur Seigneur. Jésus entend leur prière. Il ne pose aucun geste purificateur, il ne formule aucune prière, il n’ordonne pas non plus à la lèpre de les quitter. Il invite seulement ces hommes à se montrer aux prêtres dans le temple.
« En cours de route ». Luc n’en raconte pas davantage. L’évangéliste ne dit pas comment ils se sont quittés, si les lépreux sont partis en hâte. Ils ont obéi, simplement. Grande est leur foi. Se présenter aux prêtres est en effet, selon la Loi, constater l’authenticité de la guérison. Guérison qui n’a été ni demandée ni promise. Tout s’est dit dans l’échange d’un regard de confiance et de foi.
Et les hommes n’ont pas été déçus. Ils ont été purifiés en cours de route.
L’un d’eux, constatant qu’il est guéri, revient sur ses pas en glorifiant Dieu. Il reconnaît l’intervention de Dieu et lui rend grâce. Il semble désobéir à Jésus puisqu’il ne va pas au temple. Ne jugeons pas trop vite, et disons qu’il ajourne la reconnaissance officielle et réglementaire pour venir glorifier Dieu et se prosterner aux pieds de son sauveur. Pour poser le geste d’adoration qu’aucun des dix compères n’a su poser au début du récit.
Ce n’est qu’à cet instant que nous apprenons de saint Luc que cet homme est un samaritain, un étranger. Jésus s’étonne de ce que les fils de la promesse n’ont pas su rendre gloire à Dieu et reconnaître son initiative, son irruption dans leur vie. Seul cet étranger l’a fait. Il manifeste une autre foi que celle des neuf autres. La foi qui permet d’accéder au salut.
Ainsi la guérison que donne Jésus ne permet pas d’obtenir le salut si elle ne débouche pas vers une authentique action de grâce qui ouvre une relation avec Jésus. Jésus ne nous guérit que pour nous permettre d’être pleinement en relation avec lui, car c’est cette relation que la lèpre de notre péché a rompue, c’est cette relation que Jésus est venu restaurer.
Que le Seigneur nous donne l’Esprit qui permet de reconnaître son action de salut dans nos vies, de glorifier Dieu pour la guérison de notre péché, et entretient en nous la foi qui nous garde unis à notre Sauveur bien aimé.
Frère Dominique.
22:49 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans BRIBES THÉOLOGIQUES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Mgr Raffin explique pourquoi il refuse son soutien au Téléthon 2007.
Pas de financement de recherches en contradiction avec l’éthique
ROME, Mardi 13 novembre 2007 (ZENIT.org) – A propos du Téléthon français 2007, l’évêque de Metz, Mgr Pierre Raffin, op, déplore « le financement de recherches, si minimes soient-elles, en contradiction manifeste avec l’éthique, même dans un cadre strictement défini par la Loi : le légal en effet n’est pas forcément moral » (http://www.catholique-metz.cef.fr/).
« Tant que l’on n’offrira pas aux donateurs la possibilité de s’opposer à l’affectation éventuelle de leurs dons à la recherche sur les embryons, il m’est impossible de soutenir la campagne du Téléthon », déclare Mgr Raffin.
Il rappelle que « l’embryon humain n’est jamais un objet utilisable au gré d’intérêts divers, même si, parmi ces intérêts, il y a la guérison possible de maladies graves ».
« La campagne du Téléthon 2007, on le sait, est pilotée depuis Metz, rappelle Mgr Raffin. Un fort engagement des médias à la cause qu’il défend a fait que le Téléthon est devenu, depuis sa première édition en 1987, une grande opération nationale de solidarité destinée à financer les recherches susceptibles de guérir les myopathies ».
L’évêque rappelle aussi que « l’Association Française contre les Myopathies (AFM), créée en 1958, favorise et soutient, grâce aux fonds recueillis à l’occasion du Téléthon, des recherches destinées à découvrir l’origine des maladies neuromusculaires et plus largement des maladies d’origine génétique, et à développer des thérapies classiques ou plus innovantes comme la thérapie génique ou la thérapie cellulaire ».
Mais, il déplore qu’en même temps « une partie des fonds de la collecte du Téléthon – un peu moins de 2% - est affectée à la recherche sur les embryons ».
« Certes, je me réjouis de ce que la solidarité nationale finance des recherches concernant la santé – encore que celles-ci pourraient être financées par les seuls fonds publics –, mais je ne puis être d’accord avec le financement de recherches, si minimes soient-elles, en contradiction manifeste avec l’éthique, même dans un cadre strictement défini par la Loi : le légal en effet n’est pas forcément moral », affirme Mgr Raffin.
22:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
No Limit pour les kids.
Elle a aussi pour but de permettre à des jeunes de s'ouvrir sur l'entraide des peuples, en mettant sur pieds des projets en faveur de l'enfance défavorisée dans le monde.
Nous sommes partenaire de l'association "Maison Espérance" à Bobo Dioulaso (Burkina Faso).
Mamadou & Réjane Kologo et leur équipe.
Chaque matin, c'est plus de 400 enfants qui attendent devant la porte de la Maison Espérance.
Les enfants reçoivent selon les finances de l'association locale de quoi se restaurer pour une partie de la journée: une boisson lactée et un sandwich très simple!
Mais quelle richesse comparée aux seules miettes et fortunes trouvées dans les poubelles ou décharges qui les nourrissent quotidiennement!
Pourrait -on supporter cela pour nous-mêmes ?
Peu à peu certains enfants désirent en finir avec cette vie d'esclave et quittent leur marabout. Mais pour aller où ?
C'est le nouveau défi de cette équipe qui donne déjà de leur nécessaire .
En collaboration avec eux, nous finançons le projet appelé "Maison du refuge".
21:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LES BLOGS AMIS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Un visage qui sait dire « oui » !
04:05 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
12/11/2007
Le désir et la prière.
L'homme d'abord désire les créatures, et demeure insatisfait. Fondamentalement, c'est Dieu que nous désirons. L'homme ne peut trouver le bonheur et le repos qu'en Dieu : la fin de l'homme est de retrouver la ressemblance avec Dieu qu'il a perdu par le péché : "L'homme, avant de croire au Christ n'est pas en route, il erre. Il cherche sa patrie mais il ne la connaît pas. Que veut dire : il cherche sa patrie ? Il recherche le repos, il cherche le bonheur. Demande à un homme s'il veut être heureux, il te répondra affirmativement sans hésiter. Le bonheur est le but de toutes nos existences.
Mais où est la route, où trouver le bonheur, voilà ce que les hommes ignorent. Ils errent. Errer est déjà une recherche. Mais le Christ nous a remis sur la bonne route : en devenant ses fidèles par la foi, nous ne sommes pas encore parvenus à la patrie, mais nous marchons déjà sur la route qui y mène. L'amour de Dieu, l'amour du prochain sont comme les pas que nous faisons sur cette route." (Sermon Mai, 12, extraits, d'après Hamman : Saint Augustin prie les Psaumes, 1980).
"Nous savons que lors de cette manifestation, nous lui serons semblables parce que nous le verrons tel qu'il est". (IJn, 3, 2)
Le désir et l'attente
Que serons-nous donc, quand nous le verrons ? Quelle promesse nous a été faite ? Nous lui serons semblables, parce que nous le verrons tel qu'il est. La langue dit ce qu'elle peut ; le reste, c'est au cœur de le comprendre. En comparaison de Celui qui est, qu'a pu dire Jean lui-même ? et que pouvons-nous dire, nous, hommes, qui sommes si loin d'égaler ses mérites ?
Revenons donc à cette onction du Christ, revenons à cette onction qui nous enseigne au-dedans ce que nous ne pouvons pas exprimer ; et puisque vous ne pouvez voir dès maintenant, que vos efforts se résolvent en désir.
Toute la vie du vrai chrétien est un saint désir. Sans doute, ce que tu désires, tu ne le vois pas encore : mais le désir te rend capable, quand viendra ce que tu dois voir, d'être comblé.
Supposons que tu veuilles remplir quelque objet en forme de poche et que tu saches la surabondance de ce que tu as à recevoir ; tu étends cette poche, sac, outre, ou tout autre objet de ce genre ; tu sais combien grand est ce que tu as à y mettre, et tu vois que la poche est étroite : en l'étendant, tu en augmentes la capacité. De même, Dieu, en faisant attendre, étend le désir ; en faisant désirer, il étend l'âme ; en étendant l'âme, il la rend capable de recevoir.
Désirons donc, mes frères, parce que nous devons être comblés. Voyez Paul, étendant la contenance de son âme, pour être capable de saisir ce qui est à venir ; il dit en effet : Ce n'est pas que je l'aie déjà saisi ou que j'aie déjà atteint la perfection : pour moi, frères, je ne pense pas l'avoir saisi." - Que fais-tu alors en cette vie, si tu ne penses pas l'avoir saisi ? - Une seule chose compte : Oubliant ce qui est en arrière, je m'étends vers ce qui est en avant, tendu de tout mon être vers le but pour atteindre le prix auquel Dieu m'a appelé d'en haut.". Il dit qu'il s'étend et il dit qu'il tend de tout son être vers le but à atteindre. Il se sentait trop étroit pour saisir ce que l'oeil n'a pas vu, ce que l'oreille n'a pas entendu, ce qui n'est pas monté au coeur de l'homme. Telle est notre vie : nous exercer en désirant. Or un saint désir nous exerce d'autant plus que nous avons détaché nos désirs de l'amour du monde. Nous l'avons déjà dit précédemment : vide à fond ce qui doit être rempli. Le bien doit remplir ton âme, déverse le mal.
Suppose que Dieu veuille te remplir de miel : si tu es plein de vinaigre, où mettre le miel ? Il faut répandre le contenu du vase ; il faut purifier le vase lui-même ; il faut le purifier, fût-ce à force de peiner, à force de frotter, pour le rendre apte à recevoir cette réalité mystérieuse. Que, cette réalité, nous n'arrivions pas à lui donner son vrai nom, que nous la nommions or, que nous la nommions vin, quelque nom que nous donnions à ce qui ne peut être nommé, quelque nom que nous prétendions lui donner, son nom est Dieu. Et quand nous disons "Dieu", que disons-nous ? Ces deux syllabes [Deus en latin], est-ce là seulement ce à quoi nous aspirons ? Tout ce que nous pouvons dire est donc au-dessous de la réalité ; étendons-nous vers lui, afin que, lorsqu'il viendra, il nous remplisse. Car nous lui serons semblables quand nous le verrons tel qu'il est."
11:30 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Sœur Emmanuelle, une leçon de vie.
Documentaire inédit – Collection Empreintes
- France 5
Le 16 novembre prochain à 20h40, à l’occasion des 99 ans de Sœur Emmanuelle, France 5 proposera un documentaire exceptionnel sur la fondatrice de l’Association Asmae « Sœur Emmanuelle, le cœur et l’esprit » dans le cadre de la collection Empreintes, film réalisé par Elisabeth Kapnist et produit par la société Les Bons Clients.
Vous pourrez ainsi découvrir ou redécouvrir le parcours d’une femme hors du commun dont le combat pour ses idées se poursuit et dont l’ambition d’aider les enfants et les jeunes générations reste intacte et vivante. Un documentaire émouvant et inédit qui sera rediffusé sur France 5 le dimanche 18 novembre à 9h45..
