01/12/2010
Le jour peut bien être brumeux...
21:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., MÉDITATIONS., POÉSIE, POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
29/11/2010
L'amour. Une émotion qui s'use ?
Une émotion qui se redécouvre sans cesse !
Une émotion que l'on ne peut maîtriser mais que l'on peut nourrir, attendre et chercher...
Et qui dans ce cas revient toujours plus forte, d'autant plus en contraste avec les passages de désert...On peut côtoyer ceux qui nous sont les plus chers sans même les voir. Quotidiennement !
Époux ou épouse, mais aussi dans la relation avec Dieu.
On n'écoute plus, absorbés par nos activités et nos pensées dont l'autre est exclu !
On peut ainsi parler, écouter faire quelque chose pour l'autre sans que l'autre n'existe vraiment dans nos coeurs, dans nos pensées, dans nos gestes ou nos paroles...Et soudain, sans même comprendre pourquoi, quelque chose brise cette glace, nous montrant notre besoin de relation authentique, profonde et sincère.
On aime !
Bruno LEROY.
19:12 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CHRONIQUES., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES., POUR LES JEUNES., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Je suis ce que je ne suis pas.
13:20 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CHRONIQUES., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
28/11/2010
Je m'en vais trouver la solitude.
12:40 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CHRONIQUES., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
27/11/2010
Nous entendons sauver notre monde.
Toutes les époques ont leur maladie. La génération actuelle a donc également la sienne.Nous vivons dans le siècle de la publicité, le siècle des enseignes lumineuses. Sur le terrain commercial, on en fait une vraie débauche : il y va du prestige des firmes.
Un des traits de notre maladie à nous est la présomption religieuse. Notre époque est une époque d’ostentation. Le christianisme s’est mis à la mode, du moins dans certaines nations. On a la sensation que nous voulons vivre un christianisme d’enseignes lumineuses.
Statistiques, chiffres, beaucoup de chiffres, grandes affiches portant le pourcentage de l’augmentation de nos membres ; beaucoup de musique, tombolas et loteries de bienfaisance. Comme les chrétiens vibrent !
Plutôt que de faire des démonstrations de Foi publiques, il s’agit de montrer sa force et sa vitalité réelle, la vitalité personnelle de cette Foi, et cela c’est, avant tout, un travail individuel.
Nous entendons sauver notre monde, comme les premiers chrétiens ont sauvé le leur, sans ostentation ni parade, mais avec l’efficacité qui a permis la transformation chrétienne aux premiers siècles.
Peu importe l’originalité du procédé ; les moyens de toujours nous paraissent suffisants : la Croix et l’Évangile. Nous entendons travailler dans le silence.
Répandre la joie dans le monde, et la virilité dans la vie intérieure, cet idéal, cet apostolat, ce message divin destiné aux temps actuels, cette guerre qui porte la paix dans son sein, tout ce travail, nous avons à le faire en silence, sans éclat, dans l’humilité collective.
Nous comptons avec la douleur, avec l’échec, avec le poids de la chair, avec le mensonge de ceux qui nous entourent ; nous comptons avec tous les périls, nous comptons avec tout ce qui est fragile ; mais nous comptons sur la force de Dieu. Nous n’avons rien à craindre de personne.
Le monde est ton champ d’action, c’est dans le monde que tu dois te sanctifier ; c’est dans le monde que tu auras à lutter jusqu’à ce que la mort détruise ton corps pour rendre sa résurrection possible.
N’entre pas dans le monde avec peur, si tu te sentais fils de Dieu ! Attaque tes journées d’un pas ferme, les yeux tournés vers le soleil. N’aie point peur de la vie.
Nous sommes les amis de la Lumière. Le monde nous préoccupe et rien n’est pour nous méprisable en lui. Aime les hommes. Aime ton pays. Aime ton corps et ta jeunesse. Si ce corps doit être le compagnon de ton âme, pourquoi l’oublier ? Si Dieu, qui a créé les choses par la parole, a pétri de ses mains ce corps d’homme, comment ne pas l’aimer ?
Aime à la folie ta profession, l’instrument que Dieu a mis à ta portée et qui te permet de gagner le ciel sur terre et de sauver les âmes.
Rien de ce qui arrive dans le monde ne peut manquer d’importance pour toi. La fréquentation du monde te rendra plus homme, trempera ton caractère, te donnera du courage. Plus tard, tu sanctifieras ton milieu.
Un esprit jeune, combatif et optimiste, pleins d’élans humains et de vues surnaturelles, transformera le milieu avec une facilité qui fera l’étonnement de beaucoup.
Pourquoi mépriser cette terre ? Pourquoi mépriser cette patrie, si c’est précisément sur la terre que les hommes deviennent saints ?
C’est ici dans le monde, que Christ, Dieu parfait et Homme parfait, a voulu vivre trente trois ans parmi nous ; ici sur terre que d’aucuns disent mépriser tellement, ici que l’Homme a voulu développer sa personnalité, cet Homme qui eut la plus forte personnalité parmi les hommes et à qui personne ne peut ni ne pourra jamais être comparé. Comment tiendrons-nous pour rien cette vie, si la main de Christ l’a sanctifiée ?
C’est également ici, sur cette terre, que nos frères, les chrétiens de la première heure, se sont fortifiés dans la lutte. C’est en suivant, cette nuée de Témoins que nous comptons bien avec l’aide de l’Esprit-Saint, changer ce monde.
Bruno Leroy.
19:48 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., CHRONIQUES., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
LA POÉSIE EST LIBERTÉ DE L'ESPRIT.
Les mots véhiculent les pensées et la poésie permet de dévoiler la Beauté suggestive de l'âme ainsi, nous pouvons élever notre esprit et nous défaire progressivement de la grisaille qui aveugle parfois notre regard. Les poètes sont les prophètes qui annoncent par la subtilité du langage et de l'expression, que le monde a encore des raisons d'espérer et que la splendeur des tréfonds du cœur demeure à jamais. En effet, la poésie est éternelle pour ceux et celles qui savent aimer la Vie afin de lui redonner son Harmonie originelle. La poésie sera toujours une source d'Espérance intarissable dans laquelle les Hommes puiseront la fraîcheur d'exister et le sens de l'émerveillement, sans toutefois se dessaisir de la Réalité.
La vraie poésie se moque de la poésie. La poésie est toujours quelque part. Vient-elle à déserter les arts, on voit mieux qu'elle réside avant tout dans les gestes, dans le style de vie, dans une recherche de silence intérieur. Partout réprimée, cette poésie là fleurit partout. Brutalement refoulée, elle consacre les émeutes, épouse la révolte, anime les grandes fêtes sociales.Nous avons besoin de ce silence qui nous parle car, nous vivons dans une société de bruit et sommes submergés par le tapage haute fidélité.
Nous avons besoin de silence pour nous entendre nous-mêmes, pour entendre les autres, pour entendre la nature. Pour écouter le tremblement de la poésie...Elle est son premier jaillissement, encore immaculé ; ni corrompu à la source , ni menacé de récupération.Seuls la détiennent ceux qu'une longue résistance au pouvoir a chargés de la conscience de leur propre valeur d'individu.La conscience du présent s'harmonise à l'expérience vécue comme une sorte d'improvisation. Au contraire, la pensée qui s'attache au vécu dans un but analytique en reste séparée ; c'est le cas de toutes les études sur la vie quotidienne.
Le voyageur qui fixe sa pensée sur la longueur du chemin à parcourir se fatigue plus que son compagnon qui laisse au gré de la marche errer son imagination ; de même la réflexion attentive à la démarche du vécu l'entrave, l'abstrait, le réduit à de futurs souvenirs. Pour qu'elle se fonde vraiment dans le vécu, il faut que la pensée soit libre. Il suffit de penser autre dans le sens du même, la plus haute conscience de soi inséparable de moi et du monde. C'est à cette condition que les hommes reconnaîtront sous peu que leur créativité individuelle ne se distingue pas de la créativité universelle.
On le sait, la société de consommation réduit l'art à une variété de produits consommables. Puissions-nous avoir cette volonté d'échapper aux aliénations ambiantes en créant l'unité de l'homme et du social où l'expérience de la poésie prime comme une nouvelle arme dont chacun doit apprendre le maniement par soi-même.La poésie sert à respirer et mettre de la joie dans la vie, elle aide à réaliser la synthèse de notre existence. Elle est l'alternative essentielle aux violences subies ; elle nous dit que l'esprit de mort n'a plus de place dans notre Vie.Elle est notre grande fête sociale qui assigne les bureaucrates à résidence. La poésie et l'art en général nous font côtoyer l'infini de notre être en détruisant progressivement ce qui est réductible dans l'homme.
Notre conscience humaine ne peut ignorer, négliger cet espace de liberté dont nous disposons pour nous unifier au monde en échappant à toutes formes d'aliénations pathologiques.Le véritable artiste est celui qui reste lui-même en provocant la société par une insurrection de la beauté dont son âme ne cesse de s'inspirer. C'est un homme de partage et d'amour dans la contestation de l'ordre établi, puisqu'il ne supporte pas les embrigadements de l'esprit. Puissions-nous être poètes dans nos comportements quotidiens, non en sachant écrire de splendides poésies mais en regardant le monde avec nos yeux intérieurs, ceux qui murmurent le bonheur de vivre libre.
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25/11/2010
Tu possèdes le feu des désirs brûlants.
12:35 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
Je viendrai loger dans la maison de ton âme
11:10 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., POÉSIES SPIRITUELLES., POUR LES JEUNES. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
INDISPENSABLE CROISSANCE SPIRITUELLE.
Les qualités d'une personne mûre sont très étranges, car le mot " maturité " donne l'idée d'avoir de l'expérience, d'être âgé, vieux. Physiquement, il se peut que la personne soit vieille, mais spirituellement, c'est un enfant innocent. Sa maturité n'est pas qu'une expérience acquise à travers la vie. Dans ce cas, elle ne serait pas un enfant, dans ce cas, elle ne serait pas une présence ; elle serait une personne qui a de l'expérience - qui a des connaissances, mais qui n'est pas mûre.
La maturité n'a rien à voir avec les expériences de la vie. Elle a à voir avec notre voyage intérieur, avec notre expérience de ce qui est intérieur.
Plus on entre profondément en soi, plus on est mûr. Lorsqu'on a atteint le centre même de son être, on est parfaitement mûr. Mais à ce moment-là, la personne disparaît, seule la présence demeure ; le moi disparaît, seul le silence demeure ; le savoir disparaît, seule l'innocence demeure.
Pour moi, la maturité est un autre nom pour la réalisation. Vous êtes arrivé à l'accomplissement de votre potentiel. Il s'est actualisé. La graine a fait un long voyage et s'est épanouie.
La maturité a un parfum. Elle donne une immense beauté à l'individu.
La personne mûre ne devient rien d'autre qu'Amour. Son action est Amour, son inaction est Amour, sa vie est Amour, sa mort est Amour. Elle est simplement une fleur de l'Amour.
Nous avons des définitions de la maturité qui sont tout à fait infantiles.Par maturité on entend que nous ne sommes plus innocents, que nous avons mûri à travers les expériences de la vie, qu'on ne peut plus vous tromper facilement, qu'on ne peut plus nous exploiter ; que nous avons en nous quelque chose comme un roc solide - une protection, une sécurité. Cette définition est très ordinaire, très terre-à-terre.Mais ma façon de voir la maturité est totalement différente, diamétralement opposée à cette définition. La maturité ne fera pas de vous un roc ; elle vous rendra si vulnérable, si doux, si simple.
Êtes-vous prêts à subir les outrages de personnes qui se croient matures et ne sont qu'infantiles, puisque nous demandons aux gens désormais de se masquer pour paraître invincibles. Sommes-nous prêts à enlever tous ces masques qu'on nous impose, pour nous rapprocher de Dieu-Amour et progresser en maturité avec tous les risques que cela implique ?
Oui, il est très difficile de devenir mature dans une société qui vous demande tout le contraire.Nous ne l'obtiendrons qu'en Dieu Seul sans nous préoccuper du jugement des autres. La puissance de la prière nous rendra mature selon la Volonté de Christ qui est notre pédagogue ultime vers une croissance spirituelle.
Bruno LEROY.
10:00 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., PÉDAGOGIE., RÉFLEXIONS ET PENSÉES, RÉFLEXIONS LITTÉRAIRES., SPIRITUALITÉ, THÉOLOGIE. | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |
23/11/2010
Sommes-nous dans une réalité qui nous échappe ?
21:01 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LA POÉSIE DE LA VIE, LE REGARD DE BRUNO., LITTÉRATURE., MÉDITATIONS., PENSÉES PERSONNELLES, PHILOSOPHIE, POÉSIE, POÉSIE DE L'INSTANT., POÉSIE SPIRITUELLE., RÉFLEXIONS LITTÉRAIRES., RÉFLEXIONS., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | | del.icio.us | | Digg | | Facebook | |