7427 7827

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/04/2006

VIVRE DANS LA CONFIANCE.

Lorsque Dieu appelle quelqu'un Il lui fournit l'équipement nécessaire pour bien accomplir sa mission, mais Il ne le fait pas toujours à l'avance. Bien souvent l'apprentissage a lieu en même temps que l'accomplissement de la mission elle-même !

Avez-vous déjà dit à Dieu : "Je suis terrifié à l'idée d'avoir à m'exprimer devant tous ces gens. Pourquoi veux-Tu que je prenne en main cette rencontre ?" ou encore : "Je ne suis pas qualifié pour cet emploi. Pourquoi tiens-Tu à ce que je pose ma candidature ?"

Ne vous fiez pas à votre manière d'envisager la situation ! Pour accomplir la tâche que Dieu vous a assignée les seules qualifications qui comptent vraiment sont Sa force et Sa sagesse. Le reste n'est qu'apprentissage "sur le tas" ! Vous devez seulement faire confiance à Dieu et agir selon ses encouragements.

Cela ne veut pas dire que vous ne serez jamais effrayé. Comme Moïse vous aurez l'impression qu'il vous est impossible de réussir en raison de votre manque total d'expérience. Mais c'est à ce moment-là que vous devrez prouver votre foi et la pousser au delà de ses limites en vous mettant simplement à faire ce qu'il est nécessaire de faire en fonction de vos connaissances présentes. Dieu pourvoira au reste. Vous apprendrez alors davantage la valeur de l'humilité et découvrirez comment dépendre de Dieu plus que jamais.

Vous devrez peut-être demander l'aide de beaucoup de personnes autour de vous, et parfois poser beaucoup de questions, mais n'ayez jamais peur de poser des questions, ni de faire des erreurs, ni de demander le soutien d'autrui, ni de tenter de faire certaines choses d'une manière nouvelle que personne n'a tentée avant vous.

Si Dieu vous a appelé à occuper ce poste, alors vous êtes la seule personne choisie par Lui ! N'oubliez jamais ce détail !

BobGass

08:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

01/04/2006

ACCOMPLIR SON RÊVE LE PLUS CHER.

Si vous n’avez pas encore accompli votre rêve le plus cher, il est tentant de vous laisser ronger par les regrets.

Mais ne succombez pas à cette tentation ! L’électricien rêve peut-être de devenir comptable tandis que le comptable rêve de devenir médecin, comme vous rêvez peut-être d’accomplir quelque chose d’extraordinaire, tout en vous morfondant chaque jour dans votre coin, sans oser vous lancer dans l’aventure ! Il n’est jamais trop tard ! Il faut seulement vous battre pour réaliser votre rêve, quel qu’en soit le prix ! N’écoutez pas ceux qui se plaignent sans cesse parce qu’ils n’ont jamais eu le courage de se lever de leur chaise confortable et qui voudraient que vous fassiez de même ! Votre mission n’est pas de vivre le plus longtemps possible, mais de vivre le plus intensément possible !

Charles Lindberg le premier aviateur à traverser l’Atlantique a dit un jour: “Si je réussis à vivre et à voler encore dix ans avant de m’écraser au retour d’une mission, alors ma vie aura valu la peine d’être vécue !” Pour qui la vie a-t-elle le plus de valeur, pour le pilote qui passe son temps à accomplir son rêve ou le misérable avare qui passe son temps à préserver chaque minute de sa précieuse existence à la manière des centimes qu’il accumule dans son coffre ? Votre vie jusqu’à aujourd’hui n’a peut-être été qu’une longue préparation pour l’accomplissement d’un seul rêve ! Après s’être retiré de la vie politique, Winston Churchill se lança dans l’écriture au point d’obtenir le prix Nobel de Littérature ! Quand l’homme d’affaires allemand Heinrich Schliemann prit sa retraite, il poursuivit son rêve de toujours: retrouver l’antique Troie. Et il réussit dans son entreprise folle !

Il y a peu de versets dans la Bible aussi déprimants que ces quelques mots: “La moisson est passée, l’été touche à sa fin et nous attendons toujours d’être délivrés.” Oui, le temps passe, les jours s’évanouissent, les années s’enfuient... alors ne remettez pas au lendemain ce que vous pouvez faire aujourd’hui !

BobGass

12:36 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

31/03/2006

LA LIBERTÉ SPIRITUELLE.

La liberté spirituelle parfaite est une impossibilité absolue de mal choisir. Lorsque tout ce que nous désirons est vraiment bon, et que le choix que nous faisons non seulement tend vers le bien, mais l’atteint, nous sommes libres parce que nous faisons tout ce que nous voulons, et que chaque acte de notre volonté aboutit à une parfaite exécution.

La liberté ne consiste donc pas à établir une sorte d’équilibre entre nos bons et nos mauvais choix, mais à aimer et accepter ce qui est vraiment bon, à détester et à refuser ce qui est mauvais, de sorte que tout ce que nous faisons est bon et nous rend heureux, et que nous refusons, repoussons et ignorons tout ce qui pourrait nous conduire au malheur, aux illusions et aux peines. Seul l’homme qui a rejeté si complètement tout mal qu’il est incapable de le désirer est complètement libre. Dieu, en qui ne se trouve absolument aucune ombre ou possibilité de mal ou de péché, est infiniment libre. En fait, Il est la Liberté. Seule Sa volonté est indéfectible. Toute autre liberté peut se tromper et se détruire par un choix erroné. Toute véritable liberté est un don surnaturel de Dieu, une participation à Sa propre Liberté essentielle par l’amour qu’Il inspire à nos âmes, en les unissant à Lui d’abord par l’accord total, puis par l’union transformante des volontés.

L’autre liberté, la prétendue liberté de notre nature, c’est-à-dire l’indifférence à l’égard de choix bons ou mauvais, n’est qu’une disponibilité attendant d’être transformée par la grâce, la volonté et l’amour surnaturel de Dieu.

Tout bien, toute perfection, tout bonheur, se trouvent dans la volonté de Dieu infiniment bonne, parfaite et sainte. Et comme la véritable liberté n’est que la possibilité de désirer et de choisir, toujours, sans erreur, sans défaillance, ce qui est bon, la liberté ne se trouve que dans une union et une soumission parfaites à la volonté de Dieu. Si notre volonté suit la sienne, elle atteindra le même but, jouira de la même paix et sera remplie de même bonheur infini. Aussi la définition la plus simple de la liberté est-elle celle-ci : être libre, c’est faire la volonté de Dieu. Résister à Sa volonté, ce n’est pas être libre ; il n’y a pas de vraie liberté dans le péché.

Il existe certains avantages dans ce qui entoure le péché -dans les péchés de la chair il y a par exemple les plaisirs de la chair. Mais ce ne sont pas ces plaisirs qui sont mauvais. Ils sont bons, voulus par Dieu, et même lorsqu’on en jouit contre la volonté de Dieu, Il permet cependant cette jouissance. Mais bien que ces plaisirs, en eux-mêmes, soient bons, c’est la volonté qui les recherche dans des circonstances contraires à la volonté de Dieu qui devient mauvaise. Et comme cette direction de la volonté est mauvaise, elle n’atteint pas la fin qu’elle se propose. C’est pourquoi ne trouve-t-on finalement aucun bonheur dans le péché.

Imbéciles que nous sommes ! Nous avons fait, en réalité, ce que nous ne voulions pas faire ! Dieu nous a laissé le plaisir, parce que telle était Sa volonté : mais nous avons négligé le bonheur qu’Il nous destinait en plus du plaisir, ou peut-être le bonheur plus profond qu’Il voulait nous donner sans le plaisir, et qui le dépassait de beaucoup !

Nous avons mangé l’écorce et jeté l’orange. Nous avons gardé le papier qui n’était qu’un emballage, et nous avons jeté l’écrin, la bague et le diamant. Et maintenant que le plaisir -qui a toujours une fin- est terminé, nous n’avons pas le bonheur qui nous aurait enrichis pour toujours. Si nous avions pris (ou refusé) le plaisir comme Dieu le voulait pour notre bonheur, nous aurions encore ce plaisir en même temps que notre bonheur ; il ne nous quitterait pas et nous accompagnerait partout, dans la volonté de Dieu que nous aurions accomplie. Car un homme sain d’esprit ne peut jamais regretter sérieusement un acte fait consciemment, en union avec la volonté divine.

La liberté est donc un talent donné par Dieu, un instrument de travail, l’instrument qui nous permet de construire nos vies, notre bonheur. Ne sacrifions jamais notre véritable liberté, car y renoncer c’est renoncer à Dieu même. Ce qu’il faut sacrifier, c’est la fausse spontanéité du caprice, la pseudo- liberté du péché. Nous devons défendre notre liberté au prix même de notre vie, car c’est ce que nous avons le plus précieux. C’est elle qui fait de nous des personnes ressemblant à l’image divine. L’Église, société surnaturelle, a, comme principale mission, de préserver notre liberté spirituelle d’enfants de Dieu. Combien peu le comprennent !

Bruno LEROY.

12:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

29/03/2006

Serez-vous de ceux-là ?

Fritz Kriesler, violoniste de renommée mondiale, a gagné une fortune grâce à ses concerts, mais l'a presque entièrement distribuée. Un jour il découvrit un violon fabuleux mais fut incapable de l'acheter sur le champ. Plus tard, lorsqu'il eut accumulé l'argent nécessaire, il apprit que l'instrument venait d'être vendu à un collectionneur fortuné.

Kreisler alla donc le voir pour l'implorer de lui revendre ce violon. Mais ce dernier lui répondit : "Non, je ne tiens pas à le revendre, c'est à présent mon bien le plus précieux." Profondément déçu, Kreisler lui demanda une dernière faveur : "Avant de partir, puis-je vous demander l'autorisation d'en jouer avant qu'il ne soit réduit au silence ?"

Le propriétaire accepta et le virtuose emplit la pièce d'une musique d'une telle beauté que le collectionneur fut ému jusqu'aux larmes. Bouleversé, il s'exclama : "Je n'ai pas le droit de le garder pour moi tout seul. Je vous en fais cadeau : emportez-le dans le monde entier pour que tous les publics l'entendent !"

Quand Dieu vous accorde une bénédiction spécifique, n'oubliez pas que vous n'avez pas le droit de la garder pour vous seul : vous devez en faire profiter aussi les autres !

Aucun être vivant ne peut survivre dans la mer Morte : bien que le Jourdain y déverse de l'eau fraîche  cette "bénédiction" est inutile, car en raison de sa configuration géographique, aucune eau ne peut s'en échapper.

Le moyen le plus rapide de s'asphyxier spirituellement est d'accumuler les bénédictions et de rechercher partout les "expériences spirituelles". Dieu cherche surtout des croyants à qui Il peut "confier" Ses bénédictions et qui les feront fructifier.

Des croyants qui arriveront un jour au ciel et qui diront : " Seigneur j'ai utilisé chaque centime, chaque heure et chaque parcelle d'énergie que Tu m'as donnés pour bénir les autres." Ce sont eux qui entendront alors ces mots : "C'est bien, bon et fidèle serviteur !" (Matthieu 25.23).

Serez-vous de ceux-là ?

BobGass

11:33 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/03/2006

La voie de la vie bonne.

On peut se tenir [dans la voie de la vie bonne] en ces quatre résolutions, qui ne sont pas du tout crispation du vouloir, mais plutôt dissolution de la crispation !

Ne pas s’inquiéter.

Ne pas s’irriter.