De Madeleine Cinquin à Soeur Emmanuelle
Madeleine Cinquin naît à Bruxelles le 16 novembre 1908. Elle partage ses années d'enfance et de jeunesse entre Paris, Londres et Bruxelles, lesquelles sont marquées par la mort de son père, noyé sous ses yeux lorsqu'elle avait 6 ans. Après des études de sciences philosophiques et religieuses, elle prononce ses voeux de religieuse dans la Congrégation Notre Dame de Sion et devient Soeur Emmanuelle.
Soeur Emmanuelle enseigne les Lettres en Turquie et en Tunisie. Tout au long de ces années, elle ressent le désir de se mettre au service des exclus. Elle sensibilise ses élèves, de condition aisée, aux difficultés des populations démunies de leur pays. Soeur Emmanuelle enseigne à Alexandrie et s'attache beaucoup à l'Egypte.
1971 -1993 : « les plus belles années de ma vie »
En 1971, à l'âge de la retraite, elle décide de partager la vie des plus pauvres, les chiffonniers du Caire, en Egypte. Guidée par ses valeurs : la foi en l'Homme, le Respect de l'autre, la Justice, elle parvient à s'intégrer dans leur communauté.
En travaillant en collaboration avec les chiffonniers, elle contribue à améliorer leurs conditions de vie. Ses priorités vont à la santé et à l'éducation des enfants. En quelques années, des dispensaires, des écoles, des jardins d'enfants sont construits.
Pour la soutenir dans ses actions, elle fonde sa propre association, en 1980 : Asmae-Association Soeur Emmanuelle. Pragmatique, elle veut professionnaliser ses actions et assurer sa relève. Sous son impulsion, l'association développe ses actions dans d'autres pays.
Retour en France
En 1993, à la demande de ses supérieures, Soeur Emmanuelle quitte définitivement l'Egypte et rejoint sa communauté en France. Elle continue de se battre pour plus de solidarité. Elle écrit des livres (Chiffonnière avec les chiffonniers, Richesse de la pauvreté, Vivre à quoi ça sert ?), rencontre des jeunes dans les lycées et les écoles, et donne des conférences aux côtés de son association pour sensibiliser le public à l'engagement solidaire.
Parallèlement, Soeur Emmanuelle continue à donner "un souffle" à son association. Elle lui a transmis ses principes d'actions qui sont chaque jour mis en pratique sur le terrain.
10:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans MAÎTRES A PENSER ET A VIVRE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LIBRES POUR AIMER.
Il existe une spiritualité authentique vécue au quotidien.
Vécue dans le bureau ou à l'usine, le supermarché ou la cuisine, le métro, la rue, les rencontres, les conflits... et aussi ses joies.
La spiritualité au quotidien comporte ses lois dont la plus élevée est l'Amour inconditionnel, qu'il importe de pratiquer à l'égard de soi autant que des autres.
C'est donc une spiritualité de tous les instants, une spiritualité pour tous, qui n'a pas besoin de circonstances particulières pour s'exprimer et se vivre : être spirituel devient un état de conscience, une manière d'être.
Une écologie relationnelle avec Soi, les autres et le temps qui passe. Une autre manière d'habiter son Existence en prenant conscience de l'Espérance indéfectible qui nous épanouit chaque jour, malgré les adversités. Ne pas assumer une spiritualité quotidienne, c'est refuser notre accès légitime au Bonheur.
Ce CD vous propose de poser un nouveau regard sur le monde et ceux qui nous entourent.
Agrémenté de chants et de musiques aux choix éclectiques. Il approfondira votre marche vers une Harmonie que nul ne saurait vous ravir.
Une oeuvre à la fois simple et profonde aux thématiques dont nous sommes confrontés quotidiennement.
Tout est Grâce Divine.
09:56 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne, poesie | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
En qui avez-vous placé votre confiance ?
03:45 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
11/11/2007
ET SI ?...
03:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christianisme, foi, spiritualite-de-la-liberation, spiritualite, action-sociale-chretienne | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |