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26/03/2011

Mes moindres questions sont pour Toi des réponses.

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Mon Dieu j'abandonne mon destin entre tes bras,
Plus rien désormais ne saurait me faire désespérer,
L'Espérance habite mon cœur des murmures de ta voix,
J'entends des cantiques nouveaux au rythme de ma foi,
Tu ne me fais jamais porter de fardeaux plus lourds que moi,
La paix demeure en mon esprit et fait s'interroger les inquiets,
Je suis dans la prière comme dans un dialogue d'Amour,
Et tu réponds toujours aux attentes secrètes de mes jours,
Mes moindres questions sont pour Toi des réponses,
Que je sens en mon âme ou perçois comme un signe évident,
Je sais que tu es ce Souffle infini de l'Esprit qui peut tout,
Donne-moi des rires lorsque mes larmes perlent,
Donne-moi des larmes lorsque mes rires sont insouciants,
Et donne-moi la force de témoigner de ta saveur d'Amour,
Aux plus petits, aux humiliés, aux meurtris, aux opprimés,
A tous ceux qui ne connaissent pas encore ta Présence,
Que ma vie témoigne de ton Amour indéfectible pour les exclus,
Que l'Espérance offerte comme un cadeau de tes bienfaits,
Rejaillisse sur les autres comme un tendre baiser,
Pour que crépitent les feux de joie de notre Humanité,
Oh ! Christ je remets mon destin entre tes mains,
Fais qu'il soit chemin pour les hommes de demain.


Bruno LEROY.

24/03/2011

Un indicible Témoignage de Joie.

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Paul allait puiser sa force intérieure à la source divine. La prière est cette rencontre mystérieuse avec Dieu qui nous répond par des signes quotidiens. La prière est cette certitude que l’Amour détruit toutes les forces de mort qui nous habitent. Cette respiration de l’âme est aussi nécessaire que le besoin de manger. L’Esprit ne peut apporter Ses fruits que si, nous Lui demandons dans un total abandon. La prière est effectivement la part importante de la personnalité du chrétien. C’est ce qui le différencie du païen qui ne croit qu’en ses propres forces.

Regardons autour de nous, certaines personnes semblent habitées par un rayonnement dont nous savons la provenance et que nous envions secrètement. La joie est le fruit délicieux de leur présence. Une joie que nul ne pourrait ravir tant elle demeure ancrée dans les tréfonds de leur âme. Prier, n’est pas anodin, c’est la recharge en énergie divine de l’individu fatigué. A condition de remettre son destin entre les mains de Dieu-Amour. Cela, ne veut pas dire ne plus rien faire et attendre que Dieu agisse à notre place. Cela veut dire que Dieu nous donne Tout Son Amour et Sa force pour que nous transformions le monde.

Cependant, il est des situations, je pense aux terribles maladies, où notre action demeure vaine, Dieu intervient alors silencieusement pour nous dicter les gestes et attitudes à faire. Je fus confronté à cette terrible situation, ma mère étant très malade, je priais pour demander à Dieu la Force de tenir pour l’accompagner vers la demeure du Père. Sa mort à 50 ans fut ressentie par la plupart des membres de la famille, telle une défaite. Je l’ai accompagnée durant un mois, jour et nuit, et j’ai répondu qu’elle était entrée dans la Paix.

Cette sérénité que nous cherchons tant sur terre, elle l’a retrouvée dans cette communion avec Dieu. Souvent, nous en voulons à Dieu de nous enlever des êtres chers. Et pourtant, Dieu-Amour nous accompagne dans nos détresses. Notre aveuglement face à la souffrance est compréhensible mais, le chrétien sait que Dieu Lui tend la main. Chaque jour, dès que le soleil se lève, je dis à Christ : Je t’Aime et cette journée est la tienne pour te servir !. Quelle joie m’envahit lorsque je lis la Bible et tombe sur un passage qui me fait entrer en prière.

Sans la prière, notre vie n’aurait aucune saveur, elle n’aurait point le parfum subtil de Dieu à nos côtés. Les premiers chrétiens, tel que Paul, l’avaient bien compris. Frères et Soeurs que nos vies soient un hymne de prières et de grâces.

Un indicible Témoignage de Joie et de Force vécues dans le cœur de Christ. L’Amour doit toujours guider nos pas vers l’Éternel, ainsi notre existence aura la beauté d’une symphonie dont on ne peut se lasser d’écouter les harmonies. Oui ! s’abîmer dans la prière c’est se construire, chaque jour dans l’Amour. Amen !

Bruno LEROY.

18:39 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., COMBAT SPIRITUEL., LA PENSÉE DU JOUR., LA PRIÈRE DU JOUR., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (1) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

Au soleil de nos saisons.

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Dans le silence intérieur se forme notre conscience
La certitude des mots prononcés avec Amour
Et nos secrètes pensées veulent vivre toujours
Cette éternité de l'instant quand nos regards
Attendent un geste de tendresse sans hasard
Mais tracé dans une harmonieuse présence
De nos âmes enlacées et qui savourent
Le bonheur d'être deux en cette humanité
Où la solitude est le souffle de l'homme
Une habitude inventée par des cœurs dispersés
La beauté de notre Vie nous engendre à nous-mêmes
Comme un poème éclaté chaque jour
Au soleil de nos saisons que nous conservons
Jalousement avec une volupté aux yeux d'enfants
Purs et innocents dans sa fraîcheur renouvelée
Au quotidien de nos rencontres
Comme des envolées dans le destin illimité
Et le vent de nos sentiments amoureux
Fait chanter ses accords heureux
Dans nos corps chaleureux et démesurés
Quand le temps nous appartient
L'avenir nous vient tel un navire sans chagrins
Sur les flots de la mer sereine et parle pour demain
De nos matins réinventés au Bonheur
De s'aimer malgré toutes les lames
Que les vagues imaginent pour nous couper
De nos radieux moments médités au fond de notre être
Pour donner une signifiance à notre existence
Plus je m'enfonce dans les profondeurs
Plus je sens la chaleur torride de t'Aimer.
 



Bruno LEROY.

20/03/2011

Dans le silence de mon âme, je sais qu'Il est vivant et me parle.

La prière est pour moi, substance de ma Vie. La poésie est l'expression de la Beauté de l'Adoration face aux somptuosités Divines. Chacun, donne un sens à son Existence. Il me souvient d'une interview d'un "grand" théologien, le journaliste lui posa cette question inattendue : Si vous constatez après tous les combats que vous avez menés au Nom de votre Foi que Dieu n'existe pas et qu'il n'a d'ailleurs jamais existé. Que feriez-vous ? Le "théologien" répondit : vous savez je suis sorti de ces dilemmes infantiles et stériles d'une croyance qui vacille sans cesse. Si vous me prouviez que Dieu n'existe pas, je répondrai et pourtant quelle belle vie j'ai eu avec Lui. Dans le silence de mon âme, je sais qu'Il est vivant et me parle. Dieu n'est pas la résultante d'une discussion philosophique ou sémantique. Il est le feu d'une expérience vécue tout au long de l'existence. Ce soi-disant théologien, c'était moi... 
Dieu fleurit dans les cœurs qui l'accueillent.
 
Pour que vous puissiez accueillir Sa Présence en cette période spécifique de Carême et même après. Mes Frères et Sœurs Coopérateurs Salésiens ont créés un Diaporama. J'emploie volontairement le mot de création car, il s'agit-là d'une oeuvre d'art construite avec Amour.
 
Vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessous pour découvrir l'importance de la prière dans la respiration d'un être qui se veut spirituel.
 
 
 
Puisse ce texte convertir votre regard intérieur dans un recueillement approprié.
 
Bruno LEROY.

19:28 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., MÉDITATIONS., Prières, Prières. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

17/03/2011

Quelle est la lumière qui nous guide ?

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Quelle est la lumière qui nous guide dans notre vie quotidienne ? Celle des spots publicitaires ? des flash-infos ? des bandes annonces du dernier film ? des devantures ruisselantes des magasins ? Réussissons-nous à prendre de la distance par rapport à ces multiples sollicitations extérieures ? Gardons-nous notre liberté intérieure ou sommes-nous prisonniers de notre société de consommation qui érige le bien-être et la jouissance en valeurs suprêmes ?

Nous ne sommes pas invités à nous soustraire au monde, mais à redécouvrir notre intériorité spirituelle, afin de nous conduire comme « des fils de la lumière, des fils du jour » ; car « nous n’appartenons pas à la nuit et aux ténèbres. Dès lors, ne restons pas endormis comme les autres, mais soyons vigilants et restons sobres » (1 Th 5, 5-6). Le message est clair : la sobriété a pour but de nous soustraire à la fascination des sollicitations extérieures ; la vigilance doit nous garder attentifs aux motions intérieures de l’Esprit. Pour qu’une telle attitude devienne habituelle, il faut bien sûr s’y exercer en des temps privilégiés durant lesquels nous nous efforçons de nous recueillir, de nous intérioriser, de revenir à nous-mêmes. La difficulté est que nous avons perdu la clé de notre chambre intérieure ; lorsque nous essayons de faire silence, nous sommes bientôt submergés par le bruit de nos pensées en cavale et par le tintamarre de nos émotions débridées. Aussi risquons-nous de nous décourager : comment pourrions-nous revenir à nous-mêmes alors que nous ne savons plus qui nous sommes ?