Ne pas se plaindre.

Ne pas se presser.

Vraiment, l’antidote à l’agitation et au désarroi de l’homme contemporain !

Les deux premières résolutions correspondent aux deux plus grandes menaces qui viennent du dedans de l’homme : terreur et fureur. Les deux autres suivent les deux premières.

Mais il est permis : d’avoir soin des autres, du monde, de soi-même, de vibrer de colère contre l’injustice et la bêtise, de se plaindre à Dieu, d’ôter implacablement l’inutile.

Maurice Bellet

" La quatrième hypothèse.

Sur l’avenir du christianisme ".

 

ÉCRIRE...

par plaisir, par goût, pour voir
écrire pour écouter ce que le bruit ordinaire recouvre ou embrouille
y compris le bruit des mots
Laver les mots jusqu'à ce qu'ils soient
tout purs et ronds et lisses
ou bien aller par les chemins foisonnants
ou bien refaire, indéfiniment refaire
pour approcher un peu plus ce qui manque et insiste
écrire pour aller vers le point là-bas
qui communique avec l'au-dessus et l'en-deça de tout mot.

Maurice BELLET.

19:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

11/03/2006

TRAVAILLER DANS UNE AMBIANCE HOSTILE.

Ne vous comportez jamais en victime comme si quelqu'un d'autre était responsable de votre misère et de vos peurs.

Votre emploi, malgré ses difficultés, aurait probablement rempli de joie la plupart de vos ancêtres ! N'avez-vous pas un jour prié pour trouver un tel emploi, dont vous vous plaignez sans cesse aujourd'hui ?

Même si vous trouvez difficile de le comprendre, vous êtes dans votre situation présente pour une raison précise et pour un temps particulier. Aussi tirez les leçons qui doivent en être tirées, surmontez les épreuves que vous devez affronter, affermissez votre caractère et allez de l'avant sur le chemin que Dieu a tracé pour vous, en vue du prochain rôle qu'Il vous demandera d'assumer.

Il y a sans doute quelques leçons à glaner dans votre position actuelle, un talent à assimiler peut-être, qui vous sera indispensable demain, ou une attitude à adopter pour faire face aux défis de l'avenir. Qui sait, peut-être avez-vous besoin d'apprendre des rudiments d'informatique tout en devenant plus patient et plus reconnaissant envers Dieu ! A moins que vous ne deviez apprendre à gérer des bureaux pleins d'employés tout en apprenant à maitriser vos humeurs ! Au service du Seigneur aucune expérience n'est de trop !

Ecoutez : "Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon Son dessein" (Romains 8.28). Il est parfois difficile de s'en rendre compte sur le coup : quand Joseph était au fond de la prison, comment pouvait-il imaginer que ce chemin le mènerait un jour au palais du Pharaon ?

Dieu a établi un plan merveilleux pour votre vie. Votre travail aujourd'hui n'est peut-être que la phase de préparation du rôle qu'Il a prévu pour vous. Regardez en arrière et contemplez le chemin que vous avez déjà parcouru ; voyez par quelles étapes vous avez dû passer pour en arriver à votre position actuelle.

Et faites confiance à Dieu : Il se servira de chacune de vos expériences pour que s'accomplisse parfaitement Sa volonté dans votre vie pour Sa plus grande gloire, et que vous connaissiez la plus grande joie.

Un travail bien fait porte en lui sa récompense car nous avons besoin, en tant qu'humains, de sentir que nous sommes utiles à quelque chose sur cette terre. Si nous nous sentons inutiles nous tombons vite dans la dépression.

Ne croyez pas les mensonges des médias qui veulent vous faire croire que les gens qui ont réussi dans la vie ne doivent plus rien faire. Nous avons tous été créés pour accomplir un dessein précis au cours de notre vie, et il n'a rien à voir avec la réussite matérielle.

Peut-être vous a-t-on inculqué, dans votre église, que le travail était la conséquence de la faute d'Adam. C'est faux ! Certes le travail prit une orientation différente, mais croire qu'Adam et Eve n'avaient rien à faire et n'avaient reçu aucune responsabilité avant la chute est une grave erreur !

Dieu avait prévu, au moment de leur création, qu'ils Lui ressemblent, c'est-à-dire qu'ils soient capables d'inventer, de gérer, de produire certaines choses et de s'investir dans des tâches qui contribueraient à l'accomplissement de Ses desseins. Il leur donna le contrôle et la responsabilité du jardin d'Eden afin qu'ils connaissent un sentiment de joie et de satisfaction inégalable, jusqu'au jour où ceux-ci décidèrent de n'en faire qu'à leur tête et désobéirent à Dieu.

Ecoutez : "Dieu prit l'homme et le plaça dans le jardin d'Eden pour le cultiver et le garder... Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel et les fit venir à l'homme pour voir comment il les appellerait, afin que tout être vivant porte le nom que lui donnerait l'homme" (Genèse 2.15-19).

Le premier emploi humain consistait à donner un nom à tous les êtres vivants de la création et à les contrôler. Un rôle de patron idéal ! De même Eve fut créée afin de partager les responsabilités d'Adam et de devenir son assistante personnelle. Un homme qui n'aurait rien à faire n'aurait pas besoin d'un assistant, ne croyez-vous pas ?

La Bible vous indique donc clairement que le plan de Dieu pour votre vie est d'être utile et d'accomplir un travail fructueux et important dans le cadre des dessins divins.

BobGass

11:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

08/03/2006

AIMER LES DIFFÉRENCES.

Aimer quelqu'un qui ne le méritait pas, c'est ce que Dieu a fait pour vous ! Si quelqu'un est différent de vous, cela ne signifie pas que vous devez le rejeter ou le considérer comme votre inférieur ! Vous n'aimeriez pas être jugé et rejeté à cause de votre couleur de peau, votre classe sociale ou votre comportement habituel, n'est-ce pas ?

 

Alors ne vous conduisez pas de cette manière envers les autres ! Parce que la Parole de Dieu nous dit très clairement de ne pas imiter la conduite des autres en commettant les mêmes péchés, nous sommes tentés d'en conclure que nous leur sommes supérieurs. Cette idée est un péché aux yeux de Dieu ! D'un autre côté nous avons parfois peur, si nous ne critiquons pas leur conduite, de leur donner l'impression d'approuver leurs péchés. En vérité nous devons respecter et accepter les autres comme le faisait Jésus Lui-même. Jésus ne se sentait pas concerné par les différences de race (Il s'adressa à des Samaritains), ni par les différences de coutumes (Il parla librement avec une femme étrangère, près d'un puits), ni par les différences de classe sociale (Il rencontra Nicodème), parce qu'Il les aimait tous pour ce qu'ils étaient, tout en les encourageant à rechercher une vie bien plus riche que la leur.

 

Il est facile de dire : "Il faut montrer de l'amour à l'âme qui pèche, tout en détestant le péché", mais le mettre en pratique chaque jour exige beaucoup de patience, de détermination, de compréhension et une obéissance aux conseils prodigués par notre Père céleste. Vous devez pouvoir travailler aux côtés d'un ami ou collègue qui est en train de commettre un adultère, tout en priant pour lui et en évitant vous-même de suivre son exemple. Souvenez-vous que vous étiez auparavant un pécheur comme lui et que la seule différence entre vous est la grâce de Dieu qui vous a sauvé. Bannissez de votre vie toute suffisance, comportez-vous avec humilité et compassion dans tous vos rapports avec ceux dont la manière de vivre vous choque. Apprenez à les comprendre de votre mieux, rejetant tout a-priori et préjugé. Ne vous attachez pas aux différences qui vous séparent mais considérez-les comme des hommes et des femmes pour qui Dieu a le plus grand amour et qui ont besoin de la même grâce qui vous a été offerte !

 

BobGass

09:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

07/03/2006

L'OPINION MOYENNE DES AUTRES.

Passer outre l'opinion des autres
"Si je cherchais à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ." Galates 1.10

Lorsque Jésus parlait aux foules, Il le faisait sans se sentir obligé de créer une impression quelconque, Il n'avait nul besoin de leur approbation. Aussi pouvait-Il leur dire la vérité et leur apporter Son amour  en même temps.

Et vous, pouvez-vous faire la même chose ? Le sociologue Georges H. Mead a écrit un livre à propos de ce qu'il appelle "l'opinion moyenne des autres" dans lequel il affirme : "Imaginez une sorte d'assemblée de jurés comprenant tous les gens capables de nous évaluer, à la manière de juges chargés d'évaluer les performances d'athlètes se produisant devant eux. Nos parents, notre entourage, notre femme ou notre mari font, à coup sûr, partie de cette assemblée. Notre patron, nos collègues de travail, nos voisins en font probablement partie eux aussi ! Il y a certes beaucoup de monde dans cette assemblée de juges ! Le pire inconvénient c'est que nous ne sommes jamais  sûrs de ce qu'ils pensent vraiment de nous ! L'ironie cruelle de l'opinion moyenne des autres c'est que cette opinion est surtout le fruit de notre imagination : cette opinion fictive correspond seulement à ce que nous croyons que les autres pensent de nous !"

Lorsque nous sommes jeunes nous essayons de vivre en faisant plaisir aux autres. Quand nous atteignons l'âge mûr nous en avons assez d'essayer de leur plaire et nous nous aigrissons, pensant que leur opinion peut encore avoir quelque influence sur nous. Quand nous devenons plus âgés et plus sages, nous nous rendons compte que les autres, la plupart du temps, ne se souciaient pas de nous et étaient à cent lieues de nous critiquer !

Si nous imaginons que notre identité dépend de l'opinion des autres, nous risquons de vivre chaque minute de notre vie à l'affût de leur approbation. Notre opinion de nous-mêmes est sans cesse remise en question, ce qui n'est pas la manière de vivre que Dieu avait prévue pour nous !

L'opinion d'autrui, en bien ou en mal, n'a aucune influence sur notre comportement, sauf si nous lui donnons carte blanche pour nous contrôler ! Voilà pourquoi Paul a écrit : "Si je cherchais à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ !"

BobGass

13:25 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/03/2006

COMMENT PARDONNER NOS ENNEMIS.

Nous oublions souvent que Dieu est Amour. Il faudrait peut-être, l’inscrire au fronton de toutes les églises. Et puis, je me dis, cela ne servirait à rien, les gens le lirait sans prêter attention. Combien de fois nous prions en ayant une pensée venimeuse pour une personne de la Famille, ou autre. Dans les discutions privées, nous entendons des confidences dont Satan doit se régaler.

Je ne parlerai plus à un tel, il m’a fait trop de mal. Est-on responsable de nos sentiments envers autrui ? OUI ! Si une personne vous a fait du mal, c’est tout simplement, soit que vous êtes sensible ou que cette situation vous plaît car, au moins vous existez. Jésus est venu apporter le Feu sur Terre et je dirai même l’incendie universel.

Il ne nous demande pas de nous aimer uniquement pour avoir de bonnes relations. Il va plus loin, en nous demandant d’Aimer nos ennemis. La question qui se pose alors, avons-nous des ennemis ? De là, nous pouvons faire des démarches de réconciliations ou prier pour la conversion et même le Bonheur de nos ennemis. Pour ma part, je n’ai jamais eu d’ennemis de ma vie. Vous allez dire, mon Dieu quel saint homme. Figurez-vous, que cette question m’a posée problèmes durant des années. Je me suis décidé à voir un psychologue qui fut surpris par ma question : Docteur dites-moi pourquoi, je n’ai pas d’ennemis. La réponse est moins radieuse qu’on peut l’imaginer...En effet, il m’expliqua que mon caractère entier et impulsif me faisait dire tout haut mes quatre vérités en face de la personne et je me libère ainsi de toutes culpabilisations. Il m’a répondu, vous n’avez certes pas d’ennemis mais beaucoup de gens qui doivent souffrir de votre humeur autour de vous.

Ce jour là, je m’en souviens, je suis entré dans une église pour prier intensément afin que Christ m’aide à libérer tous ceux et celles que j’ai pu faire souffrir. Je dirai avec un peu d’humour que mon cas s’arrange et pourtant le naturel revient parfois au galop. Tout cela pour dire, Frères et Soeurs que nous ne devons pas juger mais comprendre. Pourquoi, telle personne est si méchante. Comment a-t-elle vécue son enfance. Son mariage est-il heureux ? N’as-t-il pas un problème d’argent qui le rend agressif ? Tant de questions posées nous permettaient de trouver la solution avant de porter un jugement net et définitif. Nous pourrions ainsi trouver les pistes qui donneraient davantage d’harmonie avec autrui. L’existence doit être faite de questions, non de jugements.

Certains juges sont moins impitoyables que nous. Ils ont suffisamment de recul pour regarder la véritable problématique de la personne jugée. Nous nous prenons trop souvent pour Dieu et nous voudrions instaurer le jugement dernier sur terre. Et sur ce navire du tribunal qui navigue au gré de nos rencontres, nous ne sommes pas seuls à conduire le gouvernail. Avant de présenter nos offrandes à Dieu, disons-nous que nous avons tous à nous reprocher une attitude de haine. Soit ouvertement, soit en pensées. Et nous sommes surpris que Dieu-Amour ne réponde point à nos demandes. Il répond toujours lorsque nous avons un coeur pur débordant d’Amour. Pas quand nos ressentiments sortent tellement de nos yeux que notre Pasteur se demande si nous n’avons pas un problème nerveux. Nous ne pouvons nous adresser à l’Amour que dans une attitude profonde d’Amour. Le pardon est souvent considéré par les chrétiens ( nes ) comme un acte de lâcheté. Alors, qu’il est puissance de libération pour tous et toutes. Une révision de nos relations avec Dieu s’avère indispensable, primordiale. C’est le beau combat de la Foi ! Si tout était facile, nous serions des saints au regard de Dieu.

Frères et Soeurs, c’est bien parce qu’il est dur par moments, d’être chrétien ( ne ) que la vie retrouve sa pleine saveur. Il faut partir du principe qu’un meurtrier ne se lève pas un matin en disant, tiens je vais tuer telle personne cela me changera les idées. La méchanceté également est un long processus qui éclate au bout de nombreuses années. Bien-sûr, il n’est pas question de fermer les yeux sur tout, en pardonnant avec indifférence. Il est question d’analyser les événements et les gens avant d’envoyer notre couperet. Si nous n’avons guère la Force de pardonner à notre pire ennemi. Alors, demandons à Dieu de le faire pour nous. Soyez sûr que cette prière sera exaucée. Notre regard humain n’a rien à voir avec le Divin qui ne juge point selon les apparences, mais le coeur. Donnons notre coeur à l’Esprit-Saint afin qu’il le purifie et nous indique la vraie voie du pardon pour notre libération. Dieu est Libérateur, Il ne veut pas d’esclaves à ses pieds. Seigneur, je te demande humblement pardon pour tout le mal que j’ai pu commettre, même sans le savoir. Purifie mon âme de ses scories qui m’empêchent d’aller vers Toi. Amen !

Bruno LEROY.

13:34 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (2) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

27/02/2006

RÉALISONS NOS RÊVES !

Prendre le Temps en ce monde bousculé. Prendre le temps de rêver les splendides horizons d’Espérance que Dieu a déposé en notre âme. Répondre ainsi aux Talents que Christ nous demande de cultiver. Quel merveilleux programme de Vie, n’est-ce pas ?

Frères et Soeurs, il est temps que notre société et notamment, nos Jeunes prennent du temps pour méditer et accomplir leurs rêves. Pour cela, il faut dépasser certains obstacles. Ensemble, chrétiens et chrétiennes que nous sommes, partageons nos rêves et aidons les autres à les vivre. Notre vocation est de transmettre tout ce que Dieu en Son Infini Amour nous a donné en pleine libéralité. Ne conservons pas nos rêves pour nous. Ils deviendraient cauchemars. Offrons au monde les rêves solaires et éclatant de Lumière afin de donner un autre visage à notre Humanité. Une société de violence et de manque de repères spirituels est une société qui a tué ses rêves les plus beaux. Puisse l’Esprit-Saint nous accompagner dans ce rêve d’une Humanité nouvelle !

Pourquoi parler des rêves avec tant d’insistance ? Simplement, je m’aperçois que notre société prend de moins en moins en considération les rêves humains. La compétitivité, la performance et bien d’autres paradigmes ont fait de nous les esclaves modernes d’un monde de consommation. Qu’importe alors, si les jeunes et moins jeunes se mettent à rêver de leur avenir pour créer des projets. Les projets sont imposés pour faire face à la concurrence. Laissons nos rêves de côté où nous finirons tous et toutes dans la rue à tendre la main en espérant quelques Euros.

A me lire, peut-être pensez-vous que je décris bien ce qui risquerait de nous arriver si nous suivions nos rêves. Hé bien, cette description est entièrement fausse et véhiculée par les médias à tel point qu’on semble sentir sa réalité. Non, ceux ou celles qui ont des rêves mettent tout en place, jusqu’au bout, pour que ceux-ci se réalisent. Le chrétien doit être le premier à faire confiance en un Dieu d’Amour qui est à l’écoute de nos rêves pour combler Ses desseins. Nous devons tout mettre en place pour acquérir cet esprit critique qui nous réalise en tant qu’Hommes.

Ne pas sombrer dans le matérialisme le plus bas afin de satisfaire les lobbys industriels. Ce matérialisme dépourvu de sens, sinon celui de s’enrichir, détruit nos rêves les plus nobles. Nous sommes au service de Christ, pas des patrons qui nous considèrent tels des numéros. Nous pouvons connaître le chemin que Dieu nous destine, uniquement dans la prière des profondeurs de l’âme. Il sait que nos rêves de chrétiens désirent un monde où la Haine, l’égoïsme, l’individualisme forcené, le profit soient éradiqués de notre société. Sinon, à quoi nous servirait-il de nous dire chrétiens en lisant la Bible tout en ne la vivant pas ?

Voilà notre combat spirituel. Remettre sur terre les rêves que Dieu Amour nous donne. Avoir confiance en nos qualités et capacités. Trouver la force dans la prière de chaque instant. Ne plus être les esclaves d’un monde moderne qui tue nos rêves. Et peu importe les conséquences, nous aurons oeuvrés pour Christ et la mise en application de Ses rêves. Nous espérons que d’autres générations se lèveront en disant qu’ils veulent une existence autonome dans les bras de Dieu.

Ce Dieu Libérateur qui est venu pour les plus petits d’entre nos Frères et Soeurs, ne saurait être contre nos rêves de liberté. Une liberté responsable où la course au profit laissera place à une terre d’Amour.

Bien-sûr, il nous faut de l’argent pour vivre mais non vivre pour l’argent. L’Esprit-Saint pourvoira à l’accomplissement de notre destin, pourvu qu’il soit vécu dans la prière afin que nous ne confondions point nos propres rêves avec ceux de Dieu.

Réaliser nos rêves, c’est toujours grandir en Humanité selon la Volonté de Christ.

Bruno LEROY.

11:21 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CONSEILS SPIRITUELS. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |