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22/04/2006

LÂCHER PRISE...

LÂCHER PRISE.

Lâcher prise, ce n’est pas se montrer indifférent mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un d’autre.

Lâcher-prise, ce n’est pas couper les liens mais prendre conscience que l’on ne peut contrôler autrui.

Lâcher-prise, ce n’est pas être passif mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.

Lâcher-prise, c’est reconnaître son impuissance, c’est-à-dire que le résultat final n’est pas entre nos mains.

Lâcher-prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir changer autrui mais donner le meilleur de soi-même.

Lâcher-prise, ce n’est pas prendre soin des autres mais se sentir concerné par eux.

Lâcher-prise, ce n’est pas juger mais accorder à autrui le droit d’être humain.

Lâcher-prise, ce n’est pas s’occuper de tout ce qui arrive mais laisser les autres gérer leur propre destin.

Lâcher-prise, ce n’est pas materner les autres mais leur permettre d’affronter la réalité.

Lâcher-prise, ce n’est pas rejeter, c’est au contraire accepter.

Lâcher-prise, ce n’est pas harceler, sermonner ou gronder mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s’en défaire.

 

Lâcher-prise, ce n’est pas adapter les choses à ses propres désirs mais prendre chaque jour comme il vient et l’apprécier.

Lâcher-prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui mais s’efforcer de devenir ce que l’on rêve de devenir.

Lâcher-prise, ce n’est pas regretter le passé mais vivre et grandir pour l’avenir.

Lâcher-prise, c’est craindre moins et aimer davantage.

Bruno LEROY.

12:29 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

21/04/2006

RECHERCHER LE BONHEUR PAS LA SOUFFRANCE.

Rechercher la souffrance est répréhensible, mais choisir la volonté de Dieu, même si elle implique la souffrance, est tout autre chose. Aucun chrétien normal ne recherche la souffrance pour elle-même; comme Jésus, il recherche la volonté de Dieu, dut-il en souffrir. Un chrétien ne doit jamais s'immiscer dans la vie d'un autre chrétien, pour interrompre la discipline de la souffrance.

Un chrétien qui fortifiera les autres chrétiens, et les affermira, réjouit le Seigneur. Ceux qui nous font du bien ne sont pas ceux qui s'apitoient sur nous; ceux-là, au contraire, gênent notre marche, car en nous plaignant ils affaiblissent notre énergie. Un chrétien ne peut comprendre un autre chrétien que s'il se tient tout près du Sauveur. Si nous laissons un frère nous témoigner de la sympathie, aussitôt nous pensons : "Dieu me traite durement." C'est pourquoi Jésus a dit que la pitié de soi vient du diable (Matthieu 16, v. 23). Ne calomnions pas Dieu; il est facile de le faire car Dieu ne se défend pas, ne se venge jamais. Ne vous imaginez pas que Jésus éprouvait le besoin qu'on s'apitoie sur lui pendant sa vie terrestre. Il refusait la sympathie des hommes, car il savait trop bien, dans sa sagesse, que personne sur la terre ne pouvait comprendre son coeur. Il ne cherchait de sympathie qu'auprès de son Père et des anges du ciel (Luc 15, v.10).

Remarquez que Dieu semble parfois "gaspiller" ses serviteurs. Au point de vue humain, il les place à des endroits où ils semblent inutiles. Nous disons : "Dieu me veut ici parce que je suis tellement utile!" Mais Dieu place ses serviteurs là où ils pourront Le glorifier; et nous n'avons pas à en juger nous-mêmes : Il sait ce qu'il fait.

Bruno LEROY.

12:26 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

TOLÉRANCE...

TOLÉRANCE.

Il faut cesser d’enfermer les âmes dans des ghettos. Il faut cesser de faire des généralités sur un groupe d’individus alors que le monde est fait de personnes uniques, désireuses de construire leur propre histoire d’Amour avec la divine Présence qui est en l’Autre, qu’il soit homme ou femme.
En fait, si les homosexuels suscitent autant de négativité, c’est parce que nous les considérons trop souvent comme des obsédés sexuels, et qu’implicitement, ils mettent en relief notre propre vision culpabilisante d'une sexualité dont nous avons ôté le caractère sacré. Il faut donc absolument réaliser qu’en jugeant un être sur sa vie intime, nous lui faisons porter notre propre “densité” en même temps que nous renforçons notre armure psychique imperméable à la divine lumière élévatrice.

Et puisqu’il faut encore parler en ces termes, c’est aux hétérosexuels, majoritaires sur cette planète, qu’il appartient de tout mettre en œuvre pour que la minorité des homosexuels soit reconnue socialement mais surtout spirituellement. Il est temps d’enlever la poutre qui nous aveugle, il est temps de regarder l’Autre comme un frère ou une sœur susceptible de nous donner quelques conseils en matière d’amour, d'union… et d’évolution.

Bruno LEROY.

11:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

19/04/2006

AU SERVICE DE L'AMOUR.

Le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour servir. Matthieu 20, v. 28.

Paul a la même conception du service que notre Seigneur lui-même. "Je me suis fait l'esclave de tous", écrit-il aux Corinthiens. Il nous semble que ceux qui sont appelés au saint ministère sont destinés à former une classe d'hommes bien différente des autres. Or, selon Jésus-Christ, ils doivent être le paillasson sur lequel on s'essuie les pieds; ils doivent être des guides spirituels, non pas des supérieurs. "Je sais vivre petitement", dit Paul. Pour lui, servir, c'est se dépenser jusqu'au bout pour les autres, sans s'inquiéter ni de l'éloge ni du blâme.

Tant qu'un seul être humain est là qui ne connaît pas Jésus-Christ, Paul se doit à lui pour le lui apprendre. Le ressort principal de ce ministère de Paul n'est pas l'amour des hommes, c'est l'amour de Jésus-Christ. Si c'est pour les hommes que nous nous dépensons, nous allons à la déception et au découragement, car nous trouverons chez eux plus d'ingratitude souvent que chez un humble chien. Mais si c'est pour Dieu que nous travaillons, là point d'ingratitude qui puisse nous arrêter dans notre activité au service des autres. C'est parce que Paul se rendait clairement compte de la façon dont Jésus l'avait traité lui-même qu'il était si résolu à servir les autres. "J'étais auparavant un adversaire acharné, un blasphémateur de Jésus-Christ." Donc jamais les hommes n'auront à mon égard autant de haine et d'exécration que j'en avais pour Lui. Quand nous pensons que Jésus-Christ s'est donné pour nous malgré toute notre indignité, aucun mauvais traitement de la part des autres ne nous empêchera de les servir.
Bruno LEROY.
 

09:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

18/04/2006

INDISPENSABLE REPOS.

Comment se fait-il que Dieu décida de se reposer et que vous ne le faites pas ! Croyez-vous savoir quelque chose qu'Il ignore ? La plupart d'entre nous se prennent beaucoup trop au sérieux ! Nous enfilons notre costume d'homme d'affaires et choisissons soigneusement nos paroles afin de faire bonne impression. Nous faisons notre possible pour être à l'heure à chacun de nos rendez-vous comme si l'avenir du monde dépendait de notre ponctualité ou risquait de se désintégrer au premier de nos faux-pas ou de nos doutes.

Nous tombons trop souvent dans le piège de notre environnement qui nous pousse à concentrer notre esprit sur la prochaine de nos acquisitions, le prochain contrat à honorer, la prochaine promotion à obtenir, les prochaines déclarations à effectuer...

Il n'est pas étonnant que nous devenions vite intransigeants, pointilleux et susceptibles ! Nous jetons par la fenêtre le peu de sens de l'humour qui nous restait ainsi que tout désir de pardonner ou de manifester un semblant de compassion envers les autres. L'un des meilleurs moyens de sauvegarder un regard juste sur la vie et sur ce qui compte vraiment est de préserver une part de notre existence pour le repos et les loisirs.

Quel genre de distraction préférez-vous ?  Rien ne vous amuse ? Alors quelque chose ne tourne pas rond dans votre existence ! Le repos et des loisirs sont indispensables pour maintenir alerte votre esprit de créativité, entretenir la flamme de votre vision pour l'avenir et redonner un certain équilibre à un environnement où tout s'articule autour du travail.

Nous négligeons généralement cet aspect de notre vie, estimant que nous ne disposons pas d'assez de temps pour le gaspiller ainsi. Erreur ! Nous ne disposons pas d'assez de temps pour le gaspiller à travailler sans cesse !

Qui, sur son lit de mort, a jamais exprimé le regret de ne pas pouvoir remplir de nouvelles factures, lire quelques rapports supplémentaires ou assister à de nouveaux rendez-vous d'affaires ?

Tout le monde, sans exception, préférerait disposer d'un peu plus de temps pour se promener quelques minutes de plus dans un parc tranquille et ombragé, jouer une heure de plus avec ses petits-enfants ou prendre une semaine de vacances en famille, ces vacances toujours promises mais jamais prises ! Les promesses de demain ont la fâcheuse habitude de ne jamais se concrétiser !

BobGass

09:11 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

15/04/2006

MARCHER AVEC LE CHRIST.

Dans la vie ordinaire, à mesure que nous avançons, nos ambitions se transforment. Dans la vie chrétienne, le but est fixé dès le début, car si Jésus-Christ est le commencement, il est pareillement la fin. Nous partons de Jésus et nous tendons vers Lui, jusqu'à ce que nous parvenions à "la plénitude de l'humanité parfaite du Christ". Il ne s'agit pas de notre idéal chrétien, quel qu'il soit. Le but véritable du chrétien, ce n'est pas d'être utile ou de convertir les nations, c'est tout simplement d'obéir à son Dieu. Le reste suivra comme une conséquence.

Jésus, en montant à Jérusalem cette dernière fois, marchait vers l'accomplissement suprême de la volonté de son Père, vers la croix. Nous ne pouvons pas être ses compagnons et ses disciples, si nous ne l'accompagnons pas jusque-là. Rien n'a pu faire dévier Jésus de son ferme propos, durant cette marche suprême. Dans les villages où on le recevait mal, il poursuivait sa route sans se hâter. Dans ceux où on le bénissait, il ne consentait point à s'attarder. Ni la méchanceté ni la reconnaissance ne pouvaient le détourner du but qu'il s'était fixé, de Jérusalem.

"Le disciple n'est pas au-dessus de son Maître." Nous rencontrerons les mêmes circonstances, en montant à notre Jérusalem. Nous verrons la puissance de Dieu se manifester par notre intermédiaire, quelques-uns en seront reconnaissants, beaucoup d'autres seront indifférents ou affreusement ingrats, mais rien ne devra nous détourner de notre chemin.

"Là, ils le crucifièrent." Ce fut là l'aboutissement de la marche de Jésus vers Jérusalem, et l'accomplissement de notre salut. Nous ne sommes plus appelés à la crucifixion, mais à la gloire. Soyons fidèles, en montant à Jérusalem.

 
Bruno LEROY.

11:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

La prière ultime rencontre avec Dieu.

Le point capital dans la vie du chrétien peut s'exprimer ainsi : Regardez à Dieu, ne regardez pas les hommes. Ne priez pas afin qu'on sache que vous êtes un homme de prière. Trouvez moyen d'être tout seul, là où personne ne saura que vous priez, fermez votre porte, et là parlez avec Dieu seul à seul. Ne priez pas pour un autre motif que pour être en contact avec votre Père céleste. Vous ne pouvez pas être un disciple du Christ si vous n'avez pas des moments réguliers pour la prière secrète.

"Quand vous priez, ne bredouillez pas de vaines litanies..." Les païens, dit Jésus, s'imaginent naïvement que plus ils insistent, plus Dieu les exaucera. Dieu n'a pas du tout besoin que nous insistions pour nous exaucer, puisque nous sommes au bénéfice de la Rédemption. La prière n'est pas simplement un moyen d'obtenir de Dieu ce que nous lui demandons. La prière a pour but d'entrer avec Dieu en une communion parfaite. Grâce à la naissance d'en-haut, le Fils de Dieu vient demeurer en moi, il me transforme à son image et m'apprend à prier comme il faut.