C’est bien pourquoi Paul nous invite à « revêtir le Seigneur Jésus Christ pour le combat de la lumière ». N’est-il pas le vrai visage de l’homme réconcilié avec Dieu et rétabli dans la lumière de la grâce ? N’est-il pas le chemin qui nous conduit à notre vérité profonde et à la source de la vie ? Revêtir le Seigneur Jésus Christ signifie épouser sa manière de voir les personnes, les événements ; évaluer les situations à la lumière de ses critères ; pour agir conformément à ce qu’il attend de nous. Autrement dit : pas d’oraison chrétienne qui ne soit enracinée dans la lectio divina, c’est-à-dire dans une « lecture savoureuse de la Parole », qui nous fasse entrer dans l’intimité du Seigneur Jésus, et nous donne de le connaître « en Esprit et vérité » (Jn 4, 23).

Comme Noé, il nous faut « entrer dans l’arche » de l’Église - de notre « église intérieure », c’est-à-dire de notre cœur - pour nous y tenir prêts à « l’avènement du Fils de l’Homme ». Mieux vaut ne pas faire étalage de notre démarche : ce serait contradictoire avec sa finalité. Saint Jean de la Croix conseillait d’éviter d’exposer trop tôt au vent du monde, la flamme encore vacillante de notre vie intérieure commençante, afin d’éviter qu’elle ne s’éteigne. L’important est de nous « tenir prêts » dans la discrétion d’un cœur vigilant et dans l’ardente espérance de la venue du « Maître de maison ».

« Deux hommes seront aux champs : l’un est pris, l’autre laissé. Deux femmes seront au moulin : l’une est prise, l’autre laissée ». Nous suggérons que les hommes représentent la dimension extérieure de notre humanité - l’être « charnel » dont parle Paul ; et que les femmes symbolisent notre intériorité psychique, c’est-à-dire notre dimension affective et nos facultés.

Chacune de ces polarités - masculine et féminine - est présentée en binôme, pour signifier que nous sommes « doubles » : notre être psychique et notre être charnel sont en partie autonomes, et en partie soumis à l’être spirituel, c’est-à-dire à l’homme nouveau, au Christ intérieur. « L’un(e) est pris(e), l’autre laissé(e) » : l’être naturel en nous ne subsistera que dans la mesure où il se sera soumis à l’Esprit, c’est-à-dire dans la mesure où il aura accueilli la grâce du salut. Peut-être pouvons-nous deviner, en filigrane des personnages masculins et féminins qui « sont pris », Joseph et Marie chez qui l’être charnel et psychique sont pleinement intégrés dans l’être spirituel, et mis au service du dessein de Dieu.

Tous deux vivent dans le monde, mais ne sont pas du monde : leurs pensées, leurs paroles, leurs actions sont entièrement finalisées sur l’accueil du Sauveur. Qui mieux que Marie et Joseph pourrait nous introduire dans ce temps de conversion à l’unique nécessaire, en cette période de Carême ?

Bruno LEROY.

19:18 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., COMBAT SPIRITUEL., LE REGARD DE BRUNO., SPIRITUALITÉ | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

13/03/2011

LE BAUME DE TOUTES PLAIES.

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Chers Amis ( es ),
 
La vie a plusieurs visages que l'on aimerait voir sourires. Pour cette ultime raison, certaines personnes voudraient satisfaire le monde, voire même les éternels insatisfaits. Et pourtant, il faut se dire et s'imposer à un moment de l'existence, un temps où nous serons seuls face à nous-mêmes. Prendre du recul pour mieux avancer vers autrui. Voilà en somme la substance de ma philosophie. Il ne faut jamais oublier que nous ne sommes pas en capacité de donner ce que nous ne possédons pas. De la tendresse, de l'amour, du silence issu du tréfonds de l'âme. Si nous ne vivons plus ces valeurs quintessencielles, comment voulez-vous les redistribuer autour de vous ? Il faut savourer l'amour pour en donner à son tour...Si vous n'êtes que boule de haines et de rancunes. Vous vous mentez et pire, vous mentez aux autres. La vie spirituelle a sa propre discipline. Alors vivons-là pleinement en ce Carême. Et nous mettrons de la joie et de l'espérance dans les cœurs de chaque humain qui croisera notre chemin. Puis la prière nous fera avancer dans nos propres profondeurs. Malgré les saloperies et les merdes qui nous parviennent, nous ne sommes jamais seuls. Notre foi nous donne la force de donner un parfum de liberté à nos existences dominées par l'économie hégémonique. Et soyons en communion avec le Japon qui panse ses purulentes blessures. Soyons, par la contemplation et l'action, le baume des plaies du Monde.
Je vous souhaite une excellente semaine dans l'Esprit d'Amour de Jésus-Christ, notre Sauveur et Libérateur !
 
Bien Fraternellement, Bruno.

21:51 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

06/03/2011

Réflexions sur le rôle des bénévoles.

Lorsque nous exerçons une fonction au cœur d’une association en tant que bénévole, il me paraît évident que la reconnaissance ne peut guère s’effectuer de façon similaire à celle d’un salarié.

En effet, souvent le salaire est le symbole d’une valeur accordée aux prestations de l’employé. Alors, le bénévole ne serait-il jamais inclus dans une dynamique de reconnaissance ? Répondre négativement serait méconnaître la nature Humaine et la signification de ses expressions affectives.

Un sourire, un regard, un geste posés peuvent provoquer l’atmosphère sereine ou conflictuelle de relations internes entre individus.

La relation de confiance est primordiale, base constitutive de toute relation qui permet aux autres de progresser.

La reconnaissance de l’autre est une façon de vivre en acceptant et surtout, en intégrant ses différences. Apprendre à négocier ces différences est la source essentielle de toutes relations saines.

Par contre, le refus catégorique de découvrir l’autre dans son individualité propre, relève de la pathologie. Les associations, qu’elles soient humanitaires ou autres, sont les reflets intrinsèques de nos comportements sociétaux.

Donnons davantage de lumière dans notre reconnaissance envers autrui. C’est-à-dire, une flamme de vérité respectueuse qui fait grandir intérieurement. L’éclat de nos ententes relationnelles et donc, de la reconnaissance inconditionnelle de l’autre, rejaillira sur la société tout entière.

Une association caritative doit montrer l’exemple qu’une humanité rayonnante et bien vivante est encore possible. La reconnaissance de l’autre peut se caractériser aussi par la sanction car, elle est négation de l’indifférence. L’équipe de bénévoles devient alors un microcosme pouvant s’ouvrir vers d’autres paradigmes de façon plus limpide en fragmentant mieux ses limites. La reconnaissance que les autres éprouvent à notre endroit est la preuve même que nous existons au sein d’une association.

Nous sommes responsables des relations que nous entretenons avec autrui. Lorsque nous aurons compris cela, nous aurons tout compris !

Demain, sera la société du rejet ou de l’acceptation inconditionnelle de l’autre à la seule condition que cette relation soit basée sur le Respect. Accepter ne signifie pas tout accepter mais, se mobiliser pour que la tolérance ne demeure point un vain mot dans un vieux dictionnaire.

C’est l’affaire de tous et toutes, là où nous vivons, de porter un autre regard sur les réalités afin de mieux nous intégrer. Si le bénévolat permet une intégration du bénévole dans un groupe, cette intégration doit être également sociale. Et plus le bénévole aura à cœur de se former pour mieux s’épanouir au profond de son individualité, plus il sera en communion avec les autres pour vivre une démarche authentique en faveur des plus exclus de notre société.

Tout cela en fait, est une question de regard que les autres nous portent ou que nous portons sur nos actions. Cette reconnaissance est porteuse de gratuité, d’approfondissement des valeurs personnelles et du sens que nous posons sur le Bénévolat. Les bénévoles sont les transmetteurs des convictions qui les animent. Et celles-ci sont toujours porteuses de gratuité. Il ne pourrait en être autrement... Oui, re-connaissance, naître de nouveau à soi-même pour se reconnaître et être reconnu.

L’importance fondamentale de vivre une certaine empathie avec autrui, nous fait découvrir d’autres horizons que nous-mêmes. Nous entrons alors, dans la co-naissance de l’autre, une position qui donne vie à sa représentativité existentielle. Car être reconnu inconditionnellement, c’est commencer à exister !

Et faire exister les autres pour qu’ils puissent prendre leur destin en main avec une conscience responsable et adulte.

Bruno LEROY.

11:52 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., PÉDAGOGIE., PHILOSOPHIE | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |

02/03/2011

De merveilleux éclats d'Amour.

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Comme la brise légère fouette les vagues,
Tu es le rocher sur lequel vient dormir le soleil,
Apaisé après une longue journée de doutes,
Sur la nature humaine qui souvent divague,
Tu es puissance de tendresse tu es la route,
Sur laquelle je chemine avec merveille.
Tu m'as appris à donner le meilleur de moi-même,
Tu m'as appris à transcender toutes formes de haines,
Tu as donné aux confins de mon âme la saveur d'exister,
La splendeur de contempler même l'homme blessé,
Pour mieux le comprendre et l'aimer,
Pour mieux me comprendre et m'aimer.
Tu as semé les petites joies aux sublimes senteurs,
Celles qui s'épanouissent et font germer le Bonheur,
L'Amour, le respect, la générosité,
L'écoute, le souci des autres.
Voilà ce qu'à jamais tu as su me donner...
Valeurs puisées au cœur des évangiles,
Dont nous sommes Apôtres,
Que chaque jour nous tentons humblement de pratiquer,
Et tu demeures toujours Présent pour sans cesse nous aider.
Dans cette prière des profondeurs
Qui procure une indicible allégresse,
De te savoir à nos côtés pour fortifier notre Foi,
Oh ! Seigneur tu ne juges jamais nos balbutiements,
Tu entends pourtant les murmures de nos tourments,
Mais Ton incommensurable Amour les transforme en diamants,
Et la Joie apparaît soudainement comme venant du firmament,
Cette Joie pascale qui nous ouvre aux autres inlassablement,
Dans de merveilleux éclats d'Amour
Et d'éternels jaillissements.


Bruno LEROY.

 

 

 

 

26/02/2011

Viens pleurer sur mon épaule.

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Reposes-toi sur mes lèvres,
Le matin soudain se lève,
La tendresse toujours élève,
La haine n'est que tristesse.
 
Viens pleurer sur mon épaule,
La joie n'a pas le monopole,
De tes émotions et sentiments,
Parfois c'est notre cœur qui ment.
 
Laisse couler tes illusions,
Multiples fruits de tes passions,
Nous ne pouvons vivre sans raison,
Sans transcender nos fausses liaisons.
 
Il est un Amour plus fort que le mien,
Il nous soude et nous retient,
Presque sans fin dans notre destin,
Il est Esprit de Vie qui souffle le chemin.
 
Que nous devrons prendre demain,
Pour être en Harmonie et nous sentir bien,
Prie dans tes obscures pensées,
La Lumière pénétrera pour te conscientiser,
Te faire comprendre et saisir la douceur de la Paix.
 
 
Intérieure toujours tel un abîme qui s'ouvre,
Sur le visage du véritable Amour,
Plus de peurs, de rancœurs et de larmes,
L'allégresse deviendra ton arme,
Je resterai à tes côtés pour te voir pousser,
Grandir à jamais comme une fleur de l'éternité.
 
Je t'Aime par-delà les soleils fatigués,
Je t'Aime comme une évidence imprimée,
Dans ma chair qui sourit de t'aimer,
Qui ne souffre jamais de te savoir en moi,
Comme une mémoire qui chante sa Foi.
 
De me savoir aimé,
De savoir t'aimer,
De vouloir aimer,
D'apprendre à t'aimer,
De savourer le verbe aimer.
Dieu est toujours dans la main de ceux qui s'aiment,
Dieu est toujours dans la main de ceux qui sèment.
 
Bruno LEROY.

25/02/2011

Saint-Valentin : Que serait une vie sans Amour ?

  • Saint-Valentin : Que serait une vie sans Amour ?

    13 févr. 2011 ... A l'occasion de la Saint-Valentin, le Dr Bruno Leroy publie un article édifiant sur Le Journal Chrétien pour éclairer l'opinion public sur ...
    mondeactu.com/.../saint-valentin-que-serait-une-vie-sans-amour-9945.html -
  •  

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    21:17 Écrit par BRUNO LEROY ÉDUCATEUR-ÉCRIVAIN dans CHRONIQUE DE BRUNO LEROY., LE REGARD DE BRUNO., PRESSE. | Lien permanent | Commentaires (0) |  Imprimer | |  del.icio.us | | Digg! Digg | |  Facebook | | | Pin it! |