"Quiconque demande reçoit." Nos prières sont du patois de Canaan, notre volonté n'y joue aucun rôle, et puis nous nous étonnons que Dieu ne nous exauce pas! Mais c'est que nous n'avons jamais demandé vraiment. "Vous demanderez ce que vous voudrez", dit Jésus. Il faut que notre volonté intervienne. Il faut demander comme un enfant demande, Jésus ne se lasse pas de nous le répéter. Bien entendu, nos demandes doivent être en harmonie avec le Dieu que Jésus nous a révélé.

Bruno LEROY.

11:23 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

14/04/2006

Comment Dieu ose-t-il se fier à nous ?

"Il a manqué de sagesse en me choisissant, dites-vous, je n'ai aucune valeur". C'est justement pour cela qu'il vous a choisi. Tant que vous croyez valoir quelque chose, Dieu ne peut pas vous employer, parce que vous avez des ambitions personnelles à poursuivre. Mais si vous lui avez permis de vous débarrasser de toute votre suffisance, alors il peut vous prendre avec lui pour "aller à Jérusalem", et cela pour accomplir un dessein sur lequel il n'a pas à vous consulter.

Nous nous imaginons qu'un homme qui a des qualités naturelles fera, à cause de cela, un bon chrétien. Or, ce qui est important, ce ne sont pas nos dons, mais notre dénuement. Non ce que nous apportons, mais ce que Dieu met en nous. Nos vertus naturelles, notre force de caractère, notre savoir, notre expérience - tout cela compte pour rien. La seule chose qui compte, c'est que nous soyons saisis par la souveraine contrainte de Dieu, et faits par lui ses compagnons (voyez I Corinthiens 1, 26-30). Dieu prend pour compagnons des gens qui reconnaissent leur pauvreté. Il ne peut rien faire de celui qui se croit bon à quelque chose. Nous, chrétiens, ne sommes pas là pour nous occuper de nos propres affaires, mais de celles de Dieu. Nous ne savons pas où Dieu veut en venir, mais rien ne doit porter préjudice à notre relation avec Lui. Si quelque chose vient à l'altérer, il faut prendre le temps de tout remettre en ordre. L'essentiel dans notre vie spirituelle n'est pas le travail que nous faisons, mais notre relation avec Dieu et l'atmosphère qui en résulte. C'est la seule chose sur laquelle Dieu nous demande de veiller, et c'est bien celle qui est la plus négligée.


Bruno LEROY.

09:44 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

11/04/2006

ENDURCISSEZ-VOUS !

Qui vous a fait croire que tout le monde devait vous aimer et se montrer prévenant à votre égard ? Certes pas la Parole de Dieu ! Jésus a dit que ses bénédictions étaient réservées à ceux qui sont “persécutés et insultés” (Relisez Matthieu 5.10-11).

Si votre carapace est trop fine vous risquez de souffrir dans la vie, car vous serez une cible facile pour l’ennemi. Le secret de votre survie spirituelle réside dans la persévérance, pas dans la popularité aux yeux des hommes !

Paul fut rejeté et abandonné par ses amis. Il souffrit des lettres éprouvantes que lui envoyèrent les Corinthiens. Il fut profondément déçu par les Galates. Il fut maltraité dans les rues de Philippe et injurié à Athènes avant d’être emprisonné puis décapité à Rome. Et vous, vous osez vous plaindre de quelque chose !

Dans sa lettre aux Corinthiens il donne quatre conseils importants pour nous aujourd’hui :

1- Veillez !

L’ennemi cherche à vous détruire. Pourquoi ? Parce qu’il veut anéantir ce que Dieu a placé en vous, cette graine capable de produire une moisson pour Dieu sur cette terre. Protégez-vous donc !

2- Demeurez fermes dans la foi !

Vous ne pouvez pas vous appuyer sur l’opinion des autres ou sur les événements de votre vie car tout change, mais seule la Parole de Dieu demeure immuable. Appuyez-vous sur elle ! Le faites-vous ?

3- Soyez courageux !

Comportez-vous comme des hommes mûrs, pas comme des enfants insouciants. Lorsque la bataille fait rage vous devez agir comme un combattant aguerri. Endurcissez-vous ! Si vous commettez les mêmes erreurs qu’il y a vingt ans, vous n’apprenez pas assez vite !

4- Soyez forts !

La faiblesse est une carte d’invitation que vous envoyez à l’ennemi ! Ne vous rendez pas : ce choix ne vous est pas permis ! Dieu avait dit à Son peuple que la Terre Promise leur appartenait, à condition qu’ils se battent pour la conquérir. Il vous dit exactement la même chose aujourd’hui !

BobGass

13:43 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/04/2006

DIEU DANS LA TEMPÊTE.

Tout être humain passe un jour par des moments de profonde détresse psychologique, liée à l’impuissance ressentie face à la perte d’un être cher, au verdict d’une maladie incurable, au licenciement imprévu, à la révélation d’un enfant qui se drogue ou d’un proche emprisonné, aux séquelles irréversibles d’un accident qui handicapent à vie, bref : tout ce qui nous échappe et va, du jour au lendemain, bouleverser notre vie.

Lorsque les disciples dans la barque s’effrayèrent de voir Jésus dormir tandis que les flots se jetaient sur eux, ils le réveillèrent saisis d’angoisse et lui dirent : « Maître, ne t’inquiètes-tu pas de ce que nous périssons ? » … Jésus s’étant réveillé, il menaça le vent … puis il leur dit : « pourquoi avez-vous si peur, comment n’avez-vous point de foi ? » Marc 4 : 35-40.

Lorsque je me suis retrouvée dans la barque, après un diagnostic lourd de maladie neurologique, j’ai peu à peu découvert la richesse et les bienfaits de la louange et de la prière quotidienne permettant de résister à la tempête qui se déchaînait sur moi.
J’avais le choix : me révolter contre ce qui m’arrivait, ou bien sombrer dans la dépression ou encore, m’accrocher à mon peu de foi (qui jusque là n’avait pas eu à affronter un tel problème). N’avais-je pas donné un jour ma vie à Jésus ?

Face à la maladie et à la souffrance physique, je me suis posée beaucoup de questions avant de comprendre que Dieu me forgeait après m’avoir brisée, pour que je lui fasse totalement confiance. En sondant la parole de Dieu, j’ai acquis la certitude que mon Seigneur est un Dieu d’amour, de paix et de compassion, et qu’il accomplit ce qu’il promet… en son temps.

Lorsque je demandais un encouragement, je lisais : « soyez patients dans l’affliction, persévérez dans la prière » dans Romains 12-12, ou encore : « car vous avez besoin de persévérance, afin qu’après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis » Hébreux 10-36. Ce dernier verset m’a été maintes fois répété par un ami chrétien.
Patience, persévérance, facile à dire, mais quand je souffre, ce sont des mots qui résonnent au loin, sans m’atteindre ni me consoler, sans soulager mes maux concrètement.

Et pourtant, avec du recul, je me suis rendue compte que tout ce temps de douleurs et d’attente m’a transformée au plus profond de mon être. Parce que je me suis abandonnée à Lui, peu à peu et  pas à pas, Dieu a changé mon cœur, mon caractère, mes habitudes, ma manière de penser et de voir les choses, mais je reste consciente qu’il a encore bien du travail pour que j’atteigne la perfection décrite dans sa parole !

Comprendre et accepter que Dieu veut nous changer à travers les épreuves, est une grâce et source de bénédictions. Je me disais souvent que l’aube finirait bien par se lever et que le soleil poindrait avec la guérison sous ses ailes selon Malachie 4- 2.
Et devinez quoi ? Un jour, l’aube s’est levée : j’ai appris que j’étais guérie !
Maintenant je loue le Seigneur car il a apaisé la tempête dans ma vie en menaçant le vent. Mais surtout, j’étais d’argile et il m’a façonnée comme le fait un potier.

Si vous êtes dans la barque en ce moment, regardez à Jésus, et à lui seul. Acceptez qu’il vous transforme pour que vous receviez ce qu’il vous a promis : la délivrance.
« Je connais les projets que j’ai formé sur vous dit l’Eternel, projets de paix et non de malheur afin de vous donner un avenir et de l’espérance ». Jérémie 29-11.


       

Sylvie Corman

18:54 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |